Eosfel Citoyen
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| Dim 10 Déc 2006 - 21:39 | | La brume se leva juste aprés le levée du jour. Le baron sourit , d'un sourrire sans joie ni bonheur , un sourrire macabre. C'ést l'heure de reveiller les morts. Se dit-il. Il avait observer les barbares de son piedestal imprennable. Il entendait six hommes derière la porte qui attendait patiement la mort de faim du Baron ou sa sortie despérée. Quarantes barbares étaient en faction dans la cours du chateau , ils s'entrainaient et rippaliait comme des porcs.
Asfel reprima un juron et détacha le cor d'ivoire de son cou. Il prit un petit couteau et grava son nom et son rang en dessous de Tenoriel Harkonnen , neuvième Baron des Montagnes Blanches. C'était la coutume afin de ne pas oublier les héros du passé.
Le baron ce dirigea vers la meurtrière peu étroite , il observa l'horizon et détacha peu a peu son regard vers ses montagnes natales. Il vit un homme seul , cavalier , porteur de sa destiné , son fils encore en vie qu'il n'avait pas renié. Si seulement Asfel c'était comporter comme un noble lors de cette mission chez les elfes... Si seulement ses désirs n'avaient pas dupé son intelec , mais l'erreur était déja faites et il repensa avec humilité le jour ou ce Hark était venu le quérir.
Le Baron prit le cor et le porta a ses levres , le métal froid lui glaça le sang mais néanmoins il inspira et souffla dedans. A plusieurs reprises , sept fois comme en veut la coutume. Le son grave et mélodieux résona dans toutes les montagnes , comme un cris de fureur ou de peine , les chevaux des barbares s'affolèrent et même certain soldats tirèrent leurs armes. Portant tous leurs regard vers le donjon , ils virent Asfel repetant sans relache le message macabre.
Eosfel respira doucement , il gligna des yeux pour s'empecher de pleurer , mais la peine était trop forte. Il dégaina son épée , fit pivoter Orage et s'élança vers le bastion , bien résolu a ne pas vivre ce soir.
Dans l'ouest , le bruit du cors parvenait a des soldats émitoufler dans des capes de fourrures , leur chef Artok le Pieux avait déja preparer ses armes , les esprits des montagnes , les faux morts , les guerrier de l'au délà , ce n'était que des légendes , mais ses soldats étaient bien rééls , des bètes de combat , haut comme deux hommes ce batant uniquement pour leurs convictions. La peste avait emporter prés de la moitié du contingent , c'est donc avec soixantes-hommes que Artok le Pieux pris la route , bien résolu a faire valoir son serment ancestral. Sa famille de montagnard avait depuis des générations fait serment de ce battre pour leurs partrie et leurs maitres. C'était avec eux que le combat allait retentir. |
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