Yzen Rarius, représentant Beornide

Dans les vieux folklores de la Comté, il nous est raconté l’histoire de Bilbon Baggins, de Gandalf le Gris, et de leurs treize compagnons nains. L’histoire en elle-même peut paraitre incroyable, mais est pourtant vrais.

Un vieil écrivain, un jour a dit ; « Les mythes que nous tissons, même s’ils renferment des erreurs, reflètent inévitablement un fragment de lumière ».

Le récit est envoutant, fantastique, et bien qu’incomplet, se montre fort utile s’il nous faut embellir l’histoire de Beorn, Roi des Animaux, dormant sous les étoiles du Gué de Carrock, près des rives de l’Anduin.

On nous dit que Beorn, le premier des Beornides, était un homme de peu de mot, et colossal en tout aspects. Grand de plus de sept pieds, certains racontent même l’avoir vue parler au animaux, les dompter sans aucun soucis, et se faire aimer de par la nature en personne. Il faut dire qu’un homme aussi massif que Beorn, devait sans aucun doute en avoir un cœur tout à fait proportionnel.

Dans l’animalerie de Beorn, on pouvait y compter des chiens, des chevaux, des poneys, des aurochs, et certains insectes gigantesques, dont notre fameux géant en faisait l’élevage.

Beorn, durant ses longues années, se prit d’amitié avec Gwaihir, le Seigneur des Aigles, ainsi qu’un chien monstrueusement grand, de plus de deux mètres à l’épaule, qu’il nomma Hugo.

Bref, pour en revenir à notre histoire, il semblera que Beorn refugia la troupe de Bilbon durant leur quête pour Erebor, en an 2941 du Troisième Age. Il les nourrit de son miel légendaire, et de son pain si moelleux, puis leur fournis chacun un poney, qu’il eut dressé lui-même, durant les longues années de sa vie.

Plus tard, la même année, il vint à leurs secours, quand la guerre sonna de l’autre coté de la Foret Noire. La bas, sous sa forme titanesque d’Ours brun, Beorn fendit le crane du Roi Boltog, seigneur gobelin sous la montagne, d’un seul coup de griffe, aussi tranchante qu’elles puissent être.

Protégeant le corps inerte du nain Thorin II, il survécu plus d’une vingtaine de vagues d’orcques, de wargs et autre puanteur venant du fin fond sous-terrain.

Apres tel bataille, il retourna chez lui, et fêta son premier Noel avec quelques uns de ses compagnons, avant d’aller s’exiler dans le grand Nord, retournant à ses sources.

Durant cette période d’exile, il épousa une sauvageonne du peuple de la neige, et en devint même leur ‘chef’, si on pouvait l’appeler ainsi.

La première année, sa femme, Dame Circée, lui donna son premier fils, qu’il nomma Grimbeorn (Grimm, comme les terres glaciales du grand Nord, et Beorn). De par les mauvaises conditions de vie, la troupe décida d’aller s’installer à Carrock, là ou le sol est fertile, et les saisons bien plus généreuses.

Petit à petit, son peuple grandit, aussi vite que le père Beornide vieillit. Dix ans passèrent, et le deuxième fils de Beorn vint à naitre ; Carrock.

Le vieil ours mourut, en 2985 du Troisième Age, laissant à ses fils une tribu d’une centaine de membres.
Grimbeorn, ayant toujours été intéressé de par les aventures de son père, créa la première guilde de forestier du Rhovanon. De l’autre coté, Carrock s’intéressa plutôt aux animaux, et fut charger de s’occuper des bêtes Beornide.

Le temps passa, et querelles après querelles, les frères vinrent à se séparer ; Grimbeorn ne voulait point cohabiter, et encore moins copuler avec les Gens de la Foret, préférant garder une race pure. Il n’est pas bien difficile de penser que Carrock, homme de paix et de simplicité, était tout à fait contre les idées de son frère ainé, vu qu’il épousa une fillette de Dale, et décida de prendre refuge au centre même de la Foret Noire.

Le reste n’est qu’histoire ; Grimbeorn et Carrock fondèrent chacun leur propre tribu Beornide, mais qu’une seul ne vint à survivre.



2941, TA : Beorn recueille la compagnie de Bilbon le Hobbit. La même années, Beorn s’en va en guerre au Mont Solitaire, et protège le corps inerte de Thorin II le nain.
2942, TA : Beorn fête son premier Noel, en compagnie de Gandalf le Gris et de Bilbon Baggins.
2943, TA : Beorn part dans le Grand Nord, pour retrouver son peuple.
2945, TA : Beorn devient chef des Beornides. Beorn épouse Circée.
2946, TA : Grimbeorn est nait.
2949, TA : Les Beornides s’en vont au Gués de Carrock.
2956, TA : Carrock est nait.
2968, TA : Beorn et ses fils s’en vont voir les nains d’Erebor. Gurin Premier, surnommé Gurin Dents-de-Cuivre, forge la hache ‘Morgenfang’, qu’il donnera a Beorn, pour le remercier d’avoir protégé la dépouille de son oncle Thorin II.
2975, TA : Les Beornides forment un pacte de non-agression avec les gens de Dale et d’Esgaroth, puis, la même année, signent un second pacte d’entre-aide en cas de guerre.
2983, TA : Naissance de Greyorn, fils de Grimbeorn.
2985, TA : Mort de Beorn I. Divisions du peuple.
2986, TA : Carrock s’en va vivre dans la Foret Noire, avec ses bêtes et quelques villageois.
2988, TA : Naissance des jumeaux Rarius et Polux, fils de Carrock.
3018, TA : La guerre de l’Anneau éclate. Le Rhovanon est attaqué de par les forces de Rhun et d’Angmar. Grimbeorn s’allie aux Gens du Lac pour repousser la menace maléfique. Mort de Greyorn durant la bataille de Dale.
3019, TA : Des Orcques d’Angmar mettent à feu et à cendre le Gués de Carrock. Les Beornides partent se refugier chez leurs cousins, dans la Foret Noire. Mort de Carrock, décapité de par l’hallebarde d’un sergent Oriental. Les jumeaux Rarius et Polux sont désormais sous la protection de Grimbeorn.
3021, TA : Décès de Grimbeorn. Polux devient chef des Forestiers, Rarius chef des éleveurs. Reconstruction du Gués de Carrock.
An 22, QA : Naissance d’Yzen I, fils de Rarius.
An 29, QA : Naissance d’Ysolde, fille de Rarius.
An 75, QA : Mort de Polux. N’ayant pas d’héritier, Barrock, un cousin germain, deviens chef des forestiers. Ysolde épouse Barrock.
An 78, QA : Rarius s’en va seul retrouver ses amis les aigles, et n’est jamais retrouvé. Yzen I devient chef des éleveurs.
An 95, QA : Naissance d’Yzen II, fils d’Yzen I.
An 119, QA : Naissance de Beorn II, fils de Barrock.
An 144, QA : Naissance de Diem, fille d’Yzen II.
An 197, QA : Naissance de Rarius II, fils de Beorn II.
An 200, QA : Hugo, le chien d’Oromé, qui appartenu une fois a Beorn I, réapparait, cette fois ci avec ce qui semblerait être un fils, Huakk. Naissance de Diem, fille d’Ysolde II.
An 203, QA : Naissance de Criam, fils de Beorn II.
An 232, QA : Appel d’Oromé. Les vieux Beornides (Beorn II, Barrock, Ysold, Yzen II) s’en vont en Valinor. Rarius II deviens souverain des Beornides, et réunifie son peuple.
An 258, QA : Naissance d’Yzen III, fils de Rarius II et de Diem.
An 262, QA : Mort de Rarius II et Diem, attaqués par des araignées géantes. Yzen III est envoyé vivre en Carrock, son oncle Criam devient souverain Beornides.
An 294, QA : Des gobelins attaquent le Gué de Carrock. Mort de Criam. Yzen III devient le plus jeune souverain Beornide.

Nom/Prénom : Rarius, Yzen
Âge : 41 ans
Sexe : Masculin
Race : Beornide
Particularité : Comme tout Beornides, Yzen vieillit deux fois moins vite qu’un humain. Son âge (41 ans), équivaux a la vingtaine chez un homme normal. Aussi, les Beornides ne peuvent devenir Ours qu’après de longues années d’entrainement et de concentration, et ne peuvent atteindre la forme maximale qu’a l’âge minimale de 45 ans.

Alignement : Royaume Unifié
Rôle : Chef Beornide/Capitaine Forestier Beornide


Équipement :

• Morgenfang: Hachette naine donné de génération à génération au « Tar » (chef) Beornide
  
• 2x Dagues
  
• Huakk: Chien d’Oromé dressé (similaire a un warg ?)
  
• Armure en cuire de sanglier sauvage
  
• Cape verte de forestier Beornide

Description physique :

Comme grand nombre de Beornides, Yzen, troisième du nom, est munis d’un corps élongé, de plus de six pieds et demi, et de contours musclés. De par sa taille et sa musculature, le descendant des Ours pèse un peu plus de cent kilogrammes, ce qui fait de lui un colosse en une multitude de critères. Avec un tel physique, une force équivalente est souvent présente, et c’est dans de nombreux jeux de guerre que ses talents martiaux ont été poussés au maximum ; Yzen réussi à lutter, désarmé, contre une araignée géante, et en sortit vainqueur après un quart d’heure de combat intensif, qui ne lui laissa comme seul signe distinctif une balafre, longue de treize pouces, débutant aux racines de ses cheveux, pour s’en finir au creux inferieur de l’œil gauche.

Son jeune âge, selon les normes Beornides, fait de lui un guerrier vivide et vigoureux, et ses jambes, bien que n’étant pas extrêmement longues, peuvent être capable d’exercer une course de plus de trente miles par heure, pour une durée plutôt courte ; cela reste quand même chose extraordinaire pour une personne de tel gabarie. Ses bras, contrairement à ses inferieurs larges, mais rapides, sont eux bien longs, et atteignent facilement les genoux du géant. Ses mains sont envieillies de par l’usage constant d’une hache lourde, et de nombreuse marque de guerre, et égratignure, que la forêt ou quelque autres ronces ai pus lui causer.

De longues tresses fournissent le cuir chevelu de notre héros, d’une blancheur qui ferait envier le plus blanc des glaciers de Forodwaith. Etant l’un des premiers Beornides complètement imberbe, Yzen compromise son manque de pilosité par la présence de deux mèches, quelques fois attachés tout au long de par des rubans de couleurs variables. De par le derrière de son crane, l’homme de Carrock attache ses cheveux à la base avec un anneau d’argent et de cuivre, où une multitude de runes de Khazad y sont gravées. L’origine de ce bijou est inconnue, mais il pourrait provenir d’Erebor, lors de l’une des visites amicales de Beorn en pays nain.

Un teint de peau pale, gelé par le temps ; Yzen ne montre aucun signe de vieillesse. Ses yeux, d’un bleu grisâtre glacial, lui donne un regard froid et mauvais, bien que son sens de l’humour soit capable de tourner les impressions que l’on puisse avoir sur le colosse nordique. Des sourcils fins, et de racines noires, ornes le visage du Beornide, juste au dessous d’un front taillé pour y donner une expression eternel de désarrois. Un nez aux narines larges, des joues creuses, et de petites oreilles définissent le reste de la face du « Tar » du peuple de l’Ours.

Pour ce qui en est du reste du corps de sa majesté Beornide, il est musclé et bien fourni, recouverts d’un tatouage tribale tout au long de la parti supérieur de son corps ; en conséquence les pectoraux, épaules et torse. Il est a remarquer que le fils de Rarius II ne porte jamais de quoi couvrir son abdomen, et c’est pour cela que n’importe quel passant pourra remarquer les nombreux sigles de peinture d’un bleu sombre de sur le corps de notre héros.

Les vêtements du résident de Carrock sont simples ; une épaulière, quelques lanières, et deux ceintures, tout cuir fait de la plus résistante des peaux de sanglier. On y compte aussi une jupette de tissu elfique brun, un pantalon en fibre de chanvre verte, et de deux pièces de fourrures d’ours polaire de Forodwaith. Au niveau des articles chaussants, Yzen porte une paire de bottes fourrées, qu’il lasse avec une longue lanière de vieux cuire d’auroch.

Description mentale :

Yzentar III, fils de Rariustar II, est un être qui définirait tout bon Beornide. Comme la majorité du peuple de Carrock, le Tar éprouve une profonde haine pour toutes créatures corrompue de par le pouvoir noir du Mordor, ou autre force maléfique d’importance. Pour en nommé quelques unes, les gobelins, les araignées géantes, et les trolls des collines font partis des plus méprisés de par notre heureux géant.
Pour ce qui en est des relations envers d’autres races, le Beornide se considère fier d’être l’ami des elfes, des nains, et d’une poignée d’hommes du Lac.

Comme beaucoup des siens, Yzen respecte la nature, ce qui le rapproche du peuple elfique plus que n’importe quel peuple d’homme. Il entretien avec le souverain de la Foret Noire une relation plutôt amicale et savante ; les deux compères se rencontre de temps à autres, devant une chope d’hydromel ou de thé vert, et discute, très calmement, de leur amour pour la terre qui est leur. C’est ainsi que notre descendant de Beorn fut éduqué dans le langage Quenya, qui n’est autre qu’un moyen de communication utilisé par le peuple aux longues oreilles.

Pour ce qui est des fils d’Aulë, Yzen leur montre son plus grand respect ; une culture si riche ne peut être qu’admirer, et c’est pour ainsi que de nombreuse amitiés entre les Ours et les nains furent nouer. S’il devait choisir, le Beornide devra sans doute avouer préférer les Khazad d’Erebor, le Mont Solitaire, de par leurs manières bien conviviales, et très apprécié de par le Tar.

Pour en finir, les hommes. Yzentar et son peuple interagissent avec les gens d’Esgaroth et de Dale sur une base régulière, et vous l’aurez sans doute compris, n’éprouve aucun sentiment de haine les uns envers les autres. C’est bien tout au contraire, les Beornides et autres hommes du Lac s’apprécient tellement, que quelque uns d’entre eux y viennent même à se marier. Bien sur, il ne faut pas oublier que tout commerce entre les deux peuples est totalement ouvert, et qu’un beau nombre de Beornide habitent désormais dans les citées portuaires ; tout cela pour vous dire à quel point les deux races se respectent et se côtoient.

Sinon, Yzentar est une homme de bon cœur et loyal envers ses idéaux. Homme de courage et de charisme, il se montre être un homme plein de ressort, et mène ses forestiers en bataille avec un poing de fer, et le tranchant de sa hache. Son esprit guerrier lui vaut le respect de ses alliés, et la peau de ses ennemis, et bien du monde sait que de la peau de gobelin, il en a amassé de quoi en remplir des sacs. Grand humour, il sera des premiers à rire du malheur des autres, mais si on devait à le trahir, préparez-vous au courroux du plus terrible des hommes du Rhovanon. On le trouve très hospitalier, et c’est avec bras ouvert qu’il vous logera dans une des chambres de Carrock, et vous servira de l’hydromel et autres concoctions Beornides.

Citation :

10 Janvier 299, Gué de Carrock.

Non loin de la lisière des bois se trouve la plus grande bâtisse du Gué de Carrock, accueil au Tar Beornide depuis maintenant cinq générations, et plus de trois-cent ans depuis sa reconstruction. Extérieurement, le manoir est grand de plus de vingt mètres de long, et d’une dizaine de mètres de large. Les murs de silex s’étendent jusqu'à vingt-quatre pieds précisément, séparé en multiple occasion de par des piliers taillés dans un acacia du bois le plus mûr. Un toit de tuile en pisée, qui rend l’abri du grand chef bien plus attirante.

Si on devait à jeter un coup d’œil de par la fenêtre de la salle à manger, on peut y voir une réunion peu commune, mais pourtant bien aussi festive. Il faut noter que Noël eut bien passé il y a maintenant deux semaines et quelques jours.

La grande table qui sépare le salon en deux, et faites d’un remarquable chêne, qui, bien que le temps y a laissé quelques traces, garde sa couleur dentant ; une impressionnante teinture d’un brun sombre. Assis tout autour de ce magnifique ameublement, on peut y retrouver quelques visages familiers.

Pour commencer, il y a Urdal, tavernier du village, et grand cuisinier dans ses heures perdues. Son ventre est si rond qu’on le confond parfois pour un roc, tellement sa peau fut pale, et sa taille plutôt ridicule pour un Beornide.

De par sa gauche, on y trouvera quelques autres villageois, qui semblent avoir une certaine valeur pour leur chef, mais dont le nom ne sera point important pour la continuation de cette histoire.

En face des villageois se trouvent quelques forestiers, certains Beornides, certains hommes d’Esgaroth ou de Dale, et dont les plus mémorables sont Morten Ubergreen et Grimdenvald Ruedo. Comme autres figures signifiantes, il y a Foli, un nain d’Erebor, et grand ami du peuple de l’ours, et Rugost le voyageur Elf, qui ne revient jamais sans présents de ses longues aventures.

Enfin, assis en tête de table se trouve notre heureux géant, Yzentar III, son sourire légendaire bien apparent, et se qui semblerai être un appétit monstrueux, de par la quantité d’ingrédient dans son plat.

« Mes chers amis, commença Yzen, je vous suis humblement reconnaissant pour votre présence, et aimerai porter un toast !

-Le voila parti, une fois l’hydromel insurgé, il ne peut plus se tenir, dit Foli d’un aire taquin.

-Je n’eu jamais entendu de parole aussi sage de la part d’un nain, rappliqua Rugost. »

Yzentar se leva de son siège d’orme, et révéla sa grandeur à ses invités. Bien que quelque peu désarçonné de par le commentaire de son ami le nain, il ne montra aucun signe de déconfort, et continua son speech comme si de rien n’était.

« Me voici Tar depuis maintenant cinq ans, et bien que cela ne me plait pas de parler de mes ancêtres, mais je pense, et je sais, que notre peuple, ne fut jamais dans de meilleur condition que depuis que je suis au pouvoir. Pour un futur prometteur !

-Pour un futur prometteur ! »

Apres un repas de sanglier rôtis, de marmelades délicieuses, et d’hydromel à flot, les villageois et forestiers rentrèrent en leurs demeures, pour ne laisser chez le géant de Carrock qu’une poignée des invités ; Urdal, Foli, Rugost, Grimdenvald et Morten.

La cheminée fut allumé, et bientôt les six compères vinrent à s’assoir au coin du feu, pour se conter aventures et rire ensembles. Une fois un tonneau fini, Yzen s’en presse pour aller en chercher un nouveau dans la cave. La douceur de la boisson enivre bientôt notre gros tavernier Urdal, qui s’en ira au pays de Morphée aussitôt sa quatrième chope engloutie.

Quand Yzen vint à chercher le troisième tonneau de la soirée, Rugost vint le rejoindre en cuisines.

« Yzen, très cher ami, dit l’Elf de Lorien, j’ai pour toi un paquet, de provenance de Hobbitbourg. »

Le paquet en question, était une vieille trousse pas plus grosse qu’un demi-litre de volume. En l’ouvrant, le Beornide y découvrit de l’herbe à pipe, du tabac de hobbit, planté et récolté dans les champs du vieux Toby. Dans la bourse, il y avait aussi une bouffarde, taillé dans un bois de hêtre, et excessivement grand pour une pipe de semi-homme, c’est donc pour cela qu’Yzen en assuma une commande spéciale.

« Rugost, tu sais très bien que je ne fume point.

-Oui, mais un jour, quand tu seras plus vieux, et plus sage, tu aimeras sans doute mon présent, en te rappelant des jours heureux. »

N’eut-il pas fini sa phrase que trois coup sec furent frappés contre la lourde porte.

« Entrez !, s’écria Yzentar.

-Mon seigneur, des gobelins dans la forêt !, rappliqua l’éclaireur.

-Il n’y a pas de temps à perdre, allons nous fritter contre quelques bâtards! »

L’éclaireur mena la troupe d’aventurier jusqu'à son compagnon forestier, et à eux sept, ils s’approchèrent du campement orcque, sans aucun son.

Les gobelins étaient au nombre de trente-quatre, accompagné de par un troll des collines. Grimdenvald, Morten et Rugost étant bons archers, les gobelins ne serai pas trop compliqué à abattre, mais le troll était à un tout autre niveau. Les forestiers n’ont jamais été entrainés au combat de titan, et il en serait au Tar et son ami nain de défaire la monstruosité de Morgoth.

« Archer en position, au compte de trois, tirez à volonté sur les gobelins, murmura t’il. Un… deux… trois ! »

Telle une rafale de vent, les ennemis n’eurent pas le temps de réagir qu’ils furent percés de par la pointe des flèches des forestiers. Foli et Yzentar se lancèrent dans l’assaut, fendant l’ennemi par ci par la. Il fut bientôt trop risqué de tirer à l’arc, et le reste de la troupe vinrent rejoindre le Tar au combat en corps à corps.

Morgenfang, la hache d’Yzentar, gouta le sang putride gobelin pour la première fois depuis maintenant trois ans, et elle n’était pas prête d’arrêter. De son coté, Foli se creusait un chemin pour rencontrer le troll du coupant de son cognée. Sur le flanc droit, un forestier se fit poignarder en plein cœur, mais pas avant avoir démembrer son meurtrier.

Une fois les gobelins terminés, les six compagnons durent affronter le troll, qui se montra plus vigoureux que pensé. Brandissant un puissant marteau de guerre, le géant noir frappa le Khazad en pleine poitrine ; ce dernier s’envola une dizaine de mètres pour enfin s’abattre contre un arbre. Poussé de par une rage incontrôlable, Yzentar se jeta sur la bête, qu’il frappa de sa hache juste en dessous de l’épaule. Le coup ne fut pas assez fort pour lui couper le bras, mais assez puissant pour lui briser l’os. La créature des ténèbres lâcha un gémissement de douleur foudroyant, et se courba assez pour laisser le haut de son crane ouvert pour une seconde frappe, provenant cette fois ci par Grimdenvald le forestier Beornide.

La troupe s’encouru au cotés de Foli, qui par miracle, n’avait rien de plus que quelques os de fracturé. On aida les blessés debout, et la troupe repartit pour Carrock.

« Laissez-moi quelques instant de solitude pour enterrer mon forestier, dit Yzentar. Emmenez les blessés en mon logis, et prévenez Katarina, elle pansera les blessures. »

Le Tar enterra son homme, dans les rituels Beornides, et récita une prière, quand soudainement, une araignée géante surgis de nulle part, et attaqua Yzen. Pris par surprise, le descendant des Ours ne put atteindre sa hache à temps, et fut jeté sur le dos, et l’arachné se rua sur lui. Par l’intelligente utilisation de ses mandibules, l’arachnoïde mordit au visage notre héros.

Sa vision troublée par le sang, coulant à flot sur son œil droit, Yzen continua de sa battre, même s’il fallait le faire complètement aveugle. La bataille dura quinze bonne minutes avant que le Beornide ne put vaincre son ennemi, et croyez-moi quand je vous dis qu’il dut utiliser toutes ses forces pour jeter la créature à terre…

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Comment trouves-tu le forum ? : Il me semble être très animé, et génial en tout point =)
Comment as-tu connu le forum ? : Mon frère était un ancien joueur

Bienvenue à toi !
Pour l'instant, fiche d'excellente qualité, ça fait plaisir à voir
Tu n'as pas fini, et je l'ai bien vu, mais je vais commencer dès maintenant à dire ce que j'en pense.

Alors déjà, l'historique sort tout droit de ton imagination (à part les points d'ancrages, de base, comme Beorn et Grimbeorn, les Boernides, etc.) si j'ai bien compris. De même pour l'histoire introductive au début. Si j'ai raison, et même si ce n'est pas le cas, bravo ! Bien écrit, trés trés peu de fautes (et tout le monde en fait, moi le premier) mais absolument rien de dérangeant.

Une chose sur les Beornides (malgré le peu de connaissances que j'ai), même si Beorn pouvait se transformer en ours, sa descendance, et donc le peuple Beornide, n'a pas cette capacité. En tout cas pas à ma connaissance. Et malgré les recherches menée à ce sujet (bon ok ça fait un grand mot pour dire une recherche google et tolkiendil ^^) je n'ai pas vu une seule fois qu'ils avaient cette capacité.

Bref, à part ça, tu es Yzen... J'avoue que je me suis un peu perdu dans les I, II, III ... Tu es le premier, logiquement. Sauf que ça te ferait environ 250 ans, et même pour un beornide, ça fait trés vieux... Trop vieux. Sinon, tu serais lequel ?

Pour Huakk, les chiens d'Oromë sont des animaux extrèmement rares, voir disparus. Donc pour en avoir un, même en tant que chef d'une tribu Beornide, je préfère attendre l'avis d'un autre coloré

J'attends donc la fin de ta fiche. Au fait, je préfere le préciser, si je fais ces critiques sur ta fiche, c'est qu'il est aisément possible de l'amener à la perfection

PS: si tu veux reposter à la suite et que mon message dérange, je le supprimerai une fois ta fiche finie et validée. Et pour info, je peux savoir qui était ton frêre ??

Vis a vis d'Huakk, puis-je savoir si oui ou non il serai possible de l'utiliser (je certifie que son utilisage ne sera en aucun cas consideree comme etant GB, juste pour quelques aventures simples, voir quelques voyages). Pour ce qui en est de mon age, mon personage est YzenIII, et donc a 41 ans. Ensuite pour la transformation en ours, j'ai mis qu'un Beornide ne peut vraiment controller son "Ours interieur" qu'au alentour de 45 ans, apres beaucoup d'entrainement. Bien sur, cela voudrai dire 4 ans rp parlant, et c'est pour cela que j'ai choisi de jouer Yzen a 41 ans, pour vous montrer que ma qualitee de rp peut se montrer suffisante pour jouer un changeur de peau (bien que de me changer en ours ne soit pas vraiment un prioritee de jeux pour mon personnage).

Bref, j'espere avoir eclairee le staff avec cette petite note.
@Etelion: Mon frere jouait un Homme de Rhun qui se battait pour le Rohan, par contre je ne me souviens pas du tout du nom. Mais il a jouer pendant que quelques mois, donc je ne pense pas qu'il ai fait quoique ce soit grandiose.

PS: Puis-je avoir la reponse pour Huakk le plus rapidement possible, pour savoir si je peux l'incorporer dans mon histoire ?

Pour le fait d'être changeur de peau, je préfère attendre l'avis d'un autre coloré. Mais je ne crois pas qu'un beornide, autre que Beorn lui-même, puisse utiliser cette capacité de changeur de peau. J'le répète, j'attends l'avis de quelqu'un du staff global du fofo Bien sûr, ce n'est pas pour remettre en cause la qualité de ce que tu écris: je t'ai déjà dit que c'était trés bien dans mon post précédent ! (Tu peux donc accéder aisément à un poste demandant quelques preuves.)

Pour Huakk, je pense que ça peut se faire, mais il faudrait que ses interventions soient mesurées... Pour le rôle de monture, ça ne pose pas de problème, mais en sachant que les Beornides sont caractérisés par leur taille et leur musculature, un chien, même géant, reste un chien. Donc il sera moins rapide qu'un cheval lorsqu'il sera monté (de loin), et il ne pourra pas supporter ta charge pendant de longues periodes. J'attends ton histoire, incorpore le dedans, et je te dirai ce qu'il en est

En tout cas pas mal le cas de l' "utilisage" ! Tu aurais presque le droit à l'entrée au club des boulets :P Mais allez j'vais être gentil et oublier ^^ Pour ton frère, ça me dit rien, mais peut-être qu'en cherchant un peu ça me reviendra... Quand est-ce qu'il revient ?

Bref, je récapitule: oui pour huakk, mais usage modéré ; pour la transformation, avis demandé ! J'attends la fin de ta fiche

Post Mise à jour pour te répondre plus exactement pour Huakk et la transformation, aprés avoir discuté en salle quasi interdite, on s'est mis d'accord.

Premièrement, le chien d'Oromë, Huakk. On va dire que s'est un descendant des premiers chiens originels et que, pour cela, il n'a pas la capacité de parler, n'a pas de resistance à la magie, mais reste trés grand et de loin plus intelligent que la moyenne. Aprés, je te laisse l'utiliser comme tu le sens !

Ensuite, pour la transformation. Etant donné la qualité de ta fiche, on va te l'accorder mais seulement sous la condition que tu as posé dans ton précédent post, c'est à dire une preuve de ton Rp et de ta présence. Donc, en espérant te voir dans 4 ans sur le forum, et te transformer en ours Peut-être même plus tôt, qui sait... On te tiendra bien sûr au courant !

Tu as le champ libre maintenant ! Rien à dire sur la description physique que tu viens de rajouter ! Si ce n'est bravo pour la qualité. J'ai hâte de voir la fin de ta fiche, et surtout tes débuts en RP ! Juste une question (tu pourras me répondre en MP si tu préferes), ça fait cb de temps que tu fais du Rp sur forum ???

J’ai fini, excusez-moi de ce délais, j’avais un papier à écrire pour l’école.

Aucun problème
Impeccable, et donc validé !

Tu peux commencer le Rp. Tu as deux solutions: soit tu commences par toi même un Rp basique, soit tu passes par la section "case départ" et choisis une quête à ton gout.

Voila, à bientot en Rp !