Bataille sous l'Arbre Blanc

Alors que les autres parlaient autour de lui, Nidnama continuait d’apporter ses soins aux blessé, en envoyant une partie a la maison des guérisons. Alors qu’il voyait ses resserves d’herbes réduites a néant, sa charrette arriva, enfin.
-Bien le merci ! Je savait que vous étiez un homme de confiances. Prêtez donc main forte aux autres pour amener les blessés a la maisons des guérisons. Je ne pourrais sûrement pas m’occuper de tous…
Le Garde déguerpit. Peut-être ai-je été un peu dur tout a l’heur… Songea le guérisseur.
Immédiatement, les soins reprirent. Fournissant des herbes faciles d’utilisations a des soldats, il pouvait se concentrer sur les cas les plus graves : ceux qui ne pouvait même pas se traîner jusqu'aux maisons des guérisons. Il commença d’abord par allumer un feux ou il fit bouillir une marmite d’eau avant d’y jeter de l’athélas. La senteur apaisante se répandit a travers toute la place, réduisant douleur, fatigue et ressentiment. Effectuant saignées, drains, massages, opérations chirurgicales, , ravivant un esprit ou un corps, posant des attelles, drainant les poisons, pensant les blessures, recousant les plaies, Nidnama ne cessait d’écouter la conversation qui se tenait près de l’arbre blanc. Les faits étaient en effet préoccupants… Mais au moins connaissait-on le bute profond de l’attaque : déstabiliser la citée blanche. Si celle-ci n’était pas tombée, elle n’en avait pas moins été ébranlée. Mais ceci était affaire de politique et il ne devrait pas s’en mêler. Il devrais prévenir au plus vite Rustor de la situation. Alors seulement, il aviserais… En tout cas, il n’irais pas en Harad tant que de telles intrigues se trameraient dans la tour blanche.
Comme il s’occupait d’un homme tombé prés de l’arbre blanc, il éleva la voix a l’intention du roy et de l’intendant :
- Sachez que les Elfes seront avertis dans les plus brefs délais. Pareilles trahisons ne doivent pas être tolérées. Toujours est il que Maegthir partiras d’ici ce soir prévenir mon supérieur. Vous excuserez mon manque de révérence mais je doit m’occuper des blessés avant tout. (HRP//Et oui : le serment d’Hippocrate ^^//HRP)

Alira regarda l'elfe noir s'éloigner avant d'être emporter par son amie.

"Tu n'as pas à t'en vouloir, et je n'aurais pas due mettre ta vie ainsi en danger.

Tournant la tête pour jeter un coup d'oeil à son dos en sang elle repris la parole d'un ton plus bas et froid.

_Et je me demande dans quelle galère je me suis encore fourrée...

Elle reporta son attention sur Ala.

_ Et cet elfe noir... Enfin bon."

Radamanthe prêta attention aux paroles du guérisseur, d'une seule oreille, et acquiessa.
Il était vrai que cette affaire était étrange, mais les rumeurs sur le fait que des elfes aient rejoint un meneur ayant de sombres idéaux.
Mais la vraie était, qu'étaient-ils venus faire ici ? Pourquoi cette alliance avec ces sinistres hommes de noir vêtus ?
Tant de questions sans réponses.

Mais il y avait la bannière disparue.

"Je pense qu'un conseil de crise sera nécessaire...Cette affaire est bien sinistre et semblait bien préparée..."

Il s'écarata de deux pas du Roy et du Mage pour s'adresser aux gens les plus proches.

"Il faut absolument que nous réunissions tous ce qui pourrait nous aider à traquer ces félons...Ces crimes ne peuvent rester impunis...Objets, témoignages, inforamtions, tout cera utile."

Le pillard reparut.Il paraissait plus en forme que jamais.PLus méchant,aussi,mais cela marche de pair.Il bouscula quelque homme qui le génait,puis commenca a inspecter quelque cadavres.

Putain,ils ont pas une thune!

Il se relva après sa fouille infructueuse,et s'approcha d'un attroupement.L'intendant,le roy et un mage barbu se trouvait au centre.

Tiens tiens,voila qui pourrait etre interessant...

Il attendit patiemment qu'ils ait finis de donner leurs instructions,puis s'approcha du roy.

-Excusez moi,au mon roy,mais j'aurai une idée a vous soumettre.J'étais présent lorsque le troll a déboulé dans la taverne,et peut etre a brèche qui l'a fait passer n'est pas refermé...Pourquoi ne pas mettre quelque combattant en bonne état sous mon commandement afin de remonter leur piste?Je me suis déjà illustré au harad avec sous mes ordres quelque pillards pouilleux,alors,je pense que cela ferait l'affaire,non?


Hrp//Perso arrogant un jour,perso arrogant toujours!! //Hrp

Hasharin avait vu la bataille se terminé, des que tout le monde c'etait retourner pour voir le serviteur terrifier du palais, l'assassin avait quitté la zone de combat avec son faucon Umbre sur l'épaule par une ruelle et il se dirigeait a present vers chez Mithrandir. A les regarder partir l'homme et l'oiseau on vit que celui ci se fondait dans les couleurs de son maitre, il alla de pair et cela se voyait...


/hrp/ dsl pour la longueur mais c'etait juste pour faire quitter mon perso, suite chez Mith/hrp/

Les blessés se faisaient de plus en plus rare et bientôt le guérisseur pourrait avoir quelques minutes de répit. L’occasion se présentait enfin. Il était de toute façon bien trop fatigué pour continuer et des hommes forts avaient acheminé les deniers blessés jusqu'à la maison des guérisons. Le guérisseur entrepris enfin de soigner Maegthir, son faucon, qui avait pris un mauvais coups pendant la bataille. Celle-ci était parfaitement remise et elle pourrais bientôt voler jusqu’en Lorien. Aussi, Nidnama entreprit d’écrire un message sur un papier fin. Il introduit le rouleau dans un étuis a la patte de Maegthir et lui murmura quelques mots en elfique. Et ajouta dans un murmur :

- Vole ma belle et porte ce message jusqu'a la forêt d'or.

Il la regarda avec peine s’élever dans les cieux.

A présent, le guérisseur avait l’esprit tranquille. Il s’approcha donc de l’intendant qui avait demandé de l’aide et déclara :

- Le message est partit. Je ne sait si le peuple des elfes se lèvera pour vous protéger mais soyez assurés de mon soutint personnels. Dans un murmure, baissant les yeux vers les blessures qu’il avait subit pendant la bataille, il ajouta : J’ai dors et déjà quelques comptes personnels a régler avec ces traitres… Puis, reprenant un ton plus neutre : Je me met, pour l’heur du moins, a vos ordres. Si vous le permettez je vais retourner aux chevet des blessés. C’est là qu’on aura le plus besoin de moi.
Un homme geint au pied de l’arbre blanc. Nidnama l’aurais juré dans un état critique quelques temps plus tôt et l’avait laissé pour compte : bien d’autres attendaient. Cependant s’il pouvait a présent emmètre un son c’est que son état s’était amélioré. Aussi, le guérisseur, tout en attendant une éventuelle réponse s’agenouilla aux côtés de l’homme. Il entreprit de le ranimer.

Je fus ébranlé par la voie dans mon crâne, cette voie maléfique que j’avais déjà affrontée. Elle proférait des menaces, mais bien que ce fût inquiétant cela ne m’effrayait pas… Ces menaces, je les avais déjà entendus. Ces paroles et ces menaces étaient proférées par un être bien plus haut placé que moi, mais il avait commis une erreur. Il disait que les Valars ne le verraient pas, mais grâce à moi, ils seraient mit au courant de cette menace. Je connaissais quelqu’un qui pourrait faire passer l’information eux sages et puissants Valars. Alors que Morgoth s’effondrait, je rester là, pantois, je savais qu’il irait mieux et j’envisageais peut être une idée de guérison complète. Il avait beaucoup trop souffert au court de sa vie… Quand aux paroles, j’avais la ferme intention de les taire aux personnes présentes, mais d’autres en seraient informés. Je sifflais Thorongil qui venait surement de quitter la volière de la Tour car il planait au dessus du Palais alors qu’il n’y était pas avant. Il descendit en piqué et se posa sur mon bras. Je pris un morceau de parchemin dans l’une des nombreuses poches de ma cape et fis apparaître mon écriture sur celui-ci, n’ayant pas de plume sous la main. Après quelques secondes de réflexion, j’exposais sur le parchemin les récents événements et l’avancement de la guilde. Je mis ma signature, roulais le petit morceau de parchemin et l’attachais à l’aile de mon aigle. Je lui murmurais alors de porter ça au Mage Brun… Puis, après avoir envoyé ce message, je me tournais vers les différentes personnes présentes.

"Voila ce que je sais, il semblerait que la grande attaque ne soit en vérité qu’une simple diversion… Alira m’a dit que quelqu’un avait volé un morceau de tissus au Palais. Dit comme cela on pourrait penser à une simple nappe… En vérité, il semblerait qu’il s’agisse de la bannière qu’Arwen Undomiel a fabriquée et donnée au Gondor. Est-ce une façon de remettre en cause la royauté de notre Roy, revendiquant ainsi une appartenance du Gondor aux Elfes du fait de l’union entre Elessar et Arwen ? Est-ce une façon de contester la puissance du Gondor ? Nous ne le savons pas, nous devons mener l’enquête. Nous devons aussi chercher la brèche qui a permit à nos ennemis d’entrer si massivement dans la Cité, faisan passé un Troll inaperçu. L’instigateur de tout ceci semble être un dénommé Moss, mais il est probable qu’il ai reçu des ordres de bien plus haut… de où, nous devons l’apprendre. Et qui sont ces hommes casqués de Noir, d’où viennent-ils et que nous veulent-ils. Ce sont autant de questions auxquelles nous devons apporter des réponses. Ces événements sont tragiques pour la Cité Blanches, ils l’ébranlent de part en part, mais nous devons faire face et nous dresser devant nos ennemis, pour les peuples libres, pour les Terres du Milieu. De grands dessein son en marche et nous ne pouvons qu’y participer. Nous vous enjoignons donc à nous aider dans la difficile tâche de démêler tous ces éléments."

Le peuple du Gondor devait révéler sa fierté, montrer sa noblesse, se faire bastion de la défense de l’intérêt commun face au mal grandissant. Les Gondoriens sont nobles et savent bien que sans leur bravoure, peu auraient survécu à l’attaque. Ils savaient aussi que les combats qui viendraient serait durs, et peut-être plus violents. S’ils ne le savaient pas, ils le devinaient.
Après ce discours improvisé et cette réflexion personnelle, je me remis à penser à Hobasian et Milindë, avait-elle réussi à le sauver ? Ou bien luttait-elle pour le maintenir en vie. Il fallait agir promptement, je voulais prendre des nouvelles de mon père. Je devais de plus me faire soigner, mon nez cassé et mes coupures au bras et au torse me faisaient mal.

-Oui c'est vrai ! Nous devons chercher cette bréche ! je propose que nous nous séparerions en groupe, si un des membres du gervennement le veux bien. Dit Orzer qui vait écouter le mage attentivement.
Il se dirigea ensuite vers celui-ci(Mithrandir), et lui demanda de bien vouloir accepter que Orzer lui soigne ses blessures.
Pendant ce temps la tension était papable dans toute la cité...




//escuser moi pour le court texte que j'ai écris... je l'avoue que je n'ai pas trouver beaucoup d'idée //

Radamanthe avait écouté attentivement tout ce que le mage avait dit, avec intérêt. C'était intéressant, et il passa quelques instants à se tenir le menton d'une main, réfléchissant. Il examina aussi dans ses pensées les propositions de ce pillard et de l'architecte.
Mais il faudrait les modifier.

"Le gouvernement ne le veut pas...Selon des témoins, cette issue a déjà été localisée, et est connue commen ayant abrité une sinistre affaire dont je ne sais tous les détails, n'étant pas présent. Je ne vois pas dès lors l'utilité de se séparer.
Soit Darkblade, allez-y, avec un groupe de soldats valables auquel tous pourront se joindre. Le lieutenant Amos de Godillon dirigera l'enquête."

Le premier gradé à avoir aperçu la catastrophe avait en effet survécu à la bataille.

"Mais pour le moment, nous ne nous joindrons pas à vous...Il nous faudra dialoguer bien avant..."

Il se tourna enfin vers le hobbit, et fut interloqué un moment d'en voir un ici, en compagnie d'une elfe. Passé cet étonnement, il affirma.

"N'est-ce pas vous qui avez apporté le témoignage sur le voleur ? Il faudrait jeter un oeil dans cette direction.
Lorsque la mission à la brèche sera revenue, et que le gouvernement aura réglé ses affaires, un ratissage de la Cité pourra commencer."

Murdock avait écouté avec attention tous les propos qui s'étaient échangés et il se décida d'intervenir.

"Intendant, Mage, ayant participé à la bataille depuis son origine à l'auberge, je suis prêt à apporter mon concours à l'enquête, ayant déjà transmis un élément d'enquête à notre intendant. Cependant, en dehors de l'enquête, il nous faudrait, je pense également, évaluer les dégâts que la bataille à occasionné à la cité ainsi que de recenser nos pertes qui ont été, je le crains, trop nombreuses. Enfin, il serait peut être important de placer des gardes dans les principaux lieux de la cité ainsi que sur la fameuse place de l'auberge pour sécuriser la brèche tant que celle ci n'est pas réparé."

Je remerciais l’architecte en lui disant que j’irai plus tard aux Maisons de Guérison mais que sa proposition était très aimable.
Puis je régis au propos de Murdock.

"En effet, il nous faut aussi quantifier les dégâts tant matériels qu’humains qu’a subit la Cité Blanche… En temps de guerre, les pertes sont toujours trop nombreuses… Il faut que la Cité se relève de son désarroi et se prépare à résister. Un mal couve, et jamais nous ne réussirons à l’éradiquer totalement. Seuls des personnes bien plus haut placées que nous le peuvent. Nous ne pouvons que lutter et retarder son arrivée en fanfare, nous ne pouvons qu’aider de notre mieux. Il viendra un jour ou le Mal se relèvera, bien plus puissant qu’auparavant… Une lutte sans merci s’engagera jusqu'à ce que les Valars règlent cette lutte pour de bon."

Je me rendis compte que je m’étais un peu étendu hors du sujet et avais parlé de dessein qui n’étais pas les notre un peu trop ouvertement, mais il était temps que les forces du bien se mobilisent et frappe un grand coup.
C’est à ce moment que je vis Etelion, je fus fort surpris et crût avoir rêvé. Je me dirigeais donc vers lui m’écartant des discussions importantes. Je vis qu’il était en compagnie d’une Elfe et me présentais à elle. Puis je m’adressais au Hobbit.

"Etelion ? Mon vieil ami, que fais-tu ici ? Dans la Cité Blanche, tu as décidé de venir montrer la force des Hobbits…"

Fis-je en lui prenant l’épaule amicalement.

"Cela fait bien longtemps que nous ne sommes vus… Je suis heureux de te revoir, bien que j’aurais aimé te voir en d’autre circonstances."

Devant l’air étonné du Hobbit je continuais.

"Et oui, j’ai bien changé, le temps est passé sur moi bien vite marquant légèrement ma sagesse au coin de mes yeux. J’espère que tu resteras ici pour mon mariage. Enfin, si celui-ci n’est pas reporté… Mon père Hobasian dont je t’avais parlé à été blessé par une flèche empoisonnée, je ne sait si Milindë ma future épouse à réussi à le soigner…"

Puis je revint vers le gros des discussions… Il fallait que les enquêtes commencent immédiatement et que le Roy, Radamanthe et moi nous réunissions en aparté au Palais.

Eleriol était resté muet depuis sa dernière intervention, qui apparemment semblait correcte. Toutes les personnes ici présentes étaient désormais impliquées dans cette tragique histoire. Mais l'elfe n'arrivait à trouver sa place. Devait-il être aux côtés des investigateurs pour l'enquête, à ceux des dirigeants ou simplement en-dehors de tout cela. Il reprit donc la parole d'une voix calme :

Ma supposition peut se révéler correcte. Je suis ravi de vous avoir ouvert un piste. Mais cependant je ne sais pas où me placer. Je me plierais à vos désirs car je ne puis me décider seul.

Eleriol se tut et regarda autour de lui. Les paroles du mage Mithrandir résonnaient dans sa tête : un jour le Mal se relèvera, bien plus puissant qu'auparavant... Ces prédictions étaient-elles fondées? L'elfe espérait que non. Qui aimerait revivre une Guerre semblable à celle de l'Anneau? Eleriol l'avait vécu. C'était il y a si pau de temps...

J'étais très heureux de voir le hobbit que je n'avais pas vu depuis fort un long moment. Je m'éclaircis la gorge avant de poursuivre.

"Les combats touchés à leur fin, je venais de tuer l'une des elites ennemis. Il est venu vers moi nous avons discuté, J'ai aidé ma femme à se relever... Et là un elfe lui a tiré uen flèche empoisonnée qui a traversée le sternum. Milindë est partit aux Maisons de Guérison..."

J'avais l'étrange sentiment que Milindë avair réussi, mais celà n'était pas encore certain...

"Qu'est ce que je raconte ? Oh, il s'est passé tellement de choses, je ne pourrais tout raconter maintenant... J'ai beaucoup voyagé ... Je suis allé à Imladris et Dol Guldur, à la Moria, au Harad... Je suis devenu Mage, puis Mage de Minas Tirith et je possède à présent une tour, qui est le centre névralgique au Gondor de ce dont tu connais l'éxistence..."

Le regard de l'Intendant se fit grave.

"Je crains que ce fameux tissu soit la bannière...Quel dommage qu'on vous ait entravé...Mais ce masque blanc est étrange, vous êtes le deuxième à m'en parler..."

Il réfléchit un instant.

"Mithrandir, nous devrons réfléchir à ce que ça signifie..."

Puis il s'adressa aux autres.

"Soit. Allez et essayez de retrouver tout ce qui est intéressant. Je vous souhaite bonne chance dans vos investigations et espère qu'ils ont bien quitté les lieux."


//Vous pouvez créer un sujet là-bas.//

Un archer vétu de vert arrivé en courant vers le mage Mithrandir.
-Tanarith dit Ambremage m'envoie... Il faut que vous veniez il y a cet elfe noir... Morgoth!... il est de nouveau atteint. C'est très effrayant, et mon maître dit que vous pouvez faire quelque chose!Aloïr reprit enfin son souffle et attendit une réponse du mage.

//ok,merci//

Le pillard se retourna ver l'elfe qu'il avait porté jusqu'au guérisseur.Il avait une meilleur mine,a present.

-Vous etes un formidable combattant(hrp//moins que moi mais bon //hrp),vous nous serez d'une grande utilité dans notre mission.Venez avec nous.

Sur ce,il se retourna et prit la direction de l'auberge,suivi de quelques soldats.

Une elfe magnifique que le guérisseur n’avait jusqu’alors pas remarqué soignait nombre blessés sur la place. Réjoui par son attitude altruiste, il murmura en passant non loin d’elle :

- Prévenez moi si certains dépassent votre compétences. Excusez moi si je vous offense mais vos gestes, bien que très habiles, ne ressemblent pas ceux d’un guérisseur de métier : vous n’en avez pas les tics. Je dispose aussi d’une réserve conséquente de simples servez vous.
Le visage du guérisseur se durcit fugitivement :
mais dans les limites de ce dont vous aurez besoins ici même. C’est mon gagne pain.
Nidnama l’observait soigner l’un des noirauds et, le visage tiré ajouta :
Je sait qu’en cela je manque a mon devoir de guérisseur mais je ne peut me montrer compatissant pour ceux qui ont bien faillit avoir ma mort… Enfin bon. Je vais tenter de suivre votre exemple.

Il retourna a sa charrette, prendre de nouvelles herbes et laissa Aladon monter sur son épaule.
Alors que le petit écureuil courait sur ses épaules, le guérisseurs senti la fatigue le gagner. Il n’avait rejoint la bataille que prés de la fin mais il avait été gravement blessé. Il laissa Aladon gambader autour de lui, observant avec plaisir sa belle fourrure blanche mais celui-ci revint rapidement pour offrire a son maître reconnaissant un peu de chaleur et de réconfort. Le soleil était sur le point de se coucher et la température chutait. Il ne restait a présent plus grand nombre de blessés sur la place. Nidnama s’approcha des quelques personnes qui restaient non loin de l’arbre blanc a disserter et, voyant que certains soufraient de blessures plus ou moins graves, il leur donna un pot :

- Voilà qui devrais permettre a vos plaies de cicatriser correctement. appliquez ce produit sur vos plaies, sans rien. Il durcira très rapidement et les protégeras. Je pence qu’il est temps pour moi de prendre du repos, je finirais bien entendu de les soigner ! précisa Nidnama en observant les quelques personnes gisant encore au sol.
Mais si je ne m’abuse, il en vas de même pour bien d’autres ici : la bataille a été épuisante. Cependant, si vous ne devez dormir, je peut vous concocter de quoi vous maintenir éveillés encore longtemps.

Je me tournais vers le nouvel arrivant qui m'avait interpelé.

"Tanarith m'apelle...Au sujet de Morgoth... J'ai déjà essayé maintes fois de faire quelque chose pour lui ... Je l'ai sauvé provisoirement, ce qu'il a dépasse nos compétences à Tanarith et moi ... J'ai vui son etat mais je l'ai laissé partir, ce n'estpas anodint, si j'ai fait cela c'est parce que la seule personne qui peut le sauver c'est lui même. Nous pourrons l'aider s'il le demande, si ce n'est aps le cas, nous n'interviendront pas, dites donc à Tanarith de le laisser faire ce qu'il veut, et ce même s'il tente de s'ouvrir les veines... Il sait ce qu'il fait..."

Je m'adressais alors à Radamanthe...

"Allons donc discuter au calme, plus vite nous aurons tiré cela au clair, plus vite je pourrais passer aux Maisons de Guérison... Et je tient à n'y passer qu'après une réunion de crise..."