Nouveau soldat et mort de l'officier

"Bonjour, je viens prendre mon affectation dans la flotte, dit Tus"



Le soldat, vétérans de quelque bataille se tenais dans l’embrasure de la porte. Le capitaine du port lui répondis :

"Bien. Berund, mon second vas vous présenter le port et vous donnez votre affectation."

Les deux guerriers partirent. Tus connaissait Berund, pour avoir servi sous ses ordres lors d’un raid contre le haradrims…

"Voici nos quelques navires… Le Simol, que tu connais déjà… Mon navires personnel."

Ainsi de suite, Berund lui présentas tous les navires… Finalement, ils revinrent vers le centre du port et allèrent voir le capitaine. La porte était fermé. Des bruits de combats avaient lieux a l’intérieur…

"A la garde, cria Berund. "

Tus entrepris de détruire la porte pour passer. Berund le repoussa, pris sa dague et dévissa les gond. Ainsi, ils rentrèrent… La ils virent a leur pied, le capitaine étendu, raide mort. Une ombre venait de sauter par la fenêtre. Ils essayèrent de le suivre, mais impossible, la foule était trop nombreuse.

Ils revinrent au bureau et remarquèrent un papier au sol.

Vengeance. 5 de vos officier mourront, comme 5 des notre sont mort…

Ils fallait prévenir le Roy immédiatement, les officier devait veiller sur leur vie…

Un homme, tremblant et extrèmement fatigué, fit son apparation dans la pièce. Il suait, et avait dû courir sur plusieurs miles. Il balaya l'endroit de son regard et celui-ci s'arrêta sur Berund, Fils de Berunda. Il sortit ensuite un parchemin visiblement neuf et commença à lire, tout haut.

"Le Sieur Berund, Fils de Berunda a été repéré par les Hauts Dirigeants de la Cité Blanche et son travail fut apprécié. Une fois que vous l'aurez trouvé, annoncez-lui qu'il est désormais promu au rang de Capitaine de la Flotte !"

Son regard se posa ensuite sur le cadavre de l'ancien officier et son visage pâlit immédiatemment. Il murmura quelque chose pour lui-même et, regardant les deux soldats, leur souffla :

"Deux marins ont tenté d'arrêter l'assassin. Celui-ci s'est âprement défendu et est décédé. Il n'y plus rien à craindre, je pense vu que deux autres officiers ont été retrouvés morts, dans leur bureaux..."