Alentil, le muet

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Alentil, le muet EmptyDim 6 Sep 2015 - 18:43
Nom/Prénom : Alentil Nimaren
Âge : Va sur ses quatorze ans
Sexe : Masculin
Race : Humain

Particularité : Qu'est ce qu'une particularité ? Ce qui permet de différencier quelqu'un au milieu d'autrui au premier coup d’œil ? Les sentiments qu'il cache au fond de lui ? Ou bien l'opinion qu'il a de lui même ? Est ce que tu te sent particulier ? Oui. Clairement oui. Jusqu'à hier tu te sentait choyé et aimé, tu te sentait reconnu et tu aimais sentir l'étincelle d'approbation (ou d’exaspération) dans les yeux de tes parents ou, plus gratifiant encore, dans ceux de tes mentors. Depuis hier... tu as le regard d'un animal sauvage. Choqué. C'est de la peur qu'on peut voir dans tes yeux qui ne sont plus ceux d'un enfant et une peine trop intense pour que tu arrives à la formuler. Et puis surtout, tu ne parles plus. Tu n'as pas émis un son depuis hier soir.

Alignement : Bon
Rôle : Il y a quelques jours, tu aurais affirmé crânement que tu serait l'un des meilleurs musiciens de la troupe plus tard. Maintenant....


Équipement :
Ce que tu possédait est partit en fumé avec la caravane. Tu n'a plus que ce que tu portais sur toi à ce moment là. Et bien sur, tu portes le baton d'Iridiel dont tu t'es servit pour lui confectionner une hampe d'un brancard de fortune..
A part ça...
- Une tunique et des chausses solides, bien qu'elles ne soient plus toutes neuves et maculées de traînées brunâtre séchées
- Trois dagues, passée à ta ceinture ou glissées sous ta tenue. Tu les connais bien au vu des heures passées à apprendre à jongler avec.  L'une t'es particulièrement précieuse car elle est un présent de Père au dernier solstice. Il avait passé plusieurs semaines à en sculpter le manche en corne.
-Un luth... Finement ciselé dans un bois précieux, magnifique ouvrage typique de l'art elfique... dont la caisse de résonance est en partie enfoncée. Conséquence de sa rencontre brutale avec une masse.
-.... rien d'autres...


Description physique :

Pour l'heure, tu es encore sous le choc. Ta peau est parsemée des multiples coupures et égratignures issues de ta fuite dans la foret. Tu es sale et maculé de traces de sang, de boues et de larmes. Ce n'est pas le tien et il est maintenant sec. Mais tu n'as pas encore eu le réflexe de le nettoyer. Tu n'y pense pas. Tu t'efforce simplement de ne pas tombé d'épuisement. Et de continuer encore un peu.
Tu portes une tunique à la coupe simple mais solide. Elle est loin d'être neuve et semble être passée par autant d'épreuves que toi. Surprends alors la présence sur ton dos du manche d'un luth... avant qu'on ne découvre que lui aussi est brisé...

Avant ça pourtant, on t'a souvent décris comme un gamin vivace et curieux.

Tu as grandit dans une troupe ambulante, alors forcement, ce ne sont pas des traits qui ont été réprimés, et à défaut de la force qui aurait été mise à l’honneur dans une cité guerrière ou une ferme, ça t'a permis d'obtenir une certaine agilité. Tu ne sera sans doute jamais une force de la nature et tu n'es pas très grand pour ton age, mais tu ne t'en soucie guère.
Tes doigts surtout te sont précieux car c'est de leur dextérité que dépends celle avec laquelle tu joue de tes instruments. C'est aussi entre tes mains que tu sait faire jongler des dagues, challenge oh combien plus intéressant que des balles -  avouons le, tu n'as jamais osé au delà de cinq. Tu t'es cassé une fois le poignet en faisant l'andouille sur un chariot... plus jamais ! Rester tranquille était trop dur. Tu es de ceux qui s’agitent tout le temps... ta tignasse brune aussi d'ailleurs qui semble obéir à ses propres règles et non à celle de la gravité et que tu attaches tant bien que mal pour éviter qu'elle ne s’emmêle plus encore.
Aujourd'hui, tu ne souris plus. Tu sembles prendre tout bien trop sérieusement. Tu avais autrefois le sourire facile et peut-être le redeviendra il un jour quand, sous l'effet du temps, tu commencera à oublier. Tes traits encore enfantins laissent deviner ceux de l'homme que tu sera. Pour l'heure, tu n'a même pas un poil sur le menton. Tu es encore trop jeune pour réaliser que tu as du charme et que tu ne le perdra pas. C'est comme tes yeux. Noisette. Ils ne s'illuminent plus comme avant. Ils sont plus expressifs. Trop même. Et ils sont trop vieux pour toi aussi. Ton regard est trop en mouvement comme si tu restait en permanence sur tes gardes. Tu n'as plus confiance dans le monde ou les adultes qui t'entourent. Ça aussi, il te faudra le réapprendre. Ou l'oublier définitivement.

Description mentale :

Pourquoi ? C'est ce qui te trotte dans la tête. C'est la question que tu n'arrives pas à formuler et qui s'est perdue dans ta gorge, emportant ta voix avec elle. Pourquoi ?
Hier matin, hier après midi même, tu n'avais pas d'autres préoccupations en tête que de profiter des occasions que la vie t'offrait. Et tu avais des journées bien chargées entre la nécessité de faire ta part des taches communes, celle d'arriver à les esquiver sans te faire prendre et tes leçons de musiques et de jonglage avec les adultes de la troupe dans l'espoir de parvenir un jour à les surpasser. Tu était un enfant rieur, volontiers charmeur si tu pensait que ça pouvait t'aider à te tirer d'une farce où tu t'était fait prendre. Après tout, il n'y avait rien à perdre à essayer... et puis le principe 'pas vu pas pris', tu connaissais parfaitement même si à force, on t'avais même attribué des blagues où tu n'avait aucun mérite... et, de toute façon tu démentait aussi énergiquement lorsque tu était coupable.  
Tu avait passé une bonne partie de ton existence parmi les membres de la caravane, alors, les elfes, tu trouvait ça normal de les côtoyer. Mieux encore, tu t’efforçais de les imiter et tu adorait les écouter jouer. La musique était l'une des plus belle chose de ton existence et tu n'était jamais aussi heureux que devant leur regard approbateur quand tu apprenait tes gammes à leur coté. Le plus beau jour de ta vie, c'est quand ils t'ont prêté un de leur luth pour que tu puisse continuer à travailler sans avoir à venir les déranger à toute heure.
Maintenant... tout est parti en fumé. Tu as lâché la main de Myranie. Tu as trébuché et tu as lâché sa main. Et il n'y a plus eu que le chaos.
Bien sur, tu finiras par sortir de cet état de brouillard. Mais tu ne retrouvera pas ta voix. Et tu n'auras pas réussit à verser une larme. Pourtant ils sont encore dans ta mémoire. Tous. C'était ta famille. Et ils ont tous été massacré. Gratuitement. Pourquoi ?
Tu n'oublieras pas. Pas plus que tu ne pardonnera. Comment faire confiance à quiconque désormais ? Et pourtant il faudra vivre. Tu n'en a pas perdu la volonté. Au contraire. Tu n'est pas le seul à avoir survécu. Ferwyn est là. Et Iridiel dont tu tire le brancard et dont tu espère, désespérément, qu'elle survivra. Bien sur Ferwyn est une râleuse, une peste bien trop sérieuse pour son propre bien. Mais elle est vivante. Et elle le restera. Tu ne parlera plus, mais tu n'es pas idiot, et un geste, un regard ou une mimique sont tout aussi expressif. Tu trouveras aussi dans ta musique un moyen de t'exprimer. Et surtout, tu ne lâchera plus de mains. Tu ne l'abandonnera pas.

Mais que quelqu'un vous vienne en aide..

Histoire :

Tu as ouvert les yeux en Rhûn mais tu était trop jeune quand tes parents ont décidé d'en partir. Les seuls souvenirs que tu garde de l'Est sont flous et tu ignore d'ailleurs s'il s'agit de réels souvenirs ou de ceux que tu aurais pu te bâtir plus tard en te basant sur les rares éléments qu'on t'a raconté. Tu te souviens avoir considéré votre départ comme une grande aventure mais tu n'as jamais eu plus d'explications, tes parents demeurant toujours évasifs quand tu leur posait la question.

Tu sais que Baelemir, ton n'y était pas né, et qu'il s'y était installé bien avant ta  naissance. Qu'était il allé faire par là bas ? Tu l'ignore. Selon lui, c'est le coup de foudre qui l'a poussé à rester. Ta mère Maedith t'avait dit que tu comprendrais quand tu serais en âge. Elle même n'était pas particulièrement belle mais on comprenait qu'un caractère aussi décidé puisse séduire. Une fois qu'elle avait décidé une chose, il était difficile de lui faire changer d'avis et tu t'es plusieurs fois demandé (sans oser pour autant formuler cette interrogation devant tes parents) si ce n'était pas elle qui avait décidé d'épouser l'occidental, sans lui laisser le choix d'accepter ou non.

Vous aviez croisé la Caravane peu après votre départ et, après avoir discuté avec ton père, l'elfe qui la dirigeait vous avait accueilli. Du haut de tes quelques années tu n'avait jamais vu d'elfe de près et tu était resté émerveillé devant leur grâce et leur beauté. Il t'avait fallut près de six mois pour oser leur parler sans te sentir intimidé... et moins de trois ensuite pour te mettre à les suivre partout et à les imiter, très fier. Cela les avait beaucoup fait rire et rassuré tes parents quand à ton intégration. Eux s'étaient joints à la troupe et après quelques semaines d'adaptation en étaient devenus des membres à part entière. Tu n'aurais jamais pensé que Père savait jongler. Moins encore qu'il était capable de le faire avec des torches. Il te restait encore beaucoup d'années avant d'imaginer toutes les bêtises que tu pourrais faire avec.

En grandissant, tu as fait preuve d'un esprit farceur. Tu n'était pas toujours le premier, mais rarement le dernier à te lancer dans d'innombrables tentatives pour assouvir ta curiosité et tes envies de blagues. Cela t'a valut plusieurs raclées mémorables et en quelques occasions, tu as eu du mal à t'asseoir pendant plusieurs jours (plus particulièrement la fois où toi et les autres gamins avez repeint dans la nuit le pelage de l'ours à l'aide de teintures trouvées dans l'une des roulottes, quand en faisant l'idiot avec le matériel de ton père, tu as manqué de mettre le feu au mobilier et que tu t'es contenté de te cramer les cheveux et les sourcils). Des corvées supplémentaires aussi, pour réparer tes bêtises. Ça ne t'a jamais empêché de recommencer ensuite.

Beaucoup de gens passaient, parfois ne restant que quelques heures, parfois quelques mois. Rares sont ceux qui, comme tes parents, se sont installés définitivement. L'avantage c'est que maintenant tu pouvait te la jouer 'habitué', 'blasé' devant ces gens de passage et surtout leurs (rares) enfants. Tu as découvert le monde depuis ce microcosme protégé qu'était la Caravane. Par contre, tu n'as jamais perdu ta fascination pour la musique et dès lors que des notes commençaient à résonner, tu venait t'affaler au coté des musiciens. Ils ont fini par te mettre un instrument entre les mains et à compter de ce jour, tu as appris sous la tutelle de tes maîtres elfes. Ils n'ont d'ailleurs pas fait preuve de laxisme, t'obligeant à apprendre à écrire et à lire en même temps qu'ils t'enseignaient à déchiffrer une partition et à faire chanter sous tes doigts le bois et les cordes.

Quand tu as atteint ta dixième année, Père a estimé que tu était presque un homme désormais. Tu était donc en age d'apprendre à te battre et, lorsqu'il en avait le temps, il t'a montré les mouvements de base. Il t'a aussi offert deux poignards et tu as progressivement remplacé les balles avec lequel tu t’exerçait auparavant par ces lames. Tu as aussi commencé à travailler sur des flûtes...

C'était une belle vie. Et puis hier, tout s'est écroulé. Vous étiez quelque part dans les terres brunes, moins nombreux que d'habitude car vous aviez pris plus de temps pour flâner et qu'une partie de la caravane était partie de son coté. Tu l'avais regretté, cela te privant d'un de tes camarades de jeu mais tu savais que tu les retrouverais dans quelques semaines. Le repas était en train de commencer à mijoter et assis prêt du feu tu travaillait quelques accords, bien décidé à parvenir à placer cette fichue succession de notes. A tes cotés, Lynarfir, un des elfes les plus jeunes (ce qui lui donnait quand même de nombreux siècles d'avance) tentait de t'expliquer qu'il ne fallait pas le forcer mais le laisser couler entre tes doigts. Tu trouvais quand même que c'était plus facile à dire qu'à faire mais quand tu le lui avait fait remarquer, il s'était contenté de récupérer le luth et de te faire une de monstration impeccable avant de te le rendre. Tu t'était sentit très vexé et avait décidé que tu y arriverais également, même si tu devais y passer la nuit.  L'odeur du ragoût avait commencé à réveiller ton estomac.

Et puis tu ne sait pas tres bien ce qui s'est passé. Un instant tout était calme, et l'instant d'après c'était le chaos. Les premiers hurlements ont commencés à retentir. Tu as vu un corps tomber. Puis un second et tu as arrété de compter. Lynarfir t'avait relevé d'un geste brusque et t'a dit de courir. La main de Myranie, qui attendait sagement le repas s'est retrouvé dans la tienne. Tu n'a pas bougé tout de suite, tétanisé en voyant surgir dans le campement des hommes inconnus et armés. Ils hurlaient. Lynarfir a répété son ordre. Tu as obéit. Au dernier regard que tu lui as lancé, il avait sorti une lame, un orque gisait à ses pieds et il l'avait passée dans le corps d'un second agresseurs. L'arme d'un troisième lui ressortait du corps. Et son sang avait fait comme une auréole là où vous étiez assis quelques instants auparavant.

Tu as couru. Mais comment savoir où fuir quand de tous les cotés son monde semble s’effondrer. Tes parents ! Il te fallait trouver tes parents ! Ta mémoire se brouille. Tu t'es précipité du coté où était votre roulotte. Tu ne sait pas vraiment comment tu y es arrivé en vie. Tu sais que quand tu es arrivé, la petite main de Myranie n'était plus dans la tienne. Tu ignores quand tu l'as lâchée. Les roulottes et ceux qui s'y trouvaient n'avaient pas été épargné par le massacre. Certains avaient du commencer par là et tu es resté muet devant la silhouette clouée par des flèches noires au mur de bois. Tu t'en est approché, incrédule. Il était encore conscient. Il l'est resté quelques instants. Tu as ouvert la bouche... incapable même d'exprimer le hurlement d'horreur qui te bouchait la gorge. Du sang coulait par la porte à demi ouverte de la roulotte familiale.

Tu n'as pas vu arriver à temps celui qui était encore là. Ton luth t'a sauvé la vie. Le coup aurait du te tuer, il n'avait fait qu'endommager l'instrument. Il t'a sourit. Il lui manquait des dents. Tu as cherché du regard une issue mais vous aviez rangé les roulottes en cercle. Tu as su que tu allait mourir là, au milieu des autres cadavres. Au pied de celui de ton père. Tu as fermé les yeux. Le second coup n'est jamais retombé. Quand tu les as ré-ouvert, Iridiel ressortait son bâton de la trachée de l'homme. Elle s'est retournée vers toi et t'a demandé si ça allait. Tu as hoché la tête et tu as retourné le regard vers la porte. Elle a secoué la tête. Tu as remarqué alors qu'elle saignait. Abondamment. Elle n'avait pas arrêté le coup qui te menaçait avec son bâton.

Elle t'a fait signe de la suivre et, incapable de penser à quoique ce soit d'autre, tu t'es relevé et ne l'a plus quittée. Dans ta tête le dernier regard que t'avait lancé ton père était encore là. Des yeux voilés par l'horreur et la douleur. Vous avez rejoint Ferwyn. Celle ci était agenouillée au sol, en train de frapper frénétiquement un cadavre. Tu n'a rien dit, t'accrochant à Iridiel comme à ta seule chance de survie. Le camps avait commencé à brûler. Tu as attrapé la main de Ferwyn et vous avez courut derrière l'elfe. Tu n'entendait presque plus de hurlements. Mais ils résonnaient encore dans ta tête.

Vous avez pu atteindre la foret. L'elfe ne vous a pas laissé vous reposer. Pas un instant. Il fallait s'éloigner. Tu ne sait pas combien de temps vous avez marché dans le vallon, vous éloignant de la seule demeure que tu connais. Vous vous êtes cachés aussi. Demeurant immobile, le silence seulement brisé par ton cœur qui bat beaucoup trop vite et trop fort. Ferwyn n'a pas dit un mot. Tu ne sait pas non plus comment Iridiel a fait pour tenir. Le sang continue d'imbiber lentement sa tunique.Tu sais juste que quand elle vous a dit de rester caché et qu'elle vérifiait les environs, tu t'es écroulé, serrant ton luth brisé contre toi. Incapable de pleurer. Tu as fini par t'endormir.

A ton réveil, quelques framboises ont été déposées à coté de vous. Iridiel est allongée. Elle est très pâle. Tu tentes de poser une question. Puis une autre. En vain. Aucune des deux ne sortiras et tu découvrira que tu n'arrives plus à émettre de son. Ta voix s'est tarie dans ta gorge. Sous les instructions d'Iridiel, de plus en plus vacillante et fiévreuse, vous bâtirez tant bien que mal un brancard de fortune. L'ouest et l'Anduin. Oui c'est ça. Là bas vous trouverez de l'aide. Il faut que vous trouviez de l'aide. A tout prix.



~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? : intéressant et plutôt prometteur.
Comment as-tu connu le forum ? : Un ami m'en avait parlé il y a quelques années, et comme j'était en recherche d'un forum...
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Alentil, le muet EmptyDim 6 Sep 2015 - 18:56
Bienvenue sur le forum Smile

Alors, pour ta fiche. Tout d'abord le style est sympathique, et l'utilisation de la deuxième personne est rafraîchissante. Quelques petites fautes, mais rien qui rendrai la lecture désagréable. Le personnage lui-même me semble intéressant à jouer. Je valide donc sans soucis, mais j'ai juste une petite remarque:

-En parlant de l'attaque, tu parles d'hommes armés, et puis tu mentionnes un orc. Insinues-tu l'existence d'une bande rassemblant ces deux races?

Sinon, as-tu lu le Nom du Vent par Patrick Roothfus? Ton personnage me fait énormément penser au protagoniste de cet excellent livre ^^

Je t'invite à faire ta demande de métier, tu pourras ensuite commencer le jeu. Si t'as des questions quelconques, n'hésites pas à demander Wink

Amicalement,

Fofo'


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Membre des Orange Brothers aka The Good Cop
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Alentil, le muet EmptyDim 6 Sep 2015 - 19:12
Plop,

Alors non, je ne connais pas du tout cette série, mais ça donne une idée de lecture. Ceci dit j'ai plutôt pensé à Matt de la Roue du Temps en créant ce perso.

Et sinon oui, je parle bien d'une bande très majoritairement humaine mais avec au moins un orc (voir plus, mon perso n'étant pas vraiment en état). Si ce point gène, je peux le moduler pour retirer l'orc ceci dit.

Pour les métier, ce n'est pas encore à l'ordre du jour. Au vu de la position actuelle du personnage, un métier n'est pas réellement important. Et les rentrées d'argent associées non plus. Smile

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