Infiltrer Warin [Passé]

A peine sortit du palais, Daix commença a réfléchir au moyen le plus efficace pour infiltrer la demeure de Warin. Après quelques recomandation du vieux fou, l'assassin avait conclut que le plus simple serait de se rendre sur place dans l'instant et de commencer par un tour du propriétaire. Une reconnaissance de terrain. Il aimait bien cela. Il avait appris que la demeure de Warin se trouvait au centre de la cité. Bien. Avec un peu de chance, sa demeure sera collé a un autre batiment. Après, Daix trouverai bien un moyen de monter sur ce batiment et de pouvoir s'infiltrer par le toit.

Sinon l'assassin se demandait également si les domestiques entraient et sortaient par une autre entrée, qui ne serait pas relié a la grande rue. Cela faciliterai grandement la tache, de plus, Daix savait - pour avoir du s'infiltrer a plusieur reprise chez des grand noble pour accomplir son devoir - que c'était souvent le cas : on ne voulait pas qu'on voit les domestiques, qui était souvent de pauvre personne, entrer chez lui, ou en sortir.




Trouver la demeure de Warin ne pris pas beaucoup de temps a Daix : C'était une des seule a être gardée par des soldats au garde à vous. La bâtisse était assez imposante et, comme l'espérait l'assassin, elle était entouré de deux autres batiments, beaucoup plus miteux et plus petits, eux mêmes collées a d'autre bâtiment ect... Une longue chaine d'habitat facilement escaladable et offrant un moyen très pratique d'aller d'un endroit a un autre sans être vu.

Tout en mettant sa capuche, il fit marche en essayant de trouver un endroit ou grimper a l'abris des regards. Il le trouva, une centaine de mètre plus loin : Un cul de sac sombre et des murs offrant de très bonne prise. Il aimait escalader - et il le faisait bien - : il atteignit le toît en une petite minute.

Une fois sur le toît, il repéra tout de suite la demeure de Warin. Mais il ne se dirigea pas vers elle. Il s'avança jusqu'au bord de la toiture oposé a la grande rue. Un sourire de satisfaction illumina son visage. Une petite ruelle a peine éclairée était là, a une dizaine de métre sous lui. La ruelle qu'emprunté les domestiques. Daix s'assit au bord du toît, près a bondir sur un des serviteur pour le dépouiller de son uniforme. Malheuresement, ils se rendit vite compte que personne de passerait par là avant un bon moment. Pas grave... Il sauta de son perchoir et attérit lourdement sur le sol cabossé. Un saut de dix métres. Il aurait put se péter la cheville. Il n'eut qu'une petite douleur qui passa vite. Depuis le temps, il avait appris comment se ramasser sans se faire trop de mal. Il se rendit compte aujourd'hui que cela aura été essentiel : Comment aurai-il continué avec un os cassé ? Il ne le savait pas, et ne voulait pas le savoir. Il continua sa route vers Warin.


Enfin, il se tenait devant la petite porte. La porte des domestiques. Il était sur d'être chez Warin : Il reconnaissait vaguement les moulure et le mabre taillé gracieusement qui se trouvait aussi a l'avant. Mais, un doute horrible lui vint a l'esprit alors qu'il s'apprétait à ouvrir la porte : Qui lui disait qu'il n'y avait pas de garde derrière celle-ci ? Après quelque minutes d'hésitation, il se dit :

" Qui en tente rien, n'a rien... allons-y."

Sa main légerement tremblante, il ouvrit la porte - non fermé, surement a cause de fait que Warin ne pensait pas que quelqu'un connaissait cette entrée -, des perles froide coulant sur front.

#Daix #Warin

Derrière la porte, il n'y avait rien. Enfin, pas rien du tout, il y avait quand même un couloir, avec du carrelageen mosaïques sur le sol et des murs décorés, mais il n'y avait pas le moindre signe de garde en train de surveiller cet endroit. Daix put respirer un grand coup avec soulagement. ilpouvait continuer librement ses investigations dans la demeure du tout nouveau héros de Minas Tirith. Non, mieux que sa demeure, son quartier-général, là où il devait imaginer ses plans les plus secrets avec ses acolytes les plus dévoués, ceux qui savaient si cette soudaine montée au pouvoir était le résultat de la bonne fortune et de la vaillance de Warin, ou si tout avait été manigancé dans quelque sinistre projet fou qui avait fait couler bien du sang.

Il fallait observer l'endroit. C'était un couloir assez banal, qui formait un angle droit à l'endroit de la porte par laquelle il était entré. Même si le sol était décoré, et que le haut des murs portait des frises colorées, signe de l'opulence de la famille de Grey - dont on ne savait pas exactement d'où venait la fortune - mais on voyait directement que c'était un couloir secondaire. Pas de tapisserie ni de tableaux sur les murs, aucun mobilier. C'était bien là un passage de domestique.
Il n'y avait que deux portes outre celle par laquelle il était rentré, une à chaque extrémité du couloir en angle droit.

Daix n'eut pas eu l'occasion de décider ce qu'il ferait. Une porte s'ouvrit. Un domestique - il le jugeait pas ses habits - sortait. A reculons ! Grande chance, l'homme s'adressait encore à la personne dans l'autre pièce alors qu'il sortait en faisant des courbettes. De toute évidence il parlait à un autre domestique, mais dep lus grande importance, son supérieur.

"Certainement, messire chambellan, je vais porter cette nouvelel bouteille au Seigneur Warin tout de suite."

Il portait en effet une bouteille sur un plateau. Il referma la porte et se retourna, apercevant dde ce fait Daix.

"Mais..."

Rien ! Daix poussa un soupir de soulagement. Le couloir était désert. L'assassin pouvait s'adonner a son inspection a sa guise. Elégant, bien décoré. Enfin, des trucs de riches quoi. Des trucs pas pour lui. Cette fois-ci, il n'était en rien gêné d'être dans un endroit ou tout respiraient la richesse, la grâce ou même l'élégance, comme lorsqu'il était dans le palais. Non, cette fois il savait pourquoi il était là. Et en plus c'était pour faire quelque chose qu'il aimait bien. Aparement, il n'était pas dans un couloir ou beaucoup de monde passaient malgrés les décorations. Daix ne s'était pas trompé, décidément, c'était bel et bien un endroit qui permettait aux domestiques de sortir sans être vu. Aucune oeuvre d'art - pourtant courante chez les riches -, ni de meubles élégant. Ce ne fût qu'au dernier moment qu'il vit les deux portes au fonds du couloir.

Il s'en approcha, doucement - on ne sait jamais - quand soudain une des deux portes s'ouvrit. Un homme sortit a reculons en parlant a quelqu'un dans la place qu'il était en train de quitter. Le coeur de Daix fit un bond phénoménal dans sa poitrine. Aucune issue. Il n'en cherchait pas. L'homme qui sortait était un domestique. Voila ce qu'il cherchait. Ce dernier ferma la porte après reçut les instructions de la personne avec qui il parlait. Quand il aperçut Daix, son seul bruit ne fut qu'un hoquet de suprise, une expression d'horreur sur le visage. L'assassin l'avait déja plaqué contre le mur, la dague sous le coup. Il le tira par les cheveux et le train dehors - dans la petite ruelle par laquelle Daix était entré -. Là, il ne mit a terre, toujours en le menaçant de sa dague.

- Pas un bruit, pas un geste, sinon tu créves... Maintenant qu'on est bien, là, dehors, tu vas pouvoir me dire ou je pourrais trouver Warin... Tu sais le grand chauve, tu dois bien le connaitre, hein ?...

Sa voix était plus menaçante que jamais, mais en même temp, on pouvait dicerner une pointe de folie et de démence. Terrifiant.

L'homme tremblait comme un feuille de tout son être. C'était un domestique qui n'avait jamais connu le combat de sa vie, ni même le danger. Il n'aurait jamais imaginé être confronté à une situation comme celle-ci, pas avec un maître comme Warin, surtout pas dans la maison même de son puissant maître. Sûrement ce dernier allait savoir qu'un intru s'était introduit ici, immédaitement, et il s'en occuperait. Warin savait toujours mystérieusement quand et où opérait les bandits, et il les attendait pour les punir... Mais personne n'arrivait pour le moment. Il était seul, avec son agresseur dont il se serait bien passé de la compagnie.

Quand il l'avait vu et qu'il avait sentit des mains de l'assassin sur ss bras, et pire encore la froide caresse d'une lame contre son cou, il avait hésité à la^cher la bouteille de vin qu'il portait. Sûrement cela fairait du bruit, sûrement cela attirerait quelqu'un, sûrement cela signerait son arrêt de mort. Il était trop lâche pour cela, ou pas assez fou, selon. il reonça à cette idée.

"Je vous en prie, messire laissez-moi vivre... Je vous dirai tout, tout. Le seigneur Warin est avec ses fidèles collaborateurs, dans la grande salle. C'est tout près de ce couloir, messire, vous prenez la porte de gauche, puis c'est la trosième porte à droite, la plus imposante. Mais je vous ne prie, laissez-moi et partez, ou cela n'ira pas bien pour vous. Si je n'apporte pas bientôt le vin que Monsieur a demandé, il se doutera de quelque chose et il vous punira quand il vous trouvera..."

Le laisser vivre ? Il en avait des bonnes lui ! Daix était un assassin par un prêtre..., sans compter que cela serait dangereux de le laisser vivre. Non, non. Le serviteur était inutil et encombrant, il fallait l'éliminer. L'assassin regarda le jeune homme sous lui, dans les yeux. Une vision de mort. Il enfonça sa dague dans la gorge du jeune homme, tout doucement, laissant coulé un filet de sang.

- Tu vois... Au contraire de certaine personne... je ne suis pas un idiot... Je ne compte absolument pas te prendre ta vie... Oh non, je suis très gentil moi...

Il sourit. Il s'amusait de l'expression de bonheur qui s'était affiché sur le visage de l'homme. Il se leva, et rangea sa dague.

- Merci pour les information...

Son sourire s'élargit alors que le jeune homme devint livide. Son teint vira tout d'un coup au rouge vif alors qu'un filet de bave coulait sur son menton. Ses yeux se figérent tandis un violent spasme agita tout son corp.

- Amusant... ce poison.

Son visage redevint grave tandis qu'il carressait la lame de sa dague sur laquelle il avait versé le poison. Il se baissa et ramassa la bouteille de vin et il commença a dépouiller le jeune serviteur de ses vêtements qu'il mit sur lui. Bizarement, ils lui allaient parfaitement. Il ouvrit la porte qui donnait sur le couloir et entra pour la deuxiéme fois dans la batisse. Il s'avanca au bout du couloir le plus discretement possible. Arriver devant la porte de gauche , il inspira profondément. Surement arriverait-il dans un couloire très fréquenté...

Daix n'avait pas tout à fait raison. C'était bien plus qu'un couloir, il se trouvait maintenant dans le hall principal de du manoir de Warin, celui qui menait à sa salle de réception, avec des gardes aux habits or et pourpre caractéristique de leur groupe. Il n'y avait pas moins de toris gardes lourdement armés en face de de la porte qui menait au véritable coeur du quartier général du nouvel et pourtant si supect héros de Minas Tirith.
Un homme qui avait l'air d'être un domestique d'un rang supérieur s'approcha de lui, avec un visage qui laissait transparaître de la colère.

"Enfin ! Le Seigneur Warin a déjà réclamé une fois son Côtes d'Ag-Dashar ! Tu as intérêt à te dépêcher !"

Les gardes semblaient partager l'avis du chambellan, car ils ouvrirent immédiatement une porte pour laisser passer Daix en habits de domestique, et ils la refermèrent immédaitement derrière lui, comme ils en avaient l'habitude.

"...tout de même, nous n'avons pas travaillé assez dur pour empêcher les oiseaux d'apporter la nouvelle pour que tout soit.."

C'était l'un des principaux lieutenants de Warin. Daix devait le reconnaître, il se tenait souvent à sa gauche lorsque celui-ci apparaissait en public. L'homme se tut dès qu'il vit le domestique, ou plutôt le faux domestique entrer.

Warin fit deux pas vers lui et déclara d'un ton hautain :

"Pas trop tôt ! Fait le service maintenant, vaurien." En désignant les vers vides sur la table. Il s'éloigna avec ses autres acolytes et ils poursuivirent leur conversation à voix basse le temps que Daix fasse le service. Les seuls mots qu'il put entendre furent quand quelqu'un répondit, un peu plus fort que les autres :

"Impossible, nous l'avons mise hors d'état de nuire il y a des mois..."

Warin lui jeta un regard courroucé et du regard lui ordonna de se taire. Il se tourna alors machinalement vers la table, avec un air méfiant.

"Encore là toi ? Disparaît, je vais te foutre à la porte si tu t'avises encore d'être aussi lent !"

Quête interrompue suite à la resynchronisation.

Résumé du dénouement ici.