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PNJ Sighild Baldrick | |
| Sighild Baldrick Adepte des Arts Secrets
Nombre de messages : 312 Age : 34 Localisation : Va savoir... Rôle : Mage/Sorcière
~ GRIMOIRE ~ -: Semi-Elfe -: 115 ans (23 ans humain) -:
| Sam 4 Juil 2015 - 7:50 | | Lia Âge : 25 ans Sexe : Féminin Race : Humaine originaire du Rohan Rôle : Empoisonneuse/guerrière Relation avec mon PJ : Aucune Statut : Empoisonnée lors de la quête « Du sang sur les quais »* Description physiqueLia était une très jolie dame. De sang noble, elle avait su garder toutes les qualités d’une dame de son rang. Grande et mince, elle avait des formes peu généreuses, mais cela faisait tout de même d’elle une femme envoutante. Ses yeux étaient d’un violet exquis et elle avait un sourire sublime. * Description psychologique Lia était une femme froide qui méprisait plus que tous les hommes dont l’orgueil dépassait tout entendement. Elle ne laissait transparaître aucun de ses sentiments. Consciencieuse et brillante, elle inventant beaucoup d’objets de torture et créa plusieurs poisons redoutables pour le compte de l’OCF et pour l’usage personnel de son mentor. Hogorwen fut, avec son père, le seul homme pour qui elle avait de l’admiration. Il fut également le seul homme qui la connaissait réellement : Lia pouvait en effet se montrer douce, passionnée par la musique et par la nature. * CapacitésCultivée par les obligations de son rang , Lia savait lire et écrire plusieurs langues. Elle avait apprit à jouer de la harpe. Sa mère lui a enseigné le pouvoir des plantes, et c’est par ce biais qu’elle apprit que la nature avait elle aussi un côté bon et un côté sombre. Son père quant à lui, lui enseigna les arts du combat et les arts martiaux dés son plus jeune âge. * Biographie- Spoiler:
Née d’une union forcée dans le royaume du Rohan, la jeune femme était la dernière enfant du couple. Persuadé d’attendre enfin un héritier, son père fut prit d’une folie que personne ne put calmer : elle sera élevée comme un garçon. Dés son plus jeune âge, l’enfant eut un entrainement intensif, voire maltraitant. Une simple mauvaise réponse, un seul manque de respect, de nonchalance ou de rapidité et l’enfant avait une corvée lourde ou une punition inappropriée pour une enfant.
La relation de ses parents était parfois semblable au traitement que lui infligeait son père : une mère battue selon l’humeur du père, qui devait subir toutes ses volontés.
Lorsque le père partait quelques jours elle pouvait redevenir une petite fille. Elle passait alors du temps avec ses grandes sœurs, sa mère et sa nourrisse dans un secret le plus grand.
Préadolescente, elle fut débarrassée de la folie de son père, qui porta son attention sur son petit fils. Elle put ainsi souffler et devenir ce que sa mère avait toujours voulu : une jeune fille de son rang. Beaucoup de complicité naquit entre les deux femmes, sa mère n’ayant plus qu’elle depuis le mariage de ses filles. C’est à cette époque qu’elle lui transmit son savoir. Devant un jour une jeune femme, on cacha à son père cet événement pour éviter qu’il ne la mari, car tel était la tradition dans cette famille. Mais un jour, l’homme s’en rendit compte, par les réflexions de ses filles aînées.
Pour le plus grand malheur de sa mère, l’enfant fut mariée à un noble de dix ans son aîné. Malgré l’attirance qu’il pouvait avoir à l’égard de la jeune mariée : l’époux constata que cela n’était pas réciproque. Il décida de lui laisser du temps. Jusqu’à ce fameux soir où, ivre, il adopta une attitude des plus primaires et déplorables. C’est la seule fois où il posa ses mains sur la jeune femme, qui, quelques mois après accoucha d’un fils mort né.
Face à la détresse de son enfant, la mère vint apporter son soutien et en profita pour fuir son bourreau. Dés cet instant, la jeune fille semblait revivre grâce au soutien et à la présence de sa mère. Elle voyait bien la peur dans ses yeux, les traces de coups sur son corps et son souhait de ne plus jamais retourner prés de son époux.
Le jeune noble ne put allait contre la volonté de son épouse, marquait par la culpabilité de son geste et de la répercussion que cela engendra. Il accepta sa belle-mère au sein de sa demeure, à condition d’avoir l’accord de son époux.
Quelques semaines s’écoulèrent, sans nouvelle. Puis un jour, la belle vit arriver sa mère en tenue de deuil et lui informa que son père avait été emporté par la maladie…Connaissant la robustesse de son père, qui jusqu’à lors n’avait jamais été malade et voyant l’expression du visage de sa mère : elle comprit.
Les mois s’écoulèrent et la jeune femme revivait grâce à sa mère. Son époux quant à lui décida de la laisser, il n’était pas très loquasse à son égard mais pouvait avoir quelques attentions qu’elle ne remarqua pas tant elle était dégoutée de cet homme.
Un soir, la jeune femme était venue rendre visite à son époux, avec qui elle faisait chambre à part depuis plusieurs mois. Après avoir observait ses efforts, elle était prête à faire un pas vers lui. Elle ne pensait pas voir ce qu’elle vit : dès lors, quelque chose se réveilla en elle…quelque chose qui dormait depuis bien des années.
Trahie, déçue au plus haut point, elle élabora en un soir ce qu’elle ferait.
Et le lendemain, alors qu’une belle nuit étoilée marquait le ciel. La belle se cacha dans la chambre de son époux et attendit. Lorsque son époux but son verre de vin, elle ne put que sourire, fière de son coup. Et lorsqu’elle entendit ses gémissements et les paroles de sa mère inquiète, elle sortit de sa cachette épée en main.
Etonnée de voir sa fille et apeurée par la situation : la mère comprit que sa fille avait empoisonné son mari, dont le corps sans vie gisait à côté d’elle. Alors elle essaya de s’expliquer : il s’était montré attentionné à son égard et ils étaient tombés amoureux. Cela devait être la dernière nuit qu’ils passaient ensemble car sa mère était persuadée qu’elle retournerait vers son époux. Le regard plein de haine de sa fille lui fit penser à celui de son défunt époux.
Sans remord, la belle tua sa mère de sang froid.
Malheureusement, sa nourrice encore au service de sa mère, la dénonça.
La mort fut la sentence prononcée.
Assise dans son cachot, la belle attendait son heure, maudissant sa nourrice qui n’avait pas compris son geste et qui ne l’avait pas protégée.
Puis un soir, la veille de son exécution, un inconnu vint la voir dans son cachot. Pensant qu’il venait satisfaire ses besoins de mâle primaire, la jeune femme recula et voulut le frapper.
C’est avec fermeté qu’il bloqua son coup de poing et la vit assoir. L’homme sourit en voyant à quel point les rumeurs disaient vrai : la belle noble qui avait empoisonné son époux et tuait sa mère, qui se trouvait dans le même lit, de sang froid. On lui avait comptait qu’elle était redoutable et qu’il fallut une dizaine d’hommes pour l’arrêter tant elle ne se laissa pas faire.
Hogorwen, membre de l’OCF, décida de sauver la jeune femme par intérêt : outre sa beauté, ses dons et sa force de caractère pouvaient potentiellement servir à leur cause.
Le choix entre la vie et la mort fut rapide : elle le suivit. Cet homme l’intriguait.
On la remplaça par une pâle copie, une prostituée rouée de coup…qui périt à sa place.
C’est ainsi que Lia naquit. Elle reprit son entrainement et avait encore de bons restes. Hogorwen devint son mentor et peut de membre de l’OCF connaissait son existence. Elle sauva la vit d’Hogorwen à plusieurs reprises, étant à la fois la taupe de sa cours et sentant parfaitement les complots. Des rumeurs circulèrent quant à leur relation : il n’en était rien. Hogorwen respectait cette jeune femme.
Puis vint le temps de la séparation, il la protégea à l’envoyant à Pelagir : les adieux furent déchirants pour elle. Pour la première fois, elle pleura en quittant son protecteur.
Arrivée dans cette nouvelle vie, elle fut accueillie dans une famille de nobles et fut bien intégrée. Elle devint l’un des gardes du corps du Maire, en gagnant un combat avec le meilleur guerrier de ce dernier.
Elle périt lors d’un ultime combat contre les ennemis de l’Ordre. Elle sauva la vie d’un jeune guerrier peu expérimenté. Ce geste, elle ne le comprit par sur le coup, mais elle le su, peut de temps après avant de mourir.
Ce garçon, qu’elle ne connaissait pas, ne méritait pas le sort de ses compagnons. Il devait vivre, pour apprendre.
Dernière survivante de la bataille, elle croqua dans sa fausse bague remplit d’une substance et tomba dans les bras de l'un de ses ennemis...
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| | | Sighild Baldrick Adepte des Arts Secrets
Nombre de messages : 312 Age : 34 Localisation : Va savoir... Rôle : Mage/Sorcière
~ GRIMOIRE ~ -: Semi-Elfe -: 115 ans (23 ans humain) -:
| Lun 6 Mar 2023 - 23:53 | | Nom/Prénom : Morbise Floria - Soeur de Judia Morbise créée par Sirion d'Amon ArafÂge : 17 ans Sexe : Féminin Race : Humaine Particularité : Dessinatrice très talentueuse, rêveuse à ses heures perdues. A apprit le rôle des plantes grâce au savoir de sa nourrice. Très attachée à sa grande sœur Judia, qui lui a également apprit à être observatrice et débrouillarde. Elle peut parfois détourner l’attention en jouant un peu la comédie (mais cela reste à la marge car elle déteste mentir).Alignement : Neutre-Bon Rôle : Artiste – Future femme d’affaires Equipement : Floria possède une grande sacoche en cuir dans laquelle se trouve un carnet à croquis. Elle dispose également d’une trousse en cuir avec tous les ustensiles nécessaires pour ses dessins. Dans une poche cachée, une petite dague qu’elle tient de sa grand-mère…et un bracelet offert par sa sœur et renfermant…du poivre.
Floria porte également une bague à son annulaire gauche (c’est une manière de se protéger des hommes que de faire croire qu’elle est mariée) – une bague que lui avait offert sa sœur Judia pour son seizième anniversaire. En quittant le domicile familial, Floria s’est un peu plus équipée : elle ajouta dans sa sacoche une fronde avec quelques cailloux, de quoi allumer un feu, quelques vivres, sa brosse à cheveux, une carte ainsi qu’une boussole et des pièces de monnaie. Elle prit également les lettres de sa sœur et une clé avec un ruban blanc. Elle possède une jument à la robe marron, qui s’appelle Aliéna.Description physique :Floria a de longs cheveux blonds qu’elle attache régulièrement pour ne pas être gênée. Elle a des traits fins et un magnifique regard vert/gris, qui peut tantôt être doux comme perçant et menaçant. Tout comme sa sœur, son sourire et son rire sont souvent contagieux, Floria a ce même don : celui d’apporter du soleil dans la vie des autres par sa simple présence. De l’extérieur, l’on pourrait croire que Floria est une jeune femme frêle il en est tout autrement. Description mentale : L’habit ne fait pas le moine, un adage que lui répétait souvent sa tendre sœur. Floria est jeune femme réfléchie et très observatrice. Elle maîtrise l’art de la conversation et arrive souvent à avoir des informations précieuses, c’est quelque chose qu’elle a su développer au fil des années, à force d’être mêlée à des discussions d’adultes. Il peut arriver que Floria use de cette capacité pour manipuler les personnes qui l’entourent mais cela reste à la marge. La jeune femme est plutôt quelqu’un d’honnête et de juste.
Floria aime également le calme, quand elle est seule, il lui arrive de rêvasser, de se projeter sur son avenir… ou de dessiner pour oublier le quotidien parfois peu évident d’une jeune bourgeoise.
Floria peut se montrer loyale envers ses proches…mais elle peut aussi se montrer très rancunière si l’on venait à trahir sa confiance.
La demoiselle est très attachée à sa famille, surtout sa grande sœur avec qui elle a une relation fusionnelle. Judia est un modèle de réussite et d’indépendance pour Floria, elle l’aime par-dessus tout.
Mais des événements récents ont remis en question certains de ses principes vis-à-vis de sa famille.Histoire :« Je ne me marierai pas. » Son ton était sans appel.
Floria était restée assise et fixait froidement son père : Guyram, qui était resté de marbre face à sa fille. Il était hors de question qu’il cède à son caprice. Orélia, quant à elle, était la malheureuse spectatrice de ce repas et ne pouvait qu’être désolée de voir son époux et sa fille se déchirer ainsi.
Les Morbise jouissaient d’une belle réputation depuis des décennies, c’était un nom que l’on respectait dans le Royaume du Gondor. Ils avaient eu au total dix enfants, dont cinq malheureusement partis trop tôt, emportés par la maladie. Ils leur restaient donc cinq enfants, dont deux filles. L’aînée, Judia, avait apporté une fierté supplémentaire à la famille grâce à son sens des affaires. Ses trois garçons avaient quant à eux étendus leur richesse en faisant de bon mariage et en devenant de riches exploitants agricoles.
Il restait la petite dernière, Floria qui du haut de ses dix-sept ans n’avait pas vraiment froid aux yeux : « Ma chère enfant, que tu le veuilles ou non cette union aura bien lieu. Je conçois que ce changement te fasse peur Floria mais toutes femmes qui se respectent passe par cette étape de la vie. Tu prendras d’autant plus l’importance du mariage quand tu seras à ton tour mè… » Tapant des deux poings sur la table, Floria coupa son père et répondit sèchement : « Ne me parlez pas de ces sornettes sur le cycle de la vie ! Je ne cesse de l’entendre ! » elle fixa un instant sa mère avec une certaine colère qui ne lui ressemblait guère, puis elle reprit en regardant de nouveau son père « Vous vous êtes montrés plus que clément envers ma sœur qu’envers moi-même sur cette question, ça n’est pas juste ! » Restant calme, le père de famille reprit : « C’est justement pour ce genre de comportement que tu ne seras jamais comme ta sœur. Au même âge que le tiens elle avait assez de maturité pour ne pas avoir ce comportement puéril. Aussi, je te demanderai de te conduire en adulte et non plus comme une enfant. »Alors que son épouse allait prendre la parole, il lui fit signe de se taire et sortit deux papiers plies de sa poche « Cependant, il y a une chose que je ne peux pas t’enlever ma chère, c’est d’être intelligente, assez pour duper plus d’une personne. » Il lança alors un portait de Floria avec quelques difformités au niveau de son visage, ainsi qu’une lettre dont l’écriture était peu déchiffrable :
« Mon épouse, j’ai appris récemment que notre bien aimée fille s’amuse depuis plusieurs mois à se dessiner de différentes manières de sorte de faire peur à ses potentiels prétendants. Fort heureusement, son futur époux connaissait quelque peu notre famille, notamment Judia et trouva cela étrange que la jeune sœur Morbise soit si laide…Son instinct lui conseilla de venir constater sur place et…il comprit la supercherie. Par chance, il comprit bien rapidement que cela ne venait pas de nous, mais de la principale intéressée. » Floria baissa la tête, gênée que son stratagème ait été aussi rapidement découvert. Elle sentit le regard déçu de sa tendre mère sur elle : « Floria…ma chère. Tu sais bien que nous faisons cela pour ton bien. » « Non ! Vous faites cela pour VOTRE bien, vous n’êtes que des égoïstes, attirés par l’arge… » Elle ne la vit pas arriver, cette gifle que lui porta son père et qui la fait tomber de sa chaise. Horrifiée, Orélia s’était immédiatement levée pour aller vers son enfant qui se tenait la joue droite : « S’en est assez. Tu dépasses les limites jeune fille. Je ne te permets pas de nous parler de la sorte tu entends ! Maintenant, tu feras ce que NOUS te disons et TU épouseras qui nous te dirons d’épouser ! Personne ne pourra nous faire changer d’avis, pas même ta sœur. Et estime toi heureuse que ton futur époux ait été amusé par ton esprit perfide, d’autres t’aurais sans doute puni ! » Elle quitta en courant la salle à manger pour regagner sa chambre, en pleurs. Elle était triste, sa joue droite lui faisait mal. Etait-elle allée trop loin ? Ne pouvaient-ils pas la comprendre ?
Et cette lettre qu’elle attendait. Floria avait eu le réflexe d’avertir bien en avance sa sœur de la situation et elle espérait sincèrement qu’elle vienne en personne pour la sauver..mais les jours passèrent sans voir sa sœur bien aimée arriver.
Alors, elle se coucha dans son lit tout habillait et s’endormit.
Le lendemain midi, la belle s’était réveillée avec un mal de tête. Un plateau avec quelques victuailles avait été déposé dans sa chambre. Une domestique arriva alors avec…une lettre à la main.
Sans plus attendre, la jeune femme ouvrit la lettre et découvrit avec beaucoup de joie et d'espoir l’écriture de sa sœur : « Ma chère Floria,
Des affaires importantes m’empêchent de venir à ta rencontre. Pardonne-moi ma chère petite sœur.
Tes mots m’ont cependant inquiétée, je ne voudrais pas que tu fasses un mariage malheureux. Même si ton prétendant semble être un homme sérieux, si les sentiments ne sont pas là…à quoi bon.
Je vais envoyer une lettre à notre père lui demandant que tu viennes me rejoindre, j’ai réellement besoin de mains d’œuvre et tu as toute ma confiance.
Nous nous retrouverons mon petit rayon de soleil, ne perds pas espoir.
Judia.
PS : lors de ma dernière visite, je t’ai laissé une clé entourée d’un ruban blanc. Garde-la précieusement avec toi. » Les jours passèrent sans que ses parents ne lui parlent d’une lettre arrivée de Minas Tirith. Pour autant, le jeune femme comprit assez rapidement que ladite lettre avait bien été reçue. L’attitude de sa mère à son égard était assez révélatrice : elle semblait comme tiraillée par un secret et elle fuyait son regard.
Profitant que ses parents soient tous deux occupés, la jeune femme fouilla dans le secrétaire de son père et tomba effectivement sur la missive de sa sœur, demandant promptement à ses parents d’envoyer sa sœur à Minas Tirith pour lui apporter son aide.
Sa décision fut prise : elle quitterait la demeure familiale le lendemain matin.
Et c'est ainsi, qu'un voyage inattendu débuta...
Dernière édition par Sighild Baldrick le Sam 11 Mar 2023 - 10:24, édité 1 fois |
| | | Forlong Tribun Militaire d'Arnor
Nombre de messages : 3427 Age : 32 Localisation : En Arnor Rôle : Vieux loup au service du Royaume du Nord
~ GRIMOIRE ~ -: Dunadan d'Arnor -: Quarante Ans -:
| Mer 8 Mar 2023 - 22:43 | | Très bonne fiche, j'ai rien à redire! Hormis peut-être que le rose de la lettre est difficile à lire sur mon écran sur le fond beige du forum, donc vaut mieux l'éviter pour les futurs RPs C'est intéressant de voir un personnage aussi jeune, ça va être chouette de suivre les aventures de la jeune soeur Morbide. Je valide la fiche sans problème Bon jeu! PS: pratique ce bracelet! Membre des Orange Brothers aka The Good Cop |
| | | Sighild Baldrick Adepte des Arts Secrets
Nombre de messages : 312 Age : 34 Localisation : Va savoir... Rôle : Mage/Sorcière
~ GRIMOIRE ~ -: Semi-Elfe -: 115 ans (23 ans humain) -:
| Sam 11 Mar 2023 - 10:25 | | C'est édité mon capitaine Et oui...pour le bracelet, petit tradition poivresque (et pratique je pense). |
| | | Sighild Baldrick Adepte des Arts Secrets
Nombre de messages : 312 Age : 34 Localisation : Va savoir... Rôle : Mage/Sorcière
~ GRIMOIRE ~ -: Semi-Elfe -: 115 ans (23 ans humain) -:
| Sam 1 Juin 2024 - 15:49 | | Nom/Prénom : Théodred fils de d'Eogar Âge : 24 ans Sexe : Masculin Race : Humaine Particularité : La famille de Théodred a toujours été loyale envers Gallen Mortensen. Eogar, le père de Théodred, faisait partie de la garde du Vice Roi. Il périt dans la même bataille que Gallen. Théodred est l'aîné d'une fratrie de quatre enfants dont il est le seul garçon. Il est marié à Déorlida et est déjà le père de deux garçons : Fréared et Balleth agés de 4 et 3 ans. Il porte son alliance autour de son cou. En dehors de ses capacités de guerrier, Théodred adore travailler le bois et le cuir. Alignement : Neutre-Bon Rôle : Noble - Rohirrim Equipement : Comme tout Rohirrim qui se respecte, Théodred possède une amure, une épée, un bouclier ainsi qu'une lance. Il dissimule également un poignard dans son armure. Il a pour fidèle destrier Trèfle, un magnifique cheval à la robe marron. Pourquoi Trèfle ? Dès sa naissance, il fut rejetée par sa mère et c’est Théodred qui s’occupa de lui. Il passa plusieurs jours et nuits à ses côtés, à le nourrir et à le soigner. Le jour où il fut sorti d’affaire, Théodred trouva un trèfle à quatre feuilles en sortant de l'écurie. Description physique : Théodred est un bel homme. Il est grand, a beaux cheveux blonds comme les blés. Il est le portrait craché de son père au même âge. Son regard est d’un bleu profond, un regard qui peut déstabiliser plus d’un homme et aussi certaines femmes. Il est le reflet de son âme car il est aisé de traduire ses émotions. Description mentale : Théodred a grandi selon les valeurs de son père : loyauté, force, courage et honneur. C’est Eogar lui-même qui entraina son unique fils à devenir l’un des meilleurs Rohirrim de son époque : combats à cheval, à terre, à l’épée, à la lance, au corps à corps. Au-delà de ses compétences de guerriers, Théodred est un fils, un frère, un mari et un père aimant. Comme son défunt père, il protégera ce qui lui est le plus cher, quitte à sacrifier sa propre vie. Il n’est cependant pas naïf et reste un très bon observateur. Histoire : Une semaine avant le Bal d’Edoras, Théodred galopa deux jours et deux nuits pour rejoindre la capitale du Rohan. Il revenait du Gouffre de Helm où, à la demande de son père, il avait conduit femmes, sœurs et enfants.
Les heures à venir seraient obscures, il en était bien conscient.
Il rejoignit son père, dans leur demeure.
Assis au coin du feu, Eogar était pensif. Il fut rassuré de voir son fils sain et sauf. Il le prit dans ses bras avant de lui proposer un verre de vin.
Père et fils prirent place près du feu, ils échangèrent sur le contexte actuel des choses, avec l’évidence suivante : la bataille ne pouvait être évitée.
La surprise gagna Théodred lorsque son père l’informa qu’il ne serait pas de la partie. Agacé, le jeune homme se leva subitement, il tournait le dos à son père qui demeurait assis : « Depuis mon plus jeune âge, vous me préparez à me battre et lorsqu’une bataille est aux portes du Rohan, lorsque je peux combattre tel que vous me l’avez enseigné vous me dites simplement que vous n’avez pas besoin de moi. Vous moquez-vous de moi père ? N’ai-je pas suivi à la lettre vos leçons ? » il se retourna au même moment. "Théodred, c’est ainsi. Tu n’iras pas combattre à mes côtés. Telle est ma décision. » « Telle est votre décision ? Mais vous ne me donnez aucune explication père, AUCUNE ! Je suis votre fils, je mérite au moins une raison, une seule ! A quoi cela sert que je reste ici à attendre votre retour, et le retour de mes frères d’armes ? Je ne suis pas un lâche père ! Non je n’en suis pas un ! » il se dirigea vers la porte, il avait besoin de prendre l'air. « Il ne me semble pas t’avoir dit de partir mon fils. » reprit-il d’un ton sec. Il se stoppa net et s’en retourna vers lui, les deux hommes étaient désormais debout, face à face. La tension était palpable, d’un côté : un fils en colère, de l’autre : un père qui maintenait sa position : « Comment pouvez-vous encore oser m’appeler votre fils. » dit-il sous le coup de la colère « Si vous ne voulez pas de moi, j’irai voir directement le Vice-Roi. » Le regard de son père se détourna vers l’entrée de la pièce.
Appuyé contre le contour de la porte, le Vice-Roi regardait le père et le fils. D’abord en retrait, il avait finalement décidé d’apparaître.
Théodred comprit alors et s’adressa directement à Gallen Mortensen : « C’est...c'est votre idée n’est-ce pas ? » Eogar invita le Vice-Roi et son fils à table. Il y avait un troisième verre qui attendait d’être servi. Tout en servant Gallen, Eogar dit : « Assis toi mon fils. » il donna le verre de vin à Gallen et regarda son ami « Aussi têtu que son père, je vous l’avais bien dit Mon Seigneur... » [HRPG : pour l'avatar s'il est déjà utilisé je veux bien de l'aide, j'ai eu du mal à le trouver celui-ci ^^'] |
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