Bataille sous l'Arbre Blanc

Eleriol contempla une seconde l'homme défiguré qui se tenait devant lui, sur le sol. Une seconde de trop. Un homme noir lu assena un coup de taille que l'elfe para in extremis. Il ne put cependant pas arrêter complètement le mouvement de l'épée qui lui entailla le ventre. Eleriol, loin d'être dépité, riposta vivement et enfonça son épée dans le coeur de son ennemi. Celui qui était affalé devant lui était en bien mauvais état. L'elfe ne pouvait le laisser. Il jetta un regard en arrière à deux soldats gondoréens qui comprirent la demande silancieuse et se faufilèrent jusqu'à lui pour le couvrir. Tandis qu'Eleriol tirait le blessé, ils combattirent vaillament, mais un d'eux périt. Eleriol résussit néanmoins à s'écarter du combat et regarda d'un oeil critique les diférentes blessures de celui qu'il venait de sauver d'une mort certaine, sans pour autant lui assurer la vie. L'elfe regrda aurour de lui : il s'était à nouveau mis du côté opposé aux défenseurs. Il vit celui qui semblait être un guérrisseur combattre de l'autre côté de la mélée, ainsi que le mage qui se trouvait moins loin. Il opta pour lui. Il laissa le blessé sans une parole, puis se dirigea vers le magicien et pas rapides. Il dut pour cela traverser une bonne distance en évitant les combats. Il fut cependant obligé de porter queques coups, mais aucun n'atteignit son but. Il arriva ainsi auprès du mage qui combattait avec ardeur un adversaire. Eleriol vint à ses côtés et l'aida. Ensemble, ils n'eurent aucun mal à venir à bout du soldat noir qui succomba. Eleriol dit alors :

Un homme au visage défiguré gît non loin. Il porte une blessure au bras et a reçu un coup de couteau dans le dos. Vous me semblez être le seul capable de le sauver, le guérisseur est trop loin. Agissez à votre guise, car vous ne voulez peut-être pas passer votre temps à soigner tous les blessés. Mais malgré la laideur de cet homme, je sais qu'il est empli de courage et de force? Sa perte serait un malheur.

La voix d'Eleriol put facilement étonner le magicien, car aucune expression n'y perçait.

Le combat continuait, les hommes du gondor et leurs allies se combattaient avec heroisme et acharnement. Mais leurs gestes devenaient de plus en plus lents, et de plus en plus de soldats tomberent sous les coups des dizaines d'ennemis. Belgarath vit le pillard tomber avec un couteau dans le dos. Il etait trop loin pour l'aider directement, mais il fut de son mieux pour arreter les ennemis qui alllaient dans la direction de Darkblade. Le sang de l'artere d'un Noiraud gicla sur la cape de Belgarath, lorsque l'epee de ce dernier lui coupa la gorge. Un deuxieme Noir tomba par terre brise par un coup puissant de l'hache de Radamanthe. Mais le combat ne se deroulait pas favorablement aux defenseurs. Le nombre d'ennemis, leur force et la surprise d'une attaque de l'interieur furent des facteurs favorables aux ennemis.
La masse d'armes d'un Noiraud frappa la poitrine de Belgarath. Celui ci tomba par terre, le souffle coupe. Il reussit a rouler sur le cote, et eviter le deuxieme coup du Noir, qui heuresement etait fortement ralenti par son armure.
Belgarath prit en main le bouclier d'un gondorien mort. Le coup de masse resonna sur le metal, la force du coup abima le bras du mage. Mais profitant de la lenteur de l'ennemi, Belgarath lanca le bouclier sur le cote, et transperca le genou du Noiraud avec son poignard qu'il sortit de sa chaussure. L'adversaire cria de douleur et de rage, et essaya d'achever le mage. Heuresement un soldat du Gondor lui transperca le dos avec une epee. C'etait Murdock. Belgarath se releva lentement, et remercia son sauveur. Celui ci lui dit de se replier vers les archers, mais le mage decida de d'abord aider Radamanthe et les autres compagnons.

Nidnama jura : le pillard haradrim venait de tomber. Il se battait avec rage mais ne faisait véritablement pas le poids face a ses ennemis : Il combattait seul a seul l’un des elfes. Alors qu’il peinait a simplement parer les coups adverses, il se décida a jouer le tout pour le tout… Lorsque son ennemi se fendit, il ne chercha ni a parer ni a esquiver. La lame le blessa l’épaule, heureusement sans gravitée. Mais alors que son adversaire laissait son bras découvert, Nidnama parvint a le blesser d’un coup de poignard. Quelques secondes plus tard, le somnifère faisait effet et les mouvement de l’elfe se faisait lourd. C’est sans la moindre difficulté que le guérisseur perça sa garde pour lui enfoncer sa dague dans le cous. A ses côtés, les défenseurs avait réussit a créer une nouvelle zone de répit dans laquelle gisait plusieurs blessés.
- Je vais tenter de les soigner ! Mais il faut que vous reteniez ces traîtres !! Mon cher mage je vous laisse le soin de vous occuper du Haradrim !

Nidnama acheva un dernier-homme avec l’aide de Maegthir puis projeta la dague dans la tête d’un de ses ennemis qui se figea avec horreur la voyant lui transperce l’œil. Il tomba a la renverse.
Le guérisseur alla au près des blessés. Trois d’entre eux étaient blessés a mort et même avec tous les soins de la maison des guérisons, ils ne pourraient s’en sortire. Lorsqu’il leur annonça, deux d’entre eux lui demandèrent de l’achever ce que le guérisseur fit avec remord en leur enfonçant une aiguille dans la moelle épinière. Au moins ne souriraient-ils pas… Un autre accepta de recevoir quelques gorgées de sa potion vivifiante. Deux autres étaient hors d’état de combattre mais leur vie n’était pas en danger. Le guérisseur les adossa au mur, loin des combats. Enfin, 4 pourraient reprendre le combat après ses soins : hémorragies ou bras casés qui les empêchaient de combattre a cause de la douleur. Leur aide serait vraiment précieuse.

Pendant ce temps, Maegthir ne cessait de fondre sur les noirauds pour les déconcentrer.

//Encore une petite remarque je sais je suis chiant mais bon... A l'avenir évite de faire intervenir un personnage qu n'est pas controlé par toi ... Mon post de 50 lignes je vais pas le modif parce que ton perso me parle alors qu'il est très éloigné du mien comme dit par Sombre-Chêne.//
Mith'
//Mais non t'est pas chiand c'est normal... Mais il me semble pas avoir fait intervenir ton perso ^^//

"Merci, beaucoup de votre intervention…"

Fis-je en regardant l’Elfe qui été venu me parler. Je n’eus pas le temps de converser plus longtemps, j’eus à faire face à l’affront d’un noiraud et d’un Elfe qui attaquèrent de front. Je parais d’abord de mon épée l’attaque en diagonale de l’elfe et celle verticale du noiraud. Et dans un mouvement de bras sur les côtés pour écarter leur armes de moi, je leur entaillais une jambe chacun. Cette attaque eut pour conséquences de les faire fléchir. En parant une nouvelle attaque de l’Elfe avec mon bâton je pus, avec le renfort de mon épée lui trancher la gorge. Puis j’enchainais avec un coup de bâton sur la gauche qui fit tomber le casque du noiraud et j’enfonçais mon épée dans sa boite crânienne.

"Vous avez besoin d’aide pour un blessé grave… Très bien, mais je vous préviens je ne suis pas guérisseur je pourrais arranger ça comme il m’est arrivé d’arranger de grave brulure, mais un séjour aux Maisons de Guérison sera à préconiser."

Je suivis donc l’allié Elfe jusqu'à l’endroit où se trouvait l’homme. Pour le rejoindre, il nous fallut nous frayer un chemin à coup d’épée. Nous arrivâmes au côté du blessé. Puis me tournant vers l’Elfe je lui demandais dans quelles circonstances se firent els blessures. Attendant la réponse de l’Elfe je commençais à examiner le dévisagé. N’étant pas guérisseur, je serais obligé d’utiliser la Magie, l’important était avant tout d’empêcher cet homme de mourir. Sa blessure au dos saignant beaucoup et c’était surement la cause du danger de mort qui planait sur lui. Il fallait donc que je commence par lancer une incantation de cicatrisation. C’est ce que je fit me concentrant sur la blessure, dans mon esprit les mots de l’incantation résonnés et se faisaient écho, un écho à la puissance envoutante. Les mots se suivaient en une longue mélopée qui commença a produire son effet.

Durant ce temps Hobasian, derrière le tas de cadavres lancé tout ce qui lui passé par la main. Hache de lancer, épée et dague. Il arriverait bientôt à cours de munitions et décida de se mettre à lancer des casques. Certes ces lancers n’étaient pas meurtriers, mais avec un peu de chance il ferait trébucher un ennemi qui s’affalerait sur une épée tenue par un cadavre dressée vers le haut. Il vit son fils tentant de soigner une personne qui a première vue perdait beaucoup de sang, une mare de liquide pourpre s’étant formé en dessous. Il vit un homme en armure noir s’approché en douce dans le dos du Mage, il ramassa une lourde épée qui avait appartenue à l’un des congénères de sa future victime. Il se redressa de toute sa hauteur sortant de son abri de cadavre, arma son tir en positionnant son bras en arrière et d’un geste vif malgré le poids de l’épée il abaissa le bras. L’épée vola dans un tintement dut au frottement du vent sur la lame. Elle tournoya en l’air en se rapprochant à grande vitesse du noiraud qui venait de lever son arme au dessus de sa tête afin d’en assener un coup à Mithrandir. L’épée se ficha dans le torse du casqué de noir qui s’effondra à côté de Mithrandir.

Je jetais un coup d’œil en direction du tir de l’épée et vit Hobasian le sourire aux lèvres, fier de son lancé. L’incantation finie, l’homme défiguré fut hors de danger, sa blessure dans le dos avait quelque peu cicatrisé, était moins profonde et avait arrête de saigner, quand à sa blessure au bras elle était refermée.

"Mon brave, je ne peut pas pour le moment vous soigner le visage. Si vous vous sentez prêt à vous battre allez-y autrement partez voir les guérisseurs, mon sort est puissant mais nécessite le suivi d’un professionnel."

Je repartis vers les combats.

Milindë se battait toujours avec acharnement contre l’élite, mais elle savait qu’elle allait faillir, elle savait qu’à la moindre erreur de sa part l’élite en profiterait pour la mettre au tapis. Elle parait donc inlassablement. Elle décida de renverser la situation, elle se concentra et fit se lever l’eau de la fontaine. C’était son domaine de prédilection, le domaine de l’eau. Elle forma celle-ci en une trombe tout en parant. Et dirigea la trombe vers l’élite, mais l’armure, surement magique de celui-ci le protégea. Elle essaya une nouvelle stratégie plus dangereuse. Elle se rapprocha de son adversaire en parant. Devant cette soudaine détermination il recula. Milindë avait repérée plus loin une épée coincé entre deux corps de Gondoriens morts. L’élite en reculant, s’empala la jambe sur l’épée. Milindë pour que cette tactique fonctionne avait fait chauffé l’armure derrière la rendant molle pour un court instant. Quand l’épée rentra dans sa jambe, l’élite rata son attaque et fléchit, elle en profita pour lui assener trois coups rapides sur l’armure rendant molle à certains endroits de la même façon. L’armure étant magique, elle ne fut pas assez ramollie par ses coups d’épée, elle ne l’avait pas fait chauffé assez longtemps à ces endroits.

//Plus de lignes que l'autre post, je suis content //

D'un signe de tête, Radamanthe remercia l'homme. Il n'aurait pu articuler de mot, le souffle encore court.
Au contraire de Belgarath, il se précipita à nouveau vers le centre de la bataille, vers l'Arbre Blanc.
Il fit quelques pas lentement, puis, après s'être arrêté une demi-seconde pour essuyer un filet de sang pendant à sa bouche, il cria d'une voix plus rauque qu'à l'habitude, de part la poussière et l'âpreté des combats :

"Gondoriens ! Que vous vous en foutiez ou que vous vous battez pour le trône et son Roy, je n'en ai rien à faire. Certains mourrons, d'autres vivrons. Mais l'histoire n'est pas encore écrite...Alors battez-vous, pour votre salut à tous ! La vie ou la mort, il n'y a pas de demi-mesures !"

Le temps s'était comme arrêté un instant. L'Intendant aurait peut-être voulu continuer, mais la voix lui manquait. Il toussa deux fois, avant de se faire charger par un ennemi brandissant une lourde masse.

L'elfe Eleriol fut rapidemment remarqué par un des plus puissants des adversaires, qui le chargea une énorme pique à la main, à toute allure, avec la ferme intention de l'embrocher d'un coup.

Soudain, un homme portant un masque blanc surgit devant Murdock. Cela semblait être un ennemi arrivé d'une autre façon que les noirauds. Quel était ce mystère. Mais il portait une épée ouvragée, et un bouclier sans écusson. D'un habile mouvement, il chercha à atteindre le cou du garde de la citadelle.

Belgarath fut heurté dans le dos par un manche de bois. Cela ne lui fit guère de mal, mais le propriétaire de la hallebarde se retourna vivement et bientôt, le fer de son arme suivit le chemin de la hampe, vers le vieil homme.

Le grand homme en noir sourit quand Milindë le frappa. Il ne craignait pas grand chose protégé comme il l'était.
Sans qu'elle s'y attende, alors qu'il la frappait de son épée et qu'elle paraît, il lui faucha le pied du plat de sa hache. L'elfe était à terre.

Plus loin, Radamanthe recula pour éviter le coup de masse. La lourde arme s'enfonça quelque peu dans le sol, mais immédiatement, l'Intendant frappa avec sa hache.
Son adversaire, comme un fou, para de son bras, qui était presque tranché entièrement, mais il était sauf.
Et de son autre main, il chercha la gorge de Radamanthe. Celui-ci lui enfonça la pointe de son arme dans le bas-ventre, mais resta un moment immobile après que le noiraud fut tombé Un des acolytes de ce dernier arriva par derrière et lui adressa un coup violent d'épée, à décrocher une machoire.
Ainsi, Radamanthe l'Intendant de Gondor tomba.

Darkblade se reveilla douloureusement.

Tiens,je suis pas mort finalement?

Il se releva difficilement.Il se trouvait toujours a la bataille,mais dans une zone où il était a peu près en sécurité.Une douleur s'éveilla dans son dos.

Bon...Je vais pouvoir m'y remetre.

Il prit son cimeterre,essaya de le soulever,mais il retomba a 2 centimetres de son pied.Une douleur criait dans son bras meurtri.

Roooohhh,merde....

Il renonca a son cimeterre qu'il rangea dans son fourreu et opta pour une petite dague,plus legeres.Il revint doucement vers la bataille.



Tout cers gondoréens font pitié...Défendre un vulgaire arbre...

Aprés ces nobles pensés,le guerrier noir mourut,la traché a l'air,béante.Faut dire qu'une dague a dent de scie qui vous rentre dans la gorge et qui en ressort,c'est pas top,en fait.

Pas mal cet technique d'égorger par derriere...A exploiter...

Le pillard bléssé epartit a ses nobles activités,qui consistait a :-achever les bléssés des guerriers noirs
-Se barrer quand il ya du danger
-Egorger par derriere
-Voler les bourses des cadavres éloignés(je suis pillard tout de meme).

Elreiol dit au mage :

Même si je ne connais pas ce pillard (si il s'agit bien d'un), je vous suis reconnaissant de l'avoir soigné. Quant à ses blessures, je pourrais vous renseigner seulement sur celle du dos. Il s'approchait de moi et un homme en livrée noire l'a poignardé. Voilà ce que j'ai vu. Maintenant excusez-moi, je vais aider nos compagnons.

Et il repartit vers le combat, toujours calme et impassible. La mélée d'avant s'était quelque peu espacée, rendant les mouvements plus faciles au "grand bonheur" de l'elfe. Les questions persistaient, mais il avait décider de ne pas y répondre. Pour l'instant. Il se trouva alors devant un homme gigantesque tenant une pique impressionnante. Son regard haineux transpreçait aussi puissament que son arme l'elfe. Un instant tous les deux restèrent immobiles, puis le soldat chargea. L'elfe s'écrata au dernier moment. Il tenait fermement son épée courbe, prêt à parer toute attaque. La pique l'empêchait de s'approcher de son adversaire, et si Eleriol aurait facilement put profiter de la longueur de l'arme et de la difficulté de son maniement face à un soldat peu expérimenté, son adversaire était ici un expert dans la matière. L'affrontement s'annonçait difficile. La pique revint en un éclair. Eleriol l'écarta de sa lame, puis tenta une riposte. Son épée fut arrêtée par le manche de la pique. La pointe de la lance décrivit un arc de cercle ayant pour but la tête de l'elfe qui se baissa vivement et tenta d'entailler la jambe de son adversaire, qui para. Eleriol se recula vivement. Le soldat noir reprit ainsi l'avantage de la grandeur de son arme. Il essaya de transpercer l'elfe, mais ne traversa que de l'air. Tant pis. Il finirait bien par l'avoir. Cet elfe avait beau être rapide, il fatiguerait bien à un moment. Personne n'avait encore échappé à sa lance. Eleriol, quant à lui, ne pouvait plus tenter d'approches. Il esquivait et parait, mais ne ripostait plus. Il avait réussi la première fois grâce à l'effet de surprise, mais ne pourrais renouveler cet exploit. Il allait cependant essayer. Lors d'une attaque frontale, au lieu de reculer, il para et s'approcha. L'autre, stupéfait, renouvela son aassaut qui n'atteignit pas non plus son but. Les geste du soldat noir ne firent plus rapides, plus fluides. Ceux d'Eleriol en firent autant. On ne voyait plus les armes des deux combattants. Certains arrêtèrent de combattre pour voir ce duel. Même si l'elfe ne faisait que parer, il gagnait constament du terrain sur son adversaire. Celui-ci ne faiblissait pas, mais un fin observateur aurait pu voir une once de doute dans ses yeux. Il avait raison. Un de ces coups se fit moins puissants, et l'elfe en profita. Il avança le long de la lance en tournant su lui-même et profita de son élan ainsi pris pour frapper de taille son adversaire. Celui-ci se baissa et posa de ce fait son arme au sol. Il voulut reculer pour pouvoir à nouveau attaquer, mais l'elfe avait posé un pied sur le manche de sa lance, puis le deuxième. Le soldat noir voulut lever sa pique pour désiquilibrer Eleriol mais celui-ci s'était avancé sur le manche jusqu'à n'être qu'à ce que sa lame touche la gorge de son ennemi. L'homme noir, sentant son heure venue, fit une action désespérée : il tira de toute ses forçe sa lançe vers lui. Il pensait que l'elfe, trop rapide, l'aurait égorgé avant qu'il ne puisse asséner un coup. Mais il avait oublié un détail qui joua en sa faveur : la pluie qui tombait toujours avait rendu le bois glissant. Ainsi, Eleriol tomba à la renverse. Il voulut se relever mais un dard d'acier l'en empêcha. Les rôles venaient d'être inversés. La pointe se leva doucement, puis redscendit rapidement. Rapidement aux yeux de tous, lentement aux yeux d'Eleriol. Etait-ce ce cette façon que l'on voyait la mort arriver? Sans se poser plus de questions, l'elfe leva le mains pour stoper l'arme les deux mains juste derrière la lame, il ralentissait la course de la mort. Il réussi à l'arrêter, à la repousser, mais elle revint de plus belle. Avant que la pointe ne pénètre dans sa gorge, Eleriol donna un coup puissant de son pied à l'aveuglette. Il atteignit cependant son but : le tibia de son adversaire. Mais son pied rencontra une plaque de métal noir et n'occasiona aucun mal à son adversaire. Cependant l'homme noir fut déconcentré un instant court, presque inexistant, qu'Eleriol sut mettre à son profit. Il roula sur le côté pour se dégager. Dans le même mouvement, il reprit son épée et trancha net la pique de son adversaire. Ils se retrouvaient à armes égales. L'elfe avait cependant une entaille dans la gorge qui, bien que peu profonde, le piquait. Les deux ennemis parcouraient des cercles de plus en plus petits jusqu'à ce que l'affrontement devint inévitable. Fer contre fer, fer contre bois. Attaque, parade, riposte. Blessures superfitielles. Souffles retenus. Doute. C'est ainsi que se déroula la dernière partie du duel. Chacun des deux combattants savait que leur vie se jouait en ce moment même. Un d'eux ne verrait pas le soleil se coucher, ou se lever. Puis tout d'un coup, Eleriol cessa de combattre. Il se rendit compte qu'il ne savait rien de l'autre dueliste. Ce-dernier s'arrêta également, stupéfait du comportement de son adversaire. Sans plus réfléchir, il enfonça son épée dans le flanc de l'elfe. Rien. Puis une douleur vive. Un dernier geste. Une tête tombe, toujours cachée par par un heaume noir. Un elfe s'écroule. ESt-ce cela, la mort?

//58 lignes complètes!//

Meneldir traversa le combat de part en part harceler par un puissant noireau armé d'un fléau énorme composée de deux boules entouré de piquants.

Sale porc, je vais te tuer.

Meneldir essayait de parer les boules avec ses épées mais le noireau dominait de part sa hauteur et sa force.le vieillard reculait peu à peu jusqu'à se retrouver coincé dans un coin où un étendart se dressait froid et fier dans la bataille.
Meneldir attrapa cet étendard dans ces mains et dirigea la lance vers son ennemi qui chargea bientôt arrété par un grand coup de la garde en bois dans le coup dans le cou.

Pour le Gondor.

Meneldir venait de s'élancer vers son ennemi en pointant le fer versla gorge apparente , seul endroit dépourvu de protections.

Le noireau surprit par cette attaque désespéré rigola à plein gorge et jetant son fléau d'armes sur le sol, il saisit la lance à 5 cm de son cou et poussa de toute ses forces sur la lance pour renvoyer Meneldir au loin.

Meneldir sentait une force énorme et pensa rapidement et lacha la hampe.

Le monstre entrainait par son effort se précipita en avant et Meneldir sortit son poignard pour l'enfoncer profondément dans le cou de celui ci.Le sang gigla sur la main du savant qui retira son couteau.Meneldir essuya sa main et son couteau sur le revers de sa tunique qui était déjà rempli d'un sang impur.

Le professeur enjamba le corps avant de son ennemi pour repartir au combat avec pour armes le fléeau de son adversaire.

Un elfe se précipita vers le professeur, ce dernier dirigea ses "boules"[dsl jai pas pu m'empecher vers l'elfe qui contra un d'elle mais il avait oublié la seconde qui vint défonçer le heaume de l'elfe qui mourrut sur le coup.

Meneldir observait la bataille qui semblait eternelle car des deux cotés s'étaient des fanatiques prets à tout pour survivre.

Meneldir ramassa sur le sol un arc elfe et son carquois quasiment plein.

Enfin, un travail en toute sécurité pour un vieil homme fatigué.

Homme fatigué, vous êtes sûr. railla un soldat le sourire aux lévres.

Le savant s'écarta du combat et vint sur les marches du palais.Des bruits venaient eux aussi du palais mais Meneldir avait une autre mission.

Il banda une fléche et visa un elfe en dehors de la bataille.
L'arc frémit, la fléche siffla et vint percer la main droite de son ennemi.
Meneldir n'avait pas voulu tenter un tir directe de peur d'une riposte mortelle.

L'archer brisa la fléche et la retira avant de rebander son arc vers le professeur.Une seconde fléche parcouru la distance dans le sens inverse.
Meneldir ne put eviter le trait qui le transperça au niveau du ventre.
la fléche avait manqué le coeur par chance.

Arhhhh!!!!!

Meneldir décocha une fléche qui cette fois ne manqua pas sa cible.

Un elfe quitte à nouveau ce monde mais je ne pensait jamais en renvoyer un vers les cavernes de Mandos

L'elfe gisait à présent, une fléche dans le creux de son cou.


Meneldir continua des tirs mais à présent, Meneldir ne tenta pas de blesser uniquement ses ennemis et recherchait des coups mortels.

Le combat était peut être le dernier qu'il menait dans sa propre vie.


[HRP environ 40 lignes faut que je me calme, bon je suis pas là avant demain soir en théorie Bon RP à tous HRP]

Instinctivement, Murdock leva son bouclier juste à temps pour dévier la lame dangereuse de son adversaire. Toutefois, il ressentit une certaine douleur dans son épaule. Probablement le choc sur son bouclier.

Reculant un instant, il jaugea son adversaire. Celui ci semblait vouloir faire de même car il avait escompté l'éliminer d'un seul coup et visiblement il avait affaire à forte partie.

Les deux adversaires ne se préoccupait plus de l'environnement et des combats qui se déroulaient autour d'eux. C'était comme si tout s'était ârrêter. Puis aussi soudain que la première attaque de l'homme en blanc, le deuxième round commence.

Utilisant son bouclier, Murdock parvient une nouvelle fois à bloquer l'attaque puissante de son adversaire mais sa riposte donna dans le vide, son adversaire parvenant à esquiver son coup d'estoc de manière très habile.

C'était le signal pour les deux combattants et à partir de ce moment là, les coups répondaient au coups et les lames se croisaient dans un ballet des plus mortels. La fatigue commençait à se faire sentir des deux côtés.

Murdock sentait bien qu’il ne pourrait vaincre son adversaire de cette façon. Et il réfléchit alors au meilleur moyen pour retourner la situation à son avantage. C’est à ce moment que lui vient une remarque de son mentor : « Quand le combat est équilibré ou désespéré, il ne faut pas hésiter à recourir à des moyens peu conventionnel » A cette pensée, Murdock sourit, se souvenant alors de la cuisante douleur qu’il avait ressentit quelques secondes après ces paroles lorsque le bouclier de son mentor lui frappa la mâchoire.

Il regarda son adversaire et il se dit qu’il n’aurait probablement qu’une occasion pour réussir son coup.

L’adversaire, ne semblant pas se douter des intentions de Murdock, tenta une énième coup d’estoc avec son épée ouvragée. Mais, cette fois, Murdock ne dévie pas l’attaque avec son bouclier. Profitant de l’ouverture et espérant que le coup ne le touchera pas, il s’avance vers son adversaire, utilisant son bouclier comme une arme et il fracasse ce dernier contre le visage de son adversaire.

Le masque blanc vole à quelques mètres de là et l’homme, le souffle coupé, tombe à genou devant Murdock. Faisant fit de la douleur qui ressentait sur le côté, il abat alors son épée en direction du cou de son adversaire et lui tranche la tête, roulant sur le sol sur une faible distance.

A ce moment, il regarde alors l’endroit où la douleur était née. Son coup audacieux a finalement un prix à payer. Il n’avait pas pu esquiver complètement le coup de son adversaire et son épée avait entaillé son épaule gauche sur une dizaine de centimètres de longueur. Cela n’allait peut être pas l’handicapé pour la suite du combat mais un séjour à la maison des guérisseurs s’imposera probablement à la fin de la bataille.

Remontant son bouclier dans une position plus académique, il constate cependant que cela lui lance une douleur le long de son bras. Visiblement l’entaille était plus profonde que ce qu’il pensait. A cet instant, il aperçu au sol, près de lui, l’épée ouvragé de son adversaire. Il la ramasse aussitôt et la place à son ceinture. Peut être lui sera-t-elle utile pour la suite. En tout cas, il devait maintenant se ressaisir rapidement. Il avait ouvert la voie à ses archers qui arrivaient légèrement en désordre à proximité de l’intendant. Il faut dire qu’il n’était plus que 5 sur la vingtaine qu’il avait à ses côtés au départ.

Il arrive alors à son tour à côté de l’intendant. Enfin, de l’intendant gisant au sol.

« L’intendant est touché. SOLDAT DU GONDOR. Pour votre intendant, battez vous »

Murdock, profitant du fait que l’adversaire de l’intendant regardait le corps de l’intendant au sol, s’élance vers lui et le transperce dans son dos, au niveau de la colonne vertébrale. Les archers et lui, forment immédiatement un carré avec au centre le corps de l’intendant.

« DES GUERISSEURS pour l’Intendant ! DES GUERISSEURS pour l’Intendant ! » scande alors Murdock, défiant quiconque d’approcher de lui.

Voyant le groupe se former autour de l'intenedant Hsahrin sortit des combats et tua en meme temps un elfe. Il rejoignit les 4 archers restants et les amena, rejoindre le grouppe formé d'archer et d'un garde de la citadelle. Une fois la, ces archers rejoignirent le restant des soldats,Ils été désormais 11 hommes autour du corps. Hasharin ripostait les coups de son adversaire ,soudain celui ci le jeta a terre et dans sa chute l'assassin lâcha son arme qui tomba un peu plus loin, alors que Hasharin voyait sa Mort arrivée, un Gondorien transperça le guerrier par le flanc en mettant sa lame entre les côtes. Le Gondorien aida Hasharin a se relever, il reprit son sabre et revint en position défensive, et dit aux hommes:

-Notre intendant est blesse, nos défenses tombes mais nous nous ne tomberons pas, Il faut sauver votre citée,Pour le Gondor et pour le Roy.

Sur ces mots tous les soldats poussèrent un terrible cris de guerres, et on vit plus d'un elfe reculer de quelque pas...

Morgoth vit le combat au dehors, il écarquilla les yeux.
L'elfe lacha la voleuse, puis descendit les escalier pour aller sur le parvis ou était les combats, des fleches lui passaient a raz, mais il n'y faisait pas attention. Il était concentré sur une chose!!!! Mithrandir!

Un homme en noir s'approcha de l'elfe par derriere, mais Morgoth même faible se retourna au dernier moment et sectionna son adversaire en deux, libérant un tas de viscères sur le sol.

Morgoth sentait une chose en lui, une mauvaise chose, ses blessures le rendait faible... Assez faible pour.......................

Un elfe déchu couru vers lui le sabre a la main, Morgoth se redressa comme si aucune blessures n'étaient là, il rengea son arme, et au moment ou l'elfe frppait il évita le coup et attrapa l'elfe au cou en le soulevant a quelques centimetres du sol, l'angle était mort pour la plupart des guerriers du bien, mais ils purent voir à se moments là, des lanieres d'ombre sortirs des yeux de l'elfe noir, et englobé la tête de l'autre... Quand les lanieres s'enlevèrent quelques seconde plus tard il ne restait plus que des os carboniés a la place du crâne.
Morgoth relacha son étreinte, puis se courba à la maniere des orques, regarda la foule en plein combat, posa ses yeux sur Alira (tu écriras ta réaction svp...), s'écroula au sol. Ses yeux n'étaient plus, il y avait des trous à la place, des trous remplis de vide éternel...
Mais les ténèbres rentrèrent dans les yeux et l'on put voir réapparaitre des globes occulaires noirs, comme des gemmes retenant un mal trop grand pour être en liberté...
Morgoth ferma les yeux et sombra...

Lorsque les quatre soldats furent de nouveau d’aplomb, Nidnama réappliqua du somnifère sur deux dagues trouvée par terre et enfila son poignard dans sa ceinture. Le guérisseur reprit le combat. L’intendant était blessé et c’était a lui qu’il devrais porter ses soins. Il entrepris de se frayer un chemin vers lui.
- Vous deux ! Accompagnez moi ! nous devons rejoindre l’intendant ! ordonna-t-il a deux soldats.
Le guérisseur observa avec plaisir que, sur ses ordres, les deux Gondoriens s’étaient précipités a ses côtés pour l’aider a ouvrire la route. En rasant les murs, il parvint sans trop de difficultés jusqu'à mi-chemin : le seul noiraud a s’être interposé dut combattre avec les deux soldats qui en vinrent rapidement a bout. L’un des elfes a l’arme enflammée se dressait a présent entre le guérisseur et la zone de calme au cœur de laquelle gisait a présent l’intendant.
Les gestes de l’homme étaient d’une vitesse incroyable surpassant largement celle du pauvre guérisseur. Après une suite de parades désespérées, Nidnama se résigna : il ne pourrais pas le vaincre avec les méthodes traditionnelles. Il ouvrit une brèche dans sa défense et lorsque son adversaire plongea dedans, il lui donna un coup de dague dans l’artère. Malheureusement, l’elfe était un adversaire imprévisible et, s’il fut touché par la dague, il put enfoncer profondément son épée dans l’épaule gauche du guérisseur. En sentant la douleur le traverser, il se dit que ce n’était sûrement pas dans cet état qu’il continuerais le combat. Nidnama enfonça sa dague dans l’épaule de son adversaire déjà ralentit par le somnifère. L’elfe s’écroula et vit ses souffrances abrégées par une aiguille plantée dans la jugulaire.
Le champs était a présent libre. Nidnama s’agenouilla prés de l’intendant et s’appliqua rapidement une pommade sur l’épaule avec soulagement. Il pouvait a présent opérer l’esprit libre.

***

L’intendant respirait encore ! Il le forçat a boire le contenu d’une fiole a base d’athélas puis appliqua sa pommade sur les plaies. Une plaie ouverte à la tête risquait d’emporter l’intendant… Nidnama la soigna avec les moyens du bords puis entrepris d’ausculter les flux vitaux de l’intendant. Il enfonces quelques aiguilles aux centres d’énergie pour tenter de les réanimer.
- J’ai fait tout mon possible ! A présent, tout ne dépendras plus que de lui… Faites votre possible pour le protéger : s’il est a nouveau blessé il ne s’en sortira sans doute pas. explique le guérisseur.

HRP//donc si tu veut mourir tu peut ^^ mais j’aurais fait tout mon possible !//HRP

Lorsqu’il releva les yeux, Nidnama aperçut des personnes sortant du palais. Après un phénomène étrange, l’un d’entre eux s’écroula a terre. C’était un elfe étrange de grande stature. Puisqu’ils n’étaient pas hors de sa portée, Nidnama décida de venir lui porter secours. A ses côtés, une voleuse se battait avec talent pour le protéger.

***

Maegthir continuait ses piquets pour déstabiliser les noirauds. Elle était déjà parvenu au prix de maints efforts a en aveugler un lorsqu’elle se fit blesser a l’aile. Elle retourna avec difficulté sur l’épaule de son maître qui lui adressa quelques paroles en elfique. Elle sembla hésiter un instant puis repris son vol. Elle rejoignait Aladon (c’est mon écureuil) dans la charrette, loin des combats.

***

Un seul elfe barrait le passage de Nidnama pour rejoindre les deux arrivants mais dans son état, un c’était sans doute encor beaucoup trop…
-Et merde…

Devant le bruit incessant sous ses fenêtres, Harald, Sénéchal de Dol Amroth, accompagné de l'ambassadeur de sa cité, regarda vers le haut de la cité...

"Une bataille..."

Son esprit réagit plus lentement que son corps. Il ne pouvait y croire, et pourtant il s'était déjà équipé...

Il sortit, accompagné de l'escorte de l'ambassadeur et de celui-ci, en personne.

"Vous, ambassadeur, équipé de pied en cap, comme pour la guerre?
-Je suis avant tout un chevalier. Sénéchal, je vous suis. Mon escorte est à vos ordres."

Harald s'élança donc vers le haut de la cité. Un forme tenta de lui barrer le passage, il ne prit même pas le temps de la regarder. Elle gisait au sol, l'épée d'Harald en travers de la gorge...





Il monta enfin la dernière volée de marches et déboula devant la cour de l'arbre...

"Que se passe-t-il ici...?"

Son épée pris de nouveau une vie...

Le noir. Un noir profond. Une respiration sifflante, presque insxistante. Une vive douleur au flanc. Du sang chaud qui coule. Au-dessus, des bruits de bataille. Les armures s'entrechoquent, les épées tintent. La mémoire revient. Une lame s'enfonce, une autre tranche un tête. Est-il mort? Eleriol ne sait pas. Il se meurt. Ses minutes sont comptées. Pourtant il n'a pas peur. Juste une pause avant un grand voyage. L'entamera-t-il?

// C'est pas très long mais c'est "remettre à jour" mon post précédent que j'ai édité. Si vous ne comprenez pas, allez le lire. //

Darkblade tébucha.Sur un corp,apparament.Un elfe.

Putain,c'est celui qui m'a amené a mithrandir pour me soigner!

Il tua deux trois ennemis qui tentait de le tuer,puis prit l'elfe sur ses épaules.Il se tailla un chemin dans la mélée,puis sortie a l'écart.Il posa l'elfe contre un mur,puis courut chercher le guerrisseur.Il égorgea par derriere les deux elfes qui barrait la route au medecin.

-On a un bléssé grave,raméne toi et plus vite que ca,le toubib!

Il retourna vers l'elfe et lui donna a boire un peu de vodka,pour faire passer la douleur.

Comme ca je n'ai plus de dette envers toi...

Radamanthe ouvrit les yeux. Un coup s'pprêtait à tomber. Et il n'avait pas la force de réagir.
Mais ce n'était pas la fin.
Sa bague d'améthyste marquée de l'Arbre se refléta, dans le soleil qui avait percé les nuages gris qui s'étaient installés. La lumière revenait...

Un soldat tranperça son adversaire. Son nom était Murdock, mais l'Intendant ne le savait pas encore. Nul doute que cela n'allait tarder, à présent.
Lentement, il se releva, repoussant le guérisseur dont il n'avait pas besoin. Il n'allait pas si mal, toute cette attention était inutile.

"Je vous remercie...[]?"

Mais le combat continuait. Partout autour, des figures de marque tombaient. Cet ambassadeur, là, et d'autres encore.
Le guérisseur avait définitivement du travail.

Il se releva, finalement sans trop de mal.

"Par Gondor, est-ce que je mérite autant d'attention ? La Cité tombe, en avant, il est temps de frapper."

Et il partit en avant.

Les autres se battaient avec rage. Ils voyaient que leur nombre faiblissait, que leur objectif ne serait pas attend.
Ils ignoraient que leur cible avait pour autant été touchée, grâce à eux, qu'il avaient été doublés.

Mais ils ne faiblissaient pas. Leur rage était toujours là, même si c'était sans espoir.
L'espérance n'était pas de leur vocabulaire, alors, pourquoi fuyraient-ils ?

//Me permet d'ingorer une partie du rp de Nidnama. C'est pas demain qu'on se débarassera de moi...//

Alira était restée figée devant l'elfe noir, elle s'attendait à tout sauf à ça. Mais elle n'eut pas le temps de réfléchir plus longtemps, un homme l'attaqua, parant les coups, sa blessure dans le dos lui faisait serrer les dents et commençait à la ralentir. Soufflant un instant elle croisa le regard d'Alatarièle plus loin avant de reprendre les combats pour protéger cet homme dont elle ne connaissait même pas le nom.

//Très très court je sais mais là j'avoue que je suis pas très inspirée//

Après plusieurs longues enjambées, le Roy arriva à son tour à proximité de l'arbre blanc, et jeta rapidement un regard aux alentours : L'Intendant, son second, venait de se relever et paraissait en état correct. Un guérisseur elfe trainait dans le coin.

D'un puissant coup de haut en bas, le Roy défonca la poitrine de l'ennemi le plus proche et se jeta volontairement dans la mêlée, Anduril brillait de milles éclats. Un autre homme ne tarda pas à mordre la poussière, la gorge traversée par la lame descendante des Rois. Une lueur émanait de ses yeux, la couronne sur sa tête prouvait sa valeur et son statut non négligeable. L'épée à la main, il était bien décidé à faire regretter à ses assaillants d'avoir posé leurs pieds impures sur les dalles blanches de la cour de la fontaine...

//J'ai pas eu l'occasion de poster//

Radamanthe a écrit:

Le grand homme en noir sourit quand Milindë le frappa. Il ne craignait pas grand chose protégé comme il l'était.
Sans qu'elle s'y attende, alors qu'il la frappait de son épée et qu'elle paraît, il lui faucha le pied du plat de sa hache. L'elfe était à terre.

Milindë était à terre inconscient, l'élite approchait, prêt à l'abattre au sol, petite vengeance pour sa résistance. S'il n'avait pas porté de casques on aurait pu voir un sourire affreux s'étaler sur sa face. Il s'approcha lentement savourant à chaque pas sa victoire sur l'Elfe. Un guerrier du Gondor s'approcha il lui assena un coup de poing de sa main ganté de fer envoyant valsé le brave Gondorien. Il s'approchait inlassablement et avec une démarche lente et perverse de Milindë. Pendant qu'il avançait, il se demandait avec quelle arme il la tuerait. La hache, l'épée, ou a coup de poing, voila ce qui trottait dans sa tête. C'était comme si le combat n'étais plus, comme si il était seul en face du corps inconscient de l'Elfe.

Hobasian était à présent à corps de munition, il se jeta dans la masse des combats et commença à effectuer des mouvements d’épée en tous sens. Avec un peu de chance, il réussirait à récupérer des poignards et autres projectiles. Il vit au loin l’élite s’approcher de Milindë cependant il était engagé dans un combat et il lui était impossible d’intervenir d’une quelconque façon que ce soit. Il se mit donc à combattre férocement afin de se rapprocher le plus possible de sa future belle fille. Il trancha la tête d’un elfe, fit sauter le casque d’un noiraud avant de lui faire subir le même sort que l’Elfe, mais rien n’y faisait, chaque ennemi tombé était remplacé par deux autres, on aurait dit qu’ils poussaient comme des champignons sur l’herbe verte de la Comté.

Je me battais plus loin contre trois ennemis, un Elfe et deux Noiraud. Le combat était serré et dur à mener, luter contre trois personnes de fronts était une chose complexe, a peine paré une attaque qu’on en parait une autre, je me baissais me relevais parait de mon épée, de mon bâton et le même manège recommençais à n’en plus finir. Enfin j’eus une idée, dans la barbarie des combats j’avais oublié mon élément majeur, la Magie. Je fis donc bruler, après avoir visualisé les flammes et avoir sentis leur chaleur, l’un des noirauds. Profitant de l’étonnement général j’enchainais avec l’Elfe dont la tête tomba sur le pavé. Puis je finis avec le denier noiraud. C’est là que je vis l’élite qui s’approchait de Milindë l’épée levée. Mon sang ne fit qu’n tour, je me mis à courir dans sa direction évitant instinctivement toutes les épées et les combats sur ma route. Je me plaçais après cette folle course en dessous de l’épée du noiraud, au dessus de Milindë, mon épée au dessus de moi fin de l’empêcher de la frapper.

"Laisse là ..."

On le soulève, il est mis sur une épaule. Un liquide coule dans la bouche et brûle la gorge, mais redonne un semblant de vie. On le transporte. Où va-t-il? Est-ce le Dieu de la Mort qui l'accompagne? Non, ce ne peut être cela, car il vit. Mais est-ce bien la peine de le sauver. Les autres étaient surchargés tout à l'heure. Allaient-ils l'aider? Quelqu'un était venu. Mais Eleriol ne sait pas qui. Il se laisse aller, il n'est plus maître des événements.

Nidnama sourit de soulagement lorsque le pillard trancha la gorge de son adversaire. Malgré son ton bourru, il décida de l’aider : ce n’était pas lui le blessé (le guérisseur ne risquait donc pas de se faire assommer par son patient…). Lorsqu’il arriva auprès de Eleriol, Nidnama l’examina rapidement : les blessures n’étaient effectivement graves il ne s’en fallait que de quelques millimètre pour qu’elle soit mortelles… Nidnama s’écria :
- Je vais le transporter dans un endroit plus calme : les marches du palais ! C’est là que j’opérerais ! Couvrez moi donc !
Il prit le blessé sur son dos et le transporta tant bien que mal jusqu'à l’étrange elfe noir, profitant de la couverture du Haradrim.
L’un comme l’autre étaient dans un état critique. Il pansa les plaies les plus graves. Eleriol était sortit d’affaire : ses plaies ne lui permettraient sans doute pas de combattre facilement tout de suite mais ne l’incapaciteraient pas non plus. Le cas de Morgoth, lui était beaucoup plus inquiétant : sa mâchoire brisée ne serait pas facilement réparée et il se trouvait dans un étrange état de léthargie, les autres blessures seraient bagatelles en comparaison.
Une fois les plaies communes pansées, il s’attaqua a Morgoth et son étrange léthargie. Nidnama chercha les flux vitaux et les raviva, utilisant ses aiguilles comme des antennes, sensibles a la vie environnante. Nidnama ignorait si ses soins feraient effet mais c'était toujours ça de pris... Il introduit le goulot d’une fiole contenant du vivifiant entre les lèves du blessé et ne sentit que peu de réaction...
- Vous vivrez peut être. Mais ne parlez pas ! Je n’ai pas réparé votre mâchoire et je ne peut pas avec le matériel dont je dispose ici. (HRP//c'est toujours bon de parler a un convalécent//HRP)
Il se tourna vers l’autre blessé qui avait a son tour reprit connaissance et lui fit boire de la même potion.
- Vous pouvez a nouveau combattre mais ne vous dépensez pas trop : cette potion ne donne que l’illusion de la vitalité mais vous continuez a vous fatiguer. Si vous vous dépensez trop vous pourriez en mourir. Nidnama se tourna vers Morgoth. C’est valable pour vous aussi… Et ne recommencez pas cet acte étrange ou je ne sait pas si je pourrais vous sauver… Je ne sait d'ailleur pas si vous vous en sortirez...

//J'espère que tu as leur accord pour la reprise de connaissance ...//