Edawyn, mercenaire

Prénom : Edawyn
Âge : 26
Sexe : Masculin
Race : Homme
Particularité : Déteste les riches. Ces ingrats se croyant supérieurs sont une nuisance pour la société.
Alignement : Bon
Rôle : Mercenaire


Équipement :
Arbalète de chasse
Carreaux d’arbalètes
Dague de piètre qualité
Grande cape pouvant faire office de couverture


Description physique : Les cheveux d’un brun très près du noir, je suis d’une taille respectable, quoique ma carrure plutôt mince ne me donne pas un air très effrayant. Je compense en m’habillant de noir et en me donnant intentionnellement un air mystérieux. Mes yeux d'un brun banal et une courte barbe viennent compléter le tout.

Description mentale : Si je m’habille de couleurs sombres, c’est parce qu’elles correspondent bien avec mon esprit. D’humeur généralement taciturne, je n’aime pas les extravertis et les excités de nature. J’ai une foi profonde en la justice et rechigne à faire toute tâche demandant une quelconque cruauté inutile. À l’inverse, si la cruauté est amplement méritée, je n’hésiterai pas à agir. Je peux me considérer comme un homme vif d'esprit, quoique cela dépende de la situation. Si je me sens dans mon élément, j'agirai promptement, mais si ce n'est pas le cas, je me retrouve facilement déstabilisé et je perds rapidement mon jugement critique.

Histoire : Né au début d’une nouvelle année, j’ai été élevé à Annùminas par un père marchand et collectionneur de dettes. Ma mère est morte à ma naissance, comme tant d’autres. C’est donc mon père qui s’est chargé de mon éducation.

Par éducation, je ne parle pas de matières académiques, mais plutôt de mon éducation en tant qu’homme. C’est ce même mot qu’il ne cessait de me répéter lorsque, comme tout enfant, je pleurais après une égratignure ou lorsque je souhaitais m’amuser avec mes sculptures en bois, seul héritage de mes grands-parents.

Forcément, en me faisant réprimander à tous coups, une relation malsaine s’installa. Jours après jours, je jurais de quitter la maison tandis qu’il déclarait que je me retrouverais dans la rue si je ne consentais pas à prendre les rennes de l’entreprise familiale.

Or, comme l’entreprise familiale était vouée à la faillite et puisque ma haine envers lui me rongeait, je décidai de quitter pour de bon.

Pendant plusieurs mois, je fus tenté de retourner le voir. La vie était extrêmement difficile et je passais mes jours à quêter et à chercher de petits emplois journaliers, lorsqu’un jour, je laissai ma rage éclater et je partis une bagarre avec un commerçant qui m’avait escroqué. Le boulanger savait visiblement mieux pétrir le pain que combattre, car je n’eu pas à le frapper longtemps avant qu’il ne soit à terre.

Remarquant que l’attention générale se détournait vers moi, je m’échappai discrètement pour, quelques douzaines de mètres plus loin, me heurter à un grand gaillard. Après m’être excusé, je constatai son regard pour le moins étrange. Après un moment de réflexion, il se mit à m’expliquer qu’il cherchait des jeunes gens volontaires pour l’aventure. Il me dit avoir vu mon combat et me suggéra quelques petits boulots et règlements de comptes à faire pour lui.

J’acceptai et commença ainsi ma vie de mercenaire. La plupart des travaux qu'il me suggérait ne demandaient pas de grandes compétences physiques, si ce n'est que celle de s'enfuir à l'approche des gardes de la ville. C'était surtout la discrétion qu'il me fallait, et je l'ai acquise avec le temps. Arbalète sous la cape, j'entrais dans les bâtiments des victimes pour ensuite leur extorquer information et argent.

J'évitais de tuer tant que je le pouvais, car non seulement le meurtre est une source de danger pour ma discrétion, mais de plus, il était très rare que mes proies le méritaient. La plupart du temps, c'était une petite dette qu'ils s'entêtaient à ne pas rembourser ou encore une affaire de concurrence commerciale.

Je ne savais pas pour qui je travaillais, puisque c'était divers particuliers qui faisaient appel à mon employeur. L'important, c'était que l'emploi me fournissait l'argent dont j'avais besoin en plus d'une bonne dose d'adrénaline.

***

Comment trouves-tu le forum ? : Fantastique, c’est pour ça qu’après près d’un an de pause, je suis tout de même revenu ici!
Comment as-tu connu le forum ? : J’ai déjà eu un personnage (Taurnil Alandor) mais j’ai fini par délaisser le forum. Je compte recommencer à neuf avec un autre copain mercenaire!

Welcome back

J'aime beaucoup ta fiche, ceci-dit je trouve qu'elle pourrait être étoffée un peu. Si tu pouvais rajouter 5-6 lignes ce serait impeccable. Pourquoi est-ce que l'arbalète est devenue l'arme de choix de ton personnage? Est-ce que les tâches données par ton premier employeur correspondaient à ton sens de justice? Quelques mots de plus sur le physique de ton personnage, ses capacités ou faiblesses, pourraient être intéressants aussi.

Édité

Voilà, je valide donc ta fiche et je t'ai déjà mis ton rang

Tu peux à présent commencer le RP, bon amusement!