Une folle cavalcade !

Sombre-chêne contemplait le paysage qui défilait autour de lui. Jamis il ne s'était déplacé à une telle vitesse. Il était habitué à se déplcer à pieds dans la forêt et dans les plaines. C'était la première fois qu'il montait à cheval. Il n'était par conséquent pas très à l'aise. Mais Mithrandir était confiant, alors pourquoi douter? A cette idée, le ranger ne put s'empêcher d'esquisser un petit sourire. Il doutait trop. Peut-être devrait-il se détendre de temps à autre? Cela serait dur, en conséquences de touts ces évènements. Il était troublé. Que lui était-il arrivé? Sa gorge se noua. Il devait se calmer. C'était fini et on ne pouvait plus revenir en arrière. De plus, si il était resté stoïc et avait tiré sa flèche, aurait-on porté autant d'attention à la nouvelle de la disparition de Thror? Il ne savait plus que penser. Il souffla lentement pour se calmer, puis reporta son attention au paysage. Le cheval évitait avec agilité les rochers du Rohan.

Où le destin va-t-il bien me porter?

Il l'ignorait.

Je me suis engagé chez les rangers juste parès la mort de mon parrain, Iriön. Un brave elfe. Longtemps j'ai défendu les lisière de ma chère Forêt Noire. Mais ce n'était que des conflits mineurs, comme des rescapés de Dol Guldur. Et puis lorsque la menace de ces elfes rénégats s'est montrée, je suis parti. C'était la première fois que je sortais de ma forêt. J'étais sous le commandemant de Lianur, que apparemment vous connaissiez. un peu dérouté par ce changement de décor, je suis resté dans mon coin et ne faisait que mon travail. Mais je me suis finalement réveillé, si je puis dire.

A l'évocation de touts ces souvenirs, Sombre-chêne fut émotioné. il se tut et regarda alentour. Le mage respecta le silence du ranger, qui finalement reprit:

Peut-être me suis-je réveillé pour honorer mes parents que je n'ai jamais connus, ou simplement pour me faire remarquer. Je n'en sais rien. Et vous, je vois que vous portez à la main Narya, anneau ayant appartenu au magicien blanc. Comment êtes vous entrés en sa possession?

Sombre-chêne observa quelques instants de silence, tout en regardant Mithrandir. Il tourna la tête pour regarder Ehosfeld. Il était magnifique.
Ne pouvant plus supporter le silence, il dit:

Vous connaissez Radgast? J'ai souvent entendu parler de lui. Bien qu'il soit moins puissant que le Cavalier Blanc, je l'ai toujours admiré. Il est pour moi un modèle car il ne fait qu'un avec la nature. Si je pouvais lui ressembler seulement pour cette qualité. Quand l'avez-vous rencontré?

Sombre-chêne leva les yeux. Aussi loin que portait sa vue, le ciel était d'un bleu limpide. L'aigle avait de beaucoup devancé les cavaliers.

Je ne vois rien dans le ciel. Il est déjà loin.

Le ranger fut un moment envahi par la mélncolie. Mithrandir servait à quelque chose dans la Terre du milieu, comme chaque mage.

Même un peu plus.

Tandis que lui, pauvre ranger, que pouvait-il faire? Il aurait bien aimé, accomplir une action que l'on retiendrait pour des siècles, mais c'était rêver.
Il se ressaisit. Il avait tout de même été juge d'une compétition importante, bien que désormé inutile. Quand, les troubles à Minas-Tirith seraient terminés, il repatirait aider les elfes et nains dans la lutte où ils s'étaient engagés, sans savoir qui ils combattaient vraiment. Alors qu'il ruminait ces pensées, il entendit Ehosfeld hennir. Le ranger le regarda pour en savoir la cause mais ne put la déceler. Encore quelque chose qu'il aimerait savoir.

Mitharndir, votre monture a henni. Est-ce par crainte ou par joie?

Le paysage défilait à nouveau devant les yeux de Sombre-chêne. Les derniers rochers du Rohan faisaient place au terres du Gondor. Le ranger fut soudain ému. C'était la première fois qu'il s'aventurait aussi loin de sa forêt natale. Il était exité à l'idée de voir la fière cité de Minas Tirith. Serait-elle aussi belle et impressionante que les écrits le contait? Certes ils enjolivaient souvent les faits, mais ils insistaient tellement sur sa grandeur... Combien de fois avait-il lu ces textes décrivant la grande flèche, les ruelle étroites, les maisons de pierre blanche taillées dans la roche? Et surtout l'Arbre, planté par Aragorn longtemps auparavant, à côté du bassin. Il avait hâte de voire toutes ces merveilles. Mais ses pensées furent assombries. Des évènements troublaient la Cité Blanche. Il aiderait de son mieux à les résoudre. Puis il repartirait aider les elfes et les nains à se réconcilier, si c'était possible. Il l'espérait de tout son coeur.
Devant lui, Mithrandir semblait plongé dans ses pensées, comme le ranger.

Les deux compagnons avaient passé la nuit suivante à galoper sans arrêt. Cela faisait à présent deux jours que j'avais perdu le contact mental avec Hobasian. Qu'importe, nous arriverions bientôt à bon port.

Nous galopions sans discontinuer, bientôt, Minas Tirith serait en vue.

[HRP] Cette galopade ne prendra fin que lorsque les combats à l'auberge seront terminés... La je posterais à la Porte de la Cité et opréciserai que cela se passe deux jours après ces affrontements ... HRP]

Hrp:OK je note.

Ehosfeld éait certes rapide, mais le serait-il assez pour arriver à temps? Sombre-chêe l'ignorait. Même si il arrivaient trop tard, ce voyage n'aurait pas été intile. Le raner en profiterais pour visiter la Cité Blanche, ainsi que pour se reposer. Les derniers jours avaient étés dificiles. Il se sentit quelque peu coupable d'bandonner ses cousins elfes, après son inaction. Il les rejoindrait, mais plus tard.
Soudain il vit un point banc. Etonnemment blanc. Que cela pouvait-il être? Il plissa ls yeux. Et il comprit. Le écrits ne mentaien pas. c'était Mins Tirith. ils étaient enore loin, et pourtnt ils voyaient la cité. Le ranger resta perplexe. Le mage semblait amsé par la réaction de l'elfe.
Apparut ensuite, plus proche, une forme noire dans le ciel. C'était surement l'aigle. Il revenait vers eux.

Mithrandir, votre aigle revient vers nous. Est-ce bon signe?

"Je n'en ai pas la moindre idée, s'il revient c'est que les événements se sont terminés, bien ou mal, je ne le sait pas encore ...."

[HRP Le problème c'est que la, il sont encore en plein combat, même s'il faut considéré ce post comme un post se déroulant deux jours après ... Il va falloir beaucoup décrire lepaysage sans nous faire top avancé ... HRP] Edit Rada' : Les combats sont sur le point de se terminer, tu sais, ce soir ce sera fait normallement.

"Vous voyez, la cité ? Vous avez de la chance ... ma vue n'est pas aussi bonne que la votre, cependant ... oui .... je pense que les evenements se sont relativelment bien terminés."

Sombre-chène ne voait plus que la Cité Blanche. Bien encore petite sur l'horizon, elle occupait tout le regard de l'elfe. Les voyageurs furent arrêtés par un affluent de l'Entalluve, le Glambir(hrp:je ne suis pas sûr de 'orthographe, c'est petit sur la carte). Le fleuve des Ents brillaient au loin sous le soleil du matin, devant eux. Ils finrent par trouver un gué, que Ehosfeld traversa à toute allure, éclaoussant les cvaliers d'eau froide. Leur course reprit. Sur leur droite se dressaient le Motagnes Blanches, gigantesque, dont es sommets enneigés éblouissants se onfondaien avec les nuages d'un blnc crémeux. Devant eux, Minas Tirth grandissait régulièrement.

Merci beaucoup de votre offre. Je vindrai avec vous dans l'auberge. Ainsi je n'aurais pas fait tout ce voyage pour être inactif.

A présent, Minas tirith était visible même aux yeux du mage. En tout cas Sombre-chêne le pensait. Devant eux se dressait les mus de Champs du Pellenor(hrp:je fais en rapport avec le livre car dans le film ils n'y sont pas). Quand ils avrent devan la porte, les soldats en factons leur ouvrirent directement, sûrement à la vue du mage. Jusqu'alors, les yeux du ranger étaient sur la Cité Glanhe. Mais à présent, un autre spectacle se présentait. Bien plus horrible. L' imense étendue des champs, balayée par les vents., état souyée par une baaille ayat eu eu quelques mois auparavant. Certes les crps avaient étés enlevés, mais le mal était encoe présent. Les hautes herbes étaient par endroit mortes. La terre était retournée, sale. Peut-être n'était-ce qu'une impression, mais le ranger sentait encore l'odeur de la mort, et ce pour encore longtemps. Les deux voygeurs pasèrent cependant devant une etite étendue d'herbe verdoyante, apparemment éppargnée par la bataille. Juste à côté, la terre était sèche, morte. On devinait pourtant que cet endroit était découvert depuis longtemps, et que ce n'était as une séquelle de la guerre.
Le ranger pensa une légende que Iriön lui avait une fois conté. Il s'agissait de la bataille des Champs du Pelennor du temps de la Guerre de l'Anneau. Elle disait que deux montures avaiet été enterrées là:le cheval du roi Théoden et la monture du roi Sorcier. Sur la sépulture de la première avait été dis que l'herbe poussa à jamais, tandis que sur la deuxième, la terre tait restée stérile. Peut-être était-ce vrai.
La grande porte reconstruite pas les nains de Minas tirith approchait.

En galopant nous passâmes devant ce qui devait être la sepulture du cheval de Théoden. Ehosfeld s'arreta devant et renifla l'herbe ....

"Cis git un de tes ancêtres ..."

Je tapotais alors l'encolure de ma monture. Et nous repartîmes plus vite encore vers els portes grandes ouvertes.

***

[HRP je poste à la grande porte ... HRP]