L'assistant d'un capitaine [ PNJ :Amon Sûl]

Eric Lockfeild venais d'avoir aujourd'hui 17 ans tout juste, la plupart des soldats organise un banquet ou une fête mais pas lui. Il ne fêté jamais son anniversaire et il était toujours méticuleux dans son métier ou quand il par aidez les siens. Il était apprécier des habitants de Annùminas et cela lui suffisait amplement à le rendre heureux. Mais aujourd'hui il était assez déboussolé par la lettre du roi sur sa nouvelle affectation.
C'était un parchemin banal é première vu mais pas pour Eric. Elle était écrite par le roi en personne avec son emblème mi en évidence. Eric se demandait alors qu'il entrait dans le château qu'est qu'il avait mérité pour avoir un telle honneur d'avoir reçu une lettre du roi. C'était la première fois qu'il était au château. Il s'arrêta a un drapeau et un mémorial pour saluait ses frères d'armes tombez au combat tout en retient une chanson dans sa barbe.

Citation :

[Wander my friends de Bear McCreary IRLl avec traduction]

Siulaigi a chairde, siulaidh liom
Mar cheo an tsleibhe uaine ag
imeacht go deo
D’ainneoin ar dtuirse leanfam an tsli
Thar chnoic is thar ghleannta
go deireadh na scrib’


Seo libh a chairde is canaidh liom
Lionaigi’n oiche le greann is le sport
Seo slainte na gcarad ata imithe uainn
Mar cheo an tsleibhe uaine,
iad imithe go deo

Errez mes amis, errez avec moi
Comme la brume sur la montagne verte, déplaçant éternellement
Malgré notre fatigue, nous suivrons la route
Sur collines et vallées, à la fin du voyage


Venez sur mes amis et chantez avec moi
Remplissez la nuit de la joie et le sport
Voici une santé aux amis qui sont partis de nous
Comme la brume de la montagne verte, partie pour toujours

Il aimez cette chanson qu'il avait crée qui était joyeuse et triste aussi, après s'être recueillie sur la tombe de ses frères il se dirigea vers le couloir suivit de près par Amarok son loup qui resta très silencieux. Il ne savait pas si il avait le droit de l'amené avec lui car c'était son symbole mais sa présence le rassura un peux. Il en avais bien besoin car il était angoissé.

Il n'avais jamais été assistent même durent ses classes d'arme. Fallait il accompagner partout se capitaine, ou remplir des feuilles et le signer a sa place. Tant de question qu'il ne le rassurait pas et qu'il lui fessait perdre son assurance. Il avais passé 12 année dans une caserné d'on 5 en comptent ses classes en service pour Arnor. Mais quand il regarda tous ceux qu'il connaissait personne a été a un poste comme le sien n'étant pas issue de milieu aisé ou pauvre comme lui, et encore moi a l'age de 17 ans dans toute l'histoire de Arnor.

C'était une très grande pression pour lui qui était a son comble que il arriva devant la porte pour frappez poliment puis il entra comme le veux le protocole suivi d'Amarok qui s'assoie ou il vis une personne. Il le mi au garde à vous et se présenta

-Je me nomme Eric Lockfeild monsieur le roi ma demande de venir ici.

IL resta au garde a vous attendent une réponse de cet homme.Le bureau était en bois et assez grand ainsi que la pièce ou se trouvais des documents de tout type. Il y avais des cartes d'Arnor, des ville et de la terre du milieu avec des flèches posé dessus sur des tableaux. Il y avais un chandelier de fers eu haut et d'autre à droite et à gauche pour donnée de la lumière. Et il y avais une fenêtre pour la lumière naturel. La pièce donna une atmosphère qui en disait long sur l'histoire et les décisions qui été prise.

Le capitaine Dalrad attendit que la porte se referme avant de se verser une coupe de vin rouge de la carafe posée sur la table. Il venait d’envoyer ses deux hommes fidèles, qui l’avaient accompagné depuis Amon-Sûl, effectuer quelques achats en ville. Il se posa lourdement dans son fauteuil derrière le bureau de bois massif, et goûta au breuvage écarlate, dont le goût fit apparaitre un sourire sur ses lèvres. Il se resservit une coupe au bout de quelques minutes, mais fronça les sourcils lorsque son regard se posa sur une enveloppe ouverte, ornée d’un sceau royal. Il soupira lourdement.

Un assistant…il n’avait rien demandé pourtant. Sans doute un jeune noble blanc-bec et arrogant, dont le père avait l’argent et l’influence nécessaires pour le faire entrer au service d’un officier expérimenté, sans passer par l’entraiment à la caserne. Hah…Il posa la coupe sur la table, et prit la lettre en main de son bras unique. Ses yeux se posèrent sur les lettres élégantes. Le sceau était royal, mais il reconnaissait l’écriture du scribe du roi Aldarion. Le monarque avait mieux à faire qu’écrire des lettres concernant une matière aussi banale. Il fut cependant surpris lorsqu’il vit le nom d’un vieux général retraité, qu’il connaissait plutôt bien, mentionné en tant que la personne responsable de la demande. S’il se rappelait bien ce général n’avait pas de fils ni de neveu…intrigué, il continua la lecture. Il y lut une histoire brève au sujet d’un orphelin courageux et intelligent, qui était entré au service du royaume d’Arnor dès le jeune âge, méritant sa paye par un travail honnête et dur. Finalement, il ne s’agissait pas d’un jeune noble…tant mieux. Mais était-il digne de servir en tant qu’assistant personnel d’un haut gradé ? Apparemment le vieux général pensait cela…

Il ne restait plus qu’à attendre. Il fallut une autre dizaine de minutes, qui passèrent plus vite grâce à une troisième coupe de vin, avant qu’un court frappement se fasse entendre. Lorsqu’il indiqua au jeune homme qu’il pouvait entrer, ce dernier pénétra dans la chambre, accompagné d’un loup. Le jeune homme était nerveux, mais il le cachait bien. Tel un guerrier bien entrainé avant une bataille…bien. Dalrad dit de sa voix rauque :

-En effet. Dis à ton animal d’attendre à l’extérieur, Lockfeild. Je peux tolérer ce genre de bête sur la route ou pendant une bataille, mais elle n’a rien à faire dans mes quartiers personnels. Je suis le Capitaine Dalrad, et tu m’appelleras par ce titre.

D’un geste de sa main droite, le capitaine indiqua au jeune homme qu’il pouvait passer au repos, mais il ne lui proposa pas de s’asseoir. Il dit après un moment :

-Je ne sais pas ce que tu as fait pour mériter l’intérêt du général, mais saches qu’un mot venant de sa part vaut bien plus à mes yeux que le fait que ta lettre de recommandation porte un sceau royal. Ne crois pas que ta position ici est assurée. Tu devras la mériter. Effectuer les ordres sans hésiter, être attentif et respectueux. Compris, Lockfeild ?

Les yeux sombres de l’officier percèrent le jeune soldat, indiquant que les paroles qu’il venait de prononcer étaient plus que sérieuses.

-Mon régiment est stationné dans la forteresse d’Amon-Sûl. Je suis venu à Annuminas pour m’occuper de certaines affaires, et je repartirai dans une semaine. Si tu te montreras digne d’ici là, tu m’accompagneras, sinon tu retourneras là d’où tu viens. Deux hommes m’accompagnent déjà dans mon voyage. L’un se nomme Hamish, et est un vétéran qui m’a accompagné pendant plusieurs batailles. L’autre s’appelle Jarlad, et sert de guérisseur et de scribe dans la forteresse. Tu t’adresseras avec respect à tous les deux, et tu écouteras leurs ordres tant que je ne le contredis pas.

Le capitaine cessa pendant un moment son monologue régulier, et gratta absentement ce qui restait de son bras gauche, coupé juste en dessous du coude.

-Alors, dis moi Lockfeild…un orphelin comme toi…t’as rejoint l’armée pour un bout de pain et quelques pièces d’or, comme le font beaucoup de nos recrues. Mais apparemment, tu es différent. Tu effectues tes tâches sans un mot de plainte, et tu essayes d’exceller dans ce que tu fais. Pourquoi ? A quoi t’attends tu, qu’espères du de ton service pour l’Arnor ? Car ce service a son prix. Tu y perdras sans doute quelque chose. Une femme. Un membre. Ta vie. Et tu devras parfois effectuer des ordres qui ne te plairont pas. Serrer les dents. En es tu capable ? Et surtout, veux tu prendre ce genre de responsabilité sur tes épaules… ?

Dalrad se tut, et regarda sa coupe vide, ainsi que la carafe posée sur une petite table non loin de son bureau. Il ajouta :

-Et sers moi une coupe de vin, si tu es capable de parler et effectuer une tâche de routine en même temps.

Alors qu’Éric entra et se présenta au grade à vous face à son supérieur hiérarchique celui si lui demanda poliment d'un ton autoritaire de faire sortir le loup de ses quartiers. Amarok baissa le museau pour regardez le sol puis il se dirigea vers la porte d'un pa triste pour tenir la poigner de porte et partie s’allongea dehors calmement. Éric pensa un cours moment qu'il devrais plus tard allez se promenez avec lui et jouez pour se faire pardonné. Mais il n’eut à peine le temps de pensez à cela, qu'il se concentra rapidement au premier son de son chef vétéran de la guerre. Il regarda fixement sans mauvaise pensez dans les yeux et avec attention le capitaine concentré sur ses moindre fait et geste et aussi sur ses mots.

-Oui , mon capitaine.

Dit il avec respect et attention restent au garde à vous jusqu'à la seconde ou le capitaine Dalrad lui fit signe de se mettre au repos. Il se relâcha doucement mais il resta droit. Il apprit beaucoup de chose sur le poste de ce capitaine vétéran de guerre . Qu'il été stationné dans la forteresse d’Amon-Sûl, Il été venu à Annuminas pour s’occuper de certaines affaires. Il avais entendus parlez de cette forteresse et des légende lier au roi Aragon il y a des années de cela. C'était un lieu qu'il souhaité voir cela de ses propre yeux au moins une fois dans sa vie. Mais les mots qui suivis lui fessait dire que sa allez pas être possible. Il était du même avis que lui. Il se demande aussi qu'es qu'il fessait ici et avec un grade aussi haut en primes. Mais il aima pas la vision qu'il avais de lui et des orphelins. Il regarda le capitaine fixement le voyant comme une personne normal et pas comme un handicapé.

Après se monologue intéressent et aussi instructif il alla comme ordonna son capitaine chercher un carafe de vin et se dirigea vers lui afin de prendre la parole.

- Mes parents son mort dans un village monsieur est jeune même si il c'était pour la faim, je me suis dit qu'être dans l'armée me permettrait qu'il y pas d'autre personne qui se retrouve sans famille. Je pense que d'autre orphelins qui se sont engagé pense à cela aussi.

Il versa le vin délicatement dans la coupe.

-Je suis et serait toujours prêt à perdre ma vie, car si pas ma mort je sauve le plus de personne possible alors elle aura un sens qui et bien plus importent que le pain ou l'or dans se monde.

Il posa doucement la carafe.

-Si vous pensez que je servirais plus l'armée et le royaume a un autres poste alors je m'y rendrais sans me plaindre et je ferais de mon mieux. Mais je ferrais tous mon possible pour être un assistant loyal envers vous et j'apprendrais beaucoup comme j'ai apprit beaucoup déjà en votre présence et explication.

Éric lui dit cela poliment cardent un ton humble et respectueux envers lui acceptent le fait qu'il retourne a son poste ou qu'il aille à l'endroit le plus éloigner du royaume. Âpres cela il resta silencieux attendent la réponse du capitaine. Un calme et froid glacial était présent dans la pièce donnent un côté inquiètent. Il ne savait pas si il l'avais frustrez ou parut impolis envers lui .

HRP Désolé pour le délai HRP

Le capitaine Dalrad ne fut ni surpris ni particulièrement touché par la brève histoire du jeune soldat. Ses parents étaient morts, tués dans un village. Lui, forcé à travailler pour manger. C'était presque du pain quotidien pour l'officier. Oui, le royaume régné par la main de fer du roi Aldarion était puissant et protégé des invasions par les peuples voisins. La vie dans les grandes cités était prospère, et les marchands se sentaient saufs sur les grandes routes patrouillées par les garnisons Arnoriennes. Mais le royaume du Nord demeurait une contrée très différente du Gondor. Il y avait encore ici des vastes plaines et montagnes glacées où l'influence du roi était plus symbolique qu'autre chose, et où les villageois devaient veiller à leur propre sécurité en faisant face à des pillards, déserteurs, gobelins, et autres créatures de pire sorte encore. Les orphelins comme Eric étaient nombreux, et se lamenter sur leur sort n'était pas dans la nature du capitaine. Lui même avait été élevé par un père alcoolique et cruel, tandis que sa mère était une serveuse de taverne, gagnant de l'argent sur le côté en tant que fille de joie.

Touché ou pas par l'histoire du jeune homme, le capitaine Dalrad écoutait attentivement chaque mot qu'il prononçait, et regardait de près chaque geste qu'il effectuait. Les paroles d'Eric montraient un grain d'idéalisme si typique à son âge, sans pour autant sombrer dans la naïveté excessive. Il avait été bien entrainé, et ses paroles étaient humbles et respectueuses. Dalrad ne supportait pas l'arrogance. Il avait versé la coupe de vin sans trembler, sans renverser une goutte, malgré le fait qu'il devait sans doute être tendu comme une corde. Cela parlait en son faveur...même si ca ne prouvait pas encore qu'il allait faire preuve du même sang froid durant un combat. Pensif, le capitaine prit la coupe de vin, et dit:

-Oui...on apprend toute notre vie...

Lorsqu'il but une gorgée du breuvage pourpre et amer, il sembla se concentrer à nouveau, et dit au jeune homme:

-Bien. Tu m'as pris assez de temps pour ce matin. Le soleil est pratiquement au zénith, et j'ai encore beaucoup de choses à faire. Pour l'instant, j'ai décidé de te donner une chance de servir en tant que mon assistant. La chambre en face de la mienne est libre...enfin, il s'agit plus d'une cellule de moine que d'une chambre, mais elle te suffira amplement. Il y a un lit propre, une table, une chaise et une fenêtre, et c'est tout dont un jeune orphelin comme toi as besoin. Tu y passeras les nuits suivantes, et je veux pas t'entendre faire du bruit après le coucher du soleil. Ni toi, ni ton loup, ou j'en ferai une moquette. Si je sonne avec la clochette posée sur mon bureau, peu importe l'heure, je m'attendrai à ce tu viennes dans un délai de cinq minutes, présentable et conscient.

Son regard se posa sur le bureau, et il prit une enveloppe en main, puis fit couler une goutte de cire dessus, en la scellant avec son anneau de capitaine. Il dit:

-En attendant, j'ai une mission pour toi, Lockfeild. Apportes cette lettre à une de mes connaissances dans le quartier marchand...à l'adresse suivante. Ne penses même pas à lire la lettre, ni à tarder sur le chemin. Ce sera tout.

En buvant une autre gorgée de son vin, et en se plongeant dans la lecture de quelques documents, Dalrad indiqua que l'entretien était fini.

***

Une trentaine de minutes plus tard, alors qu'Eric marchait dans les rues d'Annuminas afin d'effectuer sa tâche, un cri féminin se fit entendre d'une petite ruelle sur le côté. Lorsque le jeune soldat tourna son regard vers là bas, il vit un homme à l'allure d'un rongeur en train de frapper une jeune femme en pleurs...

Le soleil était déjà haut dans le ciel quand Hamish fit cette remarque pleine de bon sens à son camarade :

"Merde Jarlad grouille toi, le capitaine va nous incendier si on prend trop de temps !"

Pressant le pas, le guerrier jeta un coup d'œil rapide vers son compagnon qui marchait quelques mètres derrière lui, ses bras fins encombrées de parchemins,plumes ou remèdes en tout genre. Chargé de ses propres affaires, des victuailles principalement, le vétéran ne pouvait s'empêcher de souffler quand à la quantité astronomique de choses inutiles que pouvait porter Jarlad, ces satanés guérisseurs ! Malgré tout Hamish ne pouvait nier les qualités essentielles qu'apportait l'éducation de son jeune compagnon à leur compagnie et aux différentes stratégies qu'ils pouvaient établir.

Au détour d'une ruelle, un cri retentit soudainement, un cri féminin de toute évidence. Un regard rapide indiqua à Hamish l'auteure de ce cri, une jeune femme se trouvait prise sous les coups d'un homme qui l'avait acculé dans un coin de la petite rue. Seul un autre jeune homme se trouvait dans la rue transversale qu'empruntaient actuellement les deux soldats.
Le vétéran allait continuer son chemin quand il vit que son compagnon s'était arrêté, les yeux rivés vers la scène :

"Ham...hamish, on devra...vr..vrait pas l'aider ?"

La fébrilité transparaissait clairement dans la voix de Jarlad, après tout il n'était pas à proprement parler un guerrier et l'usage excessif de la violence était pour lui quelque chose de totalement inconnu. Mais le temps leur manquait et ils étaient déjà en retard, et ce léger incident finirait probablement de mettre le capitaine en colère.

Mais quand le poing s'abattit sur la jeune femme, les automatismes du soldats inscrit dans les gènes de Hamish et sa propre conscience s'élevèrent telle une lame. Il laissa tomber tout ce qu'il portait et s'élança vers l'homme qui osait lever sa main sur une femme, une femme !

Sa main calleuse d'homme marqué par les combats se posa sur l'épaule maraud qui tourna sa face animale vers lui :

"Écoute moi bien ptit gars, tu lâche la demoiselle ou je te fais bouffer ce qui te sert de main, compris ?"

Le ton n'était pas forcément hostile, purement menaçant. Il était des hommes qui ne supporte pas de voir les hommes abuser de leur force sur le sexe faible, le vétéran de la guerre dans le Nord était de ceux là.



Malheureusement pour lui, deux ombres s'avançaient subrepticement derrière lui, et ces ombres n'était pas pour être des plus rassurantes, trop concentré sur son propre sauvetage le guerrier ne voyait rien venir et Jarlad était lui aussi trop absorbés par les événements pour voir quoi que ce soit. Et il y a parfois des combats qu'on ne peut gagner seul, restait juste à trouve de l'aide

Eric resta silencieux devant le capitaine qui l'avait écouté calmement. L'homme en face de lui accepta au grand étonnement d'Éric qu'il reste comme assistant. Puis il lui indiqua les consigne qu'il devait suivre. Il y avait rien de différent a par qu'il allait avoir pour la première fois de sa vie une chambre rien que pour lui avec une table et un lit. Tu le confort qu'il ne pensait pas pouvoir avoir durent sa vie. Apres ses mots il lui remit une lettre scellé lui indiquant d'allez a un endroit dans la ville lui indiquant sérieusement de ne pas ouvrir la lettre. A la fin de ses parole il le saluât puis il alla dehors.

Une fois qu'il ferma la porte il cacha l'enveloppe dans sa poche intérieur et caressa Amarok qui se leva doucement se laissent faire. Il fis quelque pas pour s'éloigner du couloir ou se trouvez le bureau du capitaine.

-Je suis pris mais tu devra être sage quand la nuit tombera.

Dit il caressent d'une main le dessus de la tête du loup qui avança en silence. Eric avais pris l'habitude de parlez seul avec son loup. Plusieurs personne pourrai croit qu'il était un peux fou, mais il avait appris que si il parlait régulièrement avec le loup celui ci sera plus docile surtout qu'il pensais qu'il compenserait ses mots. Quelque minutes plus tard alors qu'il arrivait dans le quartier commercent son loup leva la tête et grognai doucement. Eric ne savait pas pourquoi avent qu'il entende des cries de femme et fit un homme rongeur entretint d'en brutaliser une.

Avent qu'il eu le tempes d'agir un autre homme surgit a sa place plus rapide que lui. Il le fit mettre une main sur l'épaule de la brute alors que deux ombre surgit de la ruelle pour le prendre par surprise. Eric se mit a courir mais son loup plus rapide sauta sur un des individus montrent ses crocs et grognent fortement avent qu’Éric mi l'autre a terre et sortie sa dague pour le mettre au niveau du cou de l'homme tournent rapidement la tête pour assuré ses arrière.


-AU NOM DU ROI ARRETEZ CELA !!!

Dit il d'un voix forte et clair pour qu'il cesse de résisté alors que Amarok ne cessa pas de se montrez menaçant . Eric se disait dans sa tête qu'il risquez d'être en retard mais aussi laissez une innocente se faire tapez était pas dans ses manières. il allez les mettre au cachot pour qu'il soit jugez mais il devait remettre sa lettre aussi. il regarda la femme tout en gardent sa dague contre le cou de l'un de ses agresseurs. Eric 2spèrait que sa voix forte aurait alerté des soldat de sa caserne pour qu'il fasse cela a sa place.

Les deux hommes était à présent neutralisés et tout semblait s'être arrangé à présent, la demoiselle était sauvé, les bandits hors d'état de nuire et le soleil brillait haut dans le ciel, une belle journée !

Les deux ombres qui avaient tentées de se glisser dans le dos des soldats étaient maintenant à la merci du jeune novice qu'était Éric, il avait agit rapidement, suivant son instinct chevaleresque et son sens de l'honneur insouciant et plein de jeunesse. Il avait neutralisés les deux hommes seul, avec son loup.

Le premier des opposants était plaqué à terre par le loup, maigre et le teint blafard des gens du nord, il avait ses yeux bleus rivés sur la créature qui le maintenait si fermement au sol tandis que du sang s'écoulait de ses cheveux blonds, sa tête ayant heurté le sol lorsqu'il avait été entrainé au sol par Amarok. L'épée courte qu'il portait à son flanc avait roulé à quelques mètres de lui.
Le second, quand à lui, était un homme plus musculeux que son acolyte et il dépassait Eric d'une bonne demi-tête et lui rendait une bonne trentaine de livres. Son cou de taureau était toujours menacé par la lame affûté du jeune Lockfeid et la rapidité de palier les éventuelles faiblesses qu'il aurait eu s'il avait affronté directement son vis-à-vis. De plus l'imposante hache que tenait toujours fermement le géant brun dans son poing droit restait des plus meurtrières.

Ce dernier cracha soudainement un mollard âcre et chargé d'amertume sur les dalles qui composaient le sol :

"Pt'ain, se faire avoir par un gamin comme ça, si c'est pas honteux j'vous jure ! Allez petit laisse nous partir et je te jure que toi et ta paillasse ambulante resterait en vie, Ulf le Taureau a plein d'amis en ville, et je pense que tu préférerais pas les rencontrer."

Le maigrichon retenu à terre émis alors un geignement sourd qui aurait pu passer pour un rire si il n'avait pas été sous la menace de dents acérés prêtes à mordre au moindre signal.


Hamish avait regardé d'un œil surpris le déroulement des événements, tout s'était passé très rapidement et le garçon avait résolu un problème que le vétéran n'aurait pas préféré affronter lui même, il commençait à en avoir assez de toujours se battre. Sa main toujours posé sur l'épaule grasse du tout premier agresseur, celui qui avait levé sa main sur la femme, il tourna l'homme vers lui avant de lui hurler à la face :

"Bon écoute moi bien mon gros ! Aujourd'hui j'ai pas le temps de te régler ton compte alors je te conseille de déguerpir et vite fait avant que je change d'avis et qu'on décide de te donner à bouffer au cochon ! Compris ?!"

Sans demander son reste, le bougre adipeux s'éclipsa aussi rapidement que lui permettait sa masse imposante. Immédiatement Jarlad se porta au secours de la jeune femme et la prit rapidement dans ses bras tandis que Hamish se tournait vers leur sauveur :

"Bien joué petit, on te doit une fière chandelle. Bon allez, on va escorter ces deux bougres à la caserne, on verra ce qu'on fait d'eux là bas., il allait se tourner quand il ajouta rapidement, et si t'as le moindre pépin avec les amis de nos deux malins d'ici la fin de la semaine hésites pas à demander Hamish à la caserne, je suis là bas pour le moment. Allez, suis nous !"

Le soldat se retourna alors et héla Jarlad qui venait d'en finir avec la jeune femme qui, à part quelques contusions ou hématomes s'en sortait plutôt bien et qui, après s'être relevée, prit ses jambes à son cou, probablement pour rentrer chez elle le plus vite possible et s'éloigner de tout ce malheur. Les deux soldats s'en allèrent alors vers leur caserne, accompagné d'Eric, son loup et leurs deux prisonniers, une belle petite compagnie.

Eric ne lâcha pas sa garde envers les agresseurs et il ne comprenait pas pourquoi il avais laisse l'homme partir alors qu'il était celui qu'il avait brutalisé la femme. Il avais du dégoute en le voyant faire .

*Pourquoi le relâchez, il y prenais du plaisir a la frappez*

Pensa t il Alors qu'il releva les deux autre agresseurs veillent a bien place sa dague pour évité qu'ils s'échappent. Le second arriva avec des document et fit des nœud autour du poignez des agresseurs alors qu'Eric caressa son loup qui avait bien agit pour le félicite. Il voulait allez vers la femme pour donnez un peux d'argent pour qu'elle puisse oubliez un peux cela mais celle sa était déjà partis. Il se leva et resta derrière les individu alors que l'homme se présenta. Il se nommée Hamish il n'avait pas entendu parlez de lui mais sa façon qu'il avais de regarde Eric voulait dire qu'il le connaissait.

-C'est normal monsieur, vous auriez fait la même chose si vous étiez à ma place.

Dit il alors qui se mit a le suivre avec les briguant se disant qu'il allez être en retard mais quand il vit l'adresse de l'endroit ou il devait remettre la lettre il avertie les solda et se hâta de la remettre avent de revenir dans le groupe un peux plus soulagez mais pensif. Le loup le regarda avec un lège gémissement qui força Eric de prendre la parole.

-Monsieur...je...pourquoi avez vous laissez partir cette individu, il semblait y prendre gout a frappez cette pauvre femme il recommencera...sa place n'est pas en cellule avec ses hommes ?

Dit il doucement veillent aux sbires n'osent pas dire si il se son rencontrez ou si Hamish le connaissait de nom. Il resta silencieux attendent une réponse à sa question.

La question du garçon fit sourire le vétéran d'Amon Sûl, cette question il était certain qu'elle allait lui être posée tôt ou tard après ce qu'il avait fait, que ce soit par le jeune ou par Jarlad qui marchait quelques mètres derrière, à une distance respectable de leurs deux prisonniers :

"Écoute petit, si on se mettait en tête d'arrêter tout les salauds de cette ville on y serait encore dans mille ans. Ce type n'était pas le vrai méchant, les deux bougres qu'on a là, eux c'est des durs, mais l'autre, un petit aboiement et il a déguerpit. Et puis c'est pas mon boulot d'arrêter tout les criminels de cette ville, il y a une garde civile merde ! Ces deux là ils ont tentés de nous buter, moi et Jarlad, c'est pas pareil, ils vont recevoir ce qu'ils méritent, ni plus, ni moins."

Le ton était clair et décidé, Hamish s'en voulait plus qu'autre chose de l’inattention dont il avait fait preuve et qui aurait pu lui coûter la vie, ainsi que celle de Jarlad de plus il n'était pas dans ses habitudes de se faire doubler. Si finalement les deux agresseurs ne perdaient pas la vie, il se débrouilleraient pour au moins prendre leur main, histoire d'éviter des désagréments à leurs éventuelles futures victimes.

Le regard du vétéran se porta alors sur le loup qui accompagnait son jeune compagnon, la puissante bête semblait obéir au doigt et à l’œil de son maitre et c'était tant mieux pour les deux soldats. Hamish éleva alors la voie, essayant de rompre la monotonie de ce voyage vers la caserne :

"Où as tu trouvé une bête comme celle là mon garçon ? Elles ne courent pas vraiment les rues et les apprivoiser doit être un sacré défi, t'as vraiment dû en baver."

Tandis qu'il prononçait ces paroles, le profil de la caserne se profilait une bonne centaine de mètres devant eux, ils étaient presque arrivés.

Éric baissa sa tête quand il entendu ses mots. Quand il était garde de la caserne de la capitale d'Arnor, Il passa bien du temps à courir contre les criminels a travers les rue sombre de la ville, cela lui avait laisse une cicatrice.

-J...je comprend...il y a temps a faire pour que sa soit un meilleur monde monsieur je vais partir avec vous sa se trouve mais avec se qu'il c est passe le capitaine voudra plus de moi et je retournerai a cette caserne.

Dit il tristement pensent avoir faillit a sa mission mais il le regretta qu'a moitie. Il continua à marche avec un regard pensif.

-Mais si on les arrêtait tous ...sa pourrai en découragez d'autre ...

Une tristesse pouvais s'entendre dans sa voix avec une légère colère envers les criminels, il ne comprenais pas leur geste surtout qu'il y avais des menace qui pourrais détruire les hommes. Éric savait qu'il était jeune et pas encore adulte loin encore de ses 21 ans. Mais il avais une grand volonté de rendre les chose meilleur mais son âge et son inexpérience de la vie était comme des chaines qui retenais ses ailes. Ses pensez qui trotta dans sa tête lui donna une amertume dans sa gorge. C'est alors que le vétéran fit une remarque sur se qu'il était pour lui comme un ami a ses yeux. Il regarda le loup avec un petit sourire posent sa mains sur le haut de sa tête pour le caresse.

-Pour être honnête monsieur, sa c 'est fait naturellement je l'ai recueillit alors qu'il venait presque de naitre. Il a grandit avec moi alors que c'étai le lendemain de ma première bataille. La gouvernent ma dit qu'il y avait toujours une louve prêt de moi depuis que je suis née et qu'elle veillez sur moi. J'ai était assez triste d'ailleurs quand elle a quitte l'orphelinat avec ses louveteaux. Sa ma tellement attriste que je suis allez dans la caserne en face pour m'occupez et aidez les garde. C'est la ou j ai apprit a lire quelque mots.

Eric leva la tête regardent la caserne qui avança a grand pas avec nostalgie se voyant plus jeune courir la bas.

-Désolez vous devez pas trouvez cela intéressent...

Dit t-il pensent que le vétéran disait cela que pour écoutez et non entendre toutes sa vie qui devais être rien comparez à la sienne. il proposa un bref instant son regard sur son médaillon de sa mère avent de regarde en face car il venait d'entrée dans la caserne. Un homme s'avança vers eux et reconnu Eric.

-Bonjour messieurs ...Éric ? je pensait que tu avait une permission pour voir le capitaine Dalrad, tu devrait te reposé tu va te tuez a la f...

L'homme s'arrêta quand Éric qui se trouvais un peux en retrait fit signe que les personne en face était très gradez

-Veuillez me pardonnez messieurs

Dit le soldat en se mettent au garde à vous fraisent signe à des solda de mettre les hommes au cachot. Le soldat assez âgé resta au garde a vous pense qu'il allez se faire remontez les bretelle malgré son âge.

Hamish n'avait écouté qu'à moitié la réponse d'Eric, tout occupé qu'il était à surveiller les deux prisonniers dont les yeux étaient à présent rivés vers la caserne et ce qui était peut être le dernier endroit qu'ils verraient jamais, excepté la prison dans laquelle ils moisiraient le restant de leur piteuse existence, du moins était-ce le souhait du vétéran. Ce dernier se tourna vers Jarlad :

"Bon, on va livrer ces deux là aux gardes de la ville et les laisser faire leur boulot puis on ira faire notre rapport au Capitaine, en plus il parait qu'il a un nouvel apprenti ou quelque chose du style, ça va vraiment le rendre de bonne humeur tout ça."

Les deux hommes éclatèrent alors de rire, connaissant Dalrad depuis déjà longtemps, il savait que ce dernier détestait se faire imposer et préférait largement prendre toutes les décisions seul.
Ils arrivèrent alors devant la porte de la caserne, le garde les arrêta et sembla reconnaitre le jeune garçon. La suite de son discours confirma les doutes d'Hamish et il s'avéra finalement que Eric n'était autre que le nouvel assistant de Dalrad, quelle coïncidence !

Le vétéran se tourna vers le garde en faction, lui indiquant leur deux prisonniers du doigt :

"Faudrait s'occuper de ces deux là, les faire pourrir dans un cachot bien sombre de préférence, ils ont tentés de s'en prendre à des soldats de la couronne, si c'est pas la peine de mort pour ça."

Un sourire carnassier apparut sur la face du soldat tandis qu'ils entraient dans la caserne, laissant leurs victimes au bon soin des soldats du coin. Justice avait été faite.

Il se tourna alors vers Eric, le jaugeant presque du regard :

"Alors comme ça c'est toi le nouveau, tu vas servir le capitaine si j'ai bien compris, bonne chance à toi, il est pas toujours commode mais c'est un type bien et un bon capitaine, juste avec ses homes et dur avec ses ennemis. Bienvenue parmi nous petit, il invita alors Jarlad à se joindre à eux, j'allais oublier, moi c'est Hamish, soldat de son état et lui là, c'est Jarlad, notre scribe, médecin, un peu notre homme à tout faire dans la compagnie, par contre l'appelle pas si t'as besoin de te battre, il a peur de tout le pauvre, n'empêche qu'il est bien utile !"

Un rire franc s'éleva de la part de Jarlad, il connaissait ses forces et ses faiblesses, savait à quoi il était bon ou pas et il se révélait un bon compagnon, loyal dans l'adversité. Eric devrait apprendre à connaitre ses nouveaux frères d'armes mais pour le moment ils approchaient des appartements du capitaine, et lui aussi il devrait apprendre à le connaitre.

Quand il entendit le capitaine parle de lui de façon indirecte a son collègue, Eric baissa la tête car la personne qui lui avait posez la question n'avait rien entendu de son récit. Il se sentit très rabaissez, ses amis soldats l'écoutait toujours avec attention car il parlais peux. Eric n'aimait pas parlez pour rien c'était pour lui une chose inutile. Mais ne pas l'écoutez alors qu'on lui demandait la parole était pas très polit même si il y avait un surveillance de prisonnier qui était pas dangereux ou hors d'état de nuire. L'arrivez du soldat qu'il connaissez fut brève mais lui donna un peux de réconfort a son moral qui était assez bas depuis l'entretien de son nouveau supérieurs. Il se voyait en vas d'un escaliers avec plusieurs marche de la hauteur d'un homme.

Une chose qu'il était sur c'est que Hamish serait une personne auxquelles il apprendrait beaucoup, bien qu'il aima pas trop son sourire qui lui donnais un petit air sadique. IL le pris sur lui alors qu'il reparti avec les autres personnes. Il resta silencieuse avent que le vétéran prit la parole en l'observant avec attention. Sa façon de s'approche de lui le rassura il semblait plus amical alors qu'un homme avec des documents s'approcha presque tire par Hamish. Il voyait Jarlad plus comme un homme de savoir et son visage inspirait une intelligence alors que Hamish lui le taquina un peux.

-Enchante de faire votre rencontre, j'espère que mon m'apprendrait d'autres langues et la médecin

Dit il humblement inclinent doucement sa tète pour le salué. Alors qu'il se remémora les parole de Hamish sur Dalrad. Il semblait se connaitre depuis un moment a sa façon de se parlez alors qu'il rentra dans l'enceinte du château.

-Vous vous connaissez depuis longtemps?

Dit il en les regardent avec curiosité, il était intéresse par leur récit et leur savoir, mais alors que les porte du bureau se rapprocha il se demandait si il allez les revoir. Amarok caressa la mains d'Eric avent de s'allonge sur le coté de la porte en silence après un étirement et un bâillement avent de faire une sieste. Eric se disait qu'il y avait au moins un d'eux deux qui était pas stresse.

Le capitaine Dalrad indiqua aux trois hommes qu'ils pouvaient entrer dans la pièce, et écouta leurs rapports individuels. Lorsqu'ils finirent tous de parler, il dit en fronçant ses sourcils:

-Lockfeild...sers du vin à Hamish, Jarlad et moi.

Il n'invita pas le jeune assistant à se servir. Il était difficile d'en connaitre la raison, mais l'on pouvait supposer qu'il ne désirait pas créer une relation trop cordiale avec un assistant qui venait de commencer son travail. Lorsqu'Eric effectua l'ordre, le capitaine Dalrad prit la coupe de sa main unique, et dit à Hamish:

-Tu te fais vieux, Hamish...laisser deux ordures t'approcher par derrière inaperçus? La vie urbaine te rend mou, ma foi. Jarlad, j'aurai besoin de tes services demain...il faut aller chercher les provisions pour Amon-Sûl; cinquante paires de gants de cuir, quelques tonneaux de viande salée et de bière, des lances et des flèches...tu connais la routine. Ah oui, et passez par la caserne aussi...apparemment on reçoit cinq nouveaux hommes. A mon avis il s'agit soit de blancs becs, soit d'ordures de la pire sorte. Vous verrez bien demain.

Il tourna à nouveau son regard vers Eric:

-Alors Lockfeild...tu as apporté la lettre comme je te l'avais demandé, et tu as fait preuve de courage et de clarté d'esprit au combat contre des criminels. Pour cela, tu gagnes une nuit supplémentaire en tant que mon assistant. Cependant, tu as aussi manqué d'effectuer un de mes ordres directs, de ne pas t'arrêter sur le chemin. La lettre que tu portais aujourd'hui n'avait aucune importance; je n'aurais pas confié un document précieux à un blanc-bec qui m'est presque inconnu. Mais un jour, tu te retrouveras dans une situation où afin de remplir un ordre important, tu devras ignorer ce que ton coeur te dit. Et si la lettre que tu transportais contenait des informations nécessaires à la survie de toute la garnison d'Amon Sûl, et tu périssais au combat contre des brigands pour sauver une seule femme? L'obéissance, mon garçon. Le respect des ordres. Ne l'oublies pas...c'est un avertissement ici. Ca pourrait être la cour martiale à Amon Sûl. Dans tous les cas, tu mérites une leçon. Tu lessiveras toutes mes tuniques et chemises, tu les trouveras dans la garde robe. Ah oui, et une fois que tu as fini, apportes nous à manger des cuisines. Tu pourras toi même souper par après. Ce sera tout pour aujourd'hui, Lockfeild. Demain tu accompagneras Hamish et Jarlad.

Les paroles du capitaine furent sévères mais justes, du moins de sa perspective. Restait à voir comment les interpréterait le jeune homme.

***

La nuit était tombée depuis plusieurs heures, et le jeune assistant s'était déjà retraité dans sa petite chambre en face des appartements du capitaine.

Les joues du capitaine Dalrad étaient rouges, et ses gestes maladroits alors qu'il titubait à travers la grande chambre. Il tenta de se verser une autre coupe de vin, mais son handicap et son état menèrent à un accident malheureux. La carafe élégante tomba de ses doigts et se heurta sur le rebord de la table. Le vin rouge gicla, accompagné d'éclats de verre. Quelques tâches apparurent sur les documents posés sur le bureau. Dalrad regarda sa main, et lança un juron incohérent; un éclat de verre était venu se planter dans sa paume tel un poignard de glace, en causant une hémorragie abondante, bien que peu dangereuse.

Ivre et irrité, le capitaine attrapa maladroitement la sonnette et la fit sonner plusieurs fois.

-Gamin! Lock...fel..t'es où...on te paye pas pour dormir! Un sold...at du roi ne dort jamais...!

La voix rauque de Dalrad s’élevait de plus en plus fort, alors que la clochette vibrait dans sa main ensanglantée.

A peine qu’Éric entra dans le bureau que le capitaine lui ordonna un nouvelle ordre. Il s'exécuta sans prête attention qu'il avait pas le droit de se servir. Il aimais pas la bière et l'alcool par son gout amère pour lui, mais aussi pas que qu'il fessait faire au personne qui en buvais de trop. Il avait vu des frères d'arme de nature sympathique devenir une brute à cause de se breuvage. D'ailleurs après un incident le chef de caserne avais donnez de nouvelle règle comme l'interdiction d'en boire temps que les soldat portait l'uniforme. Les soldats avaient le droit d'en boire qu'en permission. Cela avait ramener de l'ordre et l'hygiène ainsi qu'la bonne humeur étaient revenue.

Après que le jeune apprenti servit les hommes le capitaine le félicita puis le mit en garde pour la suite des événements. Éric dit oui d'un signe de la tête pour ne pas l'interrompre. Dalrad lui demanda d'accompagner ses frères d'arme pour les taches du lendemain et lui demanda de quitte la pièce. Éric profita d'un petit moment de répit pour allez se promenez en foret avec Amarok pour s’amuser avec lui et mangé avent de rentrez dans sa chambre une heure plus tard âpres qu'il se soit lavez et fit de même avec Amarok. Il était toujours à cheval sur ce point de détaille il n'aiment pas être sale et dormit dans un lit s'en s'être lavez. Il s'allongea sur le lit pensif alors que le loup sauta aussi dessus pour s' allongé aussi.

Il se remémora se qu'il avait fait aujourd'hui et il trouva cela assez rabaissent d'être devenu un assistant d'un capitaine. Il se disait que si un assistent était que de fait office de serveur ou de d'être message autant qu'il devait retournez à la caserne. On lui dirait cela avec plus de respect que la façon que Dalrad lui demandait de faire ses taches. Cette promotion avait un gout amère dans la bouche du jeune soldat. Il fini par se dire d’arête de pense et de dormir temps qu'il le pouvais et le fit contre le loup qui lui tenait chaud dans cette pièce sans cheminé.

Alors que Éric dormait profondément un bruit fit réveillez le loup. Celui si leva doucement la tête encore endormit mais il sursauta quand il entendit un morceaux de verre brisez. Celui ci se demanda se qu'il se passa avent qu'un juron se fit entendre et qu'une clochette se mit à sonnez. Amarok regarda Éric qui semblait bien de trop dormir et se mit à le poussez pour le faire tombez du lit quand les voix du capitaine et les sonnerie de clochette se fit plus entendre. Éric se réveilla en sursaut et quand il entendit les clochettes il se leva rapidement pour se mettre présentable caressent rapidement son loup pour lui dit de se rendormir.

Éric arriva rapidement dans la chambre du capitaine pensent que c'était un peux plus un caprice qu'autre chose mais quand il ouvrit la porte il fut surprit de voir se qu'il voyait. Il voyait une chambre en désordre avec un capitaine ivre et à l'apparence fragile pour ne par dire minable. Quand Éric vit la maint du capitaine blessé il prit un morceau de tissus.

-Attendez je vais vous soigniez cela .

Dit il doucement en l'aident à s'assoir en prennent sa main doucement pour retirez le morceau de verre et versa un peux d'alcool pour cicatrisez puis après avoir essuyé le sang il enroula le morceau de tissus regardent avec tristesse le capitaine. Puis il dit d'un ton convalescent.

-Je peux devinez que se bras vous fasse mal monsieur mais... je pense pas que c'est en buvent que vous oublierez cette douleur qui es en vous... regardez elle vous apporte que plus de douleur.

Dit il avec tristesse. finissent le bandage.

La rapidité avec laquelle Eric avait réagi à l'appel du capitaine lui aurait probablement permis de marquer un point ou deux dans l'estime de Dalrad. Cependant, dans son état actuel, l'officier n'avait pas la tête à ca.

Lorsque le jeune assistant ouvrit la porte et commença les soins, le capitaine se laissa faire. Cependant quelque chose dans la voix d'Eric l'irrita; il s'agissait peut être de la pitié, ou du ton trop protecteur, voire maternel du jeune homme...Il le laissa finir le bandage, mais rétorqua aussitôt:

-La douleur...t'...tu connais rien d'la douleur, jeunot...[b]la douleur c'est pas un mauvais moment à passer, suivi par des cicatrices glori.rieuses..C'st se réveiller chaq' matin...et se coucher chaq' soir avec le même supplice...


Dalrad, qui s'était momentanément posé sur une chaise afin de faciliter la tâche à Eric, se releva à présent, et s'approcha de la bassine d'eau posée sur une table dans le coin de la chambre. Il y plongea sa tête toute entière, et la laissa submergée pendant un long moment. Lorsqu'il remonta à la surface et prit une longue inspiration, sa voix se fit plus claire, bien que l'alcool n'avait pas encore lâché son emprise.

-A ta place je réfléchirais deux fois, Lockfeild...tu es ambitieux, et deviendras peut être un jour officier si tu le souhaites autant...mais cela n'en vaut pas toujours la peine. J'échangerais volontiers ma place avec la tienne. Faire la lessive et servir du vin en échange d'envoyer des hommes à la mort, de sentir la responsabilité pour les villages brûlés par les gobelins, de juger et condamner des déserteurs qui firent un jour des compagnons d'armes...j'échangerais volontiers les luxes de ces appartements contre une nuit de sommeil paisible...réfléchis bien à ce que tu désires...

Le capitaine soupira lourdement, et défit les boutons de sa tunique d'uniforme de façon maladroite, en se servant des doigts de sa main blessée. Une fois la tâche effectuée, il l'enleva, et ajouta, d'une voix beaucoup plus calme, et presque sobre:

-Vas te coucher, Lockfeild...tu as une longue journée devant toi...ne parles plus de cette nuit.

Sur ces mots, Dalrad se coucha lourdement sur son lit, faisant signe à Eric qu'il pouvait disposer.

***

Le lendemain matin, le capitaine ne demanda pas la présence de son assistant, et la porte de ses appartements demeura fermée. Un cuistot vint cependant prévenir Eric, Hamish et Jarlad que du café chaud ainsi que du pain fraichement sorti du four les attendaient aux cuisines, ayant été préparés par l'ordre du capitaine...

HRP Je vous laisse continuer le RP à deux pour le moment HRP

La nuit était passée rapidement pour Hamish. Après avoir disputé quelques parties de dés avec les gardes de la ville - parties remportées soit dit en passant - le vétéran s'était retiré dans ses appartement où Jarlad lisait une fois de plus un de ses nombreux livres qu'il gardait toujours près de lui, à croire qu'il passait tout son temps libre à lire.

Le soleil commençait sa lente ascension quotidienne quand les deux soldats se levèrent, à peine sortis des modestes appartements qui leur avaient étés attribués qu'ils tombèrent sur un des cuisiniers de la garnisons qui leur indiqua que leur déjeuner, commandé par le Capitaine, était prêt, une bonne journée qui commençait donc !
Alors qu'ils descendaient aux cuisines, ils croisèrent Eric que Jarlad apostropha immédiatement, l'ayant repéré le premier :

"Hey Eric, le Capitaine est pas avec toi ? Enfin pas grave, il nous as payé le déjeuner après tout !"

Les trois hommes se dirigèrent ensemble vers la cantine, remplie à cette heure-ci. Après avoir récupérés leur petit déjeuner composé d'une cruche de café et d'une magnifique baguette de pain tout juste sortie du four, il s'installèrent sur une table vide.
Se coupant le quignon du pain pour lui même et se servant un verre de café, Hamish tourna son regard vers Eric :

"Alors, cette première nuit en compagnie de notre bon Capitaine ? Pas trop dur j'espère, il est pas toujours tendre le Dalrad, il mordit un coup dans la mie du pain avant de reprendre, t'es déjà allé à Amon Sûl au fait ou ce sera ta première expérience en dehors de cette magnifique ville ?"

Un sourire sympathique apparut sur la face buriné du vétéran, mais c'est qu'il commencerait presque à l'apprécier ce nouveau !

Éric n'avait pas dormis du reste de la nuit, les mot de son capitaine résonna dans sa tête comme le son d'un marteau sur une enclume. Son loup lui s'était rendormis après un bayement. A l'aurore Éric et Amarok partir pour que son loup puisse chasse. Mais l'hors se qu'il revenais au château et passa a la cuisine pour préparé la viande le cuisinez lui demanda de revenir plus tard car son supérieur leur avait offert un repas en groupe. Il déposa les 2 lapin pour que celui ci le prépare pour le loup et rentra dans sa chambre afin d'observez la table en jouent avec sa dague dans ses pensez.

Quand l'heurs d'allez déjeunez arriva il se leva et alla avec Amarok se dirigé vers la cantine. IL était un peux perdu avec ses couloir qui se ressemblait mais Amarok sentent la nourriture passa devant pour le guidé. Alors qu'il avança dans les couloir et que l'odeur du café se fit sentir, la voix de Jarlad. Eric sourit et leur dit bonjour. Alors qu'il se servi Amarok attendit a une table vide son repas silencieusement . Eric prit que le pain car il aimait pas le café.

-Veuillez me pardonnez doit allez voir si les cuisinier on préparé le plat pour Amarok

Dit il poliment et revenu avec un saladier de viande de lapin cru et avec une carafe d'eau chaud. Il déposa le plat de viande prêt de la table et Amarok heureux mangea dedans en silence alors qu'Eric s'installa sur la table avec la carafe d'eau chaude et sorti une bourse ou des plantes se trouvaient a l'intérieurs. C'est alors que Hamish prit la parole .

-C'est la première fois que je vais quitté la ville ma sa va me faire bizarre...c'est un peux comme ci une page allez être tournez.

Dit il en mettent les feuille de plante dans le font de la tasse et il versa l'eau chaude.

-Mais je suis aussi impatient d'y allez, j'ai toujours aimez l'histoire du roi Aragon et c'est un endroit ou les murs on une histoire intéressent.

Dit il avec un petite passion et tristesse de ne plus revoir la ville de son enfance .Sa tête dans les pensé alors qu'il fit les feuille formez un barrage âpres une bouche de pain. Il s'arrêta un moment silencieusement et regarda Jarlad.

-Maitre Jarlad avez vous des carte détailles du royaume ?

Dit il le regardent.

-Par détaillez je veux dire les hauteurs cour d'eau avec des annal des attaque gobelin ?

Dit il le voyant mangez sa ration de pain.

Le plat qui avait été préparé pour le loup d'Eric semblait presque meilleur que ce que pouvait manger les soldats de la ville, ce qui fit sourire les deux soldats qui se souvenaient des rations qu'ils devaient parfois manger quand ils étaient en mission. Avoir un loup avec soi pouvait apporter de nombreux avantages non négligeables, après tout l'animal était un meilleur chasseur que la plupart des soldats même munis d'un arc.

Lorsque Lockfeild évoqua le roi Aragorn, le visage de Jarlad s'illumina, ce dernier adorait les anciennes histoires qui parlaient des grands héros de la fin du Troisème Âge et il disait à qui voulait l'entendre qu'il était un descendant d'un des membres de la Compagnie Grise qui accompagna le Haut Roi sur les Chemins des Morts et jusqu'aux Champs du Pelennor. Quand vint la question des cartes, il répondit rapidement au jeune assistant :

"Des cartes, j'en ai, ouais, pas mal qui trainent à Amon Sûl, pour venir ici je n'ai pris que celle de la région proche. Par contre elles ne sont pas aussi détaillées que tu le voudrais, même si de nombreuses indications figurent dessus, quelques une sont même de moi. Mais ce sont pas les légendaires cartes faites par Aragorn ça c'est sûr, il sourit à l'évocation de ce mythe qui voudrait que les cartes dessinées par Elessar aient étés perdues dans les Galgals, et aussi, si tu veux avoir de belles histoires avec des attaques de gobelins, il y a pas mal de journaux écrits par des soldats qui trainent dans toutes les bibliothèques, tu peux trouver ça facilement."

Il accompagna la fin de sa tirade d'un clin d’œil en destination du jeune homme avant de se tourner vers Hamish qui commençait probablement à s'ennuyer ferme, la littérature où toutes les notions pratiques n'étaient pas sa préoccupation principale. Il se leva alors en poussant sa chaise vers le mur :

"Bon je vais m'entrainer un peu, si ça t'intéresse Eric, tu es le bienvenu, Jarlad est vraiment pas un bon partenaire pour se perfectionner."

Un sourire amical lui traversa le visage avant qu'il ne s'engage dans les escaliers afin de se munir de son équipement et démarrer son entrainement quotidien. De plus ce petit test permettrait de juger des réels valeurs martiales du jeune novice.

Eric sourie à Jarlad, il semblait si connaitre en histoire. C'était une très bonne chose lui qui aimez les livres. Jarlad avais selon ses dirent tous se qu'il avais besoin pour son projet. L'historique des attaque gobelin sur le royaume pour les position. Des cartes mais qu'il savait qu'il devrait les refaites. Il resta silencieux réfléchissent a pas mal de chose dans sa tête tout en finissent sa ration de pain.

Sa serait avec plaisir que vous m’apprenez l'histoire maitre Jarlad.

Dit-il avec un sourire finissent sa tasse de tisane. Il se demandais si son idée allez prendre tous une vie. Alors qu'il était à ses pensez Hamish se leva et invita Eric de venir avec lui pour son entrainement quotidien. Il sourira et se leva alors que le loup lécha le bol qui était vidé et il saisi la gamelle pour le déposé au niveau de la cuisine et alla rejoindre Eric pour allé le léché alors qu'il était en trin de se levé. Eric grimasse un peux sentent un peux la gueule de son loup pensent à allez lui faire lavé cela quand il aurait le temps faisant une caresse .

Il se leva disent au revoir à Jarlad et suivi Hamish avec son loup qui se rendit dans une cour vide à cette heure. Ils y avaient quelques armes mi sur des stades. Amarok alla dans un coin et s'allongea baillent un peux puis se mit a regardez Eric en se lâchant les babines. Eric se mit en face du vétéran à bonne distance au cas ou il décidait de le mettre à l'épreuve. IL ne pouvais s'empêché de dire que Amarok avait la belle vie.

-Qu'allons nous faire ? je vous prévient je ne suis pas bon à l'arc pour les cibles mouvante.

Dit il regardent Hamish, pour qu'il sache ses points faibles et le regarda dans un silence. Le temps était couver mais pas pluvieux avec un vent frai qui lui gelas ses mains.

-Pensez vous que sa dérange pas le capitaine que je suis avec vous ?

Dit il car il était inquiet le capitaine ne lui avait pas dit qu'il n'avez plus à s'inquiète. Il aimait pas être dans cette état de stresse.

"Et ce sera avec plaisir que je te l'enseignerais mon garçon."

Ce furent les derniers mots de Jarlad avant que ses deux compagnons ne se dirigent vers l'extérieur pour s'entrainer à l'habitude des soldats tels que Hamish. De son côté le scribe remonta en direction de ses appartements histoire de compléter son journal avec les événements de la veille qu'il n'avait encore pu consigner.



Une fois arrivé à l'extérieur, Hamish inspira un bon coup, s'imprégnant de l'air pur de la ville en cette fin du mois de novembre. Les nuits étaient déjà fraiches et le vétéran sentait dans ses os que l'hiver serait rude cette année, plus rude que la plupart des hivers qu'il avait pu connaitre en vérité. Les mots d'Eric le tirèrent de sa rêverie et il eut un sourire amusé à la remarque du garçon à laquelle il répondit nonchalamment :

"T'en fais pas, le Capitaine te le feras savoir quand il aura besoin de toi, pour le moment je pense qu'un peu d'exercice ne nous fera pas de mal. Prends toi une des épées en bois qui traine là bas et prépare toi au combat petit, on va voir ce que tu vaux."

Hamish se saisit lui même d'une des épées d'exercice qu'il avait désignés au préalable et se mit en garde. Même si elles ne comportaient pas de tranchant, les épées qu'allaient manier les deux soldats restaient assez lourdes pour briser des os et causer maintes blessures handicapantes pour la suite. À eux d'être rapidement et d'éviter promptement les coups de leurs adversaires.

Eric se mit à son tour en position de combat, paré à l'affrontement. Les deux adversaires se jaugèrent du regard pendant une dizaine de secondes avant que Hamish se démarre l'assaut.
Il s'élança sur son opposant et lui porta un coup d'estoc en direction de son flanc droit, coup qu'Eric bloqua aisément. Le coup avait volontairement été simple à parer, le vétéran ne voulait pas défaire Lockfeild si rapidement.

Quelques passes d'armes de circonstances meublèrent la suite du combat avant que Hamish ne décida de se remontrer plus offensif. Il feinta à droite avant de rediriger son arme vers le flanc gauche du jeune homme, laissé libre par la feinte qu'avait tenté de parer le jeune novice. Le son du bois sur les habits d'Eric résonna dans la cour.
Hamish recula alors de quelques mètres histoire de reprendre son souffle et de laisser à Eric le temps de se remettre d'aplomb. Il était sûr que ce dernier ne tarderait pas à passer à l'attaque à son tour et c'était tout ce qu'attendait le vétéran.

Le vétéran rassura Eric sur son rôle d'assistant et lui demanda de prendre une épée en bois. Il se dirigea vers les présentoir afin de saisir l'épée avent de se replacé au niveau de la cour. Il aimez pas trop se battra avec des épées humaine. Il les trouvais lourd, peux maniable et moche. c'était pour cela qui rêvé de s'acheté une épée Elf qui était plus dans son style de combat. Il resta silencieux se placent face à Hamish. Il se mit en garde défensive, la lame positionné au milieu proche du corps pour paré rapidement les coups.

Éric savais que si il attaquerait en premiers il ferait une erreur et le vétéran qui avait vus des hivers le bloquerai aisément et lui donnerait un coup. La premières attaque d'Hamish fut facile a bloqué pour Eric mais il fut surprit par la puissance de l'attaque. Il pouvait deviné la taille des muscles du mentor. Celui ci ne tarda pas à relancé l'attaque mais Éric ne vit pas la fiente. Eric se disait que Hamish allez voir ses base et rien d'autre, son erreur allez vite se faire sentir pour Éric. IL sentit une douleur a son bras poussent un petit bruit remplis de déception et un peux de douleur.

Alors que Hamish se remit en garde Éric réfléchisse rapidement a une façon de touché son adversaire. Le royaume d'Arnor était réputé pour les soldats à épée à 2 mains, les rodeurs en avaient fait leur arme favorite cars avec les long périple ils ne pouvait pas prendre un bouclier qui devenais gênent pour les déplacement et mission. Éric n’échappai pas à cette règle. Mais après son baptême de sang, il avait remarque que les déplacements était vite visible. Il voulait trouvé une certaine élégance a ce type d'arme considéré comme brutal et lent.

Éric changea de position au niveau de ses pieds et dut reste puis il alla vers son adversaire pour faire croire à une attaque latérale. Le but de la fin était sur le blocage. Il voulait faire croire qu'il avait pas protégé son corps il n'avait plus qu'a faire un cercle vers le bas avec son arme pour passé le corps pour ensuit touché l'arrière du cou de l'adversaire. La feint avait l'air de marche car sa lame allez touché le cou de Hamish se qui le rendit heureux d'avoir réussi cela mais il sentit un coup violent au niveau de ses cotes.

C'était le pommeau de l'épée de bois qui l'avait touché. La douleur a cette endroit fut assez douloureuse qu'il poussa un cris lâchant une de ses mains pour allée se posé la ou il avait mal. Il se disait qu'il aurait du donné le coup au coup mais c'était pas dans sa nature. Il serra ses dents puis il planta l'épée dans la terre humide pour s'y appuyé comme une canne. Amarok grognai un peux dans son coin mais il ne bougea pas.

-J'aime pas cette épée elle est beaucoup trop long pour se que je veux faire. C'est pour sa que mes placement et trop longue et c'est pour sa que le me suis blessé l'hors de la bataille.

Dit il la gorge serre avec déception et douleur. Hamish avait touché l'endroit ou le gobelin l'avait eu et c'était encore en endroit fragilisé. Bien sur le vétéran pouvais que l'ignoré, Mais dans la voix d'2ric pouvais aussi se faire ressentir une douleur bien plus profond, une douleur mentale. Éric était une personne qui ne disait jamais les chose et cela s’accumulait au fil des années. Il massa sa cote un court moment avent de reprendre l'épée de bois voulant continué l'entrainement malgré la douleur.

-Veuillez m'excusé de mon comportement

Dit il avec remord se tenant un peux penché avec la douleur.

Hamish écouta avec un certain amusement les propos du jeune homme, faisant tournoyer sa propre arme dans les airs. Malgré tout ce que pouvait dire Eric, il avait tout de même failli toucher le vétéran et il aurait réussi si les vieux réflexes guerriers de ce dernier ne l'avait pas sauvé de la mort, même factice.

Il allait se diriger vers le jeune assistant pour le rassurer quand à ses capacités quand la voix de Jarlad retentit dans la cour :

"T'excuses pas Eric, ce vieil ours d'Hamish en a défait des sacrément plus gros que toi sans forcer son talent. Il est le meilleur partenaire sur lequel tu pouvais tomber !"

Les deux hommes éclatèrent alors de rire tandis que le scribe donnait une tape amicale dans l'épaule du jeune homme.



La voix de stentor du capitaine Darlad s'éleva alors dans la fraicheur matinale, telle une lame affûtée tirée de son fourreau :

"Lockfeild, mon café ne va pas se servir tout seul, dans mon bureau immédiatement ! Jarlad, Hamish, dans mes appartements, on doit parler un peu."

Les trois hommes se dirigèrent vers les appartements de Darlad tandis qu'Eric se dirigeait, quand à lui, vers les cuisines en quête du café de son Capitaine. Une fois les marches avalées et les fesses bien calées sur leurs fauteuils respectifs, Darlad se tourna vers ses deux compagnons d'armes, allant droit au but :

"Bon, les gars, les nuages se massent à l'est, il parait que l'hiver va nous en faire baver cette année. On lève le camp plus tôt que prévu, je voudrais pas me faire surprendre par la neige, préparez vos bardas, on part en début d'après-midi."

Jarlad et Hamish acquiescèrent silencieusement, et échangèrent un regard entendu ainsi qu'un petit sourire, ils étaient heureux de partir et de retrouver leurs compagnons d'armes. La porte s'ouvrit alors, dévoilant le visage d'Eric qui portait le café au capitaine, ce dernier ce tourna vers lui, un sourire au coin de sa lèvre :

"Merci petit, et maintenant file rassembler tes affaires. Départ cette après-midi après le déjeuner. Et charge toi des provisions, tu veux ? Des provisions pour cinq jours devraient suffire. Hamish tu te charges des couvertures et tu nous prends de quoi tenir face au froid, tu les mettras sur le cheval. Jarlad tu regardes tes cartes et tu nous cherche le meilleur itinéraire, et en vitesse s'il vous plait !"

Portant la tasse de café à sa bouche, il se délecta de sa boisson tout autant du spectacle qu'offraient ses hommes en plein préparatifs du départ, qu'il était bon de commander.

Les propos de Jarlad le rassura, mais cela fut de court durée car le capitaine Darlad les appela. Éric n'aimais pas trop la façon pas laquelle le capitaine s'adressait à lui.Il se disait que sa pourrait être que pacagé et qu'un moment il lui parlera de façon plus respectueuse. Éric alla a la cuisine pour prendre du café bien chaut avec une portion de pain pour le déjeuné du capitaine. Il arriva dans le bureau et déposa le café et le pain sur la table. IL fut surpris d'apprendre qu'il allez partir aujourd'hui.

Le capitaine lui demanda de préparé ses affaires mais il avait rien a par les vêtements qu'il portait. Il ne savait pas comment il devait préparé les provision car il n'avait jamais fait cela. Mais cela ne le fessait pas peur non plus c'était rien il devait prendre assez de chose pour eux et Amarok et lui pouvais allez a la chasse pour prendre de la viande. Il fit signe de la tête pour dire qu'il avait bien comprit son ordre mais avant qu'il passe par la porte il se retourna pour demandé quelque chose au capitaine.

-Monsieur...p...puis je allez voir se qu'il fut ma seul famille après avoir fait les provision. Je le reverrais s'en doute jamais et se voyage sera le plus importent pour moi...car sa sera comme quitte ma jeunesse.

Dit il doucement, sa mains tremblait légèrement sur la poigne de la porte du a l'émotion. Pour Éric se dépars avait quelque chose de symbolique comme si il savait qu'il changera à son retours. Il attendit la réponse de son capitaine avent d’aller exécuté sa tache.

Le regard acier du Capitaine se darda sur le jeune Eric qui patientait, attendant le consentement de Dalrad pour sa requête qui était des plus légitimes, quitter son enfance n'était pas toujours chose aisé. Après un léger soupir, il lui répondit rapidement :

"Vas y petit, mais sois bien là après le déjeuner, je suis pas sûr que j'aurais la patience de t'attendre."

Un sourire moqueur apparut sur le visage buriné du Capitaine tandis qu'il se replongeait dans ses papiers, invitant tacitement à Eric de se retirer.


L'astre solaire était à son zénith lorsque Hamish et Jarlad se retrouvèrent dans la cour, le vétéran venait de finir de fixer les couvertures ,et d'autres ustensiles indispensables à un voyage tel que celui-ci, sur la selle de leur unique cheval. Ce dernier accompagnait la petite compagnie depuis leur départ d'Amon Sûl et il brûlait d'envie de retrouver ses grandes pâtures qui entourait les baraquements près de l'ancienne tour de garde.

Jarlad avait son sac en bandoulière d'où dépassait maintes cartes et autres papiers plus ou moins utiles, il s'assit sur un rebord et regarda travailler son ami ainsi que quelques soldats qui s'entrainer dans la fraicheur ambiante. Il avait mis sa fourrure en précaution et quand il vit que le Capitaine arrivait muni de la sienne, il se dit qu'il n'avait pas forcément eu tort.

Darlad avait lui même un sac muni de ses effets personnels et regarda avec un petit sourire en coin ses deux hommes qui préparaient leur départ :

"Bon, messieurs, on lève le camp d'ici d'ici dix minutes. Où est Lockfeild ? Il devait se charger de notre pitance, s'il nous a lâché, je vous préviens qu'il s'en souviendra toute sa vie."

Il avait fini sa petite réplique quand Jarlad pointa du doigt la porte de la caserne d'où venait d'émerger Eric, les bras chargés d'un sac qui contenait assez de nourriture pour les nourrir durant la totalité du voyage. Darlad eu à son tour un léger sourire avant de s'adresser à son assistant :

"Bien joué petit, on est pas prêts de mourir de faim. Partage ce que t'as avec les autres, y aurait pas de raison que ce soit toi qui porte tout !"

Ils s’exécutèrent rapidement rapidement et tout les hommes se retrouvèrent à porter des charges à peu près égales. Après leur avoir laissé quelques minutes de pause, le Capitaine donna le signal du départ.

Ils étaient partis, direction, Amon Sûl !

Après avoir eu son arme qu'il enveloppa d'un tissu précieusement il alla dire ses adieux a l'orphelinat leur promettent de leur donné un peux d'argent pour que les future orphelin ayent une éducation et qu'il puisse avoir un bon travail. Se fut assez dure de faire cela pour lui alors qu'il retourna au cuisine pour prendre les provisions. Il avait une petite larme a l'oeil et Amarok gemissa tristement. Alors qu'il se mi a genou pour avoir une meilleur prise pour prendre le sac le loup lui fait quelque léchouille se qui rendit le sourire. Il le caressa doucement un bon moment puis il pris le sac contre son dos pour se rendre au lieu de rendez vous.

Eric arriva au lieux ou ceux trouvais les cinq soldats et Le capitain avec Hamish et Jarlad. IL s’exécuta pour donné la part de ration à chaque de façon égale dans leur sac et fit de même au officier. Son sac était bien léger, tous les soldats avaient les affaires personnel et Éric lui avait que sa ration. Il profita pour y mettre son duvet et tissu ainsi que son arme neuf à l’intérieur de son sac. Il prit du temps pour caresse son loup pour s’occuper de lui un moment puis quand le capitaine Ordonna le départ il se leva et commença la marche.