Mission urgente

- Garde à vous !
Une multitude de claquements de talons se firent entendre lorsque le capitaine Quirocas hurla son ordre de sa voix de stentor. Dès que l'écho cessa, on entendit plus un bruit, mis à part le son lent des bottes de l'officier qui avançait, et la respiration stressée des jeunes recrues quand le capitaine inspectait leur tenue.
Soudain, alors qu'il s'apprêtait à réprimander un jeune bleu dont l'armure était mal ajustée, la porte s'ouvrit et tous durent faire un effort pour rester en position au lieu de regarder ce qui se passait.
Un homme vêtu d'un long manteau tâché et déchiré venait d'entrer et s'approchait sans un mot.

-Qu'est-ce que cela ? beugla Quirocas. L'entrée de la caserne est interdite aux civils, et aux mendiants plus que tout !

Radamanthe se contenta de rabattre son capuchon, sans réagir à la dernire phrase, bien qu'il fit mine de regarder derrière lui afin de voir à qui cette phrase était adressée. Le capitaine blêmit, mais avant qu'il ait eu le temps de bredouiller des excuses, l'Intendant dit :

"Il me faut organiser une expédition de toute urgence, pour aller vers le Mordor, là où se trouvait Minas Morgul. Autant d'hommes que possibles prêts pour demain, avec ravitaillement et tout. Vous organiserez l'ensemble, avec cavalerie et infanterie."

Les recrues durent se retenirent de pouffer de rire. Quirocas ne chômerait pas ce soir. Ce dernier réagit immédiatement, en hochant d'abord la tête puis en se retournant vers les soldats, avant de hurler :

-Z'avez entendu ?! Alors bougez-vous ! En avant ! Il me faut tous les hommes non blessés de disponibles et au rappot dans une demi-heure !!

Meneldir arriva en courrant vers le haut de la cité et Meneldir passa en force devant deux gardes en les écartant et vit Radamanthe qui donnait ses instructions.
Puis il s'avança vers lui en s'inclinant respectueusement.

Radamanthe, j'ai rencontrer une difficulté avec les griffes, il me demande un papier officiel pour prouver que cette expédition n'est pas inutile ou un traquenart.La guilde vous as prouvé sa confiance, à vous maintenant de faire un geste pour nous aider.
Sire Radamanthe, le temps presse.

Quirocas le capitaine, qui braillait des ordres et s'agitait dans tous sens, le visage rouge d'avoir raté une occasion de la fermer, s'apprêta à un fondre sur Meneldir, sûr cette fois-ci qu'il s'agissait bien d'un civil. L'Intendant le retint d'un geste, reconnaissant le vieil homme qui avait pris la guilde en main après la mort de Mithrandir.
Il n'eut pas le temps de demander que se passe t-il que Meneldir expliquait tout, une nuance de fureur dans sa voix.

L'Intendant hocha la tête, l'air contrarié. Il saisit une feuille et une plume avant d'y griffonner quelques mots, tout en marmonnant simultanément :

"J'aurais du m'en douter... Les Griffes ne reçoivent d'ordre que des gradés, et encore, c'est au Roy qu'elles devraient rendre leur comptes, selon le marché..."

Il apposa sa signature suivie de son sceau et tendit leparchemin cacheté au vieil homme.

"Voilà qui suffira, j'espère que ce contretemps ne sera pas un problème... Et inutile de parler de dettes en termes de gestes, car j'accorde à cette affaireautant d'importance que vous..."

Il jeta dès lors un oeil vers les soldats, tandis que Meneldir serait mieux reçu cette fois.

Konrad se faisait passer en revue par son supérieur, avec ses autres camarades de l'Armée quand un homme encapuchonné et plutôt mal vétu fit son apparition, et Quirocas lui sauta dessus, lui criant de déguerpir de la caserne. Le chef se mit à blêmir quand il reconnu l'intendant.

Apparemment, cet intendant venait chercher des hommes pour un mission spéciale en Mordor. Très vite, honteux, le capitaine transmis les ordres avec rage à toute la caserne. Il fallait être prêt pour demain.

Tandis que Konrad se détournait de la cour pour revenir dans la caserne, un civil fit son entrée. Mais il n'entendit dit rien de la conversation, trop occupée à se préparer.
En effet, Konrad jubilait. Lui, la nouvelle recrue de la cité, parmi tant d'autres, allait enfin monter à l'assaut de l'ennemi, durant une mission importante et peu banale paraissai-il !

C'est alors que tout souriant, il préparait ses affaires dans l'attente du départ...

Radamanthe faisait les cent pas dans la large pièce, s'attendant à tout moment à recevoir la confirmation de l'heure du départ des éclaireurs, suite à quoi il calculerait le moment de leur propre départ, peu après.
Il voyait les soldats discuter entre eux, certains nerveux et ça se comprenait, cela faisait longtemps que plus aucune armée n'était allée vers le Mordor. En tendant l'oreille, il put entendre des bribes de conversations et les interrogations des soldats. La question qui revenait le plus souvent était un "qu'allons-nous y faire ?". Evidemment, il ne se voyait pas trop leur dire "nous allons secourir Morgoth", aussi ne dit-il rien.

Arrêtant son manège circulaire, il s'approcha des rangs de soldats qui se formaient. L'infanterie se rassemblaient et bien qu'elle serait sûrement un peu en retard, elle serait un précieux atout si les choses tournaient mal.
Néanmoins, il voyait là de nombreux visages inquiets. Après la toute récente bataille (toujours inexpliquée), la moyenne d'âge des soldats en avait prit un sacré coup, et il espérait que les recrues teiendraient bon dans l'adversité.
Il s'adressa au groupe de soldats le plus en vue, d'une vois posée.

"Première mission pour vous ? Si tout se passe bien, vous ne devriez pas à avoir à intervenir..."

"Si tout se passe bien", répéta t-il dans sa tête. il dut retenir un soupir.

C'était alors que brusquement, un oiseau entra dans la caserne. Radamanthe faillit sursauter, d'autant plus que la porte était fermée et qu'il n'apercevait pas de fenêtres.
Sa perplexité fut à son comble lorsque le volatile se posa près de lui, un message à sa patte.

L'Intendant lut apparement le message plusieurs fois d'affilée, et il faisait des yeux ronds. Finalement, il le plia en deux et le rangea dans un repli de sa cape.
Il ne dit mot, mais paraissait profondément troublé.

Erco attacha son cheval à u n poteau, puis il pénétra dans la caserne. Il traversa plusieurs couloirs. La décoration était rare ou même absente : les murs étaient en brique blanche comme toute la cité. Il y avait de temps en temps un bouclier qui ornait un mur. Enfin Erco trouva la salle commune.Il y entra et faisant attention à ne pas faire de bruit car les officiers n’aiment pas les retardataires et ce sont souvent eux qui font les corvées. Erco avança vers un rang de soldat. Toute en avançant Erco observa la salle et ses occupants. La salle était meublée simplement : plusieurs longue table en bois et des bancs. Au mur pendaient des armoirie, des boucliers et des lances. La salle était silencieuse comme si a fin du monde était devant eux mais cette salle annonçait simplement la mort de beaucoup d’hommes et aussi les récompenses et el bonheur d’autre hommes Les occupant étaient tendus Mais cela n’étonnait pas Erco car avant chaque combat l’homme est tendue et s’il ne l’ai pas c’est qu’il va mourir. Du moins c’était son point de vue et chacun à le sien. Ces réflexions, il les avait fait en quelque seconde maintenant il était à deux mètre du premier rang et il pus regarder les homme qui le composait : les soldat avec des armure portant le marque de Minas Tirith : un arbre blanc. Tous des petits joujoux mais ces petits joujoux sont fatals bien utilisés. Alors espérons qu’ils vont bien être utilisé, autrement ils sont mort. Au moment ou Erco allait ce mettre dans le rang il entendu une voix s’adressant à lui.
<<Manquait plus que sa>>pensa Erco avant de se retourner pour être face à son interlocuteur.

-Pourquoi es-tu en retard? Et qui es-tu?

Erco observa son interlocuteur. Il devait être un officier. Il portait une armure couleur fer avec dessus le signer de Minas tirith. Ses cheveux était brun.

-Je suis en retard car j'ai dû m'acheter des armes et je suis Erco Skaline, cavalier au service du roi du Gondor.

L'officier le regarda puis il répondit

-Que fais-tu dans le rang des soldats à pied?

-je me suis trompé de rang. Erco fit une pause avant de continuer. Ou est le rang des cavaliers?

L'officier montra du doigt un rang d'homme avec un équipement moins lourd que celui d'un soldat. Erco rejoins ce rang et ce mit à coté d'un homme aux cheveux blond et les yeux bleu. Il était assez beau mais dans l’armé être beau ou pas on s'en fiche tous ce qui conte c'est votre efficacité au combat.

-C'est quoi ton nom? demanda Erco
-Maradir.

-Moi c'est Erco. Mais pourquoi on est ici?

-Personne ne sait à par les supérieurs, mais on va aller au Mordor. C'est le bruit qui court.

-Ha. Répondu Erco puis il se tut. Il n'avait plus rein à dire. Aprsè quelque minute il partut il avait d'autre chose à faire.

Eaque à la main rapide entra dans le bâtiment. Il avait suivit de loin l’intendant, se devant de racheter quelque menu objet, pour tailler sa plume, et du buvard.

Son sac pesait lourd.

Il entra, voyant une foule de gens s’animer.

Devant cette cohue, il demanda a l’intendant de l’attendre dehors, si jamais il n’avait besoin de lui.

Il se mit sur le coté Sud du bâtiment, tourné vers le soleil. Il entendait encore un brouhahas derrière lui, mais cela ne comptait plus a ses oreilles.

Il relisait ses notes. Plein de choses intéressantes avaient été dites. Le seigneur Rhadamanthe lui avait demandé de lui faire un résumé de toute la scène pour le lendemain.

Il relisait les paroles du mage, quand une voix clair lança un nom :

"Eaque, … Mon frère, comment cela vas t il ?"

"Tout vas bien Eaquem. Que fait tu ici ?"

Et son cœur fut heureux de voir son frère jumeau, né le même jour que lui, de la mère...

"Je viens de m’acheter ces armes chez le forgerons. Tourim commençait a s’abîmer. Tu m’accompagne a la maison de père ?

-Je ne peux, je travaille pour l’intendant, et je doit l’attendre. Je suis son scribe. Un travail pas mal payer. Il faut bien être indépendant un jour ou l’autre. Et toi, que vas tu faire ?

-Tu me connais. Je pense continuer dans la même branche, mais pas demander à père. Il me faudrait un employer habituel. Demande donc a l’intendant s’il existe un corps de l’armée spécialisé dans des actions… pas très habituelle…

-D’accord. Je te préviens des que j’ai une réponse. Tu fait quoi maintenant ? Je crois que Radamanthe va bientôt me lâcher. IL veux un rapport pour demain, mais il me faut du temps…"

Sur ce, Eaque à la main rapide entra dans la caserne et se dirigea vers l’intendant, en laissant dehors Eaquem à la main sur.

Quand il fut près de l’ancien bourreau, il lui dit ces mots

« Monseigneur, pour pouvoir me laisser faire mon travaille, il me faudrait dans ma demeure maintenant me retirer. Mais auparavant une question je dois vous poser.

Mon frère jumeau, Eaquem à la main sur m’a prié de vous demander s’il existe un corps de l’armée spécialisé dans des actions… pas très habituelle… Il est mercenaire et désire obtenir un travaille plus régulier…"

Il s'arrêta de parler, comptant ses mots avec précisions. Il ne devait pas des le premier jour ennuyer l'Intendant.

Radamanthe écouta la chose d'une oreille distraite mais lorsque la fin de la phrase l'alerta et qu'il tiqua, fonçant un sourcil. Il se souvenait qu'Eaque le scribe avait quitté l'armée car il n'était manifestement pas un guerrier. Comment pouvait-il être sûr que le jumeau n'était pas semblable ?

"Soit, vous pouvez vous retirer pour travailler. Néanmoins, veuillez rameuter tous les mercenaires, et Eru sait qu'ils sont nombreux, que vous voyez. Dites leur qu'une mission peut les attendre. Ces gens-là sont souvent plus compétent pour les missions choc que les soldats de base... Pour ce qui est de votre frère..."

L'Intendant remonta le col de sa cape, et tapota machinalement le pommeau de sa hache, dont il aurait sans doute bientôt besoin de se servir.
Il soupira et fnalement se tourna à nouveaux vers Eaque :

"Soit, je veux bien voir ce qu'il vaut. Il partira avec moi. Je veux le voir sur la place demain à l'aube. La ponctualité est une vertu."

Il se tourna alors vers les soldats qui étaient rassemblés là.

"Nous partirons bien vite..."

La nuit tombait, et l'aube se lèverait bien vite sur cette mission.

[Suite dans départ matinal]