Des Saltimbanques

Cependant ce que Gildor n'avait pas vu, c'est qu'il y avait une porte dérobé au fond de la pièce, l'un des brigands s'y précipita, l'ouvrit avec violence et commença à courir dehors. Mais devant lui se tenait un homme qui le regardais, il essaya donc de partir dans une autre direction, un mur de flammes l'en empecha.

"Non, tu vas rester ici"
"C'est ce qu'on va voir"


L'homme chargea Mithrandit, présent que par le biais d'une projection astrale, et essaya de lui assener un coup d'épée sur la tête. Mithrandir para l'attque avec son épée dasn sa main droite, tout en donnant un coup de son sceptre dans les côtes de son adversaire. Celui-ci revint à la charge, Mithrandir para a nouveau l'attaque mais avec son bâton cette fois, tandis que de son autre main il envoyait son épée s'enfoncer dans le ventre du brigands, puis d'un mouvement rapide il sortit son épée de son ventre et lui trancha la gorge. Mithrandir s'avança vers la porte dérobée de l'arrière et la bloqua par un charme avant de disparaitre.

-Soyez béni maître archer ! Je vous remercie infiniment.

Il adressa un rapide sourire à Gildor, puis reporta immédiatement son attention sur les adversaires, qui revenaient à l'attaque.

Il parra quelques coups, portés peu férocement par des combattants plutôt amateurs, et porta quelques coups, sans blesser, mais surtout pour ls écarter de la porte afin de faciliter la tâche à Gildor.

Il restait donc cinq hommes, plus un, celui à la cape rouge, hors combat.

Parmi ceux-ci, un était encore aux prises avec Yrian. Un autre, alors que le vieil Hobasian se jettait sur un autre ennemi, je jetta sur lui, et le faisant basculer, se retrouva en position de force, le maintenant fermement, par une poigne de fer. Son capuchon tomba, révèlant son crâne chauve. Ils avaient tout deux lâchés leurs armes, et l'homme le tenait par les poignets.

Un autre s'abaissa agilement, et fit un croche-pied au maître archer, qui se retrouva par terre, mais toujours armes en main.

Balthazar, lui était coincé par deux hommes, dans un coin.

Meneldir affrontait toujours un homme en duel.

Les deux hommes qui l'avaient assailli en même temps lui donnaient du fil à retordre. Au moment ou l'un d'eux l'attaqua avec une force considérable, Balthazar exécuta un mouvement des plus osés.
Il prit appui sur le mur, et donna une impulsion, de manière à frapper son ennemi alors que celui^ci le chargeait. Cela avait fait comme un bond puissant. L'ennemi sursauta de surprise, car il ne s'attendait pas à ça.
Mais l'instant d'après, celui-ci s'écroula, mort, la gorge tranchée par un coup d'épée furtif.

Mais l'autre réagit aussitôt. Il lui donna un coup de dague au bras, qui provoqua une longue entaille. Balthazar était blessé, à nouveau coincé dans son coin, avec un adversaire en moins. Il lui fallait de l'aide.

Il lançaun appel au secours.