Herendil, ami de l’Arnor et Chevalier de Fondcombe

Nom/Prénom : Herendil
Âge : 6982 ans (né en 355 1A)
Sexe : Masculin
Race : Elfe Noldo
Particularité : cicatrice de brûlure grave sur le bras gauche qu’il dissimule sous son armure ou des vêtements amples.
Alignement : Fondcombe
Rôle : Chevalier de Fondcombe
Équipement :
- Epée elfique forgée à Gondolin au cours du premier Âge :

- Armure en acier portée traditionnellement par les soldats chargées de la protection de Celebrimbor.
- Magnifique Bouclier long portant l’emblème de Finwë issu de bataille de la grande colère.
-
Contenu de ses appartements à Fondcombe :
- Cotte de maille forgée à Gondolin (dans son coffre dans ses appartements à Fondcombe en tant que souvenir de son enfance. Il ne la porte jamais car veut la préserver de toute saleté et tout dommage.)
- Portrait de famille.
- Coffret de bijoux qu’il n’arborent que lors des plus grandes occasions.
- Etendard de la maison de la Fontaine.





- Quelques plantes et arbres originaire de Numenor qu’il cultive à titre de loisir
- Plusieurs ouvrages du Second et Troisième Âge.
- Sculpture et bijoux Numénoréens.

Description physique : Son style de combat se basant davantage sur la rapidité et l’agilité que sur la force brute cela se reflète sur son apparence, notamment sur sa silhouette qui, malgré ses muscles développés, demeure plutôt fine. Il dissimule une cicatrice de brulure grave datant de la chute de Gondolin qu’il dissimule sous des vêtements amples de couleurs blanche. Il a des yeux bleus et des cheveux blond platine


Description mentale :
Il est relativement endurci par plusieurs millénaires d’expérience au combat mais ne se considère pas héroïque pour autant. A vrai dire il serait presque sujet au syndrome de l’imposteur, jugeant n’avoir que peu d’estime et de mérite à avoir survécu dans ces guerres. Il est loyal à Fondcombe mais est surtout extrêmement protecteur envers proches. Il lui arrive de passer parfois des nuits sans dormir pour fuir les cauchemars dans lesquels il revit en boucle la fin du Beleriand et le sac de Gondolin se finissant la plupart du temps par sa mort et celle de ses proches. Il a une haine viscérale envers tous les alliés de l’ennemi et a craint plus que tous les Dragons. Il apprécie la compagnie des Dunedains d’Arnor même s’il sait également apprécier également les moments de solitude.

Histoire :
Herendil est né à Gondolin en l’an 355 1A. Son père était un noble chevalier, capitaine de la garde la Gondolin et lié par serment de fidélité à la maison de la fontaine sous les ordres d’Ecthelion, et d’une noble de la maison de Galdor. Dès ses 150 ans, il rejoignit la garde de la 7eme porte de Gondolin. Il reçut donc son épée des mains de son père et son armure de son officier le jour de son acceptation dans la garde.
5 ans après son intégration, il fut forcé de défendre Gondolin contre une horde d’orcs, de balrogs et de dragons au côté de son père. Déterminé à défendre la porte et sa famille le chevalier n’hésita pas à tenter affronter un balrog. L’affrontement fut court : un coup de l’épée du monstre suffit à blesser mortellement le brave elfe et les quelques fous qui avait osés essayer de l’aider. Il s’enfuit donc à la recherche de sa famille à travers le chaos ambiant pour tenter de sauver sa famille: il ne put retrouver que se sa jeune sœur, Earwen, qui errait parmi les décombre encore ardents de son ancien foyer, l’emblème de la maison de la fontaine qui autrefois ornée fièrement les murs de cette grande maison reposaient désormais dans les. Prenant le risque de se brûler gravement, il sauva des flammes un d’entre eux et l’éteignit comme il pouvoir dans mare d’eau salle qui s’agrandissait, la fontaine détruite inondant l’entrée. Ils finirent par rejoindre le groupe de survivant mené par Tuor et réussirent à s’échapper de cet enfer. Il passa plusieurs à s’entrainer, vivant comme un chasseur dans une cabane dans les bois en compagnie d’une partie des survivants de ce cataclysme. Il rejoignit les troupes de Finarfin arrivée depuis Valinor avec quelques autres soldats encore en état de se battre, brandissant fièrement l’étendard de la maison d’Ecthelion. Il fut cependant contraint de battre en retraite en 587 1A. Il ne rejoignit pas les terres immortelles malgré leur beauté car il était trop attaché à la terre du milieu pour l’abandonner.
Il partit avec sa sœur ils partirent à cheval tout droit vers l’Est sans réellement savoir où aller les cataclysmes qui s’enchainait, ils finirent par trouver où s’installer auprès d’un lac peu avant la submersion du Beleriand. Admiratif devant le travail de Celebrimbor, il prêta serment à la maison de ce dernier, jurant de la protéger. Il échangea donc son ancienne côte de maille pour l’uniforme et l’armures des gardes de cette guildes. Il vit l’arrivée de Sauron dans la guilde d’un très mauvais œil mais, devant le succès de sa collaboration avec Celebrimbor garda ses soupçons pour lui se contentant de le surveiller lorsqu’il venait dans la forge. Il fut fasciné devant la finesse d’un tel travail, pouvant les admirer des heures durant. Il fit parti de l’escorte qui accompagnait Celebrimbor lorsqu’il partit cacher les 3 anneaux suite à la trahison de Sauron. Il se battit du mieux qu’il put au côté de Celebrimbor lorsqu’il partit affronter Sauron mais il ne put empêcher sa capture et sa mort. Il se battit alors héroïquement aux côtés de Gil Galad pour récupérer la dépouille de son ancien seigneur qui était arboré en emblème par les troupes. Menant ses troupes à la victoire, il finit par la récupérer au prix de nombreuses pertes pour le ramener aux campements afin que l’on puisse lui offrir une sépulture décente. Il continua le combat aux côtés de Gil-Galad, sous les ordres d’Elrond. Il eut l’honneur de se battre au côté des Numénoréens en 1700 SA, se créant plusieurs connaissances au cours du conflit. La victoire contre les troupes de Sauron lui permit de récupérer plusieurs biens de sa maison qu’il avait perdu au cours du Sac de Gondolin, notamment un portrait familial vandalisé mais plus que reconnaissable et plusieurs bijoux ayant appartenu à ses parents.
En récompense de son aide lors des combats, le roi elfe Gil-Galad lui accorda une faveur de son choix: bien qu’il hésitât à demander d’être adouber ou encore une terre, le talent des artistes de la cour et la nostalgie lui firent décider de demander assez d’argent pour faire restaurer le portrait qu’il avait trouvé par les plus grands artistes. Il ne partit pas pour Fondcombe tout de suite, préférant accompagner ses frères d’armes Numénoréens jusqu’à leur île dont ils lui avaient tant parlé. Il en ramena plusieurs graines de plantes, notamment d’arbres et de fleurs poussant exclusivement sur cette île ainsi que plusieurs objets d’arts.

Il rejoignit ensuite Fondcombe qui devint son nouveau foyer. Désormais au service d’Elrond, il put enfin être adoubé en récompense de ses services au cours de la Guerre contre Sauron en Eriador. Il mena plusieurs expéditions contre le reste des forces de Sauron, parfois conjointe avec les Dùnedains, leur rendant parfois visite sur les côtes du Lindon lorsque le seigneur Elrond l’y autorisait. Il eut alors l’occasion d’assister aux prodiges des porteurs d’anneaux mais perçut bientôt leur ambition et soif de pouvoir insensée, l’amenant à craindre que ceux qui deviendront les Nazgul provoque une guerre entre les hommes et les elfes.
Ce fut en 2230 lors d’une visite diplomatique en Lòrien qu’il rencontra Tinuthel dont il devint relativement proche avec les années et qu’il finit par épouser en 2240.
Ce qu’il craignait arriva… en partie : les porteurs d’anneau succombèrent à l’influence de Sauron (an 2251), renforçant les forces de l’Ennemi qui était déjà grande en leur absence. Mais il demeurait confiant en la force des Hommes. Après tout, les 3 maisons des Dùnedains aux multiples héros n’avait pas succomber à Morgoth, pourquoi succomberait-elle à son laquais. Il fut donc effaré d’apprendre que les Numénoréens, dans leur orgueil avait capturé Sauron en personne pour l’emmener sur leur île. Il commença tout d’abord par être stupéfait et impressionné , étaient-ils si puissants qu’ils puissent faire ployer un Maia sans pour autant nécessiter une nouvelle guerre qui aurait ravagé toute la terre du milieu ? Cela lui semblait étrange, voire suspect. Après tout, il ne s’était pas rendu à Manwë lui-même (qui pourtant est bienveillant et miséricordieux), pourquoi se soumettrait-il aux Hommes ? A moins que ceux-ci soient devenu aussi puissant que Manwë lui-même cela paraissait suspect.
(An 3262) Il vit rapidement la haine grandir entre ces deux peuples, de multiples calomnies surgissaient sans arrêt à l’encontre de son peuple et des Valar. Il lui semblait évident que ce méfait portait la marque des ténèbres. Malgré tout il demeurait relativement proche d’une part de ses compagnons d’armes ayant rejoint les rangs des « Fidèles » qui fuyait Numenor. Ils lui apprirent alors une terrible nouvelle : le Roi était devenu un pantin aux ordres de Sauron qui avait imposé son propre et culte et interdit celui des Valars. Il apprit également la chasse aux fidèle et l’exode en cours. Pendant 57 ans il vit la situation empirer de jours en jours, rapportant les nouvelles au seigneur Elrond et ce jusqu’au jour où celui-ci l’informa d’une vision : Numenor allait être détruite. Il se refusa d’y croire au début mais le souvenir de la fin du Beleriand lui fit prendre conscience de la menace. Mais il n’eut pas le droit d’avertir les amis des Elfes qui aurait pu prendre cet avertissement pour une menace pour ne pas attiser encore plus la haine entre les 2 peuples.
Il fut envoyé à la rencontre d’Isildur et d’Elendil qui lui apprirent une sombre nouvelle : leur Roi avait osé commettre la folie de poser le pied sur Valinor ! En armes et avec l’intention d’affronter les Valar qui plus est ! Avaient-ils réellement perdu la raison et oublié la Guerre de la Grande Colère ? Pour lui dont le souvenir de ce conflit semblait toujours trop proche cela était incompréhensible. Ne se préoccupaient-ils donc pas de leur passé au point de l’enfouir dans les profondeurs de l’oubli. Une relative collaboration avec les Dùnedains de l’Arnor fut cependant relativement préservée bien que moins chaleureuse qu’avant hormis pour quelques exceptions (an 3320).
La nouvelle de la prise de Minas Ithil le surprit, que leur force soit moins grande qu’avant pouvait se comprendre mais au point de ne pouvoir défendre une simple ville ? Après avoir pourtant repoussé les forces de Sauron dans le passé. Cela sonnait de très mauvais augure. Il fit alors confidence de ses doutes à son seigneur qui l’assura qu’il travaillait déjà sur cette menace. C’est ainsi qu’il rejoignit les rangs des elfes pour la dernière alliance au cours de laquelle Sauron fut vaincu. Il assista de loin à l’affaiblissement et division de l’Arnor (861) et l’apogée du Gondor (1050), ses contacts se résumant progressivement à quelques proches en Arthedain. Il fit partout des troupes envoyées pour aider à défendre Fornost et l’Arthedain contre le roi sorcier avec le soutien des forces de Cirdan, bien qu’il ne s’y distingua guère.
Il assista également à la Lutte Fratricide et au début de la chute du Gondor et fut envoyé aider les réfugiés nains à fuir la Moria fuyant le Balrog de la Moria à la recherche d’un nouveau foyer. Il passa l’année de la Grande Peste reclus à Fondcombe mais fut cependant amené à se battre plusieurs fois, notamment dans la neige, au cours du Long Hiver pour défendre Fondcombe.
il eut également l’occasion de faire connaissance avec Gandalf le gris qui faisait de son mieux pour rassembler les derniers Dùnedains et leurs alliés. Il le rencontra à nouveau à l’arrivée de l’expédition d’Erebor où, bien qu’offensé à première vue par la vulgarité des nains, il finit par s’entendre avec le groupe, appréciant leur joie de vivre. Il s’entendit notamment avec Bilbon avec qui il devint relativement proche puisque bien moins vulgaire et bien plus correct que ses compagnons. Il fut notamment très heureux de pouvoir discuter en elfique avec un Hobbit, peuple qu’il n’avait encore jamais eu l’occasion de rencontrer. Il fut impressionné par la nouvelle de la mort du Dragon Smaug qui libérait la terre du milieu d’une grande menace. Il accompagna la compagnie grise et les deux fils d’Elrond lors de la bataille des champs du Pelennor et de la Bataille de la Porte Noire, il eut donc l’occasion de se battre aux côté d’Aragorn, de Gimli et Legolas . Il accompagna son seigneur et les porteurs d’anneaux aux havres gris pour un ultime au revoir, notamment à son Seigneur Elrond et à Mithrandir. Il resta également en contact régulier avec Legolas, Gimli et Aragorn jusqu’à la mort du Dùnedain et au départ des premiers.
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Comment trouves-tu le forum ? :Il est intéressant et très complets
Comment as-tu connu le forum ? : Je l’ai connu sur Disboard

Bonsoir et bienvenue !  


Je me permets de répondre seulement concernant l'histoire ou les quelques erreurs que j'ai vu. Pour le reste, un animateur se chargera de te répondre et de te valider !

Concernant l'histoire cela me semble très correct et très bien sourcé, notamment les dates, etc, tout tient la route. Un truc qui me chiffonne en soit, c'est que ton personnage ait survécu à Balrog, un Maia, je ne sais pas si tu vois où je veux en venir.

J'ai relevé quelques erreurs ou oublis de mots, je t'invite à te relire mais rien de grave je te rassure. Exemple : "l’éteignit comme il pouvoir dans mare d’eau salle qui".

Au plaisir de te croiser in RP, nos personnages ont quasiment vécu les mêmes événements.

À bientôt !

Salutations Herendil,

J'ai parcouru ta fiche et dans l'ensemble, je la trouve de bonne facture avec des points positifs et négatifs.

Premièrement, je trouve que ta fiche est de bonne qualité avec un contenu riche, ce qui est très bien. Je pense que tu as très bien compris l'esprit qu'on veut donner au forum. De même, je trouve sa description psychologique intéressant, assez loin des elfes monolithiques qu'on trouve souvent, après son caractère s'affinera avec le temps. Pour la description physique, elle pourrait être un poil plus détaillée mais dans l'ensemble, c'est pas mal. J'aime bien l'idée d'un personnage "ami" de l'Arnor, ce serait bien de détailler un poil plus les raisons et les conséquences, éventuellement dans le Quatrième Âge (je te mets ici le lien vers la chronologie du 4A).

Passons sur les points qui me font plus tiquer. Au niveau de l'équipement, il y a beaucoup d'éléments anciens, issus des temps immémoriaux. Souvent, ces équipements sont considérés comme des artefacts avec des pouvoirs un peu surnaturels ou une qualité exceptionnelle. En l'occurence, tu as en quand même une grosse collection avec beaucoup d'armes. Autant, les portraits de famille, statues numéronéennes, plantes ou ouvrages rares dans les appartements de Fondcombe, ça ne me choque pas pour un elfe d'un certain age et ça peut lui donner une certaine profondeur. Par contre sur les armes/boucliers/armures, je trouve qu'il en a un peu trop. Ce serait intéressant d'en choisir moins (typiquement un objet important) quitte à trouver une raison dans son histoire pour en avoir perdu / brisé / donné à d'autres.

Concernant l'histoire, je suis très loin d'être un spécialiste de l'histoire ancienne du SDA, et encore plus pour les elfes. Dans l'ensemble, je suis assez d'accord avec Calion et je rajouterai que je trouve le personnage un peu trop "proche" des plus importants protagonaistes de l'histoire. Je pense qu'il faudrait l'éloigner un tout petit peu plus mais dans l'ensemble, son histoire est cohérente.

En dehors des deux petits bémols cités, je ne vois pas d'autre gros soucis donc la fiche pourra être validée une fois ceux-ci résolus. Je laisse d'autres ajouter des commentaires au besoin.

Aussi, il faudra changer ton nom sur le forum pour l'aligner à celui de ton personnage. Sinon, ta fiche donne envie de voir ton personnage évoluer ici !

Bienvenue Sirion Numendil

Ta fiche est complète et bien écrite; l'histoire démontre une connaissance solide de l'univers de Tolkien!

J'ai quelques points à soulever avant de pouvoir valider ta fiche, tous liés entre eux:

-Tout d'abord l'équipement: comme spécifié dans le règlement, on préfère éviter qu'un joueur commence avec un équipement trop conséquent. Bien sûr, en tant que chevalier elfique, il est logique que tu ne sois pas armé d'un bâton et vêtu d'une peau de chèvre, mais il y a un juste milieu. Cela permet de rendre ton personnage moins puissant et aussi lui garantir une certaine évolution dans le jeu. Je te laisse donc choisir un des objets 'légendaires' dans ton équipement entre l'épée, le bouclier, et l'armure en acier et rendre les deux autres moins exceptionnels. Tu peux garder la cotte de maille en tant qu'objet plus 'sentimental'. Je te demanderai  aussi d'enlever les plantes de Numenor, car hormis l'Arbre Blanc on ne connait pas d'autres plantes ayant survécu au déluge. Tu peux potentiellement avoir une graine d'une plante de Numenor, mais qui ne s'est jamais ouverte jusqu'à là

-Concernant ton histoire: on y voit un peu une volonté de participer à tous les grands événements de l'histoire de la Terre du Milieu. Le siège de Gondolin, l'arrivée de Sauron, l'escorte de Celebrimbor, la Dernière Alliance, la quête des nains d'Erebor etc etc...le tout est bien décrit, mais un peu excessif. En particulier, nous limitons au maximum les interactions avec les personnages principaux de l'oeuvre de Tolkien. Croiser Gandalf de loin pourquoi pas, mais se lier d'amitié avec Bilbo, Legolas, Gimli et Aragorn déjà moins. Je t'invite donc à limiter un peu la liste des évènements et rencontres dans ton histoire En revanche, n'hésites pas à dire quelques mots sur ce que ton personnage a fait au cours du Quatrième Age (tu peux t'inspirer de la Chronologie du Quatrième Age).

Malgré les quelques petites exagérations dans l'histoire et l'équipement, en soi je trouve ton personnage très équilibré, j'aime bien notamment l'introduction de ce concept de syndrome de l'imposteur. Avec quelques petites corrections, je validerai donc volontiers ta fiche!

Amicalement,

Fofo'

Nom/Prénom : Herendil
Âge : 6982 ans (né en 355 1A)
Sexe : Masculin
Race : Elfe Noldo
Particularité : cicatrice de brûlure grave sur le bras gauche qu’il dissimule sous son armure ou des vêtements amples.
Alignement : Fondcombe
Rôle : Chevalier de Fondcombe
Équipement :
- Epée elfique forgée à Gondolin au cours du premier Âge :
- armure en acier de bonne qualité (modèle porté par les chevaliers de Fondcombe à la fin du 3eme Age)
- bouclier elfique (modèle porté communément par les soldats de Fondcombe à la fin du 3eme Age)
Contenu de ses appartements à Fondcombe :
- Cotte de maille forgée à Gondolin (dans son coffre dans ses appartements à Fondcombe en tant que souvenir de son enfance. Il ne la porte jamais car veut la préserver de toute saleté et tout dommage.)
- Portrait de famille.
- Coffret de bijoux qu’il n’arborent que lors des plus grandes occasions.
- Etendard de la maison de la Fontaine.
- Quelques graines originaires qu’il essaye de faire éclore.
- Plusieurs ouvrages du Second et Troisième Âge.
- Sculpture et bijoux Numénoréens.
Description physique : Son style de combat se basant davantage sur la rapidité et l’agilité que sur la force brute cela se reflète sur son apparence, notamment sur sa silhouette qui, malgré ses muscles développés, demeure plutôt fine. Il dissimule une cicatrice de brulure grave datant de la chute de Gondolin qu’il dissimule sous des vêtements amples de couleurs blanche. Il a des yeux bleus et des cheveux blond platine


Description mentale :
Il est relativement endurci par plusieurs millénaires d’expérience au combat mais ne se considère pas héroïque pour autant. A vrai dire il serait presque sujet au syndrome de l’imposteur, jugeant n’avoir que peu d’estime et de mérite à avoir survécu dans ces guerres. Il est loyal à Fondcombe mais est surtout extrêmement protecteur envers proches. Il lui arrive de passer parfois des nuits sans dormir pour fuir les cauchemars dans lesquels il revit en boucle la fin du Beleriand et le sac de Gondolin se finissant la plupart du temps par sa mort et celle de ses proches. Il a une haine viscérale envers tous les alliés de l’ennemi et a craint plus que tous les Dragons. Il apprécie la compagnie des Dunedains d’Arnor même s’il sait également apprécier également les moments de solitude.

Histoire :
Herendil est né à Gondolin en l’an 355 1A. Son père était un noble chevalier, capitaine de la garde la Gondolin et lié par serment de fidélité à la maison de la fontaine sous les ordres d’Ecthelion, et d’une noble de la maison de Galdor. Dès ses 150 ans, il rejoignit la garde de la 7eme porte de Gondolin. Il reçut donc son épée des mains de son père et son armure d’écuyer de la main de son supérieur le jour de son acceptation dans la garde.
10 ans après son intégration, il fut forcé de défendre Gondolin contre une horde d’orcs avec son père. L’arrivée de dragons et Balrogs poussa son père à lui ordonner de s’enfuir avec le reste de sa famille après des adieux courts mais déchirants. Il le vit alors se eruer au combat à travers les flammes et la fumée vers une mort certaine mais héroïque. Il s’enfuit donc à la recherche de sa famille à travers le chaos ambiant pour tenter de sauver sa famille: il ne put retrouver que se sa jeune sœur, Earwen, qui errait en larmes parmi les décombre encore ardents de son ancien foyer, l’emblème de la maison de la fontaine qui, autrefois, ornaient fièrement les murs de cette grande maison reposaient désormais dans les. Prenant le risque de se brûler gravement, il sauva des flammes un d’entre eux et l’éteignit comme il put dans une mare d’eau sale qui s’agrandissait, la fontaine détruite inondant l’entrée. Ils finirent par rejoindre le groupe de survivant mené par Tuor et réussirent à s’échapper de cet enfer. Il passa plusieurs à s’entrainer, vivant comme un chasseur dans une cabane dans les bois en compagnie d’une partie des survivants de ce cataclysme. Il rejoignit les troupes de Finarfin arrivée depuis Valinor avec quelques autres soldats encore en état de se battre, brandissant fièrement ce qui restait de l’étendard de la maison d’Ecthelion. Il fut cependant contraint de battre en retraite en 587 1A.
Il partit avec sa sœur ils partirent à cheval tout droit vers l’Est sans réellement savoir où aller pour fuir la submersion cataclysmes qui s’enchainait, ils finirent par trouver où s’installer auprès d’un lac peu avant la submersion du Beleriand. Il ne rejoignit pas les terres immortelles malgré leur beauté car il était trop attaché à la terre du milieu après la bataille pour l’abandonner.


Admiratif devant le travail de Celebrimbor, il prêta serment à la maison de ce dernier, jurant de la protéger. Il échangea donc son ancienne côte de maille pour l’uniforme et l’armures des gardes de cette guilde. Il vit l’arrivée de Sauron dans la guilde d’un très mauvais œil mais, devant le succès de sa collaboration avec Celebrimbor garda ses soupçons pour lui se contentant de le surveiller lorsqu’il venait dans la forge. Il fut fasciné devant la finesse d’un tel travail, pouvant les admirer des heures durant. Il fit parti de l’escorte de soldat de confiance qui accompagnait Celebrimbor lorsqu’il partit cacher les 3 anneaux suite à la trahison de Sauron. Loyal à son seigneur, il se battit du mieux qu’il put au côté de Celebrimbor lorsqu’il partit affronter Sauron mais il ne put empêcher sa capture et sa mort. Il se battit alors héroïquement au service de Gil-Galad sous les ordres d’Elrond pour récupérer la dépouille de son ancien seigneur qui était arboré en emblème par les troupes. Menant ses troupes à la victoire, il finit par la récupérer au prix de nombreuses pertes pour le ramener aux campements afin que l’on puisse lui offrir une sépulture décente. Les renforts Numénoréens arrivèrent en 1700 SA, l’amenant à se créer plusieurs connaissances voire presque ami durant l’année qui suivit. La victoire contre les troupes de Sauron lui permit de récupérer plusieurs biens de sa maison qu’il avait perdu au cours du Sac de Gondolin, notamment un portrait familial vandalisé mais plus que reconnaissable et plusieurs bijoux ayant appartenu à ses parents.
En récompense de son aide lors des combats, le roi elfe Gil-Galad lui accorda une faveur de son choix: bien qu’il hésitât à demander d’être adouber ou encore une terre, le talent des artistes de la cour et la nostalgie lui firent décider de demander assez d’argent pour faire restaurer le portrait qu’il avait trouvé par les plus grands artistes. Il ne suivit pas Elrond à Fondcombe tout de suite, préférant accompagner ses frères d’armes et amis Numénoréens jusqu’à leur île dont ils lui avaient tant parlé . Il en ramena plusieurs graines de plantes, notamment d’arbres et de fleurs poussant exclusivement sur cette île ainsi que plusieurs objets d’arts.
Il rejoignit ensuite Fondcombe qui devint son nouveau foyer. Désormais au service d’Elrond, il put enfin être adoubé en récompense de ses services au cours de la Guerre contre Sauron en Eriador. Il mena plusieurs expéditions contre le reste des forces de Sauron, parfois conjointe avec les Dùnedains, leur rendant parfois visite sur les côtes du Lindon lorsque le seigneur Elrond l’y autorisait. Il eut alors l’occasion d’assister aux prodiges des porteurs d’anneaux mais perçut bientôt leur ambition et soif de pouvoir insensée, l’amenant à craindre que ceux qui deviendront les Nazgul provoque une guerre entre les hommes et les elfes.
Ce fut en 2230 lors d’une visite diplomatique en Lòrien qu’il rencontra Tinuthel dont il devint relativement proche avec les années et qu’il finit par épouser en 2240.
Ce qu’il craignait arriva… en partie : les porteurs d’anneau succombèrent à l’influence de Sauron (an 2251), renforçant les forces de l’Ennemi qui était déjà grande en leur absence. Mais il demeurait confiant en la force des Hommes. Après tout, les 3 maisons des Dùnedains aux multiples héros n’avait pas succomber à Morgoth, pourquoi succomberait-elle à son laquais. Il fut donc effaré d’apprendre que les Numénoréens, dans leur orgueil avait capturé Sauron en personne pour l’emmener sur leur île. Il commença tout d’abord par être stupéfait et impressionné , étaient-ils si puissants qu’ils puissent faire ployer un Maia sans pour autant nécessiter une nouvelle guerre qui aurait ravagé toute la terre du milieu ? Cela lui semblait étrange, voire suspect. Après tout, il ne s’était pas rendu à Manwë lui-même (qui pourtant est bienveillant et miséricordieux), pourquoi se soumettrait-il aux Hommes ? A moins que ceux-ci soient devenu aussi puissant que Manwë lui-même cela paraissait suspect.
(An 3262) Il vit rapidement la haine grandir entre ces deux peuples, de multiples calomnies surgissaient sans arrêt à l’encontre de son peuple et des Valar. Il lui semblait évident que ce méfait portait la marque des ténèbres. Malgré tout il demeurait relativement proche d’une part de ses compagnons d’armes ayant rejoint les rangs des « Fidèles » qui fuyait Numenor, mené par certains de ses frères d’armes de la Guerre contre Sauron. Ils lui apprirent alors une terrible nouvelle : le Roi était devenu un pantin aux ordres de Sauron qui avait imposé son propre et culte et interdit celui des Valars. Il apprit également la chasse aux fidèle et l’exode en cours. Pendant 57 ans il vit la situation empirer de jours en jours, rapportant les nouvelles au seigneur Elrond et ce jusqu’au jour où celui-ci l’informa d’une vision : Numenor allait être détruite. Il se refusa d’y croire au début mais le souvenir de la fin du Beleriand lui fit prendre conscience de la menace. Mais il n’eut pas le droit d’avertir les amis des Elfes qui aurait pu prendre cet avertissement pour une menace pour ne pas attiser encore plus la haine entre les 2 peuples.
Ses amis Numenoréens lui apprirent une terrible nouvelle : leur Roi avait osé commettre la folie de poser le pied sur Valinor ! En armes et avec l’intention d’affronter les Valar qui plus est ! Avaient-ils réellement perdu la raison et oublié la Guerre de la Grande Colère ? Pour lui dont le souvenir de ce conflit semblait toujours trop proche cela était incompréhensible. Ne se préoccupaient-ils donc pas de leur passé au point de l’enfouir dans les profondeurs de l’oubli. Une relative collaboration avec les Dùnedains de l’Arnor fut cependant relativement préservée bien que moins chaleureuse qu’avant hormis pour quelques exceptions (an 3320).
La nouvelle de la prise de Minas Ithil le surprit, que leur force soit moins grande qu’avant pouvait se comprendre mais au point de ne pouvoir défendre une simple ville ? Après avoir pourtant repoussé les forces de Sauron dans le passé. Cela sonnait de très mauvais augure. Il fit alors confidence de ses doutes à son seigneur qui l’assura qu’il travaillait déjà sur cette menace. C’est ainsi qu’il rejoignit les rangs des elfes pour la dernière alliance au cours de laquelle Sauron fut vaincu. Il assista de loin à l’affaiblissement et division de l’Arnor (861) et l’apogée du Gondor (1050), ses contacts se résumant progressivement à quelques proches en Arthedain qu’il fit de son mieux pour protéger.
Il assista également à la Lutte Fratricide et au début de la chute du Gondor. Il passa l’année de la Grande Peste reclus à Fondcombe mais fut cependant amené à se battre plusieurs fois, notamment dans la neige, au cours du Long Hiver pour défendre Fondcombe.
il eut également l’occasion de faire connaissance avec Gandalf le gris qui faisait de son mieux pour rassembler les derniers Dùnedains et leurs alliés. Il le rencontra à nouveau à l’arrivée de l’expédition d’Erebor où, bien qu’offensé à première vue par la vulgarité des nains, il finit par s’entendre avec le groupe, appréciant leur joie de vivre. Il s’entendit notamment avec Bilbon avec qui il devint relativement proche puisque bien moins vulgaire et bien plus correct que ses compagnons. Il fut notamment très heureux de pouvoir discuter en elfique avec un Hobbit, peuple qu’il n’avait encore jamais eu l’occasion de rencontrer. Il fut impressionné par la nouvelle de la mort du Dragon Smaug qui libérait la terre du milieu d’une grande menace. Il accompagna la compagnie grise et les deux fils d’Elrond lors de la bataille des champs du Pelennor, il eut donc l’occasion de se battre aux côtés du légendaire roi Elessar et de ses alliés, lui permettant d’assister au spectacle surréaliste de l’armée des morts.
Il accompagna son seigneur et les porteurs d’anneaux aux havres gris pour un ultime au revoir, notamment à son Seigneur Elrond et à Mithrandir qui avait tant aidé les elfes. Il ne ressortit son ancienne armure du second âge et son bouclier du Premier âge que pour rendre un ultime hommage à Dame Arwen en 121 4AD. Il partit rendre également hommage au sacre du Roi des Elfes arborant la bannière de la maison de la fontaine de Gondolin.
Il fut à nouveau amené à se battre sur les Champs du Pelennor en janvier 288 4A pour aider le Gondor. Il retira son armure du 2A et son bouclier de la Guerre de la Grande Colère du trésor de Fondcombe lorsque Marawin proclama la supériorité des elfes. Il était hors de question qu’il laisse ses biens à des personnes sur la même voie de déchéance que les Seigneurs Dunedains autrefois. Il confia son bouclier à sa sœur avec comme mission de le protéger et de le garder caché et en sûreté et son armure à son épouse, enceinte, jusqu’à ce qu’ils aient un fils qui soit digne de la porter. Leur fils, nommé Glorfindel en souvenir des héros de Gondolin, naquit peu de temps après (août 289 4A).

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