A l'Auberge

-Je ne suis pas né de la dernière pluie, mais mon éducation m'oblige à le demander
Il se tourna vers Forlong et lui dit
-Alors et vous mon ami, venez-vous avec moi ?
Il se tourna vers la demoiselle , la salua et lui fit un baise main et dit
-Escusez-moi, de ma non-courtoisie de la tantôt, j'étais perdu dans mes pensées, Qui êtes-vous gente dame ?

L'homme était vraiment curieux, très curieux, et très indiscret. Le sujet de la conversation ne le regardait pas, et il ordonnait que l'on le lui révéla.

"Le seigneur Forlong vous a donner le privilège de vous inviter à a table, il me semble nécéssaire de vous rappeler que votre comportement et votre insistance sont très discourtois. Respectez le silence fait sur la précédente conversation, que diable."

Il attendait la réaction du haradrim.

Alira soupira, les hommes ne changerais jamais. Elle se tourna vers Gauvin pour lui répondre et présenter Alatarièle qui ne semblait pas du tout intéressé par la conversation.

"Je me nomme Alira et voici mon amie Alatarièle.

La voleuse se tourna vers le haradrim ignorant la remarque de l'elfe.

_Nous parlions des dernières nouvelles de Dol Amroth, mais vous ne semblez pas intéressé par cette ville, peut-être avez vous un sujet qui puisse satisfaire à tout le monde ici ?"

Autant éviter la bagarre, les derniers combats lui avait suffit, quoique tuer un elfe maintenant lui ferait du bien...

Forlong repondit d'abord a Gauvin:
-Mon ami, je dois encore m'occuper de quelques affaires dans la Cite Blanche, entre autres rendre visite a mademoiselle Sorge et faire une commande chez Vayare et Narmain. Vous vous depechez tellement de rentrer a Dol Amroth?
Le seigneur de Dol Amroth voyait que une bagarre s'approchait, mais heuresement tous les participants du conflit essayaient de calmer la situation.
Les sentiments de Alira envers Athinmor ne lui echapperent pas non plus. Il remarqua le regard plein de rage et de haine, qu'elle essayait de cacher avec un sourire pale. Il avait entendu de cette haine des elfes noirs envers les autres Eldars, mais il n'en connaissait point les origines.

Gebir venait de finir sa bière dans un recoin sombre de la salle et se décida à repartir à Dol Amroth aprés avoir vu ce que faissait le prince Aleth.

Gebir s'approcha de la table où se tenait Forlong, Gauvin, deux magnifiques belles femmes et un homme au teint sombre.

Il vint sur le coté de Forlong et de Gauvin pour leur signifier son promt départ.

Messires Forlong et Gauvin, nous partons enfin moi et deux autres qui retournons à Dol Amroth.Je pense passer à la haute cité pour y saluer une dernière fois le prince Aleth.

Tavernier, préparez moi 6 portions de pain de voyage nain et amenez nous 6 bières ou plutôt sept.Je crois que la cité me manque et que rien n'est si beaux que notre belle cité.

Gebir donna les piéces d'or au tavernier, s'inclina profondément devant les deux belles elfes présentes et se retira vers la sortie.

Après mes achats fait à la forge je revînt à la taverne et de nouveaux personnages était entré.Je m'asseya a la table de Forlong et regarda les deux elfes et un homme.Forlong connaissait cet homme apparemment.Je regarda les deux belles elfes.

Je me nomme Vayarë,armurier du prince Berund,fils de Berunda,prince de Dol Amroth la blanche.Et vous qui êtes vous.

Une des deux elfes avait l'air gêné et son regard s'emplissait d'une haine sans pareil.Puis je regarda l'homme.

Et vous qui êtes vous?

HRPG:je parle de Belgarath.

Puis un homme,un haradrim était assis a leur table mais il n'avait pas l'air amical.

Que fait un haradrim dans la cité blanche?Allié de Sauron le maudit.

Ces quelques paroles vînrent vite refroidire l'atmosphère de la table.

Belgarath, qui regardait le haradrim et les autres avec un air attentif, mais neutre, repondit a Vayare:
-Je suis Belgarath du Arnor, oncle de Forlong.
Aux paroles prononcees par l'elfe, l'atmosphere se refroidit, les personnes assises a la table mirent leurs mains sur leurs armes et regarderent autour d'eux avec un air mefiant. Alira avait l'air de vouloir prendre le cote de Ugluk en cas de combat, Forlong ne doutait pas que ceci etait une vieille affaire de famille avec les elfes. Le seigneur de Dol Amroth se leva et dit:
-Ecoutez moi! Nous sommes dans la Cite Blanche, en paix. Oubliez vous prejuges, vos vieilles haines! Il n'y a pas d'orcs a cette table, donc on est tous des allies...
Il dit ensuite, d'un ton plus calme:
-Je vais prendre un peu d'air frais, Vayare, vous pouvez m'accompagner, je dois vous parler...

je regardit l'homme qui se nommé apparemment Belgarath.

Enchanté de vous connaître.

Puis Forlong réchauffa l'atmosphère de la pièce et il me dit de le suivre.Je sortit de l'auberge avec lui.

Forlong sortit de la taverne, suivi de Vayare. La journee etait assez chaude, mais une legere brise rafraichissait les passants. Le seigneur de Dol Amroth dit a l'armurier:
-Voila, Vayare, j'ai besoin d'un armement, de tres haute qualite. J'aimerais bien que tu realises ce projet avec Narmain...un melange des techniques de forgeron de vos deux races donnera sans doute un effet magnifique.
Il me faut un plastron tres leger et solide, decore avec les insignes du Arnor et de Dol Amroth, un heaume en mithril, un bouclier rond, ainsi qu'un fourreau avec l'inscription "Lunerill" et deux saphires. Etes vous capables de me forger ca? Je payerai un bon prix.

Nous étions tout deux dehors et il me parla d'un projet.J'y réfléchissa quelques secondes et lui répondit:

Je serais d'accord mais tu ne veut pas l'armure complète?Que le plastron et le heaume?Pour la matière du mithril si l'on veut allier solidité et légéreté.

Je le regarda attendant une réponse de lui.

HRPG:parle aussi de ton invitation pour moi a ton chateau.

Soudain le bruit des sabots se fit entendre sur les pierres dans le Bas de la Cite. Les passants, alarmes, sautaient sur les cotes de la route, et lancaient des jurons dans la direction du cavalier imprudent. Ce dernier arreta son cheval devant l'auberge. L'etalon etait au bout de ses forces, et son dos etait couvert de sueur. Le cavalier portait les insignes de Dol Amroth et portait une armure legere. Il vit Forlong et dit:
-Seigneur Forlong, je vous ai enfin trouve! Je viens de Dol Amroth, le Prince m'a donne l'ordre de vous avertir immediatement. Vous devez rassembler tous les chevaliers et vous rendre demain dans la cite du Cygne. Il n'a pas dit ses raisons, mais il m'avait l'air tres alerte.
Forlong etait plus que surpris, que ce qu'il se passait? Lui meme, Forlong, serait reste sur place, se serait renseigne. Mais il etait Seigneur de Dol Amroth, il avait des responsabilites et des devoirs. Il lanca un regard a Vayare lui disant de le suivre, et rentra dans l'auberge. La il dit:
-Gebir, Athinmor, Gauvin, nous avons recus des ordres innatendus de la part du Prince Berund. Nous devons nous rendre a Dol Amroth le plus vite possible, au plus tard demain nous devons etre dans la Cite du Cygne. Preparez vous pour la route, Gebir, occupes toi d'acheter les provisions pour le voyage.
Il se tourna ensuite vers le reste des personnes atablees, et dit:
-Je suis desole de vous quitter de cette facon, mais, comme l'a dit un noble hautain il y quelques siecles, noblesse oblige. Je n'ai pas le choix, je dois obeir mon Prince. Par contre si vous souhaitez nous accompagner, vous etes les bienvenus.
Ensuite il ecrivit quelques mots sur un bout de papier:

Citation :

Maitre Narmain,
Je voulais vous proposer la creation d'un armement pour moi avec l'armurier Vayare. Malheuresement je suis oblige a partir d'urgence a Dol Amroth. Si vous le souhaitez, vous pouvez nous accompagner.

Il donn la feuille a un garcon, lui passa une piece de monnaie, et dit:
-Apportes ca au maitre Narmain, ptit gars!

Gebir récupera de la nourriture mais cette fois il chevaucheraient nuit et jour.

Vite, le messager a pris du temps.Il faut se dépecher.

Prenez ses provisions avec vous à portée de main.Nous ne nous arreterons pas.Nous prendrons droit vers Dol Amroth.Si vous vous attardez , il faut y etre demain le plus tôt possible.

Gebir monta en selle aprés avoir distribué les provisions.

Nous chevaucherons jusqu'en tuer les chevaux.NOUS avons reçu des ordres et NOUS avons prété serment.

Gebir s'élença dans la cité au galop en boulantplusieurs passants.

Sorti de la ville, il prit droit vers Dol Amroth.Tout droit vers le Dor-En-Ernil.Qu'ils contourneraient par le sud.

Si jamais la cité avait été attaqué,Gebir s'en voudrait toute sa vie.Ils leur faut arriver à l'heure.

Gebir nous distribua du pain de voyage.Je suivit Gebir et dit au passant:

Ecartez vous,laissez nous passer.

Nous sortîmes de Minas Tirith car les portes avait été laissé ouvertes.Une chevauché se fit alors nous traversâmes les champs du Pellenor et je suivait Gebir.Le temps nous était compter et il ne fallait pas le perdre mais il faudrait de toute façon faire une pause sinon nous pourrions arriver avec 5 jours de retard si les chevaux mourraient.Il faudrait faire une pause,la nuit de préférence comme ca les chevaux n'auront pas chaud.

Alira était resté silencieuse tout ce temps, voila qui allait bien vite, en un instant ils étaient tous partis. Abandonnant ainsi deux pauvres femmes, pffff aucun sens de la courtoisie de nos jours et les elfes semblaient complètement l'avoir oubliés. De toute façon moins il y avait d'elfes mieux elle se portait.

Soupirant elle finie sa chope et regarda les dernières personnes restantes.

//Arg je sais même pas qui il reste à part moi et Ala//

/ Si j'ai bien suivie il reste que nous Ali ^^ /

Ala les regardat tous partir , les uns aprés les autres , tant mieu tout ce monde autour d'elle commencer a l'agasser ...impossible de voler quoi que ce soit avec tout ces hommes d'honneur .
Elle ce servit une autre chope et tournat la tête vers Alira .

- Tu voulez me parler me semble-t-il ? C'est le moment je t'écoute ..

//Toujours aussi galant ces hommes --' //

Alira eut un sourire espiègle qu'elle n'avait qu'en présence d'Alatarièle.

"Nous avons à peine parlé depuis que nous nous somme retrouvées, il y a beaucoup de choses que nous avons à nous raconter, mais dabord j'aimerais que tu me parle de ce hobbit qui t'a tapé dans l'oeil d'après ce que je vois... En tout cas toi tu lui plais beaucoup"

Les yeux de la voleuse pétillaient d'amusement, ça lui avait manqué ses discutions où seules elles existaient, où l'on oubliait le monde et ses problèmes.