EDORAS - LA TAVERNE

Revenant de guerre, Jolane s'arrèta à la taverne des cavaliers.

Bonsoir aubergiste, j'aimerais un poulet, du pain de seigle, du lait de brebis ainsi qu'un fromage de chevre. Cela fait 50£ pour toi aubergiste.

Firion et Eoseld entrèrent rapidement dans l'auberge allèrent s'installer à une table. Le tavernier vint les voir.

"Bonjour, mon seigneur. Que prendrez-vous ?
- Voilà 100 £, mon bon tavernier. Donne-nous tout ce que tu peux nous donner de froid pour cette somme. Merci.
- Très bien, mon seigneur."

Le tavernier prit l'argent et revint deux minutes plus tard avec des tomates, des carottes, de la salade et divers aliments froids. Le roi et son compagnon mangèrent rapidement et repartirent.

Linuth entra dans l'auberge comme il avait l'habitude de le faire tous les soirs.
- Une bière tavernier s'il te plaît.
- Pas de problême Linuth !

L'auberge était agitée, quatres ou cinq Cavaliers du Rohan buvaient bruyament, et il reconnu parmis eux Durna et Homlith. Les deux guerriers l'avaient aperçus eux aussi et ils se saluèrent mutuellement d'un signe de main.

- Voilà votre chopine sire !

Linuth termina tranquillement sa bière et reparti après avoir salué l'aubergiste.

Lunith entra après avoir pris soin de ramerner sa jument dans son box et de la nourrir. La taverne était remplie, comme d'habitude et Lunith, après s'être assis à une table où de nombreux compagnons, tous cavaliers, discutaient, il demanda une choppe de bière...
Il écoutait leurs dires, sans les interrompres. Selon eux, les ouargues étaient de plus en plus présentes dans les grandes plaines de Folde, et nombre des guerriers assis à cette table avaient été attaqué eux aussi. Seulement, eux s'en étaient mieux sortis...

- Une meute a dû décidée de s'installer dans le coin...
- Ouais, je pense qu'il serait prudent d'aller l'iradiquer, qu'en dites-vous ?
- C'est vrai que ces loups de malheur ont déjà attaqués deux marchands, et à chaque fois que l'on sort, il y a automatiquement deux ou trois ouargues qui se mettaient à notre poursuite... ça devient handicapant.
- Si nous y allons tous les six, on pourrait facilement en venir à bout, ou même les faire fuirs, vous ne croyez pas ?


Je pris la parole

- Le problême c'est que mon cheval a été blessé par une attaque cet après-midi... Je n'ai plus de cheval...
- De toute façon, nous aussi alors.
- Pourquoi ? dis-ja à nouveau
- Le mien s'est fait manger...
- Le mien aussi !

Je m'aperçu alors que aucun des chevaux de ces cavaliers qui étaient autour de la table n'était intact : trois avaient été emportés par les ouargues et sans aucun doutes dévorés, deux étaient gravement blessés et deux autres légèrement, dont le mien.

On se donna rendez-vous de lendemain pour en parler en de plus amples conditions, nous avions tous un peu bu, et certains dormaient déjà, couchés sur la table... Je posai une petite bourse que les autres complétèrent et je les quitta devant l'auberge avant de partir sur les remparts pour admirer la vue de nuit du Rohan...

Une bourrasque de vent s'engouffra dans la taverne lorsqu'une petite silhouette poussa la porte. S'asseyant rapidement sur un tabouret vide, situé prêt de l'âtre, il commande deux bières. Le nain avait l'air lad et épuisé, ses bottes de cuir étaient crottées et sa longue barbe noire n'avait pas l'air d'avoir été lavée depuis peu.

*Reposons-nous un tant soit peu...Ca m'a l'air charmant, par ici.*

Maxime entras dans l'auberge , il fit un signe de de tête pour saluer l'aubergiste puis pris place dans la salle. Puis après avoir scruter la salle qui était assez remplis par toute sorte de gens il y avait des soldats , des paysans et beaucoup d'habituées, il cria a l'aubergiste:

-Heu... patron une bière un fromage de chèvre et une miche de pain.

En attendant sa commande maxime pris une pipe dans sa poche et l'alluma

Le tavernier revint à la table et posa dessus la bière, le fromage de chèvre et la miche de pain qu'avait commandé le Rohirrim.

"Voilà votre commande, quand vous partirez, vous viendrez me payer. Sinon, la mort ou les cachots vous attendra."

Puis il repartit en chantonnant.

Maxime sourit. Il mangea tranquillement en observent tous les gens qui était la. Puis a la fin du repas il se leva alla au comptoir .

-Voila pour vous. En lançant une bourse a l'aubergiste.



Et maxime sorti de l'auberge.

Nirco entra dans la taverne avec un gros sourire sur les lèvre il était afin arriver a Edoras. Il trouvait la ville ville magnifique toute fois elle était plus petite qu'il ne l'imaginait. Il regarda dans la taverne et il vit pour la premiere fois un grand cavalier du rohan. Il trouvait son armure splendide , mais il aimait plus que tout son casque avec ses cheveux d'or. Il s'arreta un moment et pensa que au guerrier de Minas Tirith était t'il plus grand ou plus fort ?? Il du moins il avait très hate de visiter Minas Tirith.

Il demanda au tavernier: Monsieur le tavernier puis-avoir un Civet de lapin s'il vous plait.

le tavernier lui donna ce qu'il voulait et demanda 25 £

Le hobbit répondi et une chambre aussi en lui tendant le 25£

Nirco dégusta son repas et monta dans sa chambre se coucher

Firion, Cella, Eoseld et Theneor entrèrent dans la taverne. Les Rohirrims présent s'inclinèrent tous à leur passage. Firion avança jusqu'au comptoir et demanda au tavernier :

"Servez-nous un menu à 100 £ chacun.
-Non, laissez, c'est gratuit pour vous.
-Que nenni ! Je tiens à payer ce que je prend, c'est normal.
-Très bien, mais laissez-moi vous offrir une bouteille de mon meilleur vin.
-J'accepte volontier. Merci."

Firion revint voir les autres et chercha une table libre. Puis il vit à une table du fond où Elessarion était assit seul en train de manger. Firion et sa suite vinrent le voir et s'asseyèrent à sa table.

"Bonjour noble alchimiste. Je vous présente Cella, ma femme, Theneor, mon fils et Eoseld mon beau-frère, le premier maréchal de la Marche mais surtout mon meilleur ami."

Eoseld sourit.

"Je suis flatté, sire."

Firion sourit à son tour. Le tavernier apporta les plats et tous commencèrent à manger.

Le roi du Rohan était, malgré se que l’on aurait pu croire, venu incognito avec sa famille dans l’une des tavernes les plus fréquentées de Meduseld. Cela le rapprochait du peuple sans que l’on lui fasse l’honneur qui lui était dû. Le patron s’approcha d’eux, ignorant les clients assoiffés qui le hélait, puis chuchota un « oui… comme d’habitude, bien sur » et alla préparer les consommations des nouveau venus.

- Content de vous voir. Je m’étais dit que vous deviez être à la forge. Dit le royal Firion pour entamer la conversation.
- J’en reviens. Dit l’alchimiste, soulevant sa chope en la direction de Firion.
- Y avez-vous trouver se qu’il vous faut ?
- Je crains que non, il aurait mieux valut que je sois un cavalier rohirim pour cela.
- J’espère que vous vous plaisez tout de même sur mes terres.
- En effet, les terres qui sont les votre sont des plus accueillantes. Je m’étonne même du calme qui y règne, surtout ici à la taverne. Il n’y point d’inquiétude ou peu, point de misère en vos murs, une certaine sérénité qui empêche ces hommes heureux de trop boire, ce pays à un charme évident…
Firion était presque sur, malgré l’ombre, que l’alchimiste regardait la serveuse.
- C’est pourquoi ce sera dans la peine je que quitterais tout à l’heure Meduseld.
- Déjà ? S’étonna le roi du Rohan.
- Retournant à ma chambre, après mon passage à la forge, j’ai découvert le grand aigle de Mithrandir perché au dehors près de mes fenêtres. Voici se qu’il m’amena avant d’aller au nord, vers la sombre forêt.



- Je pars donc bientôt, mon cheval ne demande qu’à être scellé et mes bagages ont été fait. Ripaillons à présent.
Le repas fut délicieux et jamais l’humble aubergiste ne trahit la présence de la famille royale, se contentant de faire preuve d’un grand respect. Après uelque présentations, l’alchimiste se fit plus bavard que d’ordinaire et amusa l’héritier d’un ou deux tours de prestidigitation. On évita les sujets trop sombres, mais le roi et l’alchimiste se laissèrent aller à une prenante conversation concernant le retour du mage.
- Je comprends mieux votre calme après la mort de Mithrandir, vous saviez qu’il reviendrait.
- Oui… Je l’aurais rejoint d’une manière ou d’une autre.
Le repas pris fin et l’on sortit de table. Avant de quitter la salle de son éternel pas vif, l’alchimiste salua chaque personne, et remercia Firion de son accueil.
- Je fais donc mes salutations au souverain du Rohan, puissent lui et son domaine vivre de longs âges de prospérité…



Plus tard, à Starkhorn, sur la branche d’un saule, une corneille suivit de ses yeux perçants le galop d’un cheval noir qui filait vers Dunharrow.

Habillé de sa nouvelle livrée de garde royal, Eorlund entra dans la taverne afin de se restaurer. Il se dirigea droit au comptoir et commanda au tavernier:
-Bonsoir l'ami, donnez moi de l'eau et un plat de pommes de terres chaudes.
La tavernier revint avec les victuailles. Eorlund interrogea:
-Vous qui voyez passer tant de monde et qui devez connaitre la cité par coeur pourriez peut etre m'aider. Je suis un nouveau garde du roi. Je viens d'arriver dans la cité et je cherche où me loger... connaissez vous une adresse ? De plus, il faut que je trouve le Roi ou le capitaine des garde afin de faire mon entrée en service. Connaitrieriez vous le moyen d'accomplir cela ?

- Attention ! Mais faites attention ! s'exclama Wilhelm le hobbitMais je ne suis pas une pierre ! Si vous m'écrasez je ... Le hobbit n'en pouvait plus d'endurer ces grands pieds ! Il s'approcha d'un homme qui avait, selon les critères hobbits, l'air d'un sauveur...
[b]-Pardon, Mon Gentilmonsieur, pourriez-vous me dire où est-ce que je me trouves ? Je me nomme Wilhelm Touque, poursuivit-il en tendant la main plus par habitude que par politesse, et je...suis tout simplement perdu ! Voyez-vous, tout cela à commencé lorsque je suis tombé sur ce grand monsieur en cape et en capuchon noirs ! Alors là son truc est tombé et ... je ne sais plus combien de temps j'ai voyagé, mais si vous pourriez tout simpleemnt me dire où suis-je et où je epux trouver un gentil trou de hobbit pour me loger...
Juste à cette phrase, on devinait facilement que le hobbit n'était pas un voyageur habbitué...

Eorlund, toujours devant le comptoir, regarda ce petit homme. C'etait la première fois qu'il voyait un semi-homme. Bien sur il en avait entendu parler, il connaissait l'histoire de Frodon et de Sam. Bien qu'il ne sache si c'était vraiment à lui qu'on s'adressait, il décida d'aider le semi-homme:
- Vous êtes à Edoras, petit-homme, la capitale du Riddermark, cité du roi du Rohan, Firion. Je suis Eorlund, garde du Roi. Je viens d'arriver en cette cité et ne la connait pas encore assez bien pour vous aider parfaitement. En revanche je suis persuadé que vous ne trouverez pas de " trou de hobbit" pour vous loger...
Il sourit en regardant le hobbit...

Un homme entra en sueur dans la taverne. Il portait l'équipement d'un éclaireur.

- Je veux voir le Roi Firion...

Le tavernier lui indiqua la table royale.

- Messire !! Une troupe d'homme en maraude a été découverte à quelques heures de cheval d'ici! Ils semblent faire partie d'une plus grande troupe... A voir leur équipement et leur parler ce sont des gens du nord!

Eorlund suivit du regard, l'eclaireur. Donc, cet homme, a cette table, dans une simple auberge d'Edoras, au milieu du peuple était le roi du Rohan :son maitre. La premiere impression passée, Eorlund se dit que c'était positif, un roi pres du peuple. Prenant son courage à deux mains, il s'avanca à la table du roi, se posta à droite de l'éclaireur, baissa la tete et prit la parole:
-Sire, je suis Eorlund, nouveau membre de votre garde royale...

Le roi regarda l'éclaireur, son visage était sévère, non pas qu'on l'ai dérangé, mais qu'une troupe est été repéré le tracassait. Près à répondre à l'éclaireur, un Rohirrim vont lui parler. Il lui répondit ensuite :

"Bonjour garde Eorlung, allez à Meduseld et vous trouverez le capitaine de la garde qui vous donnera vos fonctions. Maintenant laissez-nous, une affaire importante nous occupe."

Se tournant vers l'éclaireur :

"Où sont-ils précisément et combien sont-ils ?"

Firion jeta un regard à Eoseld qui comprit. Il sortit de la taverne et fit prévenir le troisième Maréchal de la Marche que ses hommes devaient se préparer.

Alya avait errer dans Edoras un bon moment pour en connaitres les coins et recoins par coeur. Cette habitude venait de son maître d'âme et tuteur qui lui avait apprit à toujours connaitre l'endroit où elle vivait.

A la vue de la taverne qui semblait grouillé de soldat elle posa sa jument à l'écurie et y rentra.

L'odeur de biere et de nourriture se mélangeait au brouhaha. Elle s'avança jusqu'au comptoir puis demanda:

-Bonjour servez moi une biere eet un pain de seigle s'il vous plait.

En attendant d'être servit elle regarda tout autour d'elle à la recherche d'une table afin de s'asseoir en paix.

Les cinq hommes entrerent dans la taverne apres avoir laisses leurs montures et autres animaux dans les ecuries.

Il pleuvait dehors, le palais d'or de Meduseld etait cache sous la brume.

Dans l'auberge, il faisait chaud. Quelques cavaliers et paysans buvaient de la biere, le feu flamboyait joyeusement dans la cheminee.

Forlong s'asseya a une table, suivi par ses compagnons, et appella l'aubergiste.
Il dit:

-Aubergiste, apporte nous cinq bieres, et un bon roti. On aura aussi besoin de deux chambres pour la nuit. Voici 500 pieces d'or, gardez le reste,
je suis sur qu'avec ca vous pourrez nous donner vos meilleures chambres.

L'aubergiste sourit et remercia Forlong de sa generosite, puis partit.
Il revint, quelques minutes plus tard, avec les bieres et le roti.
Forlong commenca a manger, puis dit a ses compagnons:

-Nous passerons la nuit ici, et demain nous irons a Bree...si c'est la que vous souhaitez aller, Reodd.

Il jeta un regard interrogateur a l'homme.

Les yeux de Reodd flamboyaient. Ancun repas de la sorte ne lui avait été proposé depuis... quelques temps. Mais il se contin et commença à manger sans un mot, presque avec pudeur. Mais en réalité il se régalait. Lorsque Forlong lui demanda si il désirait aller à Bree, il mordit à pleine dent dans la viande d'un os et pris son temps pour mâcher. Lorsqu'il eut avalé cette chère qu'il trouvait si bonne, il s'essuya lentement la graisse qui coulait des coins de sa bouche et finalement s'offrit une généreuse lampée de bière. Malgré son régal, un tic nerveux avait parcouru son visage lorsque le capitaine du Nord avait sorti de sa bourse les pièces. Il répondit finalement tout bas sans regarder son interlocuteur :

Je ne souhaite rien du tout. Vous m'avez déjà sauvé, il serait ingrat de ma part de vous demander autre chose.

La nouvelle gorgée d'alcool et le repas copieux finit légèrement sonner faux cette affirmation. Il continua toutefois :

Si je vais à Bree, je peux vous assurer que je serais chatier et cette fois on ne m'accordera pas la même clémence que la dernière fois. Suivez votre chemin, je vous laisse le soin de décider de mon sort, car je ne suis rien d'autre qu'un fugitif.

L'ancien Maire laissa tomber l'os mis à nu dans son assiette et leva timidement les yeux vers Forlong, puis vers le mage et Gauvin.