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Fuir, courir, s'échapper. | |
| Daix Citoyen
Nombre de messages : 175 Age : 29 Localisation : Vieille-Tombe. Rôle : Assassin
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Sam 26 Sep 2009 - 20:53 | | Cinq ans qu'il moississait dans cette cellule miteuse. Cinq ans. Cinq ans qu'il dormait sur un lit dur, petit et incomodant. Cinq ans. Cinq ans qu'il avait passé en compagnie d'un être. D'un homme. Mystérieux, et identique. Jumeux. Assassin. Leur age était peut être différent, mais ils avaient le même mental, le même esprit, les mêmes caractéres. Peut être même les mêmes raisons de se retrouver enfermé. Daix n'avait pas posé la question. Daix. Il n'avait pas changé. Son esprit était toujours aussi dérangé. Tout comme celui de l'homme. Ce dernier s'apellait Die. Drôle de nom. Drôle de personne également. Cet homme était un mystére. Un mystére qu'on ne peut déchiffrer, un mystére condamné à le rester. Die était vieux, au moins cinquante ans. Mais l'age ne l'avait pas rendu plus sage, bien que pour Daix, les paroles de ce "vieillard" étaient profonde. Sans ironie. Peut être était-ce la cas ? Là n'est pas la question de toutes maniéres. Après cinq ans passé, Daix n'en savait que très peu sur cet Die, mais cela n'avait pas empécher un lien fort, ou au moins unique, de se créer, et puis, ils avaient tous deux le même objectifs: tuer Chobag *** - J'en ai ras le bol de moissir dans ce trou a rat...Die regardait Daix pester, comme tout les jours. Il souriait. Cela faisait beaucoup plus longtemp qu'il était enfermer, et il avait perdu espoir d'en sortir un jour, mais il se souvenait avoir était comme ça, a son arrivé ici : échafaudé jour et nuit des plans fou, pester contre le monde pour finalement se laisser tombé dans son lit puant. - Il y a obligatoirement un moyen de sortir d'ici !
- Tu réves petit !
- Arréte de m'appeller comme ça ! Daix observa la porte de la prison, comme il le faisait tout les jours, comme si la solution était inscrite sur celle-ci. Elle était résistante, impossible a démonter, a casser ou a enfoncer. Les gardes leur donnait a manger par une petite trappe inscrutée dans la porte. Il n'y avait pas de fenêtre. Pas de lumiére. Pourtant il y avait ce courant d'air, qui le narguait. Dès la premiére semaine où il était arrivé, il l'avait sentit, s'engoufrant dans ses vêtements. Pourtant il n'y avait pas de fenêtre... L'assassin recula de quelque pas, et tourna le dos a la porte et a Die qui le regardait avec un regard amusé. Le courant d'air froid partait obligatoirement d'un endroit. Daix s'acroupit. Il sentait le vent frais caresser sa joue, la morsure intense du froid le fit frissonner. Il se concentra sur ce vent, cette morsure, cet espoir. " Il vient obligatoirement de quelque part"... Après quelque minute de reflexion intense, de trense , il sentit quelque chose de bizard. Il sentait le froid sur sa joue, oui il sentait le vent caressait sa joue... sa joue droite. Il ferma les yeux, essayant de creusé l'idée. Quest-qui se trouvait a sa droite ? Son lit. Il se leva, rouvrit les yeux et se dirigea vers son lit qu'il entrepit de soulever. - Die, viens m'aider, c'est lourd... - Quesque tu fais ?Die s'avança vers Daix, et sans se poser plus de question de question, il l'aida à soulever le lit... #Daix |
| | | Daix Citoyen
Nombre de messages : 175 Age : 29 Localisation : Vieille-Tombe. Rôle : Assassin
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Sam 10 Oct 2009 - 10:43 | | L'air entrait par un petit trous dans le plancher. Un simple trous. Les planches autour avaient l'air plus abimé que dans tous le reste de la chambre, sans aucune explication apparente. Un sourire de joie, pour une fois, illumina le visage de Daix. C'était rare. - Ah ! trouvé ! Die regarda avec dédain de simple trou. Il ne voyait absolument ce qu'il y avait de bien dans la découverte de ce trou. Même une sourie ne pourrait passé dedans. Il poussa un grognement, et sous les yeux ettoné de Daix, retourna s'asseoir dans son lit. - Mais qu'est ce que tu fais là ? Sa y est ! J'ai trouvé un moyen de sortir, on se réveille, on émerge, et on se barre, compris ? - Tu as trouvé un trou, Daix... - C'est ça, prend moi pour un con ! Viens voir par là... Il lui fit un geste impatient de la main. Die ne fit pas un geste. Et l'assassin ne comprit pas. Il avait trouvé le moyen de sortir de la cellule, et ce vieux type refusait de venir ! Il suffisait juste de faire céder les planches humides et fragiles pour leur offrir un passage... Incrédule, il s'avança vers Die. - Je sais ce que tu penses... faire céder ces planches ne serait pas difficile... dit Die avant même que Daix ait pu ouvrir la bouche, Mais tu ne sais pas où tu tomberas ! Je ne tient pas a risquer ma vie. - Moi si. Je ferais tout pour sortir d'ici. Sans un regard a Die, qui parraissait désarçonner par cette réponce, Daix retourna vers le petit trous. Il se coucha et essaya de voir ce qu'il y avait en dessous. Aparement, c'était une piéce éclairé par la lumiére du soleil. Le courrant d'air devait venir de la fenêtre qui laissé entrer cette luminosité. Pour le peu que l'assassin y voyait, personne ne se trouvait dans la piéce. Et elle était plongé dans un silence complet. Parfait. Il se leva alors, et entreprit d'enlever les planches a coup de pied. Elles céderent rapidement, et bientôt, un trou largement plus grand s'était créer. - Et voila... Die, si tu préféres resté moisir ici, je te dit Adieu. Sinon, je serais heureux de faire un bout de chemin avec toi, et peut être de tuer Chôbag. A toi de choisir, mec. Et Daix sauta dans le vide. |
| | | Daix Citoyen
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~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Jeu 15 Oct 2009 - 20:06 | | La chute se fut pas longue. A peine se fut-il receptionné qu'il se mit a l'observation de la salle. Elle était très petite, et semblable a son ancienne cellule, a la différence près que cette piéce était meublé. Une amoire imposante fut la premiére chose que Daix vit. Il ne chercha pas a savoir ce qu'il y avait dedans. Dans un coin d'ombre, il y avait quelque chose qui ressemblait fortement un bureau, même s'il ne pouvait en voir les détails. Il y avait même un tableau particuliérement imonde accroché au mur de droite.
Il ne vit rien d'autre. Toutes les autres choses était resté dans l'ombre, comme si celle-ci arrivait a repoussé la lumiére qui entrait a travers la fenêtre. Cela avait quelque chose d'impressionant. Daix, considérant qu'il avait assez observé, décida de suite de se dérigé vers la fenêtre. Vers sa liberté. Sans tourné le dos, pour savoir si Die l'avait suivit. Il s'en fichait. Il ne comprenait même pas pourquoi il ne le suivait, mais après cinq ans passé dans la même cellule, il ne pouvait s'empécher d'éprouver un pincement au coeur a l'idée de le laissé.
- Uhm, uhm...
Daix fit volte-face. Il était sur d'avoir entendu une voix. Une toux plutot. Un fausse toux. Pourtant il n'y avait personne. Le son du silence était assourdissant. Trop Lourd. Ill y avait quelqu'un. Instinctivement son regarde se tourna vers le bureau, plongé dans la pénombre. Quelqu'un en sortit alors... changé.
- On essaye de filé Daix ?
- Tu as changé Tip. |
| | | Daix Citoyen
Nombre de messages : 175 Age : 29 Localisation : Vieille-Tombe. Rôle : Assassin
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Jeu 22 Oct 2009 - 19:59 | | Autrefois, Tip avait les cheveux court et noir, un visage d'idiot et simple et des yeux vert très clair. Il parraissait être quelqu'un de fréquentable, quand il n'était pas ivre comme c'était le cas la plupart du temps. Aussi Daix fut très supris, très très supris des changements qui avait été opéré sur son... ancien "ami". A prèsent, ses cheveux étaient long et gras, d'un brun clair étonnant. Mais ce qui frappérent le plus Daix, ce fut ses yeux a la limite du jaune. Effrayant, a la limite de la démence. A la limite de l'humanité. C'était comme si Tip avait fait une dose de folie pendant 5 ans et qu'il s'était insinuée en lui.
- N'est-ce pas ? Oui j'ai changé, comme tu peux le voir. Aussi bien phisiquement que spirituellement. Je savais que tu tenterais de t'échappé, c'était inévitable, mais je trouve que tu as pris beaucoup de temp pour trouvé cette sortie. Tu es moin vif qu'avant ? C'est bien dommage. J'attendais ce moment avec impatience, le moment où je pourrais enfin en finir avec toi. Je tuerais Daix, l'assassin. Chôbag n'est pas d'accord pour je le fasse, mais vu les circonstances... je ne voit pas ce qu'il pourrait trouvé a dire..
- Tu travailles toujours pour lui alors... ah mais suis-je, je suis même sur que tu vis ici.
- En effet, en effet... Dans cette piéce même.
Daix regarda a nouveau la piéce. Il n'y voyait aucun lit, et de toute évidence, cette piéce n'était absolument pas faites pour vivre. Bizard. De plus, jamais il n'avait entendu de voix provenant de cette, ni même un bruit, lorsqu'il était dans sa cellule. Enfait, il était certain que Tip bluffait sur ce point... mais pourquoi ? Daix n'en voyait aucune utilitée. Mais alors comment Tip aurait-il sut que Daix s'échapper a ce moment la ? Etait-ce un hasard ? Des questions qui restaient sans réponces... mais finalement, avait-elles un interêt quelquonque ?
- Trêve de bavardage a présent, je vais enfin te tuer... tu n'as aucun moyen de défense. Aucun.
Il sortit un poignard particuliérement grand étant accrocher a sa ceinture, et son visage s'étira en un sourire Sardonique.
- Bien Tip. Tue moi. Contre un homme désarmé cela ne devrait pas te poser trop de soucis, même pour toi. Espéce de Lache.
- NE ME TRAITE PAS DE LACHE ! rugit-il, avec une fureur démente sur le visage, tout sourir ayant disparut.
- Comment as-tu put sombré a ce point dans la folie... mon pauvre. Regarde toi. Tu es tellement lache que tu n'oses même pas attaqué... tu préfére parlé, barvardé. Pittoyable. Aller, finissons-en, tu veux ?
Piqué au vif, Tip se rua sur Daix, arme lever. |
| | | Nârwel Rusk-Iâr Agent de l'Arbre Blanc
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~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 57 ans Grisonnant -:
| Dim 25 Oct 2009 - 20:23 | | Alors que le dément s'élançait, Daix recula et se mis en garde. Peut être avait-il une chance en frappant l'un des nerf qui courait dans le bras de Tip. Mais il n'en eut pas le temps, autant que son ancien ami n'eut pas le temps de séparer les chairs de l'assassin.
Un lit minable écrasa Tip dans un fracas incroyable. Le choc souleva une épaisse couche de poussière, ce qui venait confirmer l'idée que Tip ne vivait pas là. Accompagnée de débris de bois la dague tinta sur le sol et se planta net devant les pieds de Daix. Ayant transpercé le semier et le matelas de paille, la tête du tueur dépassait pitoyablement du tas de débris.
"Tu vois, d'ici, je ne risque strictement rien!"fit Die, l'air victorieux.
Le Quinquagénaire se laissa tomber sur glissa dans l'ouverture que Daix avait pratiqué. D'un regard il balaya la pièce et s'avança dans les ténèbres, flanquant une droite tonique à Tip qui tomba définitivement dans les pommes.
"T'es secoué Daix? Allez petit. Bouge toi, y'a une porte de ce côté." dit-il en enfonçant la porte une porte de bois qui s'ouvrit à la volée.
Il se tourna vers Daix et lui fit signe de venir. Le soleil tapait au dehors, et le vent fouettait leur visage avec une douce ardeur. Le sourire de Die n'en démentait pas. Il était bon de retrouver la liberté! |
| | | Daix Citoyen
Nombre de messages : 175 Age : 29 Localisation : Vieille-Tombe. Rôle : Assassin
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Lun 26 Oct 2009 - 14:53 | | Jamais Daix ne l'avouera, mais partir sans Die lui aurait fait beaucoup de mal. Comme une trahison. S'enfuir vers la liberté en laissant derriére lui un ami - car Die était devenu son ami, même si l'assassin ne l'avouera jamais non plus dans le contexte de son caractére solitaire. Ce fut donc avec une grande joie, qu'il n'essaya a peine de cacher, qu'il vit Die, devant lui, s'apprétant a partir avec lui.
- C'est mon lit ça ? fit Daix, un peu amusé en montrant du doigt le truc minable qu'il lui avait servit de couchette.
Die le lui répondit pas, et l'assassin en fit encore plus amusé. Durant ces cinq ans, il s'était habitué aux silences de ce dernier sur certaine question, et Daix avait vite comprit que la plupart d'entre eux signifiaient un aquiecement.
L'assassin observa la piéce encore une fois, tandis que Die était en train de fracasser la porte. Malgrés la joie qu'il avait éprouvé en voyant arrivé son ami, il ne put s'empécher de se demander comment est-ce que Tip avait su qu'ils avaient trouvé l'issu a ce moment précis. En tant qu'assassin il ne pouvait pas ne pas se poser la question. Réfléchir au conséquences et aux causes des ses propres actes et de ceux des autres personnes était devenur une seconde nature chez Daix. Mais il fut interromput par Die, lui sommant de venir. Il venait de finir d'enfoncer la porte. La liberté était a eux.
La douce carresse du vent et la chaleur du soleil frappa Daix. Jamais il ne s'était rendu compte a quel point il pouvait être agréable d'être dehors. A quel point l'extérieur était vrai et vital. Il lui fallut un certain temps pour s'habituer a la lumiére du jour, et lorsqu'il fut a nouveau en pleine possession de sa vision, il se rendit compte qu'il était dans une ruelle - une même que celle qu'il avait emprunté pour s'infiltrer chez Warin. Il s'en souvenait, comme si c'était hier, et il se rendit également compte qu'il ne savait absolument rien de la situation de la citée, de ce qui c''était passé durant son absence. Un curiosité nouvelle et étrange - il ne se serait jamais attendu a ce qu'il trouve les affaires de la citée interresantes - monta en lui. Il sourit a nouveau. Il était heureux.
- On est libre mec. Qu'esqu'on va faire maintenant ? demanda Daix a Die, toujours avec ce sourire heureux - pour une fois. |
| | | Nârwel Rusk-Iâr Agent de l'Arbre Blanc
Nombre de messages : 606 Age : 35
~ GRIMOIRE ~ -: Homme de Gondor -: 57 ans Grisonnant -:
| Mer 28 Oct 2009 - 20:34 | | Die fronça des sourcils devant la blancheur de l'astre qui éclairait cette fin d'après midi. L'homme savoura ce moment intense qu'était l'évasion, savoir qu'on l'on pourrait toujours être entre quatre mur, savoir rêver le ciel les yeux grand ouverts, savoir que les gardes sont toujours plus malin que l'on ne le croit. Ou juste plus malin que soit.
Il est vrai que Die n'était pas une lumière, mais c'était un bon gaillard. Du haut de ses cinquante ans, il se sentaient aussi jeune que lorsqu'il s'était fait pincer pour la première fois. Il devait avoir quinze ans. Enfin, la prison lui avait pris beaucoup, souvent pour rien.
"Eh bien, je propose une bonne pinte à l'auberge du quartier?!" dit-il en rigolant.
Un brin ironique, il désigna Tips, toujours inconscient.
"On en fait quoi? Je lui ferais bien les poches, ils nous doit bien une bière!"
Il son regard traîna sur les bottes celui qui s'était endormit sous un lit.
"J'aime ses bottes."
Quelques instant plus tard, il avait aussi arraché le pantalon de Tips, un brin trop large pour les maigreurs d'un prisonnier, Die frottait ses nouvelles bottes du plat de la main. Il n'était plus nu pied, c'était déjà ça. |
| | | Daix Citoyen
Nombre de messages : 175 Age : 29 Localisation : Vieille-Tombe. Rôle : Assassin
~ GRIMOIRE ~ -: Humain -: 25 ans -:
| Dim 1 Nov 2009 - 20:50 | | Daix regarda lui aussi Tip. Il avait l'air pittoyable. En l'observant ainsi, daix observa ses vêtements, surement très cher. Il était surement bien payé. Une chance pour lui, pensa Daix, en quittant enfin Tip des yeux. L'avenir de l'assassin était plus incertain que jamais. Mais il était libre, et même si il ne savait que faire a présent, le fait de revoir la lumiére du soleil et de sentir le vent filtrant ses habits le rendait heureux. Et les choses qui rendaient Daix heureux étaient pourtant rare.
- Bah prend les, ses bottes, si tu les aimes, répondit Daix a Die en sortant de sa mini-transe. Tu les as mis ou les tienne ?
Il n'eut pas de réponce. Bizard. Daix, lui avait toujours les siennes. Il se rendit alors compte que ses habits étaient pitoyable. Aucune classe, pour un assassin. Sa chemise était sale et pousiéreuse, son pantalon troué.
- Puisque tu as pris le pantalon...
L'assassin s'approcha de la silhouette étendu par terre et s'empara de la chemise propre et d'une blancheur éclatante. Très classe, un style incomparable. Dommage qu'elle soit apartenu a Tip.
- Dis, Die... Quesque tu dirais d'un petit voyage en pays Elfique ? J'ai quelque vieille conaissance a Fondcombe...
L'idée lui était venut comme ça, d'un coup. Comme un coup de vent, sans aucune raison précise. Si l'on exepte le fait qu'il n'avait plus de dague. En réalité, il ne connaissait personne en pays elfique, mais il avait toujours eu une dague d'origine elfique dans le temps, trouvé sur une de ses victimes humaines. Pour les avoir essayé, il trouvait que les armes humaine n'était pas assez pur a son gout, comparer a celle des elfes et des nains. C'est pour ça qu'allait a Fondcombe serait préférable, vu le flou qu'il percevait dans son avenir. |
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