Fin d'année ...à Minas Tirith !

Les rues étaient vide ce soir-là, le soleil s'était couché comme le jour précédent et une fine brise parcourait la cité. Tout semblait calme à Minas Tirith, et c'était bien paradoxal vu que la fin d'année approchait à grand pas. Pourtant, dans le haut de la cité, au palais, les servants s'affairaient à plusieurs tâches; un fameux banquet prennait place sur de longues tables en chêne sculpté, des fauteuils en peau d'ours étaient positionnés sur le côté. En cuisine, l'affolement. Les cuisiners attitrés du Roy étaient crispés jusqu'aux doigts et ils se défoulaient sur les pauvres valets qui tardaient trop.

La neige régnait sur le sol, en dehors. Il faisait frais. Le Roy était debout, sur les marches d'entrées, contemplant calmement les premières étoiles qui scintillaient dans le ciel noir. Il espérait que la fête, le banquet, et par après, le bal permettraient aux citoyens de passer d'agréables moments...les derniers de l'année. Il retourna dans ses appartements, en laissant le soin à ses valets d'acceuiller les futurs invités.
Après avoir jeté un dernier regard, il referma la porte derrière lui.

« Le maréchal de la marche est convier au palais... »


Voila ce que disait le mot que Berund tenais entre ses mains...


Le froid leurs mordait la peau. L'Officier du Rohan et sa femme montait les marche du palais. Un serviteur les débarrassa de leur manteaux.


Le marbre blanc était décoré par toutes sortes d'ornement pour la fête. Quelque invité se trouvé la... Personne de grand intérêt pour Berund a part le Roy.


Il se dirigea vers ce dernier et lui présenta sa femme...

Le Roy se retourna et son visage s'illumina en découvrant la beauté de la dame Eléonore. Il fut mal à l'aise un court instant avant de se ressaisir en baisant la main de la nouvelle mariée. Il lui sourit par après et l'invita à prendre un verre de vin.
Le Roy se tourna ensuite vers son ancien ami, Berund fils de Berunda. Il lui sourit chaleureusement :

"Votre femme est ravissante !"

Son clin d'oeil ne passa pas inaperçu. Il entraina l'autre près du banquet et le présenta aux quelques personnes qui bavardaient là.

Un inconnu ce présenta devant la porte du palais.
Une lourde capuche baissée sur sa tête le proteger des regards indiscrets alors qu'il avait revetit une robe de bure noire.
Son épée pendait molement a sa ceinture alors qu'il s'approchait , les gardes resserèrent leurs prises sur leurs lances.

_Qui es-tu ? Demanda le premier en dévisageant le visage caché d'Eosfel.
_Faites venir le Roy...
_Tu crois que le Roi du Gondor ce déplace pour les vagabonds , rentre chez toi ou tu passeras la nuit chez le bourreau.
_Radamanthe ? Soudain son regard s'illumina.
_Le connais-tu ? Demanda méfiant le garde.
_J'ai eu plusieurs....discussions avec lui... Puis l'ancien écuyer pris son anneau dans sa poche et le tendit au gardien.
La bague d'or a l'éffigie de l'arbre du gondor resplendissa un instant avant de reprendre sa couleur terne.
_Melkar , fait venir un conseiller au roy... Chuchota l'autre garde a son collègue.

Après moult efforts pour me libérer de mes tas de parchemin, je partie me changer....

J'arrivai maintenant à l'enter de la salle de banquet.

Je passai devant le garde sans même le remarquer.

Je me placai au coté de l'aboyeur qui m'annonça :

Le Bon Huissier de notre Cité, Monsieur Gabriel Von Hadès !

Je lui adressai un hochement de tête et m'avancai dans la salle.

Le forgeron arriva en courant devant les grandes portes du château de Minas Tirith. Il continua son chemin vers l'entrée principale et rencontra les gardes qui l'observait avec un sourire.

- Bonjour noble forgeron! Dit le premier garde.

Les deux gardes reconnaissait Barthemir parce que c'était lui qui avait confectionné leurs armes et armures.

- Salutation à vous cher garde! Répondit-il. Puis-je rentrer à cette fête?

- Bien sûr, je suis certain que le Roi vous recevras toi et les autres avec grand plaisir!

Barthemir les salua une dernière fois avant d'entrer dans la grande batisse, celle qui représentait fièrement Minas Tirith.
En entrant dans le grand hall, il vu que les invités se rassemblais plutôt lentement cette fois-ci. Enfin il vu le Roi : Méphisto, tout de suite, il marcha vers lui.

Devant lui, il s'aggenouilla avant de dire:

- Grand Méphisto, je t'apporte ce présent pour vous montrer que vous êtes un bon souverain et que je croirais en vous pour une autre année encore.

Il lui tendit un armure fait d'acier avec quelques diamants incrustés dedant.

-J'èspère que cela vous fais plaisir.

Un elfe assez agé entra dans le palais,il était suivi de deux hommes forts portant un objet envellopé d'un drap rouge...
-Posez le la...
Puis faisant signe aux valets de partir il fit appeler un page...
-Va me chercher le Roi,de la part du'Arminas,Haut Secrétaire du général Gelmiron...

Entendant ce nom et ce titre,le page coutut trouver le Roi.Quand celui ci arriva,Arminas tira sur le voile rouge.Laissant aparaitre une statue de mithril représentant le roi.-Réussie non?Vous avez les salutation de Rustor et des elfes

"Mais bien sûr, mon bon monsieur, comme il est écrit sur cette affiche circulant dans toute la ville:"

Il lui désigna un morceau de parchemin accroché au mur le plus proche.
Il fit une moue étrange. De la publicité dans le palais lui-même ? Ce n'était guère utile pourtant.

Le Roy fut stupéfait devant la beauté de la sculpture. Il s'avança vers l'elfe dénommé Arminas et le remercia chaleureusement. Il manda à deux valets de mettre l'oeuvre en sûreté, dans une petite pièce circulaire se trouvant à côté de la grande salle. Par la suite, il accueillit d'autres invités qui se pressaient à l'entrée. Il reconnut même un ancien officier de la flotte du Gondor.
Le monde grouillait autour du banquet, sur lequel trônaient toutes sortes de plats alléchants. Le Roy s'approcha et se servit un verre de vin, une des meilleures bouteilles du Royaume qu'on avait débouché spécialement pour la fête. Il remarqua un homme qui se tenait à l'écard, près des tables et lui tendit une coupe de fruits.

"C'est tellement difficile de choisir ...autant accepter ce qu'on vous propose !"

Le Roy songea quelques instants aux dires du dénommé Hobasian. Il fut étonné d'avoir en face de lui un charpentier de Pelargir, bien qu'après tout, cela faisait longtemps qu'il n'avait plus été dans la cité portuaire. Il but une longue gorgée de vin et dit calmement:

"Dol Guldur, dites-vous ? Hé bien je crains que beaucoup de sang y ait coulé, mais j'avouerai ne pas avoir de nouvelles et autres informations très précises. Rustor Gelmiron est sans doute en train de se battre à l'heure où nous bavardons...et il sait qu'il a toute ma confiance."

Il s'arrêta deux courtes secondes pour regarder une grande femme qui venait de pénétrer dans la grande salle, et reprit:

"Quant à votre ami l'alchimiste, j'ai en effet été mis au courant de sa visite ...mais il ne sait plus jamais présenté, je ne l'ai malheureusement plus jamais vu ici !"

L'homme observait de loin la scène.
Il avait réussit a pénétré dans la salle de bal.
Personne ne faisait attention a lui , et le dit personnage pris le temps de réfléchir a ce qu'il allait dire.
Depuis sa rentrée a Minas Thirit , aucune personne ne l'avait reconnu , même pas ses propres amis.
Son physique avait était severement touché , et son mental encore plus , des plaies invisible qui ne cicatricerais jamais , des plaies dans le plus profond de son coeur et de son âme.
Trois a quatre fois il avait hésité , mais c'était bon , il avait décider de revenir a Minas Thirit , personne ne savais ce qui c'était passer dans les Montagnes Blanches , et il vallait mieux.

Dans un souffle de courage , l'inconnu drapés d'une grande toge noire , capuche rabbatue ce dirigea vers le Roy.
D'une voix caverneuse , il annonca.

_Le nouveau Baron des Montagnes Blanches vous salut , si ma laideur ne pouvait affecter votre vue , je me devoilerais a vous Sire , et vous reconnetrez en mon âme décharné , votre modeste serviteur Eosfel.

Toute la salle ce stupéfia , la musique s'arreta et tous dirigèrent leurs regards acusateurs ou apeurés vers la silhouette fort mal a l'aise.

Après s'être promené un peu partout dans la cité, en évitant les coins trop sombres vu que son épée est en cours de fabrication, Balak tomba sur une publicité à propos d'un banquet de fin d'année.

Par la barbe des nains, de la ripaille! en voila une bonne idée! Bon, mettons-nous en route.

Arrivé devant le palais, Il eut un léger haut le coeur...

Mais pourquoi tout est SI blanc dans cette citadelle? Tiens voila l'entrée.
Holà, gr...noble garde, peux-tu me laisser passer? cette fête est destiné à chaque citoyen n'est-ce pas ?

Mais après un plus long examen, Balak se rendit compte que l'énorme masse de chair dormait à point fermer.

Et bien, droit ou pas, j'entre! Nom d'un hobbit, il y en a du beau monde...Des elfes, quelques nains, pas mal de noble, et même...ce serait bien le roy, le tout en blanc avec la couronne. Et pis c'est qui l'encapuchonné, là-bas ?...ouh je sens que je vais me faire tout petit moi. Bon, heureusement y a de la piéta...merde, j'ai marché sur un vieux.

Dis donc toi, tu peux pas faire attention? faudrait être plus sélectif à l'entrée...

Le Roy était en train de regarder le nouveau venu, à savoir le mercenaire Balak lorsque l'homme encapuchonné le héla. D'abord surpris, sont teint pali inopinément alors qu'il reconnaissait son Chevalier et ancien ecuyer, Eosfel Harkonnen. Il serra si fort son verre que celui-ci failli se briser en morceaux. Le Roy, ne sachant comment réagir, décida d'accueillir chaleureusement son Chevalier.
Il s'approcha, et d'une tappe amicale à l'épaule, lui chuchota :

"Mon ami ...quelle joie de te retrouver et ce, bien que tu m'aies fait très peur ! Mais que t'es t-il arivé, enfin, Eosfel ? Passe donc aux Maisons de Guérison, au lieu de faire peur à mes invités ! Je serais heureux de bavarder avec toi, mais tu as l'air en mauvais point..."

Eosfel grogna , un grognement qui lui déchirait les tripes.

_Seigneur Mephisto , mon histoire est trop longue a contée pour le moment , peut-être ce soir , vous me trouverez chez moi , au Palais.

Il soupira et masqua encore plus son visage.

_Les maisons de Guerisons ne peuvent pas soignés mes blessures , car un elixir ou un baume ne peux pas guérir les blessures de l'âme , elles viennent du mal le plus sombre et le plus térifiant , un mal qui ne subsistent dans le coeur de tout homme , le mal ma rongé Sir , et j'en reviens presque a douté de votre fausse sympathie en mon égard , j'ai peur Sire , trés peur.

Il s'arreta dans sa tirade , halletant un air inexistant , soupira , et sans une courbette sortit de la salle , laissant le bal reprendre son cours aprés ce mysterieux incident.

Le Roy acquisa et laisse le chevalier s'eclipser bien qu'il s'inquiéta fort à son sujet. Il soupira et regarda l'autre traverser la grande salle et sortir. Dehors, la tempête avait redoublée d'intensité, les flocons tombaient en plus grand nombre et le sol était recouvert d'une couche de neige. Il sourit à la pensée des pauvres patrouilles de miliciens qui étaient en service actuellement.

Peu après, le Roy s'écarta et s'assit sur un fauteuil, bénéficiant d'une vue sur l'ensemble de la salle. il ne tarda pas à trouver un compagnon, un noble à l'air hautain le rejoignit et commenca à le questionner sur le mouvements des troupes, loin dans le sud, au harad, où à la place de la neige les hommes avaient du sable, et en grande quantité.