Retour de la mission espionnage

Gauvin,Balfrast,Forlong et les elfes arrivèrent au campement du prince, Gauvin était parti en éclaireur pour aller prévenir le prince de leur arrivé.
Le prince était là et attendait, Gauvin s'avança vers le prince et lui dit
-Nous avons des renseignements utiles pour vous mon prince, nous avons aussi un prisonnier et un certain Balfrast qui nous a fort aidé, Forlong va vous expliqué la suite car je ne suis bon conteur
Gauvin recula et attendit la réponse de Forlong

Forlong s'agenouilla devant le prince et dit:
-Cet homme, nomme Balfrast le Noir, nous a vendu les informations sur les bateaux qui sont entres dans le port les cinq derniers jours. Voici le document:

Citation :

-Etoile Noire
-Oeil du Cyclone
- Le Requin rouge
- La peur des marins
- La Mouette grise.
- Le Sabre de la mer

Les quatre premiers sont des navires pirates, les deux autres, des bateaux elfiques. Chacun d'eux peut contenir une cinquentaine d'hommes ou elfes. Donc le Duc a environ 300 soldats en plus a son service.
Pendant la mission, quelques mercenaires diriges par des elfes au service du Duc, m'ont piege.Heuresement, Balfrast, Gauvin, et les rangers elfes m'ont sauve. En s'enfuyant, on a atrappe cet elfe; vous pouvez l'interroger.
Voila un peu pret toute l'histoire.

Balfrast s'avança et s'agenouilla à sont tour puis il dit
-Je me nomme Balfrast le noir, d'origine des Dunedains. Les bateaux pirates sont arrivés voilà déjà 5 jours tandis que les bateaux elfiques sont arrivés depuis au moins deux semaines, je penses donc que le duc c'est d'abord allier avec ces elfes et puis avec les pirates, j'ai aussi apprît que les elfes était commander par un certain gluk main de géant, c'est un elfe qui a mal tourné son histoire et très racontée chez les elfes mais je doute que vous layer entendue et je n'ai pas le coeur a vous la conter, mais sache juste que c'est un homme sans pitié et qui tue pour le plaisir.
Maintenant si vous le souhaiter je peux aller à Minas-Tirith chercher des renforts pour l'attaque car nous sommes trop peu nombreux.
Balfrast tourna la tête en direction de Gauvin et Folrong et puis il ajouta
- Je propose de renvoyer Gauvin et Forlong seuls cette fois retourner espionner le duc et revenir vous donner les informations car apparemment ils ont un dons pour l'espionnage et je vous conseille aussi de leur donner une armure mieux rembourrée car d'après ce que j'ai cru voir ils ont aussi un don pour les ennuis et Gauvin n'a pas d'armure et Forlong a une armure trop petite maintenant.

Forlong ecouta avec attention les paroles de Balfrast. Il fut etonne lorsque celui ci qu'il etait un dunedain. Son accent ne l'indiquait pas, mais lorsqu'il enleva sa capuche, on pouvait voir ses trats caracteristiques aux hommes du Nord. Forlong dit:
-Je ne suis pas sur si ca vaut la peine de revenir a Dol Amroth. Le duc nous connait deja, et puis je pense que je servirai plus a mon prince avec mon epee. Enfin, c'est a vous de decider, mon Prince.

// le problème c'est que le prince va mettre lgt avant de répondre//
Gauvin réfléchissa quelques instans et puis ajouta
-Je pense comme Forlong si nous revenons nous serons démasqué directement et cela ferait échouer notre mission, je pense qu'il serait plus interressant que soit Forlong et moi allions prévenir Minas-Tith soit que nous soyion intégrer à l'armée mais par contre je ne pense pas que Balfrast soit connu de leurs soldats les seuls a l'avoir vu sont mort quen pense-tu Balfrast ?????
-Je ferai ce que le prince me demandera mais il est vrai que je ne suis pas connu et en plus j'ai une cape elfique qui me cachera !!!!!

Berund, fils de Berunda, nouvellement nommé prince de Dol Amroth et déjà renversé, trahi par un de ses sujets était là de tout cela. Pourtant c'était là une information intéressante qu'ils apportaient.
D'un geste de la main, il coupa cours à toutes les discussions devant lui. Ils pouvaient débattre tant qu'ils le voulaient mais cela restait evidemment lui qui prenait les décisions quand il sagissait de cette affaire.

"Des messagers sont déjà partis pour Minas Tirith, dont le mage Tanarith. Nous espérons des renforts pour bientôt. Il est donc inutile que vous perdiez votre temps pour un aller-retour là-bas."

Il s'arrêta un instant. C'était facile de dire à ceux-là ce qu'il ne fallait pas faire plutôt que quel serait leur devoir.

"Et de même, je ne suis pas sûr que le Duc se laisse infiltrer ainsi. C'est un être intelligent...Je pense que nous devrons bien vite livrer bataille...
Alors, préparez-vous !"

//Berund revient demain, me semble t-il.//

Forlong repondit:
- Volontiers, mon prince, mais il nous faut savoir quel sorte de combat...
Allons nous attaquer, ou se defendre? Sera ce une bataille dans les plaines, ou un siege? Combien serons nous? Je suis sur que pas tout est possible a predire, mais donnez nous au moins une image generale de la situation....

Berund réfléchit un moment, restant silencieux, perdu dans ses pensées. Il ne pouvait voir Forlong mais pouvait sentir que celui-ci était un combattant endurci. Mais parfois la patience et l'attente étaient nécessaires à la victoire. Et là, déclara t-il, ils avaient suffisamment attendu.

"Nous avons suffisamment essuyé d'assauts ces temps. Il est temps de répliquer. J'ignore si oui ou non nous arriverons jusqu'à Dol Amroth sans renforts. Mais il y a là des campement extérieurs qui devront être éliminés avant tout. Concentrons-nous là-dessus."

Il attendit un instant que tous les gens présents assimilent cette réponse.

"Quant à savoir si ce sera un siège ou non, je l'ignore encore, mais dans les deux cas, ils vous faudra vous préparer de la même façon à la bataille, et soyez-donc vite prêts !"

Il retourna vaquer aux préparatifs de tout cela, autant qu'il le pouvait.

Forlong salua le Prince, et se livra aux preparatifs. Il se dirigea d'abord vers la partie ouest du camp, ou etaient tenus les chevaux. Ils etaient gardes par un jeune homme, sans doute le serviteur d'un des chevaliers de Berund. Il s'approcha de son etalon noir du Rohan. Cet animal l'a deja plusieurs fois sorti des situations difficiles, et sa rapidite et endurance impressionnait toujours Forlong. Il caressa les narines du cheval et lui donna un peu de foin. Il vit a l'entree du camp un homme a cheval, un soldat de Minas Tirith. Celui ci s'approcha des ecuries provisoires, et y laissa son cheval. Il fut arrete par Forlong, qui l'invita a prendre un verre de vin avec lui. Le soldat accepta volontiers, ils se dirigerent ensemble vers le feu, ou etaient tenues les provisions. Ils buverent, puis Forlong demanda les nouvelles de Minas Tirith. Le soldat repondit:
- Minas Tirith a repris un peu son mode de vie habituel. Les evenements des derniers mois, les attaques des pirates, les hommes chauves et l'eau empoisonnee, tout ca a cause beaucoup des problemes. Mais Minas Tirith est comme l'Arbre Blanc. Il a des fortes racines, qui poussent depuis plus de trois cent ans, et ne tombera pas a cause d'une tempete. Mais vous me demandez plutot quoi de neuf... L'armee est de retour, comme vous le savez surement, il y des rumeurs d'une assemblee bizarre dans la tour du magicien, mais je n'en sais rien pourquoi. Et puis, d'autres rumeurs disent, qu'un certain objet a disparu du palais...

Forlong finit son vere de vin, puis salua le soldat, qui decida de passer la nuit dans le camp. Lui meme sortit son cheval des ecuries et se dirigea dans la direction de la tente qu'il partageait avec Gauvin. Le jeune chevalier n'etait pas la, il devait se trouver parmis les autres chevaliers. Peu importe, Forlong ne le cherchait pas. Il prit son bouclier, attacha son epee sur le dos, et mit le poignard dans la chaussure. Il prit une gourde avec du vin, et quelques tranches des pains et fruits secs, et se dirigea vers la tente du Prince. Celui ci etait assis dans un fauteuil et etudiait une carte. Forlong dit:
-Mon Prince, vu que vous comptez eliminer les camps ennemis se trouvant autour de la cite du Cygne, je me porte volontaire pour partir en eclaireur.
Le Prince regarda Forlong, ses yeux avaient un air vide, il etait loin avec ses pensees. Mais son regard prit vite un air plus attentif, et il dit:
-Oui, Forlong, ceci n'est pas une mauvaise idee...
Forlong salua le Prince, puis sortit de la tente. Il se mit a cheval, puis partit au galop vers les plaines...

HRP Gauvin, tu peux me rejoindre si tu veux... HRP

//Désolé de ne pas avoir répondu plus tôt mais j'ai quelques petits problèmes//
Gauvin était parti joué au dés avec quelques soldats quand il est revnu à la tente qu'il partagait avec Forlong celui-ci n'était toujours pas là, un mot se trouvait sur l'oreiller de Gauvin, ce mot disait
Gauvin,
je suis parti en éclaireur, ne me suis pas.
Forlong
Gauvin ne comprenant pas pourquoi Forlong était parti seul courra jusqu'à la tente du prince et lui
-Excusez cette intrusion mon prince mais j'ai appris que Forlong était parti et je voudrais le rejoindre pourriez-vous me dire ou il est parti ????
Le prince lui indiqua la direction et Gauvin prit son épée sauta sur son cheval et rejoignît Forlong, il n'était qu'à une heure de cheval du campement et a peine arrivé Gauvin lui dit
-Forlong pourquoi ne m'as-tu pas attendu après tout ce qu'on a fait à deux je trouve dégoûtant que tu parte à la mort sans moi.
Gauvin était en colère contre Forlong mais au fond de lui il était content d'être a nouveau avec lui

Forlong etait etonne que Gauvin l'ait rejoint aussi vite. Il repondit:
-Je suis desole Gauvin, mais je me suis dis que t'auras pas envie de passer des heures a observer un camp ennemis, et puis tu n'etais pas dans la tente...
-Ou allons nous?
-On va au camp de Dor en Ernil, une garnison en pierre et bois, elle appartient depuis des generations a la famille du Duc, c'est la que stationnent ses soldats, pas l'armee de Dol Amroth, mais les soldats de la famille du Duc.
Ce sera une bonne cible pour la premiere attaque...
Ils s'approcherent ensemble du camp...

Gauvin ne pouvait en vouloir à Forlong déjà tout petit il était rejeter des autres et Forlong était un des premiers qui pour lui sont de vrai amis, il lui dit
-J'oublie pour une fois mais la prochaine fois cherches moi j'étais juste derrière la chambre.
Il arrivèrent près du camp et là Gauvin dit
-Il y a deux sentinel nous pouvons les assommés et prendre leur habits et attendre la relève
Gauvin tout d'un coup se leva et se mit à toucher son dos
-Mince, j'ai oublié mon arc, je n'ai plus que mon épée, bon que fesons nous