Assaut en regle

L''aube se levait.La Marche funèbre,supervisant les opérations,était arrivé la dernière,vers quatres heures du matin.L'équipage et le capitaine avait a peine eu le temp de récuperer.Le Mort sortit,masqué,sur le pont,verifia que tout les bateau était là et pret.Tous avait le signe convenu pour signifier qu'ils étaient pret.Un bouquet de laurier ornait chacun de mats.Le haradrim prit son cor de guerre,et souffla comme si ca vie en dépendait.

-Eh!Que faites vous?Vous allez reveiller le gens!hurla un garde en faction.

Un fleche lui transperca la gorge,et il mourut sans un bruit.Un flot de pirates sortait des bateaux,silencieusement,et assassinait les gardes par derriere,sans qu'un souffle ne sorte.Ils se déplacaient a la lueur de storches posé dans la rue,et montait trés vite vers le palais.
Le Mort se trouvait a l'avant sur un cheval gris tacheté de blanc.Il avait sortit son impressionant cimeterre,et avait pris so crache feu entre ses dents.

Une patrouille passa.En quelque minutes,elle fut défaite.Un horde de pirate lui était tombé dessus et avait massacré les soldats.Mais ceux ci avait eu le temp de donner l'alerte.Désormais,Umbar savait qu'on l'attaquait.


HRP//300 messages!!!!!!!!!!!!\\HRP

-Foncez vers le palais!Ne vous souciez de personnes!Tuez ce qui vous gene!Pour la gloire de la piraterie!

Le capitaine brandit son cimeterre devant lui et aiuilla son cheval.Il chargeait dans la rue principal,suivit des autres cavaliers.Quelques soldats apeurés tentèrent vaguement de resister,mais ils furent bientot tous piétinés par les sabots ferrés des canassons.Meme ceux qui ne tentait pas de resister,d'ailleurs.Ils avaient qu'a etre ailleur.Non mais et,oh.Tout de meme.

Les autres soldats ainsi que les corsaire et les melkorites s'étaient retranchés dans le palais.Celui ci était plus un palais d'agrement que de retranchement.Les grandes vitres seraient faciles a briser.Et les sculptures était de faciles points d'accroches.Les révoltés n'aurait aucun mal a s'en emparer.

Les cavaliers attendirent que le reste des combattants arrivent.Ils étaient a present tous regroupé sur la grande place,devant le palais.

-Fils de la mer,l'heure est venus!Nous allons dès a present nous emprarer de cette ruche a demons et la vider!Vous avez l'autorisation de tuer,mutiler et violer tout ceux que vous y rencontrerez!Et pas forcement dans cet ordre!

Il désigna quelque pirates a l'air fort et peu loquaces.

-Vous,abritez vous sous des boucliers,détruisez cette maison,dit-il en désigant une demeure apparament peu solide.Vous servirez de bélier!
-Oui cap'tain.

Les 6 gorilles monterent sur le toit et commenerent a le dépiuater.

-Le belier vas nous servir de diversion!Pendant qu'ils retiendront la porte,le gros de nos troupes vas passer derriere et briser les fenetres pour passer!Nous les surprendorns par derriere!

Les 6 rezvinrent avec une poutre a l'air solide.Ils l'avaient taillé en pointe.

-Trés bien,abritez vous et frappez la porte!
-Oui cap'tain.

Les coups commencerent.Les troupes se déplacerent.Ca allait chier.

(suite dans [Palais]Assault)

Umbar... Cité magnifique, qui serait parfaite s'il n'y avait pas eu ces maudits gens du Seigneur Sombre.
Tiens, c'était déjà ce que je m'étais dit la dernière fois que j'avais mis les pieds dans la Cité du Destin. Seulement, cette fois-là je venais juste en escale, pas armé jusqu'aux dents dans le but de libérer la ville dans un beau bain d'sang.

Alors on a débarqué, sabre au clair, arbalètes de poing en main, émméchés au rhum pour la frénésie, mais pas trop pour rester capable de se battre contre ces porcs.
Et le Requiem s'est vidé, surveillé par quelques gaillards à peine. L'équipage s'est précipité vers le Palais à travers les sombres ruelles, car il faut bien dire que tous avions eu quelques différents avec le système politique en place...

Moi même brandissais mon sabre dans une main, un coutelas de lancé dans l'autre, à moitié dissimulé dans ma manche de lin, prêt à être utilisé.
Je liquidai avec joie un corsaire qui n'avait pas l'air de vouloir se rendre, ou qui pensait que ses p'tits alliés bleus allaient gagner de toute façon... Quelle importance, après tout. Comme les choses se profilaient, c'était bien engagé pour nous.

-Le Mort va rentrer dans le Palais, que j'entendis. "Alors tous au Palais, mouscailleux." que je criai à mes gars du Joyeux Requiem, en faisant un signe de la main.
Ah, dju, qu'c'est tout d'même mieux de se battre sur un navire qu'à terre. M'enfi, nous nous dirigeâmes quand même dans cette direction, petits retardataires que nous étions.

L’Empire Astral traversait les flots.

A ses cotés se trouvaient le Chimaera et l’Executor. Ces deux vaisseaux n’avaient rien à envier à l’Empire, sauf l’entraînement de l’équipage. Leurs capitaines avaient beau eut se monter de parfaits officiers ces dernières semaines de campagne, ils n’avait pas réussit à atteindre la cheville du vaisseau amirale de la flotte du Nord. Et c’était lui, le capitaine Pelleaon, qui commandait ce vaisseau, sous les ordres de l’Amiral Corwen, appelé l’Empereur astral.

Derrière se trouvait le navire transportant le matérielle : Le Minor. Un gros balourd qui se traînait sur l’eau. Il n’avait rien d’un vaisseau de combat, mais sans lui l’escadre ne pourrait jamais s’éloigner de plus de dix jours de mer si elle voulait pourvoir avoir suffisamment de combattant pour affronter l’ennemi : les munitions des trébuchets, la nourriture, les chevaux quand il y en avait… Tous cela prend de la place…

Les quatre navires avaient appareillé des que la flotte attaquant Umbar avait été repéré… L’amiral avait une fois de plus vu juste. Il avait refusé de rester dans Umbar et avait donné comme mouillage une crypte totalement invisible de la haute mer pour son escadre… Maintenant, ils allaient tomber sur le dos de ces ennemi avant de repartir vers le Nord…

Enfin, ces ce que ferait sûrement l’Amiral…

« Attention à la voilure…, cria-t-il a des marins. Prenez le commandement du vaisseau, lieutenant, reprit-il pour un jeune officier »

Un homme un peu trop jeune pour commander, mais il faut avouer qu’il se débrouille pas trop mal… C’était d’ailleurs le problème de leur escadre : trop jeune…

Il descendit de la passerelle de commandement et se rendit dans le pont arrière pour aller voir l’Amiral. Celui-ci rester le plus souvent dans sa chambre à méditer pendant que lui, Pelleaon devait diriger le navire. Par contre lors d’un combat, il aimait être prévenu pour pouvoir donner des ordres.

Il frappa trois coups sur la porte de bois noir. Rapidement il se regarda. Tenu correcte, sabre droit, coupe réglementaire. La discipline était importante sur son navire, il se devait de montrer l’exemple…

« Entrez »

Il poussa la porte de bois…

La lueur des lustres éclairé la salle. L’Amiral avait fait fermer les volets et lisait de nombreuses notes…

« Mes respects mon Amiral.

-Qu’y a-t-il Capitaine ?

-Je viens vous demander les ordres de formations d’escadres. Nous sommes pour le moment en protection du Minor. Dois-je changer la formation ?

-Mettez vous en attaque frontale et que le Minor reste à distance de la ville. »

Le Pelleaon fit signe au deux serviteurs qui étaient dans le coin gauche de déplacer sur la table au fond de la pièce les miniatures des vaisseaux. En effet, une carte posé à plat montré les environs d’Umbar et dessus se trouvait quatre vaisseaux. Voilà comment il se débrouillé pour imaginer le plan dans sa tête : les miniature l’y aidait…

« Je vous rejoint sur le pont capitaine… »





« Pour l’Amiral à vos rang fixe ! »

Corwen passa par l’embrasure de la porte et arriva sur le pont. Le clairon sonna. Les marins qui n’étaient pas en manœuvre se mirent au garde à vous. Des que l’Amiral serait sur le pont de commandement, chacun pourrait rejoindre son poste. Dans trois minutes les navires seraient visible d’Umbar…

Les quatre vaissaux étaient tous aligné.

« Capitaine, des que nous serons proche d’Umbar le Chimaera et l’Executor devront faire feu de toutes leur batteries sur les navires dans la rade : boulets incendiaire de préférence.

-Mais l’Empire possedent des meilleurs trebuchets et…

-Suffit. Je sais que vous ne voulez pas passer pour un lache auprés de vos confrère capitaine, mais il est ainsi. Je ne veux pas risquer le vaisseau Amiral. Nous ne savons pas si l’ennemi a pris le contrôle des trebuchet du port, et même si cela m’étonnerai de la République des Mers, je ne veux pas prendre de risque.

-Bien Amiral. Dois-je aussi donner ordre de se préparer au débarquement. »

Là, aucune réponse…

Corwen gardait son plan…




Les trébuchets avaient tirés… Le premier navire touché dans la rade avait perdu son mat. Le second brûlait… Le troisième était en train de sombré suite à un tir qui était tombé dans la coque même…

"Devons nous débarquer ?

-Non. Mais donnez ordre aux navires d'ouvrir le feu sur les protectiosn du port, nous allons rentrer dans la danse capitaine..."




Le nombre de tir fut-elle que les trébuchets et autre catapultse cédèrent...

L'Empire Astral entra dans le port...

Une bataille naval plutôt joli s'engager...

"Un cadeau d'adieu", se dit pour lui même Corwen...

"Donnez ordre à l'Executor de se déplacer pour un tir croisé sur cette frégate à tribord.

-Bien amiral."

Le message fut transmit, et trois minutes plus tard, le vaisseau n'était plus. Il n'y eut même pas besoin d'abordage. Les balistes avaient envoyé le navire par le fond.

L'Empire aurait put s'en débrouiller tous seul, mais il fallait vaincre vite. L'amiral donna un ordre au Chimaera et celui-ci effectua une série de bombardement à l'aide de ses deux trébuchets et ses catapultes sur les docks dans le but de gêner les marins désirants regagner leurs navires...

Pelleaon ne put s'empêcher d'admirer l'Amiral. Il avait réussit, avec trois navires à coincer la République des Mers dans la rade... Peut être allait on enfin les détruire...

L'Escadre Impériale serait alors maitre des mers, du Nord à Umbar...

Pelleaon regarda l'Amiral.

"Très intéressant" dit il alors qu'il regardait dans une longue vu des navires amarré trop loin pour être menacer par les trébuchets de l'Escadre Impériale.

"Le Joyeux Requiem est là, qui eut cru qu'il s'en serait tiré... Capitaine, prenez le commandement du Navire, je voudrais réfléchir un peu...

-Bien Amiral,[/b] lui répondit-il. [/b]Je prend, annonça-t-il a voix haute, comme le voulais la tradition. Batterie bâbord, feu sur la frégate Nord/Nord-Ouest..."[/b]

La salve partie...

Les piarates reprenait un peu de sang-froid.Apparament,l'armée adverse faisait siege de la cité,il pouvait s'occuper de l'assaillant du port.Déjà quelque uns montait sur les hautes tours et prenait le controle des trebuchets.Quelque projectiles partait déjà sur les trois solides bateaux qui esperait prendre le controle de la cité,aisin que quelque pirates qui avait eut le temp de rejoindre leur bateaux partait a l'abordage...

Mais les Chiens ne savaient que peu de chose sur l'Escadre Impériale... Comme la majeure partie des pirates présents. En effet, la réputation de l'escadre de Corwen était connu par tout le monde, mais peu l'avait vu combattre.

Car ce n'était de simple pirate normaux. Corwen avait tenu à ce que ses hommes soit entraîné et discipliné. Pour faciliter les manœuvres, les marins ne portaient que peu d'armes, mais les soldats, qui étaient toujours une vingtaine environs, étaient eux, armé comme il se devait pour un assaut en règle.

Et il sortir de la cale ou ils s'étaient réfugiés suite aux tirs des défense du port...

Un rang tenais des boucliers rectangulaire, suffisamment grand pour les protéger des tirs. Derrière, des arbalétriers se tenaient prêt à ouvrir le feu...

"Feu" cria l'officier responsable de l'unité de soldats.

Le premier rang ouvrit les boucliers, le second fit feu, tuant de nombreux Chiens...

Puis ils chargèrent...





"Amiral, les défenses du ports tentent de couler le Chimaera qui est a leur porté. De plus un groupe de la République des Mers tente d'aborder l'Executor. Le capitaine réagit selon la tradition avec les troupes de combats. Dois-je lui ordonner de suspendre le feu pour envoyer tous ses hommes contre l'ennemi?

-Oui capitaine et faite avancer l'Empire prêt des docks pour vous mettre à porté de toute les batteries ennemi. Réduissez les en cendre...

-Bien Amiral"

Les ordres furent immédiatement transmit... Pelleaon trouvait que le vent commencer a tourner. Enfin, il aurait commencé a tourné si Corwen n'était pas avec eux. L'amiral était sur de lui, et depuis tous le temps qu'il le servait, il n'avait jamais perdu quand il savait que la victoire lui était acquise...

Mais il ne cherchait pas toujours la victoire... Qui sait s'il n'avait pas attaqué la République des Mers dans le simple but d'obtenir un renseignement et partirait en pleine bataille des qu'il l'aurait...

C'était le moment, ça, pour sûr... L'Empire Astral, et son prétendu empereur... He, dans les tavernes on dit que son alliance avec les Corsaires, il l'a scellée avec ce bon vieux Myzka. Cela suffit pour que je me fasse une certaine opinion de lui.
Mon gars, si tu crois pouvoir envoyer par le font toute la flotte qu'on a rassemblé avec ta clique de trois bateaux, eh ben... D'autant plus que j'ai fort envie dans faire une affaire personelle...

"Foutrebleu, lançais-je en arrivant au port après une course effrenée, particulièrement pénible pour moi et ma patte folle. Pas bêtes ces gars-là, héhé... On aurait pu penser qu'ils s'occuperaient plutôt de l'armée qui arrive par la terre, mais ils se débrouillent bien, ces types du désert... Qu'on aille dire au Mort qu'on va essayer de mener une contre-offensive, en se servant du nombre ..."

Au moins, le Requiem n'a absolument rien, constatais-je avec soulagement. Il est vrai qu'il avait été amarré à un emplacement particulièrement intéressant.

On embarque, on rétracte la planche et on largue les amarres. Moins d'une minute pour mettre mon navire en marche. Nerveusement, j'allume mon brûle-gueule et me le colle entre les dents. Ca va être serré.
Evidemment, il manque des gars. Morts, ou bien paumés dans les combats, je ne le sais... Mais le fleuron de ma clique est là, et l'homme dont les épaules vont devoir supporter beaucoup de choses est là aussi...

"Allez, mes agneaux, ça va pas être de la rigolade... Ces gens-là sont équipés comme cinq fois le Joyeux Requiem, mais jamais, ô grand jamais un bateau ne surpassera notre bâtiment en vitesse... Et surtout pas ceux là..."

Rapide caluculs, évaluations. On fourbit les armes, on arme les balistes, on calcule les angles de tir...

"Allez, on va vers celui déjà abordé par les Haradrims... L'autre là est sous le feu des défenses du port, ce serait suicide de s'en approcher... Et l'Empire est bien trop loin pour le moment..."

Le bosco à la barre met le cap. Aujourd'hui, je ne mènerai pas le bateau... Bien trop occupé à donner mes ordres.

"Bon, leurs trébuchets sont positionnés de façon à canarder le port... Il leur faudra un certain temps pour recaclculer les angles de tir vers nous, s'ils nous rmarquent. on en profite pour prendre de la vitesse, et puis on prendra une trajectoire hasardeuse pour rendre leurs tirs inneficaces..."


L'Executor est en vue. Su le pont, le combat fait rage. Je n'avais pas vraiment envie qu'il puisse nous filer entre les doigts. Immobilisation, voilà la solution...

"Sortez les Anges à Deux Têtes !" déclarais-je avec un rictus mauvais en brandissant deux boulets reliés par une chaîne...

Bo'zoeil était mon artilleur fétiche. Il avait beau être borgne, il savait utiliser l'oeil qui lui restait.
Sur les trois balistes à portée de tir, deux lancèrent de simples carreaux... Le troisième, lui ne manquait jamais... L'astucieux artifice déchira le part en part la grande voile...

Il faudrait passer de l'autre côté pour aborder...

« Amiral. Le Joyeux Requiem entre dans la danse. Il attaque l’Executor. Devons nous nous porter à son secours ?

-Non capitaine. Mettez l’Empire en protection des docks trois et quatre. Faites transmettre au capitaine du Chimaera : Appliquer l’ordre. »

Pelleaon ne compris pas… Il regarda dans la direction des docks trois et quatre qui se trouvait au coté opposé du combat. C’était dans cette zone que l’Amiral avait fait tirer les premières salves pour neutraliser les défenses si jamais la République des Mers en prenait le contrôle.

« Capitaine, transmettez immédiatement, c’est un ordre !

-Oui Amiral. »

Il fait signe au responsable des transmissions.

Et soudain il compris : dans les docks trois et quatre se trouvaient six frégates : cinq d’Umbar et une de la République. L’Amiral comptait donc voler ces vaisseaux de guerre… Un navire de guerre contre six frégates… L’échange en valait la peine…

« Et vous pensez, Amiral, que nous arriverons à sortir avec tous ces navires ???

-Je me demandais quand vous comprendriez Capitaine, répondit Corwen un sourire aux lèvres… Regardez les positions ennemi… Ils ne pourront plus nous en empêcher… »


En effet, toutes les forces de la République tentaient de prendre le contrôle de l’Executor et ce, sans succès. A tous les coups l’Amiral ordonnerait au capitaine du vaisseau de l’abandonner… Et de le saborder…





Il dégaina son sabre. Il était le capitaine de l’Executor… Il savait qu’il ne servait que d’appât dans cette bataille, et des qu’il en recevrait l’ordre, il devrait donner un dernière salve sur le port de boulet incendiaire pour détruire le maximum de vaisseaux et après cela, abandonner le navire pour monter sur l’Empire Astral, direction le Nord…

Il tua un chien… A ses cotés de ses lieutenant tomba…

Dommage, il était doué…

Le Mort avait dévalé les pentes des rues d'Umbar pour finalement rejoindre le port.Heureusement,La Marche Funèbre,ammaré un peu a l'écart des autres,n'avait pas été endommagés.Il se dirigea tout de suite vers son navire,fit monter quelques dizaines de pirates qui courait désordonnés,et leur fit manœuvrer les navire.Le capitaine avait clairement vus un homme bien vêtus sur le pont d'un navire,amurés lourdement et qui avait l'ai d'avoir de l'autorité sur les autres hommes.

-Dirigez nous vers ce bateau!hurla-t-il.

Un vent a vous geler les os soufflait sur le port,et une tempête mémorable se préparait...La brume tombait elle aussi sur les eaux noires d'Umbar.


La Marche funèbre profita de sa petite taille pour se cacher dans la brumes pour tenter d'éperonner l'énorme navire qu'ils avait pris pour cibles.Le vent se trouvant du coté de la légère embarcation,ce gros tas n'aurait pas le temps d'éviter la pointe de métal de l'embarcation du Mort.



L'éperon de ferraille était entré dans la coque du bâtiment.Mais celle ci était plus solide que prévus,et a présent la marche funèbre était coincé dans le bateau.Déjà quelques soldats accourait pour voir ce qui avait provoqués ce fracas.Les hommes du Mort se tapirent sous la brume,et attendirent.Déjà des soldats descendait inspecter l'embarcation.Les pirates se tenait prêt a leur sauter a la gorge...Il suffisait a présent d'attendre...

Le choc fut attendu, et Pelleaon ne vacilla. Un capitaine de l'Escadre Iméprial tient toujours bon...

"Amiral? Une directive?

-Comme vous désirez.

-Bien Amiral. Baliste en couverture. Artilleur Babort, ouvrez le feu sur la cité. troisième et quatrième groupement d'intervention en position a tribord pour repousser l'ennemi. Deuxième groupe dégagé le bateau. Premier en protection du pont de commandement."

Les ordres furent exécuté avec une vitesse appréciable, comme la discipline l'exigé.

Le sous-officier responsable des transmissions avec les navires de l'Escadre fit signe d'un rapport a faire. Pelleaon l'y autorisa.

"Le Chimaera a prit possession de cinq frégates. Il reste un noyau de résistance sur la dernière, mais il devrait rapidement en venir a bout. Le Chimaera demande l'autorisation de se porter au secourt de l'Empire ou de L'Executor.

-Dite lui de nous rejoindre, dit Pelleaon.

-Annuler l'ordre. Envoyer le récupérer l'équipage de l'Executor qui arrivera a s'en tirer.

-Mais Amiral...

-Il suffit. Je pense qu'il est temps pour nous de nous retirer."



La troisième équipe avait repéré malgré la brume l'équipage adverse. Une pluie de carreau d'arbalète leur tomba dessus. La quatrième était prêt à aborder et la seconde, a leur droite, vérifier l'état du navire... Normalement il ne devait y avoir de problème, mais il valait mieux toujours s'y préparer...

L'assaut aller commencer... Les deux équipe de cinquante soldats étaient prête...

-Hi!


Le capitaine poussa un petit cri aigu lorsqu'une pluie de carreaux s'abattit sur le navire,dont quelque unes sur l'homme juste a coté de lui.Il roula vite dans les escaliers et se fracassa sous sa table de navigation,mais il était en sureté,a l'abri des pointes de métal.Il attendit la fin des bruits que produisait les flèches,puis sortit par la fenêtre et escalada son navire.Il se trouvait a présent sur le pont, et se redressa.Il avança a tâtons dans le brouillard avant de heurter un bout de métal qui se déplaça en braillant.

Oho...



Le capitaine atterrit en sang au pieds de l'amiral.Il redressa un peu la tête,démasqué,le nez et les yeux ensanglantés,vers l'homme qui se tenait debout devant lui...

L'assaut avait en effet était de courte durée...

Pelleaon avait pensé que c'était une mission suicide...

Corwen lui, regardait le prisonnier d'une étrange manière...

"Capitaine Le Mort... dit il de sa voix plus douce... Je savais que vous étiez ici... Et vous vous portez contre mon navire... Vous me décevez... Savez vous comment il se fait que votre petite entreprise soit vouez à l'échec? L'un d'entre vous a... Comment dire... Décider de trahir ses petits camarade... Je lui ait donné ma parole d'attaquer par derrière. Et je tiens toujours mes promesses. Mais je suis aussi un homme d'honneur. Je ne détruirait donc pas toute la flotte comme cela... Je vous laisse essayer de chercher le traitre capitaine..."

Pelleaon était assez ébahi. Cela n'avait aucun sens... Aucun... Et il n'avait pas la puissance de feu pour détruire la République et ses alliés aussi aisément... Mais qui l'étonnait le plus, fut le fait que l'Amiral connaisse le nom de ce capitaine... Il ne lui avait même pas communiquer le nom du navire... Corwen connaissait donc tous les vaisseaux de la République des Mers et ceux qui se trouvaient dans la rade...

Le capitaine ne s'offusqua pas que l'amiral connaisse son nom???Après tout peu être que le vrai Mort était vraiment connus...Mais il s'étouffa avec une poche de sang qui lui remonta la trachée lorsque Corwen aborda le sujet des traitres.C' était pour ça...Il était surement de mèche avec l'armée haradrim qui arrivait,et un des capitaines les plus influent autour de lui avait du le prévenir de son plan...
Il recracha le sang sur les pieds d'un des soldats qui le tenait,puis regarda l'homme dans les yeux.


-Un traitre?Voyez vous ca...les ferais tous tuer...ajouta-t-il pour lu meme.Et vous comtez faire quoi de moi là?

"Quel capitaine serai-je pour faire tuer un autre capitaine... Vous rejoindrez le Port, si vous le désirez...

-Oui...

-Très bien... Mais je craint de n'avoir pas de navire pour vous y conduire... enfin je vous suppose bon nageur..."

Il fit un geste et son épée lui fut remise dans le fourreau. Les hommes le traînant l'amenèrent sur bâbord et il fut promptement envoyé par dessus bord...

Au même instant le rapport sur la coque tomba: dégât dans la peinture... Rien de plus...

"Envoyez le navire de ce cher Mort dans le fond de la rade et faite route pour contourner l'Executor avant d'évacuer la rade... Nous allons partir après un dernier cadeau à ce bon Reznor..."

Les ordres furent immédiatement donné...

"A oui capitaine... Il n'y a pas de traître... Mais l'occasion était trop belle pour diviser nos adversaires... Il s'accuseront mutuellement...

-Je comprend Amiral... Mais votre connaissance des navires ennemis m'impressionne...

-Un peu de recherche dans les annales d'Umbar, et vous sauriez que le Mort n'est peut être pas le vrai... Nous vérifierons cela dans le futur..."

Le Mort s'attendait a une eaux un peu fraiche,mais a ce point!Sa température corporelle descendit en quelques secondes,et il faillit s'évanouir.Mais bon,il tint le coup et remonta prestement a la surface.La rive n'était qu'a quelques encablés,mais traverser la baie avec la bataille navale qui s'y jouait relevait du suicide simple.Il se dirigea donc vers les contreforts rocheux en dehors de la ville.


Au bout de quelques minutes,il atteignit la plage.Il ne s'accorda pas de pause,et marcha a travers les broussailles.Soudain il vit une énorme montagne mouvante.Avant de se rendre comte que c'était un des trois mumakils amenés par l'armée haradrim...

Aaah,avec un peu de chances...

Il s'agenouilla derrière un arbre,et entreprit de vider son sac.Il trouva finalement ce qu'il y cherchait.L'uniforme de capitaine de la garde qu'il possédait avant de s'exiler en Umbar...La chance lui souriait,pour une fois...
Il enfila la tenue trempé,puis descendit vers le campement...Avec un peu de bol,on ne ferait pas attention a lui...Il pourrait même approcher les puissant,pareillement vêtus...

"Les rats quittent le navire dirait-on. Ou plutôt, disons que les navires quittent la rade... hè. Mais cela revient au même... Ce salopard se barre, et avec ce qu'il voulait, en plus..." dis-je au regardant les navires vides de tout équipage s'éloigner tels des vaisseaux fantômes. Il aurait été facile de les reprendre bien sûr, vu le nombre de types dessus, mais personne n'était en mesure de le faire.

"Eh bien, tous ces événements me font dire que c'est vraiment la journée des lâches et des abrutis, aujourd'hui..."

Bon, eh bien ce serait sur l'Executor qu'il faudrait passer nos nerfs. Ce dernier, abordé à la fois par la compagnie Haradrim et par mon Joyeux Requiem, les voiles déchirées, navait plus guère de chance.

Le Requiem, lui passe de l'autre côté du bateau presque immobilisé, de manière à aborder le navire par l'autre côté du bastingage que les Chiens du Désert. Dès lors, les larges boucliers des arbalétriers deviennet inutiles, et les gens de l'Executor sont attaqués des deux côtés à la fois.

"A l'abordage, les enfants !"

Cordes, grapins.

Les pirates s'engouffrent sur le pont de l'Executor, brandissant des arbalètes de poing qu'ils pourront facilement ranger après tiré un premier coup.

Les ennemi sont débordés, attaqués en sunombre et des deux côtés, rendant leur stratégie inneficace tandis qu'une pluie de carreaux s'abat sur eux.
Après viennent les corps à corps, qui seront eux aussi dévastateur. Sabres, cimeterres et haches qui s'entrechoquent.

Moi, je reste sur le Requiem, à la barre que j'ai finalement décidé de prendre, et j'observe et donne des ordres, une arbalète à côté de moi au cas où un de ces rascals tenterait de fuir sur mon navire.
Dans quelques temps, il faudra se décider à sabroder le leur, qu'il aille rejoindre le fond.

Pelleaon regarda le combat se déroulant sur l’Executor.

Il faudrait faire vite.

"Capitaine transmettez : sabordez et abandonnez le navire.

-Vous abandonnez l’Executor Amiral. Je croyais que nous allions le secourir ?

-Non capitaine. Nous perdrions trop de temps et risquerions de nous retrouver pris entre d’autre navire arrivant en renfort. Nous allons nous replier, mais auparavant, nous allons offrir un surprise au Capitaine Reznor et au Chien de Guerre… Faite passez l’Empire Astral à bâbord de l’Executor."

Le Joyeux Requiem se trouvait à tribord… Les soldats du navire de l’escadre Impériale se retiraient sur l’arrière de l’Executor où une frégate les attendait pour abandonner le navire. Seulement dix restèrent, les autres fuyant sans que les Chiens ne les remarquent…

L’Empire contourna les navires et longea le Requiem…

« Dites aux artilleurs d’ouvrir le feu sur la cible. »

Pelleaon transmit l’ordre. L’équipage du Joyeux Requiem était trop loin de ses balistes pour intervenir… Ils croyaient la fin de leur navire arrivé…

L’Empire fit feu… Détruisant… Le gouvernail au niveau de la ligne de l’eau.

Et L’Empire s’éloigna…





« Faites des signes au Requiem par les signes du Gondor. Il les connaît. Dites : « C’est de bonne guerre… Mais si j’était toi, je m’écarterai du mieux que je pouvais… » »

Pelleaon transmit sans comprendre… Qu’allait-il arriver au Requiem ???

Impossible de répliquer. Même l'vieux Bo'zoeil, mon meilleur artilleur, resté à côté de ses balistes tout au long du combat n'était pas capable d'effetuer un pareil tir... De toutes façons, je n'ai jamais prétendu que le Requiem avait la puissance de feu pour pouvoir répliquer correctement à l'artillerie. Non, nous ne nous en servons pas comme ça.

Sur le navire qui s'enfonce lentement dans l'eau, on tire une dernière salve à l'arbalète sur ceux qui s'enfuient. On ne peut pas dire que l'Executor aura laissé beaucoup de survivants. Je ne peux pourtant pas dire si le capitaine survécu ou pas... Dommage...

A l'évidence, mes gars quittent le navire de la même façon qu'ils sont venu, équilibristes avec des cordes qu'ils sont. Un à un, les grapins lâchent, ou on les aident, tandis que le navire ennemi sombre dans la rade, et que nous sommes soumis au courant.

Je ramasse mon tricorne, tombé à terre à cause du choc survenu lorsque ces salopards ont brisé le gouvernail, et tire mon chapeau à Corwen, le saluant au loin.

"Peut-être un jour nous rencontrerons-nous seuls à seuls, vaisseau contre vaisseau... Là nous verrons..."

Il n'entend sûrement pas, qu'importe... Le vent souffle partout, et le lui rappellera.

Il est temps d' s'occupper du Requiem, maintenant.

"Bon, les enfants, il va falloir jouer avec les voiles, si on veut atteidnre le port pour réparer. V oilà pourquoi j'aime toujours mieux utiliser des anges à deux têtes... Bien plus efficace ..."

Manoeuvres, manoeuvres...

Le Joyeux Requiem rentre au port, manque de se fracasser contre les récifs, heuruesement que j'ai des gars compétents. Il va falloir réparer, et auparavant conquire Umbar, si je veux avoir le temps de réparer.

Et Corwen qui s'en va... Dommage. En état, le Requiem aurait été un de ces navires capables de le rattrapper sans mettre toutes les voiles.

"Godverdom" pestais-je lorsqu'on m'annonça que ces salopards n'avaient pas seulement brisé mon gouvernail mais également fais un joli trou dans la coque.
Ecopper, qu'il fallait, bien sûr ! Je laissai deux mousses, deux gamins sans famille, fraîchement recruté dans quelque port mal famé. Quatorze ans à tout casser.
Sous la surveillance de Bras Cassé, un bon à rien qui n'était véritablement bon à rien, mais de loin alors, ils allaient écoper et colmater ça, que ça tienne avant qu'on y jette un coup d'oeil plus approfondi.

"Z'avez intérêt à ce que le Requiem flotte encore quand je reviens, sinon..."

Amusant de les laisser spéculer sur ce qui pouvait arriver sinon... Mais moi et ma clique, on n'avait pas vraiment le temps de s'amuser... Tsé, ça fait tout de même une armée Haradrim aux portes d'Umbar, qui risque de faire rater notre jolie prise de la Cité du Destin...

"Allez, c'est plus un assaut, on peut sortir les arbalètes lourdes maintenant..."

Bien vrai, ça. Lors du débarquement, les petits arbalètes à un coup, qui tiennent dans un poing, ça a été vachement pratique... Mais puisqu'on est revenu au Requiem, tant qu'à faire, autant récupérer l'artillerie lourde, celles qui seraient terriblement handicapantes mais qui étaient capables de percer les meilleurs armures...

Vite, aux remparts... Apparement, à ce que je vois, le chef de la p'tite troupe d'Haradrim rebelles s'en est tiré lui aussi. Bien, bien.

"Eh bien, mon brave," lui dis-je tandis que nous regagnions les points stratégiques. "N'avez pas vu celui qui est venu nous chercher pour tout cela ? Le Mort serait mort que ce serait fâcheux..."

"Je ne sais pas. Je crois qu'il a mené une contre-attaque, mais on ne peut être sur de rien ici..." répondit Taorin. "Pourriez-vous apporter toutes ces arbalètes sur les remparts? On va avoir besoin de tous les bras disponibles, si on veut survivre. Même si quitter la cité serait plus sûr, ça n'aurait servi à rien! Capitaine, avez-vous une idée sur la manière de les arrêter?"
Sans attendre la réponse, il se retourna vers ses hommes et leur ordonna de mettre en place les défenses autour des restes du palais. Puis il reprit la conversation, comme si de rien était.
"Capitaine... Reznor, non? D'après vous, 300 hommes suffiront-ils à protéger le port?"