Dùndagarde fille d'Elgge, éleveuse de chevaux

Nom/Prénom : Dùndagarde (parfois abrégé en Dùnda) fille d'Elgge
Âge : 23 ans
Sexe : féminin
Race : humaine (Rohan)
Particularité : grande force

Alignement : bon
Rôle : éleveuse de chevaux, femme d'un cavalier du Rohan


Équipement : une longe et un licou de rechange pendent à sa ceinture, un gilet de cuir la protège des mauvais coups. Cachée dans sa remise, une lance qu'elle manie d'une main sûre transpercera ses ennemis.
Des animaux de ferme vivent dans sa cour et assurent sa subsistance, un chien veille sur sa maison, sur ses terres courent des chevaux. Sa monture favorite, Fier coeur, est un étalon gris au puissant poitrail.

Description physique : Dùndagarde est de taille moyenne, environ aussi haute que le garrot d'un cheval et dotée d'un corps puissant, aux courbes pleines qui évoquent aussi bien la vigueur de la travailleuse que la beauté de la femme. Elle se tiens très droite, donnant parfois une impression de raideur. Son visage aux pomettes large est orné comme par des joyaux par ses deux yeux d'un bleu profond. Elle est toujours vêtue de ce que l'on peut prendre pour une longue robe rouge et qui est en fait un genre de manteau fendu à l'avant et à l'arrière porté sur un pantalon et une tunique, la laissant libre de monter à cheval.
Dùndagarde est souvent amenée à s'occuper seule de ses terres, au fil du temps, elle est devenue capable de soulever autant de poids qu'un homme.
Bien qu'exellente cavalière, elle est une combatante moyenne, mais elle est capable néanmoins de se servir correctement d'une lance.

Description mentale : Dùndagarde est dotée d'une volonté d'acier. Cela se sent dans sa manière de parler et de se comporter: elle aime commander, elle est belliqueuse, si elle avait été un homme, elle aurait été cavalier et serait monté très haut dans la hiérarchie. Malheureusement, personne ne veut d'une femme dans un régiment de cavalerie, encore moins à sa tête. Elle se sent à l'étroit dans sa petite ferme à scruter la piste en attendant Gamedain, son mari, qui au hasards de ses permissions lui rend visite. Elle regrette de s'être laissée enfermée si jeune par le mariage, par cet homme plus vieux, certes gentil, beau et impressionant dans son aura de soldat, mais si peu présent pour répondre aux attentes d'une si jeune femme! Elle craint de tomber enceinte, ce qui la lierait définitivement à son homme et à ses terres. Elle ne veut pas finir sa vie à élever les enfants et les chevaux de guerre d'un mari abcsent, vieillir vite mais mourrir agée. Elle rêve de gloire et de batailles, comme une enfant! Approche à grands pas le jour où Gamedain rentrera épuisé avec ses bottes crottées, son cheval boîteux et trouvera la maison vide, Dùndagarde au loin, poussant ses chevaux devant elle pour voir si la dame de la Lorien était aussi belle que sa réputation, si Minas Tirith était aussi impressionante qu'on le disait, les hobbits aussi sympathiques que leur légende.

Histoire : Dùndagarde est née un matin comme les autres, au beau millieu de la piste où voyageait sa famille de nomades, presque un clan composé de frères, de cousins plus ou moins éloignés, de parents, de grands-parents, d'oncles, etc...
Naquit une fillette robuste aux cheveux auburns touffus et épais, qui hurla à en affoler les chevaux à un mile autour d'elle. Elle fut une enfant précoce, marchant, parlant très jeune.
A huit ans, Dùndagarde galopait à travers les plaines sur les chevaux de ses parents avec les jeunes garçons de son age, jouant à la guerre, rentrant au campement crasseux et couverts de bleus. Gamedain était du lot. C'était le fils aîné d'une famille bien plus petite qui s'était ajouté à la sienne. Il avait quelques années de plus que Dùndagarde et ses amis et était chargé de veiller sur eux.
Bien vite il partit pour devenir un cavalier du Rohan: il rêvait de gloire, comme tout les autres. Dùndagarde grandit tranquillement et devint posée, calme. Elle apprit à gérer un foyer, à faire pousser des plantes. Son cheval restait à l'enclos pendant qu'elle aidait sa mère dans la tente familliale.
Elle était devenue une jolie jeune fille de 17 ans quand revins un beau jour de printemps Gamedain, casqué et en armure sur un beau cheval de guerre. Il raconta des choses incroyables, les entraînements, le gouffre de Helm, Eldoras et Méduseld, les forteresses, les orques. Les yeux de Dùndagarde se mirent à briller. Il avait plus de vingt ans, il était beau, il était fort, il lui faisait l'effet d'un héros, même si il n'avait vécu que de petites escarmouches contre des orques vagabonds.
Pour l'amuser, il lui apprit à manier une lance, sommairement. Son cheval quitta à nouveau l'enclos: ils chevauchaient à travers les plaines ensembles, ils s'aimaient. Gamedain du bien vite repartir rejoindre son régiment.
Quand il revint quelques mois plus tard, il demanda Dùndagarde en mariage. Evidemment, elle accepta avec l'empressement de sa jeunesse. C'est ainsi que cette toute jeune femme se retrouva avec un petit troupeau de chevaux et une ferme à gérer, loin de sa famille et de ses amis. Passé la fougue des premières années, où son mari venait la voir très souvent, ses visites s'espassèrent, il était de plus en plus prit par son devoir.

Ses rêves d'aventures ranimé par les récits de Gamedain, Dùndagarde attend, elle scrute la piste, se demandant si elle osera partir, ou si elle continuera d'attendre...


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Comment trouves-tu le forum ? : Bien fait! Très complet!
Comment as-tu connu le forum ? : Je sais plus, il trainait dans mes favoris!

Salutations dame du Rohan,

Fiche originale pour un personnage original.
Beau style d'écriture, et pas de fautes.

Ta fiche est validée. Par contre je ne vois pas trop comment tu vas rper avec d'autres sauf si tu quittes ton foyer.

Mon mp t'est ouvert.

Bon rp.

Au plaisir

Gallen

Merci beaucoup!
Pour ce qui est du rp, Dùndagarde va quitter sa ferme, c'était prévu!