4 résultats trouvés pour Nerwa

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Sujet: L'arrivée à Edoras
Ivy

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Rechercher dans: Edoras   Tag nerwa sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: L'arrivée à Edoras    Tag nerwa sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyJeu 25 Avr 2013 - 11:34
Voila deux jours qu’Isabella et sa fille, Nerwa, se déplacent seules sur les routes. Les deux autres jeunes femmes, qui les accompagnées, avaient choisi de faire leur bout de chemin chacune de leur coté. Tout était blanc autour d’Isabella et sa fille. De la neige à perte de vue quand soudain Nerwa se retourna et dit à sa mère :

« Maman, regarde il y a une ville au loin devant nous ! Pourrons-nous nous y arrêter ? je commence a fatigué et j’aimerai passer une  bonne nuit dans un vrai lit. »

« Oui ma chérie, ce n’est pas vraiment une ville c’est la cité des rois et la capital du Rohan. C’est Edoras ! C’est ici que l’on va essayer de s’installées toutes les deux. J’aimerai que l’on puisse s’installé afin de pouvoir te donner une vie plus saine et plus normale pour une fille de ton âge. »

Nerwa fut extrêmement touchée par ce que venais d’annoncer sa mère. Certes la vie de voyageuse lui plaisait, mais c’est vrai qu’elle rêvait du jour où elles pourraient s’installées et vivre normalement.

Plus elles avancèrent et plus la cité commença à croitre devant elles. Nerwa contempla tous les détails qu’elle pouvait apercevoir, comme une petite fille contemplerait son cadeau d’anniversaire. C’était la première fois que la jeune fille entra dans une grande cité. Au moment de passer entre les tertres des rois, Nerwa s’arrêta et détailla ces dix-sept tertres en détails avant de demander à sa mère :

« Dit maman, qui sont-ils ces gens là ? »

« Ce sont les rois qui ont gouverné Edoras dans le passé. C’est eux qui ont fait en sorte que cette cité ait cette renommé. »

Nerwa sembla satisfaite de l’explication de sa mère alors qu’Isabella, quand à elle, s’en voulait de ne pas pouvoir en dire plus long sur l’histoire de la cité. En effet elle ne connaissait pas en détails l’histoire de la cité.

C’est ainsi que les deux femmes commencèrent à avancer sur la route en lacet qui menait aux portes de la cité.

#Isabella #Nerwa
Sujet: Le chien aboie, les voyageuses arrivent [Pv Ivy et Eliah]
Ivy

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Rechercher dans: Les Prairies   Tag nerwa sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Le chien aboie, les voyageuses arrivent [Pv Ivy et Eliah]    Tag nerwa sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyLun 11 Fév 2013 - 16:07
Eliah, Ivy et Nerwa chevauchèrent pendant plusieurs heures sans s’arrêter comme pour fuir un mauvais rêve qui s’était passé. Plus elles avancèrent, plus elles se rendirent compte que personne ne s’était aventuré au devant du chemin qu’elles empruntèrent. Alors que le soleil brillait au zénith, les trois filles décidèrent de s’arrêter et de manger un petit peu de la bonne nourriture que Ruben leurs avait donné. A chaque bouché Ivy repensait à la gentillesse de l’aubergiste et se promis d’y retourner plus tard afin de le remercier d’avantage pour tout ces mets qui leurs avaient donné sans même demander quelque chose en retour.

Leur repas engloutis, elles chargèrent à nouveau leurs montures et décidèrent de repartir. Ivy se rendit compte que hormis leurs traces de pas il n’y en avait pas d’autres. Elles avancèrent prudemment dans de la poudreuse pendant bien des heures quand soudain Maveli, la jument d’Eliah, commença à s’agiter dans tout les sens. Il est vrai qu’étant donné que su fut une jument qui lui avait été donné, celle-ci, au bout de plusieurs heures, du se demander pourquoi ce ne fut pas sa maitresse habituelle qui la chevauchait. Quand soudain la jument du en avoir marre de sa nouvelle maitresse et se cabra envoyant Eliah, qui pourtant était bonne cavalière, à terre. Eliah tomba dans la poudreuse, ce qui amortit sa chute.
Aussitôt Nerwa se lança au galop afin de rattraper Maveli, elle encouragea Grim, son étalon, à forte voix et celui-ci se mis à galoper de plus en plus vite.
Ivy se mis au trop et d’une main sure, qu’elle tendit à Eliah au moment de passer juste à coté d’elle, fit monter Eliah derrière elle. C’est ainsi qu’Eliah et Ivy galopèrent, sur Largos, dans les traces laisser par Grim et Maveli.

Ce fut qu’au bout d’un quart d’heure que Grim, chevauché par Nerwa, pu rattraper Maveli. Nerwa pu rattraper Maveli uniquement car Grim était jeune et pleine de puissance et qu’elle était encore qu’une enfant. En effet ce fut cheveux au vent et à toute vitesse qu’elle galopait à travers les pleines remplies de poudreuse. Nerwa pu attraper les reines de Maveli, qui flottaient au vent, juste au moment ou la jument avait ralenti pour économiser quelques une de ces forces. Nerwa descendit de Grim de toute hâte afin de calmer Maveli. Cela lui rappela tout les moments passer avec son père et sa mère à s’occuper des chevaux qu’ils élevaient.
Cependant Maveli, galopant sans cavalière, et Grim, chevauché par Nerwa, avaient galopaient assez loin pour ne plus voir Ivy et Eliah. Nerwa décida de mener les deux chevaux par les reines afin de les reposer un peu. Largos les rejoignit que longtemps après. Ivy descendit de toute hâte afin de prendre Nerwa dans ses bras puis lui dit :

« Ma fille, ce que tu as fait est très gentille et très courageuse, tu tiens vraiment de ton père. Cependant tu m’as faite très peur. Cela fait plus d’une heure que nous ne te voyons plus. Peux-tu imaginer à quel point tu nous as fait peur ? »

Ivy eu des larmes chaudes qui perlaient sur ses joues. En effet n’ayant plus que Nerwa, ce fut la seule chose qui lui fit peur tous les jours, perdre sa fille, sa prunelle, sa raison de vivre tout simplement. Nerwa essaya de dire quelque chose à plusieurs reprise pendant que sa mère parlait, mais elle ne pu placer un mot tellement sa mère fut bouleverser. Une fois qu’Ivy avait terminé, Nerwa prit sa mère dans se bras et lui répondit :

« Excuse-moi maman, mais je ne voulais pas qu’Eliah perde Maveli et je savais que du faite que ce long manteau blanc ne fut que briser par nos pas tu me retrouverais sans aucune difficulté. Excusez-moi touts les deux. »

Et à son tour Nerwa sentit des larmes couler sur ses joues froides. Elle sera sa mère aussi forte qu’elle le pouvait, puis frotta sa tête contre sa mère afin d’essayer de la rassurer au mieux qu’elle le pouvait.
Une fois que tout le monde s’étaient calmer, elles décidèrent qu’une petite pause s’imposait. Les chevaux ayant récupérer leur souffle, Nerwa balaya la neige de ses pieds de tel façon que les chevaux puissent entrevoir de l’herbe et la manger. Une fois tout le monde réchauffé par l’infusion qu’avait faite Ivy, elles décidèrent de partir. En effet l’heure avait tourné et le soleil avait déjà bien entamé. Toutes les trois, elles trottinèrent sous un ciel orangé quand soudain elles virent une ferme au loin. Ivy regarda Eliah et lui demanda :

« Que penses-tu si l’on allait voire à la ferme pour voir s’ils ont une place pour nous passer la nuit ? Car je pense que la nuit va être froide ce soir. »

Une fois la réponse par Eliah formulée, elles décidèrent de se rendre à la ferme quand soudain elles furent interpellées par une voix dans le noir.
Les trois jeunes femmes mirent pied à terre et Ivy prit la parole :

« Bonsoir, veuillez nous excusez si nous vous avons fait peur, mais nous somme deux femmes et une enfant et nous voulions savoir si vous auriez ne serait-ce qu’une étable pour nous passer la nuit à l’abri du vent froid ? »

Les trois femmes avaient avancé jusqu’à voir leur interlocutrice.

#Eliah #Ivy #Nerwa
Sujet: Il est huit heures et tout va bien.
Ivy

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Rechercher dans: Les Prairies   Tag nerwa sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: Il est huit heures et tout va bien.    Tag nerwa sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyVen 4 Jan 2013 - 21:24
Ivy s’arrêta à l’appel du chevalier, lança un regard à Eliah et se retourna. Nerwa se plaça instinctivement en retrait derrière sa mère, comme pour créer une défense entre elle et le chevalier.

Méfiante et cherchant à toucher le pommeau de son épée, dissimuler dans son paquetage, Ivy répondit :

« Enchantée Jon. Je me prénomme Ivy et vous remercie de vous proposer à porter nos affaires mais je pense que je vais garder mon paquetage. Prenez donc celui de ma fille si vous le désirez, elle est épuisée.»

Nerwa avança délicatement, essaya de lancer un petit sourire mais fut trop sur ses garde pour réussir entièrement, et tendit ses bagages puis dis :

« Si vous permettez chevalier, voilà les miens. »

Ivy, tout en gardant sa main sur le pommeau de son épée, ne quitta pas le chevalier du regard. Quoi qu’il en soit, elle savait très bien qu’elle n’avancerait pas tant que Jon serait derrière elles.

« Allons-y ! » lança-t-elle en faisant un pas en arrière pour le laisser passer.

Nerwa s’emmitoufla dans la fourrure qu’elle portait tout en suivant les pas de sa mère afin de l’avoir toujours entre elle et Jon.


#Eliah #Ivy #Nerwa
Sujet: La neige est-elle plus blanche ailleurs ?
Eliah Tandoril

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Rechercher dans: Les Prairies   Tag nerwa sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptySujet: La neige est-elle plus blanche ailleurs ?    Tag nerwa sur Bienvenue à Minas Tirith ! EmptyMer 2 Jan 2013 - 20:50
La détermination, l'imagination et les rêves guident les esprits courageux. Rien ne pouvait empêcher une âme aventureuse de parvenir à ses fins. Rien à part peut-être le terrible froid, la neige, le manque de provision et un cheval incapable  de faire plus de quelques pas sans devoir se reposer. Ce n'était pas sa faute à ce pauvre Honnest après tout, il était vieux et fatigué mais cela n'arrangeait pas les affaires de la jeune femme. Elle avait prit sa décision et avait un besoin imminent et inexplicable de se rendre à Edoras. Mais pour cela il lui fallait une monture  digne de ce nom. Évidemment il était hors de question d'en parler à ses parents, elle allait devoir se débrouiller seule. Seule certes, mais comment ? Telle était la question. Elle n'avait pas assez d'argent pour pouvoir en acheter un. Et ce temps terrible n'arrangeait pas ses affaires. Cela faisait longtemps que la ferme ne s'était pas porté si mal. L'hiver durait encore et encore et ne semblait pas faiblir en intensité. Ils avaient à peine de quoi se nourrir. Mais attendre la fin de l'hiver n'était pas possible pour la jeune femme en quête d'aventure et de reconnaissance.

Un jour alors qu'elle observait le château lointain d'un œil pétillant, tremblotante comme une feuille dans un champs stérile, elle prit une décision. Elle irait elle-même chercher un cheval et forcerait le destin. Comment ferait-elle, elle n'en avait aucune idée mais elle trouverait bien une idée en route. Après tout elle vivait au Rohan, cette terre où les chevaux abondaient. Alors pourquoi ne pourrait-elle pas en trouver un. Un cheval sauvage peut-être qu'elle pourrait dresser. Elle savait au fond d'elle que ces pérégrinations étaient un peu fantaisistes mais elle se devait à elle même d'essayer. Elle rentra en courant, prit un déjeuner aussi copieux que possible, attrapa sa cape et sortit avant d'être arrêtée par son plus jeune frère. Il la questionna un moment afin de savoir ce qu'elle allait faire et avec qui avant de la relâcher l'air suspicieux. Ses frères étaient adorables mais parfois un peu trop protecteurs. Mais aujourd'hui personne n'était à la maison, ils étaient certainement allés chercher du travail alentours, car les terres souffraient du froid et ne donnaient plus rien de bon. Elle aurait le champ libre.

Elle se fit donc un petit paquetage, mit des vêtements chauds, s'enroula dans sa cape et se mit en  marche aux alentours de midi. Elle ne croisa que peu de monde ce qui était normal vu le temps. Elle marcha jusqu'à la grande prairie, là où elle aurait le plus de chance de croiser des chevaux. Elle venait souvent par là quand elle était petite avec son frère Oemir pour regarder ces magnifiques créatures courir, la crinière au vent. Mais aujourd'hui, était-ce le vent, le froid ou la chance ... quoi qu'il en soit il n'y avait pas trace d'un animal à poil. La jeune femme changea de direction et c'est la que le vent se renforça. Il faisait si froid et le vent était si fort qu'elle avait du mal à avancer. Elle dut aller s'abriter sous un rocher en attendant une accalmie. Sauf que celle-ci n'arriva que bien plus  tard, presque au coucher du soleil. Quand elle sortit de sa cachette néanmoins, elle vit des traces à  terre. Des traces qu'elle connaissait bien. Celle de chevaux ! Et il y en avait plusieurs.

Elle n'hésita pas un seul instant. Elle n'attendrait pas la ferme avant la tombée de la nuit, elle allait donc devoir dormir dehors cette nuit. Elle s'attendait à recevoir des remontrances voire une bonne raclée en rentrant mais ça n'avait pas d'importance. La jeune femme décida de suivre les traces, le cœur palpitant d'excitation. Elle fit bien d'ailleurs car celles-ci la mena vers un petit village. De loin elle voyait lumière et même de la fumée, signe qu'un repas se préparait. Elle s'approcha d'abord dans l'idée de demander l'hospitalité pour la nuit mais avant qu'elle ne puisse aller plus loin, elle s'arrêta devant de magnifiques chevaux qui se tenaient là dans le froid. Qui avait bien pu laisser d'aussi belles bêtes dehors par un temps pareil ? Ils étaient scellés et sous un abri de fortune, et il ne fallait pas être très futée pour en déduire qu'ils avaient un propriétaire. Mais pourtant, elle bifurqua et se rapprocha des chevaux. Elle s'approcha de l'un deux et lui caressa le museau délicatement avant de se coller à lui profitant de la douce chaleur de l'animal.

“Hey ... doucement chut. Qui a bien pu être assez méchant pour te laisser dehors par un temps pareil hein ?”

Le cheval hennit doucement comme pour lui répondre, bien qu'elle ne comprenait rien. Elle resta un moment contre lui puis recula hésitante. C'est alors qu'elle fit quelque chose qu'elle n'aurait jamais du faire. Qu'elle savait qu'elle ne devait pas faire, qui était complètement fou. Pourtant elle le fit. Doucement et sans bruit, elle détacha le cheval et prit la bride dans ses mains. Mais avant qu'elle ne puisse faire un pas, elle crut entendre du mouvement un peu plus loin. Eliah lâcha la bride comme se rendant compte de son acte et partie dans la direction opposée, espérant disparaître totalement dans la brume. Elle aurait pu aller à la rencontre du visiteur, cela aurait été moins suspect mais elle n'arrivait plus à réfléchir. Son coeur battait la chamade. Pourvu qu'on ne l'ait pas aperçu ! Mais lorsqu'une voie d'homme s'adressa à elle et la jeune femme sursauta et tout ses espoirs s'évanouirent. Il fallait à présent qu'elle trouve un bon alibi. Elle se retourna doucement et lui sourit timidement.

“Bonsoir chevalier. Je suis loin de chez moi et je n'ai nul endroit pour dormir cette nuit. J'ai pensé trouver asile ici, mais au vue de l'écurie pleine de chevaux, je me suis dit qu'il n'y avait plus de place par ici. Alors je vais peut-être trouver un endroit au chaud plus loin.”

Eliah resserra son manteau autour de ses épaules alors que le vent pointait de nouveau le bout de son nez, comme pour se cacher de cet inconnu qui l'avait surpris malgré elle. Elle trouvait que son mensonge tenait bien la route toutefois il fallait espérer que rien ne la trahisse. Le cheval qui n'était pus attaché bougea légèrement, mais leur attention à tout les deux fut fort heureusement détournée par deux cavalières qui venaient d'entrer. Le froid faisait des ravages semblait-il. La brunette hésita alors. Devait-elle partir en courant avant qu'on ne l'accuse de corruption ou d'autre chose, au risque de mourir de froid cette nuit ou devait elle suivre l'exemple de ces personnes et se mettre à l'abri ?

“Ou ... peut-être que finalement on pourrait trouver une petite place pour moi” souffla t-elle dans le vent glacial. De gros flocons tombèrent sur ses gants et elle se dit que non, rester dehors était une mauvaise idée.

“Auriez-vous la gentillesse de m'indiquer le chemin ?”

La jeune femme toujours encapuchonnée n'hésita pas à lui faire tout de même son plus beau sourire. Qu'il le voit ou pas n'avait pas d'importance. Mais oui ! Partir d'ici au plus vite, sinon elle allait mourir ou de froid, ou d'angoisse au choix.

#Ivy #Eliah #Nerwa
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