Eliah, Ivy et
Nerwa chevauchèrent pendant plusieurs heures sans s’arrêter comme pour fuir un mauvais rêve qui s’était passé. Plus elles avancèrent, plus elles se rendirent compte que personne ne s’était aventuré au devant du chemin qu’elles empruntèrent. Alors que le soleil brillait au zénith, les trois filles décidèrent de s’arrêter et de manger un petit peu de la bonne nourriture que Ruben leurs avait donné. A chaque bouché Ivy repensait à la gentillesse de l’aubergiste et se promis d’y retourner plus tard afin de le remercier d’avantage pour tout ces mets qui leurs avaient donné sans même demander quelque chose en retour.
Leur repas engloutis, elles chargèrent à nouveau leurs montures et décidèrent de repartir. Ivy se rendit compte que hormis leurs traces de pas il n’y en avait pas d’autres. Elles avancèrent prudemment dans de la poudreuse pendant bien des heures quand soudain Maveli, la jument d’Eliah, commença à s’agiter dans tout les sens. Il est vrai qu’étant donné que su fut une jument qui lui avait été donné, celle-ci, au bout de plusieurs heures, du se demander pourquoi ce ne fut pas sa maitresse habituelle qui la chevauchait. Quand soudain la jument du en avoir marre de sa nouvelle maitresse et se cabra envoyant Eliah, qui pourtant était bonne cavalière, à terre. Eliah tomba dans la poudreuse, ce qui amortit sa chute.
Aussitôt
Nerwa se lança au galop afin de rattraper Maveli, elle encouragea Grim, son étalon, à forte voix et celui-ci se mis à galoper de plus en plus vite.
Ivy se mis au trop et d’une main sure, qu’elle tendit à Eliah au moment de passer juste à coté d’elle, fit monter Eliah derrière elle. C’est ainsi qu’Eliah et Ivy galopèrent, sur Largos, dans les traces laisser par Grim et Maveli.
Ce fut qu’au bout d’un quart d’heure que Grim, chevauché par
Nerwa, pu rattraper Maveli.
Nerwa pu rattraper Maveli uniquement car Grim était jeune et pleine de puissance et qu’elle était encore qu’une enfant. En effet ce fut cheveux au vent et à toute vitesse qu’elle galopait à travers les pleines remplies de poudreuse.
Nerwa pu attraper les reines de Maveli, qui flottaient au vent, juste au moment ou la jument avait ralenti pour économiser quelques une de ces forces.
Nerwa descendit de Grim de toute hâte afin de calmer Maveli. Cela lui rappela tout les moments passer avec son père et sa mère à s’occuper des chevaux qu’ils élevaient.
Cependant Maveli, galopant sans cavalière, et Grim, chevauché par
Nerwa, avaient galopaient assez loin pour ne plus voir Ivy et Eliah.
Nerwa décida de mener les deux chevaux par les reines afin de les reposer un peu. Largos les rejoignit que longtemps après. Ivy descendit de toute hâte afin de prendre
Nerwa dans ses bras puis lui dit :
« Ma fille, ce que tu as fait est très gentille et très courageuse, tu tiens vraiment de ton père. Cependant tu m’as faite très peur. Cela fait plus d’une heure que nous ne te voyons plus. Peux-tu imaginer à quel point tu nous as fait peur ? »
Ivy eu des larmes chaudes qui perlaient sur ses joues. En effet n’ayant plus que
Nerwa, ce fut la seule chose qui lui fit peur tous les jours, perdre sa fille, sa prunelle, sa raison de vivre tout simplement.
Nerwa essaya de dire quelque chose à plusieurs reprise pendant que sa mère parlait, mais elle ne pu placer un mot tellement sa mère fut bouleverser. Une fois qu’Ivy avait terminé,
Nerwa prit sa mère dans se bras et lui répondit :
« Excuse-moi maman, mais je ne voulais pas qu’Eliah perde Maveli et je savais que du faite que ce long manteau blanc ne fut que briser par nos pas tu me retrouverais sans aucune difficulté. Excusez-moi touts les deux. »
Et à son tour
Nerwa sentit des larmes couler sur ses joues froides. Elle sera sa mère aussi forte qu’elle le pouvait, puis frotta sa tête contre sa mère afin d’essayer de la rassurer au mieux qu’elle le pouvait.
Une fois que tout le monde s’étaient calmer, elles décidèrent qu’une petite pause s’imposait. Les chevaux ayant récupérer leur souffle,
Nerwa balaya la neige de ses pieds de tel façon que les chevaux puissent entrevoir de l’herbe et la manger. Une fois tout le monde réchauffé par l’infusion qu’avait faite Ivy, elles décidèrent de partir. En effet l’heure avait tourné et le soleil avait déjà bien entamé. Toutes les trois, elles trottinèrent sous un ciel orangé quand soudain elles virent une ferme au loin. Ivy regarda Eliah et lui demanda :
« Que penses-tu si l’on allait voire à la ferme pour voir s’ils ont une place pour nous passer la nuit ? Car je pense que la nuit va être froide ce soir. »
Une fois la réponse par Eliah formulée, elles décidèrent de se rendre à la ferme quand soudain elles furent interpellées par une voix dans le noir.
Les trois jeunes femmes mirent pied à terre et Ivy prit la parole :
« Bonsoir, veuillez nous excusez si nous vous avons fait peur, mais nous somme deux femmes et une enfant et nous voulions savoir si vous auriez ne serait-ce qu’une étable pour nous passer la nuit à l’abri du vent froid ? »
Les trois femmes avaient avancé jusqu’à voir leur interlocutrice.
#Eliah #Ivy #Nerwa