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 (Annales récentes) Les Griffes d'Ammoth

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Silence
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Silence

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(Annales récentes) Les Griffes d'Ammoth EmptyVen 16 Fév 2007 - 21:57
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Sentier a écrit:


LIVRE DE SENTIER
suite des annales


Moi Sentier, second de Silence, actuel chef des Griffes d’Ammoth, reprend enfin la plume pour marquer par l’encre nos périples tandis que le sang verser marque l'histoire, dans notre difficile tâche de retrouvé Ammoth, si les Vallars le veulent bien.

Enfin, me voilà en possession de mes annales, volés contre toute attente à notre arrivée à Minas Tirith par un traître de la ligue : Dune. Je ne résumerai pas encore tout le temps qui c’est écoulé entre le vol des annales et leur retrouvaille.
Je détiens à nouveau ses saints écrits qui retraces le peu de notre sinistre histoire et me remet à ma dur tâche d’écrire la suite de notre égoïste aventure.

Sentier a écrit:


CHAPITRE I


Nous voici à Umbar. Nous sommes un petit groupe de sept Griffes. Dans le lot il y a Silence, Busard, Serres, Pénitence et deux autres soldats de rang inférieur nommés Tremblote et Menhir.

D’après des sources certaines de la part de nos hommes ayant infiltré la cité, nous avons réussi à embusqué le traître et lui avons fait regretter le jour de sa naissance.
On l’a surprit, nous mêmes d’ailleurs dans le processur, tant cela semblait facile. Il n’était pas sur ses gardes, ce fut sa dernière erreur.
Par la suite, ce ne fut pas compliqué de retrouver le taudis dans lequel il avait planqué le restant des annales : le pistage était une de nos spécialitées.
A repenser à l’opération, j’ai encore du mal à comprendre pourquoi cela nous à prit tant de temps à le dénicher, c’est à peine s’il avait offert de résistance.
A l’heure où j’incruste cette encre sur papier, son sang à lui continuer d’écouler lentement des fruits de la torture que lui inflige Silence. Dune c'est peu être sur-estimé, mais il n’était pas dupe au point d'avoir planqué tout ses œufs dans le même panier. Et pour avoir traîné dans nos rangs pour une bonne année, lui tirer les vers du nez n’allait pas être aisé. Mais notre brave chef était tout sauf expéditif, il était d’une désespérante patience et ne faisait absolument rien d’autre jusqu’à que sa victime ne crache le morceau ou ne meurt de faim.
Cela durait des heures, des journées même. Tandis que le reste du groupe furetait ci et là en quête des possessions manquantes du traître, moi je comblais mon temps libre en écrivant. J’avais énormément de choses à faires : commander, planifié, organiser... Mais aussi, tellement de choses à écrire.

L’état actuel de la ligue est confus. Nous avons signé une espèce d’allégeance au Gondor : ils nous hébergent tandis que nous les servons. Un contrat banale me direz vous mais il faut savoir que Silence c’est enrôlé en tant que Stratège de l’armée et que l’on ne nous emploi plus vraiment comme une ligue soudée mais d’avantage comme une division de professionnels bon à s’occuper de toutes les tâches don les Gondoriens ne sont pas capables.
Dune cache bien des choses, c’est peu être parce qu’il était sur le point de partir et que le soulagement d’être débarrassé de nous qui le surprit d’enfin nous voir lui tomber sur le dos.
Quel qu’il en soit, Silence à ‘déserter’ son poste sans l’annoncer officiellement à nos alliés, s’engageant entièrement dans notre quête, notre guerre sainte… Les Griffes pour Ammoth et lui seul.

Nous hommes sont éparpillés un peu partout dans ce pays : s’occupant des diverses tâches que ses faiblards de l’armée régulière n’arrivent pas à tenir. Il nous reste aussi des hommes à la cité blanche. Ainsi, il n’y a qu’un groupe de sept pour suivre la Voie sans éveiller de soupçons… Cette liaison au Gondor ne rime cependant à rien, dès lors que cette guerre aura cessé enfin pourrons nous nous regroupés et marchés ensembles, les Griffes au complet sur les traces de nos ancêtres… Pour ce faire, l’on doit également donner un coup de pouce aux rebelles tandis que notre petit groupe continue ses recherches discrètement sans eveillé de soupçons : c’est une perte de temps précieux mais malheureusement obligatoire.
Alors que j’écrivais, Busard vint me voir pour me faire son rapport. Je l’écoutai silencieusement et lui donna ses instructions au tac-au-tac. La communication et notre professionnalisme nous permettait une organisation fluide, au moins de ce coter là aucun temps n’était perdu.

Des cris résonnent du sous-sol, malgré le fait que l’aubergiste nous eut promis que les murs isoleraient tout bruit. Fallait croire qu’on était encore moins doux à la torture que les pirates du coin.
Ma bougie est à bout, cela ferra bientôt deux jours que Silence s’acharne sur notre salopard. Il nous faut de nouvelles pistes : vivement que la séance s’achève…

Sentier a écrit:



CHAPITRE II


La mort ne coûte rien à celui qui en est l’avatar. Même le sang semble refuser de souiller nos habits. Notre technique c’est cependant peaufiner, nous optons de plus en plus pour le meurtre à mains nues, au ruban de strangulation ou au poison. Parlant de poison, Venin est passée il y a peu de temps : elle nous tien informer quand aux projets de Ronfleur. Ce dernier se croit tout permit, il active le peu d’hommes qu’il a sous la main à l’obéir au doigt et à l’œil comme s’il était l’incarnation d’Ammoth. Venin aussi à ses petits projets et nous le cache bien… Pas de chance pour elle qu’on est trouvé des gens pour la surveiller elle aussi…

La paranoïa ronge nos rangs, toutes ses histoires, toutes ses intrigues, les secrets, les trahisons… Même Silence semble distant, se retournant aux origines de sa personne : cette fois-ci, il vaut vraiment son pseudonyme.

Nous sommes restés un mois à Umbar. Une ville beaucoup plus riche en mystères qu’elle n’y parait. Et cela va en s’empirant avec le temps.
Nous avons perdu un temps fou en enquête : nombreuses pistes et informations étaient soit fausses ou volontairement brouillés. Pour le peu que l’on à découvert à force de persévérance, les informations que nous recherchions ne nous étaient cachés qu’à cause de superstitions à notre égard.
D’ailleurs, cela doit faire partit des choses les plus intéressantes que nous avons découvertes -du moins pour moi, Silence et les autres n’aucun intérêt pour ce genre de détails- et qui se justifie à chaque nouvelle rencontre : Ici, les gens nous connaissent. Ou du moins l’imaginent. Silence prétend que cela serait l’œuvre d’une bande de pirates qui se seraient attribué notre nom pour profiter de notre renommée dans les royaumes du Nord. Une théorie simple et réaliste mais qui est bien loin de me satisfaire… Trop d'indices poussent à imaginer que l'origine de cette connaissance nous cerne bel et bien.
Si ce n’est Venin et l’Innocent, aucune Griffe n’est jamais restée assez longtemps dans la cité des pirates pour se faire connaître. Surtout qu’en plus, se faire connaître est vraiment la dernière chose que nous désirions faire.
Aujourd’hui plus que n’importe quand d’ailleurs.

Dans notre acharnement à tirer les vers du nez à certaines personnes comportant d’intéressantes informations, nous avons anéantis une entière confrérie d’assassins et une vingtaine de dirigeants mafieux ou de pirates. Si la garde savait quel généreux don nous avons fait à la communauté d’Umbar pour sa sécurité, nous serrions promu de médailles… Quoi que, leur administration est bien rongée par la corruption elle aussi.
Cette cité entière pue la corruption. Il y a toujours une personne allié à une autre par bénéfice. Tout le monde longe les murs, mettent leurs mains aux gardes de leurs dagues quand on les aborde dans la rue… Je crois que nous sommes restés trop longtemps ici, cette attitude à déteint sur nous. Et puis, nous sommes également devenus un centre d’intérêt pour certains.

Tout le monde à des alliés et donc, immanquablement, tout le monde sait plus ou moins ce qui se passe dans Umbar. Nous en sommes à un degré où notre couverture n’est plus fiable, où les premières rumeurs de notre présence se propagent dans les tavernes mal famées. Il était temps de partir de là.

La cité des pirates regorge de secrets. Nombreux de ceux que nous avons découvert nous étaient inutiles et donc n’ont pas leur place dans ses annales. Cependant, si j’avais dut mettre par écrit toutes ses informations, nul doute que ce tome des annales aurait finit dans la plus grande bibliothèque des terres du milieu.

Nous départ signifie la fin de l’infiltration d’Umbar. Nous l’avons vidée par le sang, telle une éponge, de toutes les informations susceptible de nous intéresser. Notre passage ainsi que notre départ laissera une vide qui sera rapidement comblé : telle est Umbar, une cité dynamique don le cycle de vie rappel celui de la nature…

D’ailleurs, vous avais-je dit que par plaisir pour la chasse, Silence à relâcher Dune après une semaine entière de torture ? Nous ne nous arrangeons pas… J’ai bien peur que notre quête ne devienne chaque jour de plus en plus morbide… Ô Ammoth, tu tardes à te dévoiler et mettre fin à se carnage insensé... Ne serais tu pas en fin de compte la Grande Faucheuse, toi qui en fin de comptes motive nos gestes afin de t’offrir de nouveaux esclaves à ton domaine ? Non, ce serait une fin trop simple… Nous savons que tu es là, de chair et d’os sur cette terre et bientôt, oui bientôt… Les Griffes retrouveront Ammoth.

Sentier a écrit:


CHAPITRE III


Notre départ à ravi la flamme d’espoir et consoler la paranoïa des chefs mafieux d’Umbar. Car déjà, bien que nous soyons plusieurs centaines de kilomètres au sud, les rumeurs font bon train et l’on nous apprend que la cité des pirates s’active pour reprendre du poil de la bête.
Qu’ils en profitent, les Griffes reviendront les hantés tôt ou tard… Nous y avons laissé notre marque à notre façon.
Le temps défile aussi vite que les dunes, notre voyage s’éternise et le moral baisse. Il nous arrive de croiser des estafettes sultanesques mais nul n’a jamais le temps de réaliser la nature de sa trouvaille.
Silence prend un certain plaisir à couper les langues de certaines et les laissés s’enfuir, généralement une fois que l’on a dépassé un campement. Notre manière de dire au revoir. C’est plutôt risqué, sachant que nous avons dans nos rang la deuxième personne la plus importante de l’armée gondorienne actuellement au Harad… Etrangement, les troupes Sultanesques n’ont pas osé la moindre escarmouche contre nous. A vrai dire, nous aucune résistance dans notre traversée. A tel point que notre goût pour le pillage et l’embuscade est devenu insatisfaisant, les haradrims tombant à genoux devant nos apparitions en implorant notre pitié. Que nous leur léguons bien évidement, après avoir empreinte leurs vivres. Que Melkor les gardes, comme diraient certains.

La discrétion que nous avons entrepris dans notre opération à été cassi-inutile. Notre itinéraire semblait déjà connu. C’est à peine si nous avons surpris les habitants en apparaissant subitement chez eux, comme si part hasard nous étions arrivez plus tôt…

Mais récemment, un événement des plus étrange à lieu périodiquement. Moi, Sentier, pour des causes totalement indéfinies est pris de transes. Il peut se passer plusieurs jours sans que rien n’arrive, à n’importe quel moment de la journée, en pleine corvée ou même en plein sommeil… Dans ses instants, je disparais de se monde et il est impossible à mes compagnons de me tirés de cet état. Il disparaît aussi soudainement qu’il m’assaille. La sensation est particulière : c’est comme si je chutais dans le néant, dans des abysses et pourtant j’arrive à me retenir, comme si j’avais les moyens de ne pas me noyer dans le vide. Tout au long, je chute sans fin. Au moment de mon retour, c’est comme si j’avais atteint le fond. D’ailleurs, physiquement cela me fait le même effet : je reviens à mes esprits avec d’horribles maux de tête, comme si Etreinte c’était défouler avec ses poings sur mon crâne pendant une journée entière. Très désagréable.
Le voyage que je fais dans ses transes, à défaut d’être douloureux, est très dérangeant. Il est impossible d’émettre un son, de ressentir quelque chose de physique. Mais dans les ténèbres qui m’environnent-ils y a une présence. Elle m’est invisible mais à chaque nouvelle chute, j’ai l’impression de la ressentir plus proche, plus envahissante… Elle ne me parait pas menaçante : je n’ai pas peur d’elle. Cette présence m’observe mais ne dit rien. Cependant, elle semble faire un tour avec les ténèbres dans lesquels je sombre, comme si tout cet univers était sa création et que j’en étais la seule raison d’exister, son centre d’intérêt. Quand j’y repense, une fois que je suis de retour sur le vrai monde, j’en ai quand même quelques frissons dans le dos.

La bande s’inquiète pour ma santé mentale, ils ont du mal à me croire. Silence ne dit rien, comme d’habitude, mais je ressens son doute à lui aussi. Pourtant, je réfléchis toujours aussi sereinement qu’un autre. Qu’y puis-je si je suis hanté ? Tout le monde s’accorde à dire que cette opération est louche, qu’il y a des facteurs qui nous échappent. Tout ce que nous avons appris à Umbar et de la populace Haradrim nous pousse à le croire. Il faut croire que nous avons été maudits, pour que l’on nous fuie de la sorte. Et bien sur, c’est sur le bon vieux Sentier qu’est tombé le sortilège, comme d’habitude. J’ai l’impression d’être un catalyseur des arts occultes. Chaque fois que nous avons confronté un adversaire avec un adepte magicien, il a fallut que son courroux me retombe dessus. Heureusement, ce genre de personnages est bien rare et il n’est pas donner à tout le monde d’avoir des dons dans les vents subtils de la magie. Heureusement pour moi d’ailleurs, ses étranges transes ne me confortent pas dans ma réputation…

Le voyage est long, tout porte à croire que beaucoup de nos réponses se trouvent au sud. Tout le monde nous à parler du Sud. Toujours le Sud. Parfois même, il arrive que l’on nous appel ‘les hommes du sud’ alors que nos interlocuteurs sont pertinemment conscient que nous faisons partis des troupes Gondoriennes…
Qu’y a-t-il au bout du chemin ? Les Griffes sont elles perdues ou tirés par la laisse ?...


Dernière édition par le Ven 6 Avr 2007 - 16:15, édité 1 fois
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(Annales récentes) Les Griffes d'Ammoth EmptyVen 6 Avr 2007 - 16:14
//SUITE//

Sentier a écrit:



CHAPITRE IV

Plusieurs clans nous ont barrés le chemin. Aucuns n’a sut prouver qu’ils avaient autant de talents martiaux que vocaux. Un Haradrim cri bien mais se bat mal. Les Griffes continuent de creuser le sillage de leur route vers notre destination. Rares sont ceux qui osent nous barrés le chemin, seul des fous mystiques tentent de nous ralentir à défaut de réussir quoi que ce soit de concret face à notre inébranlable soif de réponses…

De nouvelles informations nous arrivent sans cesse, de nos éclaireurs, prisonniers ou nomades que nous croissons. Seule une chose est certaine : Il y a bel et bien quelqu’un au bout du chemin. Et ses fous ne veulent pas que nous y arriveront. N’a-t-il pas ses propres ressources pour venir barrer notre route ou nous attendrait il ?

Mes crises sont de plus en plus fréquentes ainsi que difficile à contenir. Une tension imperceptible est à l’œuvre et semble agir sur notre destinée. La folie du désespoir semble motiver les actes de certains prophètes basanés. Nous rions de leurs malédictions. Plus rien semble ne pouvoir nous arrêter, eux même le savent. Une dernière étape semble sur le point d’être franchie… Demain, dans une semaine, un mois ? Seul le temps semble être conscient de cette date.

Sentier a écrit:



CHAPITRE V

Voici une nouvelle qui nécessite d’être annotée dans les annales : Selon nos éclaireurs et les généreuses paroles de nos bourdonnants mystiques, il se trouverait que la vallée dans laquelle nous nous dirigeons soit le repaire de certains généraux du précédent Sultan.

Notre troupe est en véritable effervescence, les questions fusent de tout sens : Ses chacals tiennent t’ils Ammoth ? Est-il prisonnier ou commandant ? Est il tenu endormit, ce qui expliquerait son absence ?
Quoi qu’il en soit, nous savons notre Maître par delà cet horizon, qu’il est arrangé les événements pour notre rencontre soit la rumeur la plus vraisemblable et d’un certain point de vue, il ne serait pas surprenant qu’Ammoth fasse partie du camp ennemi : Il est d’une veille coutume que nous testons perpétuellement nos capacités.

Rien n’est hâté, Silence reste d’un calme légendaire et organise notre avancée méthodiquement.
Nous allons ralentir notre progression le temps de faire le point, tirer au clair toutes les informations tout en dégottant de nouvelles. Rien ne porte à croire que d’autres gens mis à part ces fous de prophètes sachent que nous sommes en chemin. Nous serrons donc les premiers à avoir l’œil sur le camp ennemi et pas inversement. Les Griffes ont toujours une longueur d’avance, Silence s’en assure bien par notre organisation alliée à sa stratégie.

Sentier a écrit:



CHAPITRE VI

Je… J’ai grand mal à écrire. Nombreuses sont mes crampes ainsi que mes spasmes. Mes crises reviennent, cette fois ci je n’en suis plus le maître. Nous avons bel et bien franchit une frontière, mais seul moi semble en pâtir le plus… Seules les blessures de guerre semblent vouloir m’épargner.

En effet, les escarmouches sont courantes… Si nous ne crapahutons pas toute la nuit, Silence nous envois prendre en embuscade les patrouilles.

Cette vallée comporte une sacrée armée, cloitrer dans une forteresse qui n’existe sur aucunes cartes ! Ammoth semble plus loin, d’autres forces sont entrés en jeu et tentent de nous pousser de l’échiquier… Mais pousser où ?

Mes crises m’amènent vers les ténèbres et les souffrances… J’ai beau crier nul ne peu m’entendre. Tout dur trop longtemps, plus rien n’y bouge, le combat est éternel… Pourtant, quand tout s’arrête je n’ai pas le sentiment d’avoir vaincu… Ce n’est pas moi qui y met fin et celui qui se joue de moi me l’a bien fait comprendre, il est le seul en contrôle… Le visage anonyme m’invite à mémoriser le passé, un passé qui n’est pas le mien… Je découvre dans ses voyages l’aube des temps, des époques inconnus et des créatures qui n’ont jamais pu être nommé. L’abysse est profonde est la chute d’autant plus dérangeante. Je me vois parfois dans mes visions, je vois des gens encore en vie mourir, le temps qui semble s’accélérer. Vois-je l’avenir ? Tout est de chaos, toujours, depuis le début… Quel est le message que cet anonyme cherche à me transmettre, si ce n’est tout simplement de jouer de mes peurs… Toutes les années passent, mais ne m’y retrouve pas, cette vision n’est pas mienne, je n’y retrouve pas mes propres sensations, mes propres sentiments…

Néanmoins, cet anonyme pousse à vouloir agir comme si il me connaissait. Peu être que s’il arrêtait ce cirque infernale je serrais capable de me retourner et voir dans ses yeux sa véritable identité ?

Sentier a écrit:



CHAPITRE VII

Nous sommes au cœur de la forteresse, à en croire la décoration de plus en plus soignée. Cet endroit est immense ! A chaque intersection de couloir, chaque porte, chaque TORCHE à droit à son garde… Mais les Griffes sont comme les ombres et viennent dans votre dos quand la lumière est ailleurs.

Mes crises ont prit une étrange tournure, je suis de plus en plus conscient de mon entourage quand elles m’arrivent. Si bien que je puis encore combattre tout en étant enivré de ses occultes visions de chaos. Le chaos appel le chaos dit-on. Cela est vrai pour ma part, le sang soigne mes souffrances.
Et ne venez pas me dire que je prends le chemin le plus simple…

Sentier a écrit:



CHAPITRE VIII
La réalité, si cruelle mais pourtant évidente nous saute aux yeux… Pourtant, les signes étaient nombreux, comment avions nous pu être aussi sots ? Notre professionnalisme aurait il jouer en notre défaveur ? Quelle étrange tournure d’événements…
Je sais à qui j’ai à faire désormais. Je l’entends, je le comprends, je suis son ambassadeur. Il ne parle plus qu’à moi désormais.

Ah, enfin ! Je vais pouvoir partager la vérité à mes frères, ses inconscients… Si au moins ils savaient… Le Futur est si horrible mais tellement tentant… Les Griffes au service d’Ammoth. Quelle douce doctrine, si seulement ils le savaient réellement… Ses imbéciles… Bientôt, ils comprendront. Et eux aussi se plieront à sa volonté.

FIN DES ECRITS DE SENTIER.
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