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 Les annales de Brethil

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Berund, fils de Berunda
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Berund, fils de Berunda

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~ GRIMOIRE ~
- -: Homme de noble lignée, descendant de Turin Turambar
- -: 83 ans
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Les annales de Brethil EmptyDim 25 Nov 2007 - 0:07
// Suite à une relecture approfondit du Simarilion, il m'a semblé bon de changer plusieur point de détail de mes anciennes annales. Une suite viendrat pour les chevaliers, qui sont désormaient 50, et portent le titre de
"Chevalier de Dor-lómin"//




Les annales de chevaliers de Dor-lómin et de Brethil





« Ses sujets étaient grands et forts, l'esprit vif, ferme et audacieux, prompts au rire comme à la colère, parmi les plus beaux enfants d'Ilúvatar au temps de la jeunesse des Hommes. Ils étaient blonds pour la plupart, avec des yeux bleus, à l'exception de Túrin dont la mère était Morwen de la Maison de Bëor. » Le Silmarillion - Quenta Silmarillion - Chapitre 17



Le peuple de Dor-lómin fut le troisième peuple humain a entrer en Belerian. Fort de dix milles hommes, menés pas Marach, il partit rapidement vers l’Ouest. Lorsque Hador tête d’or se mit au service du Haut Roy Fingolfin. A Nirnaeth Arnoediad, le seigneur de Dor-lómin fut capturer et maudit par Morgoth. Les terres furent donné aux hommes de l’Est, qui réduit en esclavage le troisième peuple des Edains.


Le Peuple de Haleth, qui se nomma plus tard le peuple de Brethil, fut le second groupe d'Edain à entrer en Beleriand. Redoutables combatant, même s'ils ne furent jamais nombreux, leur faible nombre était cependant compensé par le fait que les femmes étaient entraînées au combat et n'hésitaient pas à se battre, excepté lors des grandes batailles.


Le peuple s’établie, comme l’ont le sait dans les légendes anciennes, dans la forêt qui porta son nom.


Ce que les légendes ne racontent pas, c’est comment le peuple de Brethil et celui de Dor-lómin se réunirent en un peuple…


En effet, a la mort de Turin, sa sœur Nienor se jeta du haut des chutes. Le rôdeur Mablung se lança alors a la recherche du corps de la jeune femme, voulant l’enterrer avec son frère. Or il la retrouva au pied des chutes, blessée, mais vivante. Mablung la soigna, car il était un des plus grand guérisseur de Doriath. Il rammena la fille de Hurin dans le palais de Thingol. Là, Mélian veilla sur elle, mais malgré tous, elle mourut lors de l’accouchement.


Le fils lui, survivait. Thingol voulut le garder en tant que son propre fils, mais Hurin vint à Doriath. Le passage est narré dans le simarilion, mais ce qui est omit, est le fait que Mablung, bravant l’interdit de Thingol, prévint Hurin lors de son départ, de l’existence de son héritier. L’ancien prisonnier de Morgoth prit donc avec lui son petit-fils et s’en allat dans la nuit noire.


De nombreux récit dise que le vaillant soldat de Nirnaeth Arnoediad s’en allat vers la mère, pour y mourir. Or, dans les faits, Hurin se rendit chez lui avec son fils. Il habitat son ancienne demeure, voulant, quand son fils serait prêt, venger sa famille et chasser l’envahisseur…


Il portait avec lui le heaume du Dragon et l’épée noire. En effet, Mablung, le rôdeur à la main lourde les lui avait donné.


Mais la fatigue eut raison de lui, et il rejoignit ses ancêtres alors que son fils, Nurin n’avait que seize ans…


Celui-ci, dans la fougue de la jeunesse se dévoila trop tôt, réunissant autour de lui les héritiers des cinquante seigneurs qui avait accompagné Hurin à Nirnaeth Arnoediad.


Les cinquantes chevaliers de Dor-lómin étaient relevé. Mais la malédiction de Morgoth rattrape tous les fils de ses ennemi, et l’hivers battis la résistance du fils de Turin. Celui-ci, et ses compagnons, n’avait pas assez de nourriture. Il dure s’enfuir sur la même route que Turin.


L’héritier de la maison de Hador était sur les routes, entouré de ses cinquante chevaliers. Ils marchèrent sans but, tuant au maximum les troupes de Morgoth, ne s’arrêtant jamais deux nuit au même endroit.


La rumeur de l’Epée noire et du Heaume refit surface, et Morgoth s’en inquiéta. Il envoya de plus en plus d’espion, et un jour, Nurin fut poursuivit par un troupe deux fois plus importante que les troupes qui lui restaient. Il s’enfuit, et traversa, sans le savoir, les guès du Teiglin. Là, une troupe de rôdeurs les arrêtas. Quand ils surent qui était Nurin, il lui firent grand honneur et le menèrent chez eux. Il lui offrir alors le titre de Prince de Brethil, ce titre étant vacant depuis l’époque de la mort de Turin.


Nurin, las de la vie d’errance, accepta. Il fut alors souverain incontesté de Brethil.


Lorsque les armées de l’Ouest débarquèrent, l’arrière petit-fils de Nurin leva la bannière du Dragon, symbole de sa maison depuis la mort de Turin, et mena ses armées aux cotés des soldats des Valars.


Mais lorsque le peuple de Dor-lómin vit son seigneur arrivé, il ne le reconnurent, et refusèrent son autorité. En effet, il désirait suivre le Haut-Roy Elros vers Numénor. Le peuple de Brethil, avec à sa tête, les seigneurs de Dor-lómin, partit aussi, mais à regret…


De nombreux érudit sont persuadés qu’il se mélangèrent aux Edain, et que le peuple de Turin perdit sont identité propre. Or il n’en est rien. Les forestiers participèrent à sa splendeur. Ils participèrent avec bravoure au combat contre le noir Sauron, mais quand les hommes commencèrent à repousser l’amitié des immortels suite au manigance de l’Ennemi, les hommes de Brethil retournèrent sur les Terres du Milieux, en ayant demander de s’occuper d’un colonie.


Or quand le Roy leva la grande flotte, le seigneur Bartam , prince de Berthil et seigneur de Dor-lómin, refusa et, avec son peuple, s’enfonça dans les ténèbres des foret… Ils échappèrent aux troupes lancer à leur poursuite, et rejoignirent les elfes de la Lorien ou de Foncombe…


Là, après le désastre de l’île et l’arrivé des élus, Bartam décida d’aider ceux ci a s’imposer. Mais l’age l’emporta et son fils, Amenthe pris les rênes de son peuple et le dirigea au coté du grand Roy, contre Sauron. Amenthe mourut à la bataille de Dargolable de la main du Noir Sorcier, qui fut nommé après seigneur d’Angmar.


Deux de ses trois fils périrent durant la bataille de l’Ultime Alliance. Amouthe, le cadet, survécu. Mais la perte infligé a son peuple était si grande qu’il refusa, et interdit à son peuple, tant que l’épée ne serait reforgé, de combattre ouvertement le Noir.


C’est ainsi que le peuple de Brethil vécu en tant que Rôdeur. Les homme de la maison d’Elendil les rejoignirent, et la race de Turin Turambar vécu aux cotés de celle d’Isildur…


Les hommes de Brethil réapparurent au moment de la bataille des champs du Pélénore, en la personne d’Halbarad Dunadan, parent, donc par Turin, d’Aragorn.


Après cette bataille, ou tomba le prince de Brethil, les hommes repartirent dans le silence dans les foret entourant l’Amon Soul. Ils protégèrent le Nord, jusqu'à ce que l’elfe Maeglin attaque leur demeure forestière…


Mais une autre parti du peuple préféra se mélanger aux peuples des Terres du Milieu, tout en promettant de se relever quand le Prince les convoquerai...


Quand aux cinquante chevaliers de Dor-lómin, ils ne quittèrent jamais leur seigneur.
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