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 Les annales de Brethil...

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Berund, fils de Berunda
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Berund, fils de Berunda

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- -: Homme de noble lignée, descendant de Turin Turambar
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Les annales de Brethil... EmptyVen 23 Mar 2007 - 14:09
Monseigneur.


Comme promit, voici les annales de mon peuple et de toutes personnes s’y rattachant, que ce soit Maeglin ou le Seigneur Turgon de Gondolin.

Ces annales seront en plusieurs lettre, devant aussi m’occuper de la Contré de Dol Amroth. Le soucis de vérité m’obligeant à aller lentement…


La présente missive traitera du peuple de Brethil, sans entrer dans les détailles de ses chefs…


Tous d’abord, le peuple de Brethil apparu en même temps que les autres humains. Appréciant le couvert des bois, il n’était pas réputé comme un peuple guerrier, mais malgré tous, ses forestiers et troupes, principalement armés d’hache aidèrent de nombreuse fois les Elfes…

Tous cela est contenu dans les livre traitant du Premier Age de notre monde, mais ce qui est inconnu est la suite. De nombreux érudit sont persuadés que le peuple de Brethil se mélangeât aux Edain, et qu’il perdit sont identité propre. Or il n’en est rien. Le peuple de Turin Turambar parti effectivement pour Numénor, et participa à sa splendeur. Ils participèrent avec bravoure au combat contre le noir Sauron, mais quand les hommes commencèrent à repousser l’amitié des immortels suite au manigance de l’Ennemi, les hommes de Brethil retournèrent Sur les Terre du Milieux, en ayant demander de s’occuper d’un colonie.

Or quand le Roy leva la grande flotte, le seigneur Bartam , prince de Berthil, refusa et, avec son peuple, s’enfonça dans les ténèbres des foret… Ils échappèrent au troupes lancer a leur poursuite, et rejoignirent les elfes de la Lorien ou de Foncombe…

La, après le désastre de l’île et l’arrivé des élus, Bartam s’occupa d’aider ceux ci a s’imposer. Mais l’age l’emporta et son fils, Amenthe pris les rênes de son peuple et le dirigea au coté du grand Roy, contre Sauron. Amenthe mourut à la bataille de Dargolable de la main du Noir Sorcier, qui fut nommé après seigneur d’Angmar.

Deux de ses trois fils périrent durant la bataille de l’Ultime Alliance. Amouthe, le cadet, survécu. Mais la perte infligé a son peuple était si grande qu’il refusa, et interdit à son peuple, tant que l’épée ne serait reforgé, de combattre ouvertement le Noir.


C’est ainsi que le peuple de Brethil vécu en tant que Rôdeur. Les homme de la maison d’Elendil les rejoignirent, et la race de Turin Turambar vécu aux cotés de celle d’Isildur…

Les hommes de Brethil réapparurent au moment de la bataille des champs du Pélénore, en la personne d’Halbarad Dunadan, parent, donc par Turin, d’Aragorn.

Après cette bataille, ou tomba le prince de Brethil, les hommes repartirent dans le silence dans les foret entourant l’Amon Soul. Ils protégèrent le Nord, jusqu'à ce que l’elfe Maeglin attaque leur demeure forestière…

Mais une auter parti du peuple préféra se mélanger aux peuples des Terres du Milieu, tout en promettant de se relever quand le Prince les convoquerai...



hrrp: J'ai posté ces annales ici, s'il faut les déplacer, prévenez moi...


Dernière édition par le Dim 1 Juil 2007 - 19:09, édité 1 fois
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Les annales de Brethil... EmptyMar 19 Juin 2007 - 9:02
Seigneur Méphisto




La présente missive est la suite d’une envoyer il y a bien longtemps. La première traité du peuple dont je suis originaire.

Celle-ci traitera des elfes proche de mon peuple. Elle se concentrera plus particulièrement sur Maeglin et Eöl, les deux elfes noirs.

Eöl, elfe venant de Doriath, ne supporta pas que la reine Melian enferme ses terres en un royaume fermer. Il partit donc dans la foret de Nan Elmoth. Ami des nains qui, comme lui haissent les Noldor, il se rend fréquemment dans leur demeure dans les montagnes Bleues…

Eöl était un excellent forgerons. Il forgea de nombreuse épées et armure de qualité, dont l’épée du Dragon et sa sœur jumelle. Il créa aussi un métal nommé le galvorn.

En l’an 316 du Premier Âge, il rencontre et capture Aredhel qui s'est égarée dans ses bois. Devant la beauté de la sœur de Turgon, il tomba amoureux et l’épouse. Quatre ans plus tard, elle donne naissance à un fils, qu'elle nomme Lómion, « Enfant du Crépuscule ». Eöl ne lui donne un nom que lorsqu'il atteint ses douze ans et l'appelle Maeglin, « Regard vif ».

En 400 du Premier Age, profitant de son absence, sa femme et son fils fuient Nan Elmoth pour se rendre à Gondolin. Mais Eöl rentre plus tôt que prévu et se lance à leur poursuite, les pourchassant sans qu'ils ne s'en aperçoivent jusqu'aux abords de la cité cachée, dans laquelle il parvient à s'infiltrer à leur suite. Capturé par les gardes du roi de Gondolin, Turgon, il est mené devant lui et le choix lui est laissé : vivre à jamais à Gondolin ou mourir. Refusant d'obéir à un Noldor, il choisit la mort pour lui et son fils, s'empare d'un javelot et le projette sur Maeglin.


Mais Aredhel s'interpose et le javelot la blesse à l'épaule ; elle meurt peu après, la pointe étant empoisonnée du Poison Noir.

Pour ce meurtre, Eöl est condamné à mort et est jeté dans le Caragdûr, un précipice au nord de Gondolin. Au moment de mourir, il menace son fils et le maudit : celui-ci mourra comme lui…

Or cette malédiction lui sauva la vie, car son fils ne devait pas mourir en tombant dans le Caragdûr.

D’après ce qu’il me racontât, il fut longtemps agonisant dans les ténèbres, mais un groupe d’elfe n’ayant jamais vu les lumière ni de Valinor, ni de Gondolin, le trouva et l’emporta…

Las des Noldors, Eöl parti avec ses nouveau compagnons loin de ses parents…

Il ne réapparut que lorsqu’il appris la chute du traître Melkor. Le départ des Noldors le réjoui et il s’engagea en tant que Mercenaire et Forgerons dans de nombreuse armée humaine…

Il combattit vers le Harad et Khand au moment de la guerre de l’Anneau.

Il revint vers les peuples libres lorsqu’il apprit les méfait de son fils et la il me rejoignit…

Il tomba dans la bataille de Dol Amroth de mains de son fils, qui le transperça de son épée enduit du Poison d’Eöl, ou Noir Poison…

La malédiction connaît maintenant un moyen pour être acccompli…


Pour Maeglin, que l’on nomme aussi « enfant du crépuscule » en quenya, il resta vivre a Gondolin et Turgon lui fit honneur.Il ne tarda pas à devenir un personnage éminent de la cité caché, aimé de tous sauf de sa cousine Idril, la fille du roi, dont il était pourtant éperdument amoureux d'un amour cependant interdit, tous deux étant cousins germains. Elle épousa finalement l'humain Tuor, venu apporter l'avertissement d'Ulmo à Turgon.

Quelques années plus tard, Maeglin se perdit dans les montagnes de l'Echoriath, qui encerclaient Gondolin, et fut capturé par des Orques qui l'amenèrent devant Morgoth. Torturé, il finit par avouer l'emplacement de Gondolin, que Morgoth recherchait depuis des années ; celui-ci promit à Maeglin le trône de la ville et la main d'Idril.

En l'an 510 du Premier Âge, Morgoth envoya ses armées détruire Gondolin. Maeglin ne reçut pas la récompense qu'il escomptait : au moment où il se préparait à défenestrer le petit Eärendil, fils d'Idril et de Tuor, ce dernier accourut et lutta contre Maeglin, qui fut précipité dans le vide, tout comme son père l'avait été.

Mais là, comme son père survécu, Maeglin survécu aussi. Des rescapés du massacre passèrent non loin de lui, et, ne connaissant sa trahison, il le prirent avec lui et le soignèrent…

Puis, il s’enfuit dans les montagne avec un groupe de fidèle… Durant maintes années il combattit les descendant de la famille de Tuor, mais aussi tous ce qui pouvait lui être apparenter. Il porta aussi sa haine contre les détenteurs de l’épée jumelle à la sienne…

Aujourd’hui, la malédiction peut se résoudre n’importe quand. Il faut pour se faire, que Maeglin soit blessé par le Poison d’Eöl, qui ne peut être généré que par son épée, ou la mienne…

Pour ce sujet, il me faut encore quelques recherche, mais des que je les aurais faites, je vous les enverrai…

En vous renouvelant toutes mon amitié et ma fidélité.

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Les annales de Brethil... EmptySam 20 Oct 2007 - 20:39
Les chevaliers de Brethil






Le peuple de Brethil est un peuple forestier dont l’armé a toujours était tourné vers la guerre non ouverte depuis Brandir fils de Handin.



Mais a partir du moment ou les enfants de Turin récurent le titre de Prince de Brethil, une caste se créa, destiné à accompagner les descendant du héros maudit par Morgoth.



Fut donc créer les chevaliers de Brethil. Du nombre de 4000 lors de la période précédant Numénor, ils ne furent plus que 400 lors ce que l'île s’englouti dans les flots. En effet, seul des descendants de Brethilliens par la mère, et par le père pouvait espérer avoir le titre de Chevalier.



Puis, au moment de la guerre de l’anneau, ils ne furent plus que 40. En effet, le peuple se réduisant, il n’y avait même pas assez d’âmes sous la gouverne d’Halbarad Dunadan, rôdeur à la main lourde, pour pouvoir faire 400 chevaliers.



Mais devenir un chevalier demande un courage et un entraînement hors du commun. Le jeune Brethillien doit faire ses preuves, après son apprentissage, dans l’armée de Brethil en tant que Forestier de Brethil. Ces soldats sont les écuyers des chevaliers. Maniant l’arc, la lance, l’épée, mais surtout l’arme de tradition : la hache, montant à cheval aussi bien que l’élite du peuple de Turin, ils n’ont qu’un rêve : devenir chevalier.



Et cela se produit pour les meilleurs, ou pour plus en cas de guerre. En effet, un forestier devient chevalier si l’un de ces derniers tombe au combat. Le chef d’une des quatre familles de chevalier choisir le remplaçant. Celui-ci est donc adouber chevalier, et peux combattre avec son Prince.



Il rejoint alors l’une des 4 familles, là ou se trouvait son prédécesseur. Les quatres familles de chevaliers sont:



-La famille de Turin, qui a pour ordre de diriger l’armée.
-La famille de Hurin, qui a pour ordre de protéger la tradition.
-La famille de Morwen, qui a pour but de former les jeunes Forestiers.
-La famille de Nienor, qui a pour ordre de défendre la veuve et l’orphelin.



Ces dernières années, de nombreux chevaliers sont morts et ont été nommé. En effet, ils durent affronter à Dol Amroth leur ennemi, se battre dans le nord, et enfin sur les champs du Pélénor. Seul 7 d’entre eux ont survécu a ces batailles. Ils se nomment : Ajax, bon pour le cri de guerre, Diomede dompteur de chevaux, Ajax, a la main lourde, Thonin, l’ingénieux, Nestor le vieux, Ordile, le beau, et Sen, le fourbe.



D’autre on était nommé. Ils n’ont maintenant plus de Prince a leur tête, mais compte bien se venger…

/HRP: ce texte n'est pas un retour, juste un vieux text oublié, refait a la vas vite, pour Gebir... Bonne chance a tous...//HRP
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