Le Sénat... Jugement du Duc Athan...

Le Prince entra... La blanche salle était remplie... La plupart des Seigneurs de Dol Amroth était la...

En tout cas suffisamment pour que la séance soit considéré comme valable et que la décision soit sans appel, a part devant le Roy... En effet, sur les 215 seigneurs, plus des deux tiers étaient présent...

La séance commença... Le plus vieux chevalier du Royaume rappela les fait des dernier jour et pourquoi ils avaient été convoqué.

Puis le Prince se leva...

"Chevaliers, Marquis, Vicomtes, Comtes et vous, messieurs les Ducs, je vous remercie de votre présence. C'est une forme de soutient et de fidélité. Vous allez a présent écouter les témoin, les aveux, le condamné et il vous sera demander de juger cet homme...

A ces mots, la grande porte s'ouvrit, et Athan, ancien Duc et pair du Gondor s'avança... Il était droit et fier... Il se tenait avec honneur, et acceptait son sort...

Ce fut ce que tous lire dans ses yeux...

Tout d'abord la parole échus au doyen qui rappela les faits et geste du Duc durant sa vie... Comment il avait défendu le Belfalas contre Umbar, comment il avait été nommé Pair du Gondor par le Roy lui même...

Il continua... Après son discours, la parole échouerait à celui qui la demanderait...

Tous les chevaliers attendaient que quelqu'un se leve. Forlong n'aimait pas les discours publics, et ne connaissait pas le Duc Athan. Cependant, quelque chose l'obliga a se lever. Les chevaliers, surtout ceux qui n'etaient pas presents a la ceremonie ou les recompenses furent donnees, regarderent avec etonnement le nouveau seigneur. Celui ci portait une chemise blanche, un pantalon, des bottes de voyage et une veste en cuir, ainsi qu'une epee sur le dos. Ce n'etait pas un accoutrement caracteristique a un chevalier.
Le vieux seigneur qui etait assis a cote du Prince fit un signe de la main, accordant la parole a Forlong.
Celui ci dit:
-Mes seigneurs, je ne connais pas le Duc Athan, et je ne l'ai jamais rencontre a part dans la bataille. Je ne connais pas les causes de son acte, ni ses ambitions. Mais j'ai combattu dans la Cite, et j'ai vu des centaines d'hommes tomber. J'ai vu le feu detruisant la Cite du Cygne, j'ai vu le chaos regner dans ses rues. Je ne sais pas quel motif a part la soif du pouvoir dirigeait le Duc, mais je sais une chose, celui ci ne valait surement pas la destruction causee.

Le chevalier Yrallyn, seigneur du Val de Ringlos regardait tout autour de lui ses homolgues qui chuchotaient et débattaient entre eux du sort qui attendait Le duc Athan. On ne discutait même plus sur sa culpabilité qui semblait si évidente. Elle l’était. Comment innocenter une personne qui avait trahi son seigneur, causé la mort d’innombrable innocent et qui s’était emparé de la Cité du Cygne ?

Cependant, le chevalier Yrallyn restait muet et ne prenait part à aucun débat. Ce-dernier avait lieu dans sa tête.

Ses cheveux bruns encadraient un visage aux formes harmonieuses pouvant être chaleureux mais aussi sévère. Le seigneur avait participé à maints combats gagnés ou perdu, mais chaque fois il avait survécu. Toutefois, celui qu’il avait livré devant sa Cité avait été le plus éprouvant. Il avait frôlé mille fois la mort et avait subi plusieurs blessures. Mais encore une fois, il était toujours vivant. Ce n’était pas le cas de son ami, le duc Lenglir. A cette pensée, les yeux de Yrallyn s’embuèrent et il les ferma prestement pour qu’aucune larme ne naisse. Lenglir et lui avait été de grands amis, chevauchant souvent ensembles vers l’ennemi. Mais pas cette fois. Lenglir avait voulu protéger son prince contre un noble félon et avait perdu la vie pour cela. Yrallyn avait pleuré la perte de son ami. Il n’avait pas été le seul. C'est la rage au coeur qu'il avait combattu aux côtés de Berund pour reprendre Dol Amroth. La guerre... Des centaines de femmes et d’hommes devaient encore pleurer la perte d’un de leur proches. Tout ceci à cause de Athan…

Mais Yrallyn se trompait...

L'ennemi était plus perfide que cela... Sa défense était prévue... Il savait qu'il réussirait a s'en tirait...





Alors que tous pensait qu'il serait exécuté, le Duc prit la parole:

« Seigneur de Dol Amroth... Je suis devant vous de mon plein grès... En effet, durant la bataille que le Prince Berund a lancé contre notre cité, je me suis acharné a la défendre, mais voyant qu'il tuerai toutes la population je lui ai tendu un marché: ma liberté contre celle de la population. Il l'a accepter... Maintenant, il cherche a me faire passer pour un monstre...

Regardez les faits et vous comprendraient qui est ce Prince:

Il s'est lancé dans la guerre, alors qu'il venais d'arriver dans sa cité: c'est un être qui aime le sang...
Il a attaqué sa propre cité, répandant le sang de ses hommes...
Il a, il y a une année a peu près, tué de nombreux soldats gondorien en leur tirant dessus avec les trébuchets de son navire...
Il a envoyer le comte Harald vers la mort...
Il vous a forcé a jouter contre vous, Prince Aleth, alors que vous êtes blessé...
Il utilise ses quarante chevaliers de Berthil pour terroriser la population: la ville parle encore de l'arrestation de l'homme qui a participé a la joute oral...

Ce homme est effectivement Prince, oui de Berthil comme le veut sa famille. Mais il n'a rien a faire a Dol Amroth, c'est un homme qui a les mains pleines de sang... »

Sur ces mot le Duc se rassit...

L'assemblé ne bronchait... Le silence montrait la réflexion de chaque homme... Soudain l'un commença a murmurer, puis petit à petit, le bruit se répandit pour devenir brouhaha...

Les chevaliers allait bientôt se battre en eux...

Berund avait compris la stratégie de son ennemi...

Il n'avait qu'un seul choix:

"chevalier, cria-t-il par dessus le bruit du Sénat, je déclare la séance du jour fermé..."

Le silence se fit...

Chacun quitta la salle, réfléchissant a la suite du procès... Il y en aurai un, c'est sur, mais le tout était de savoir si ce serai celui d'Athan, ou celui de Berund...





"Chevalier, a l'ordre du jour, le jugement du Duc Athan..."

La deuxième journée commençait...

Dans la salle il y avait des nombreux chevaliers payes par le Duc pour prendre son cote. Forlong en avait deja apercu un a la derniere seance; il avait vu le Duc Athan lui donner une bourse. Il avait demande a un autre chevalier le nom de l'homme paye. C'etait le seigneur Vismiir. Lors de la deuxieme seance, Forlong s'asseya derriere le provocateur. Vismiir commenca a crier:
-Le Prince est un traitre! A bas le Prince Berund!
Mais soudain sa voix s'arreta. Il avait senti au niveau de ses omoplates le metal froid du poignard de Forlong. Le provocateur entendit la voix calme du mercenaire:
-Je vous deconseille de crier, seigneur Vismiir...
-Aucun seigneur m'oserait m'attaquer au tribunal!
-Oh, n'oubliez pas que je ne suis pas un seigneur depuis longtemps...J'ai passe ma vie a enfoncer ma lame dans les coeurs des ordures de ton genre. Tu penses vraiment que j'hesiterai cette fois?
Le visage de Vismiir devint tout pale, Forlong dit:
-Alors, on a un accord? Tu te tais jusqu'a la fin des debats...
Le chevalier fit un signe affirmatif de la tete, Forlong mit son poignard derriere sa ceinture, et ecouta les debats qui se deroulaient devant lui.

// J'ai édité mon dernier message car les conditions de la mort de lenglir que j'exposais étaient éronées. Je n'avais pas pris le temps de lire tous lles messages précédents... //



Yrallyn avait quitté la salle le premier jour avec un sentiment d'appréhension. La suite du débat parraissait finalement incertaine. Le seigneur du Val de Ringlos ne doutait pas le moins du monde que son vrai seigneur, quelque soit les décisions qu'il avait prises, oeuvrait pour la Cité du Cygne. Athan était empli de perfidie et d'avidité de pouvoir. Il voulait dirger Dol Amroth.



Assis sur son siège de marbre // corrigez-moi s'ils son autrement //, Yrallyn regardait droit devant lui. Insensible aux cris des autre seigneurs, qui défendant Berund, qui prenant partie de Athan. Le chevalier réfléchissait. Ce qu'il avait pensé la veille lui revint en mémoire. Il se souvint également des dires d'un voyageur qu'il avait pris le temps d'écouter après la reprise de Dol Amroth. Des paroles bien étranges. Il se souvint également de la présence d'elfes.

Peut-être se trompait-il, mais il avait l'impression d'être face aux pièces d'un puzzle qu'il tentait d'assembler. Il lui vint à l'esprit qu'il cherchait peut-être à compliquer les choses, assayant de chercher des problèmes là où il n'y avait que l'avidité. Mais la présence de ces elfes était déroutante. Peut-être un élément important. Des elfes combattant aux côtés de traitres. Un fait étrange. Mais si c'était le seul... Yrallyn releva la tête, reprenant conscience du monde qui l'entourait. Il devait encore réfléchir, être sûr de ce qu'il devait faire.

Berund était assis tranquillement sur son fauteuil de marbre... L'assemblé était assez houleuse... Mais rien ne pressait... Il pourrait ainsi repérer les seigneurs pouvant être acheter...

Ils seraient sûrement parmi les pauvres... Offrir une simple bourse au Comte du Val de Ringlos était dérisoire, a moins qu'elle ne soit pleine de diamant... Et la, si c'était des diamant, a forcerie ce qui avait disparu de salle du trésor, autant les récupérer...

Mais il devait sûrement avoir des traîtres qui n'étaient pas payer... Et aussi quelque chevaliers assez jeune pour s'être laisser emporter par les paroles du Duc...





Elende se pencha près de Berund et lui glissa deux trois mots...

Berund se pencha près de Aleth et lui glissa deux trois mots...

Au final Aleth se leva et parla...

Il parle de nombreuse chose:

De Minas Tirith, de Dol Roth, de la relation des deux cités, du Prince Imrahil, de ses dernier descendant, dont le prédécesseur de Berund, il parla des elfes et des humains, de leur relation dans la cité...

Puis il parla des elfes traîtres... il parla de Maeglin, des elfes noir l'accompagnant, il parla et l'assemblé écouta...

Quand il se rassit, on entendit un mauvais rictus:

« Magnifique Prince Berund, dit l'accusé, vous utilisez votre félonie pour m'avoir... Vous avez envoyez ces elfe dans la cité... Vous m'avez ordonnez de les laissez entrer, et maintenant vous dites que c'est de ma faute... »

Le duc sursauta au mot qui suivit:

« SILENCE.

Ne croyez pas nous avoir... Les preuves sont formelles... La population entière a vu les navires arriver... Je demande d'ailleurs au seigneur Forlong d'aller guérire l'informateur qu'il a eut lors de sa mission d'espionnage... Ah oui Seigneur, profitez en pour vous changer... Cette tenu ne convient guère à un chevalier de Dol Amroth... »

Yrallyn écouta le prince Aleth, Le duc félon et enfin le seigneur de Dol Amroth. Comment Athan pouvait-il infirmer Berund de ces faits? Le débat s'orientait vers les elfes. Le comte du Val de Ringlos y voyait une de clefs du reournement de situation. Le duc Athan n'aurait certainement pas réussi sa prise de pouvoir sans eux. Après un bref moment de réflexion, Yrallyn se leva et demanda la parole qui lui fut accordée. Il dit à l'adresse de l'accusé :

"Je me permet de présenter mon opinion en arrivant l'arrivée du témoin. Lorsque celui-ci dira ce qu'il a vu, vous ne pourrez nier avoir menti il y a de cela quelques secondes. Sauf bien sûr si vous l'avez acheté, ce qui est une éventualité tout à fait envisageable. Mais partons sur le fait que vous avez délibérément menti et que vous avez fait entrer ces elfes rénégats dans notre Citée. Non, s'il vous plait, ne me coupez pas. Vous pourrez réagir mais seulement lorsque j'aurais fini de parler. Merci.
je vais donc présenter des faits qui sont parvenus à mes oreillles de la bouche de quelqu'un en qui j'ai confiance. Cette personne m'a confié que d'autre actes de traitrise de la part d'autres elfes avaient au lieu, notament chez les nains et à Minas Tirith. Additionés à celui auquel nous avons assisté, cela fait une étrange coincidence. J'exclue d'emblée le hasard, et je pense que vous tous partagez mon opinion sur ce point. Réfléchissons à la présence de ces rénégats dans la Cité du Cygne. Le Duc Athan a du passer un accord avec eux pour avoir un soutien de taille lors de la bataille. Soit avec eux, soit avec celui qui les dirige. En effet il me pariat difficile qu'un groupe puisse agir aux quatre coins de la terre du Milieu sans un "guide". Je pense que ces elfes représentent un grand danger. Je vous demande donc, Duc Athan, de nous renseigner sur l'origine des leins qui vous unissaient avec les rénégats, et la raison de la création de ce lien s'il en est un."

Yrallyn se rassit et, la tête appuyée sur ses deux mains jointes, attendit la réponse du Duc Athan. Celui-ci n'allair sûrement pas répondre comme cela aux questions du comte du Val de Ringlos, mais ce-dernier espérait trouver une faille dans la réponse du Duc félon. Yrallyn comptait sur une petite hésitation, tout ce qui pourrait le renseigner, car il était presque sûr de ce qu'il avait dit. Mais après mûr rélflexion, il se dit que tout ce qu'il avait relaté était en grande partie des faits exposés et des déductions logiques.

Que de bruits, que de murmures, que de félonie dans toutes ses paroles et ses coeurs, ses esprits et ses corps.
Elende se trouvait près de Berund, assis tranquillement en train d'écouter tout cette mascarade. Athan était un traître, on devrait lui couper la tête mais il avait sûrement des informations à confier, donc la torture était là, après tout elle avait été inventé pour ça sans doute.
Le sujet tourna sur les elfes et Elende leva les yeux au ciel, les elfes ne sont pas des êtres compréhensibles et en qui on peut avoir une confiance sans faille, ils sont trop imprévisible, trop mystérieux.
Ce sujet le touchait particulièrement et c'est pour ça qu'il se pencha à l'oreille de Berund dès que le seigneur Yrallyn fut rassis.

Ce que vient de raconter Yrallyn est véridique mais je pense que tu dois le savoir. J'ai moi même du essayer de résoudre les problèmes qu'avaient causé les elfes près de la Moria et je peux dire que ce n'était pas chose facile mais il est advenu qu'ils étaient dirigés par un chef dont le nom ne m'est jamais parvenu, mais des seigneurs elfiques sont mort alors que je tentais de résoudre le problème.
Il est à parier que Athan avait un contact avec le chef de ces elfes rebelles qui sont une réelle menace pour tout le monde malgré leur nombre réduit.
Mais tout de même ils sont controlables, chez les nains j'avais réussi grâce à plusieurs personnes à faire en sorte qu'il n'y ait pas de sang qui coule de trop.
Mais je dis ça alors que peut être le savais tu et vu que je ne suis au courant de rien de ce qui se passait ici avant mon arrivée, je te souhaite bonne chance face à ton traître...

Un sourire sur le visage en se redressant sur son siège, Elende observa à nouveau la scène et attendait avec impatience que Athan réponde à Yrallin.

Les debats continuaient, une riviere infinie des paroles ne servant a rien...
Forlong etait assis sur sa chaise, regardant attentivement Vismiir, qui transpirait et etait tendu comme une corde. Soudain les portes de la Grande Salle s'ouvrirent;avec surprise les seigneurs regardaient le chevalier qui gardait la porte tomber en arriere, pousse par quelqu'un qu'on ne voyait pas encore. Forlong, craignant une attaque eventuelle des homems du Duc sortit son poignard. Malheuresement il n'avait pas le droit d'apporter Lunerill au tribunal.
L'homme qui entra etait vetu en noir, il portait un arc sur le dos et une epee a sa ceinture. Il avait assome le garde qui apparement essaya de lui bloquer le passage et entra dans la Grande Salle. Forlong retint son souffle: l'homme qui entra dans la salle etait personne d'autre que...Balfrast le Noir; le mysterieux homme qui leur donna les informations sur les bateaux corsaires au port et se mit au service du Prince. Balfrast souria et se mit devant l'assemblee, avec une lueur dans les yeux. Il demanda avec un ton presque moqueur:
-Puis je prendre la parole mes seigneurs?
Le Prince Berund lui fit un signe affirmatif de la main, en lui accordant la parole. Balfrast commenca:
-Alors, mes seigneurs...Je suis Balfrast, un citoyen de Dol Amroth. J'ai connu la vie sous la tyrannie du Duc Athan. Ses hommes controlaient la ville et ont transforme la belle Cite du Cygne en un camp militaire. Le Duc Athan est aussi responsable de la venue des corsaires et des elfes degenerats...
Des bruits de plus en plus forts se firent entendre dans la Salle.
-Vous ne me croyez pas? Regardez donc de pres ce document ecrit il y a un mois par l'administrateur du port. C'est un homme provenant d'une famille noble, et je ne pense pas que vous doutiez de l'authenticite du document. Le voici:
Balfrast sortit de sa poche un document:

Citation :

-Etoile Noire
-Oeil du Cyclone
- Le Requin rouge
- La peur des marins
- La Mouette grise.
- Le Sabre de la mer
Voici les bateaux entres dans le port de Dol Amroth les dix derniers jours de ce mois. Ils ont recus un permis de stationnement et debarquement dans la Cite de la part du Duc Athan.
Administrateur du port de Dol Amroth, Hevelius Cahusac.

Le Duc Athan cria:
-Ceci n'est pas la verite!
Mais un autre homme entra dans la salle en ce moment. Il devait avoir environ soixante ans, et avait les traits elfiques, caracteristiques aux habitants de la Cite du Cygne. C'etait Cahusac, l'administrateur du port. Il prit le document en main, le regarda avec attention et dit:
-Effectivement, j'ai ecrit ce document il y a un mois.

Le Duc semblait abasourdit... Soudain il reprit ses esprit et déclara:

Oui mon seigneur, je leur ai donné cette autorisation car vous m'avez demandé de le faire... Je l'ai fait, mais voyant ce qu'il faisait a la cité, je me suis dut de militarisé le plus de fidèle de la liberté possible pour...

SILENCE... Cela suffit Athan... Je lève le conseil pour aujourd'hui... Il reprendra demain, quand nous aurons une nouvelle série de document, et la, sénateur, vous ne pourrez plus rien opposer a la culpabilité du Duc...





Berund avait convoqué Balfrast, Reznor, Elende et le Prince Aleth...

L'heure était dure... Il voulait tout les renseignement sur les agents du Duc... Balfrast les lui promit... Aleth lui redonna le soutient le soutient de son père...

L'espoir perduré...

Les preuves s'acumulaient contre le Duc félon et la défense de celui-ci ne faisait qu'en pâtir. Mais avait-il épuisé ses dernières ressoucres? Yrallyn en doutait. Cela aurait été trop rapide et simple. Mais que pouvait-il dire d'autre mis à part que c'était Berund lui-même qui avait donné ces ordres?

Le procèes s'était déroulé étrangement. On avait d'abord assisté à un simple débat qui visait à fixer la peine de Athan, puis les discussions avaient changé de but : le duc était-il vraiment coupable? ne fallait-il pas en fait juger Berund? Mais les preuves apportés par Balfrast avaitdonné l'avantage au Prince. Cet avantage allait-il être gardé? Quel allait être la tournure des événements le landemain lorsque le conseil serait à nouveau réuni.

Yrallyn constata que la question qu'il avait posé avait été ignorée suite à l'arrivée de Belfrast. Il espérait obtenir sa réponse le lendemain.

Le troisième jour s'ouvrit...

Berund était confiant.

Il avait ,les preuve nécessaire pour faire tomber Athan...

La journée commença par le sujet des elfes...

Celui-ci fut plus tard consigné dans les annales de Brethil...

Juste après, vint le fils de Lenglir... Le Sénat fut touché par ce jeune homme, qui a 18 ans devait déjà être Duc et paire de Dol Amroth, tout cela parce que son père avait été tué...

On écouta les derniers mots de défense du Duc...

Puis on écouta le Prince, qui présenta ses preuves...

Forlong s'asseya sur le banc derriere Vismiir, comme toujours. Ce jugement commencait a l'enerver. Il etait un homme d'action, malgre son calme habituel.
Mais il comprenait que parmis les Chevaliers regnaient des regles speciales, et lui-meme, en tant que Seigneur de Dol Amroth, devait les obeir.
Heuresement, le Prince Berund etait un homme sage. Ce n'est pas pour rien que le Roy Mephisto le nomma Prince de la Cite du Cygne. Il s'etait bien prepare pour cette journee de jugement, Forlong savait que quelques hommes qu'il connaissait deja furent envoyes par le Prince afin de rassembler des preuves. Il ecouta attentivement le fils de Lenglir. Ce jeune homme etait courageux, et remplira sans doute les devoirs lui imposes par son poste.
Le Duc Athan parla longtemps, mais Forlong sentit que il commencait a perdre. Les Seigneurs de Dol Amroth avaient maintenant ecoutes les temoignages, et etaient mefiants envers le Duc. Les seigneurs payes par le Athan se tenaient assez silencieux voyant Vismiir assis a sa place avec le visage couvert de paleur et de sueur.
Soudain, la porte s'ouvrit, les gardes laisserent passer quelques personnes. Les Seigneurs de Dol Amroth retinrent leurs souffles, en attendant ce qui allait se passer...

Aucun d'entre eux n'auraient pu prédire ce qui entra.
Pourtant, il ne s'agissait pas que quoi que ce soit d'extraordinaire. Un homme. Simplement entouré de deux gardes.
Pas particulièrement grand, petit non plus, mais ces cheveux trops clairs pour l'âge qu'il devait avoir lui donnait un air étrange. Il était particulièrement déplacé dans cette réunion de seigneurs, avec ses habits délavés, mais il avait l'air de n'en avoir que faire. Un profond désontérêt se lisait dans ses yeux.

Aussi, c'est d'un pas lent qu'il s'avança, dévisageant l'assemblée d'un regard circulaire.

"Messieurs...Je pense avoir la clé de votre...problème...Il se trouve, oui, il se trouve que, par un triste...concours de circonstances, je fut détenu sur le bateau de celui qui commanda cette attaque...Myzka le fourbe.
Or, avant qu'il ne vienne à l'idée de cet homme de me jeter à la mer, arriva un message...Un message assez important pour que le pirate décide de changer de cap, un message non étrangé à cette affaire.
Et ce message, nous l'avons retrouvé."

Ainsi, il brandit le parchemin, puis, le portant devant ses yeux, il déclara :

"Ce message, je vais vous le lire, encore que je trouve cette écriture pleine de fioritures particulièrement horrible...

Dol Amroth est riche et fière. Mais imprenable. Servez mes intérêts, et je servirai les votres. Faites venir une flotte assez grande pour chasser le prince, et la Cité s'ouvrira à vous.
Si vous acceptez, je le saurai, alors vous aurez des nouvelles.

C'est tout."

Durant ce discours, il avait parlé d'une voix nonchalante, parfois elle semblait joyeuse, à d'autres moments, profonde de mystère.
Il prit alors un autre bout de papier.

"Evidemment, cela n'avance personne. Il manque une signature...Mais personne ne mettra en doute que ces deux fragments sont bien une seule et même feuille...
Si quelqu'un veut bien se donner la peine de lire ce qu'il voit sur ce papier..."

Un jeune baron s'avança... Il regarda le papier, leva la tête vers le Prince, vers le Duc, vers Reznor...

Un murmure de haine parcouru l'assemblé quand il révéla le nom: Athan...


Le Duc se leva:

"C'est faux, ceci est un coup monté... Il a falsifier un document et a payer un de ses mercenaires...

Vous vous méprenez, cher Duc, je n'ai pas fait de faux, et ce n'est pas un mercenaire... C'est votre parole contre la mienne. Maintenant c'est au Sénat de décider..."


Le vote aurait lieux...





Les paris étaient en jeu... personne ne pouvait dire qui allait gagner... Allait on gracier le Duc? Allait on le condamner?

Il est vrai que de nombreuse preuve était contre le Duc, mais il s'était bien défendu et avait mit le doute dans le cœur des sujets du Prince...





Ils étaient en train de voter... Tous... Aleth etait confiant dans le Prince... Elende, le magicien ne doutait pas du résultat, car il avait sondé les cœurs des seigneur de Dol Amroth.





Le vote était terminé.

Le résultat allait être proclamer.

Berund se pencha sur le Duc et lui dit:

"Il est encore temps pour vous de faire appel au Roy de Minas Tirith, et d'être jugé par ses soins, en temps que pair de Dol Amroth et du Gondor.

-Je refuse. J'ai accepter la juridiction de ce Sénat durant de nombreuse années. J'y ait moi-même participé, et présenté des coupables. Aurais-je de l'honneur si je refusait d'accepter cette loi?

-Vous êtes un adversaire honorable. Je respect votre choix, même si je préfèrerai que vous allez voir le Roy. Proclamez le résultat. »





Le Duc se tenais sur l’échafaud… il était enfin prêt a mourir dignement…





Aleth se tenais prêt de Berund…

« Enfin une chose de terminé. Je regrette que tout ce soit passer comme ça. Il aurait été plus simple si il avait accepter voter autorité.

-Oui, mais voilà, on n’y peut rien. Vous allez rentrer à Minas Tirith non ?

-Oui, je me doit de rejoindre mon père.

-Je vous fournirez une escorte.