La Bataille Des Cinq Armées

Les armées commencèrent à partir. En tête la cavalerie Rohirrim, suivie par les elfes, les hommes du Gondor et puis les nains à l'arrière. Les chevaux avancèrent au pas, pour ne pas aller plus vite que les soldats à pieds. Firion regarda Eoseld et s'adressa à lui :

"Nous allons enfin nous battre, ce moment est tant attendu.
-Oui, j'espère qu'elle finira bien.
-Nous avons plusieurs miles pour prier."

Les deux hommes sourièrent. Ils savaient que la victoire serait rude et que ce combat serait meurtrier pour toutes les populations. Cette bataille sera un massacre. Theneor ne disait rien, il regardait en face de lui. Elerion ne parlait guère plus mais lui avait la tête baissée. Firion savait que Theneor était fait pour se battre, mais que Elerion, lui ne l'était pas. Il n'aurait jamais dû l'accepter en tant que capitaine de la garde, non pas qu'il ne savait pas se battre ou diriger, non, c'était simplement que le coeur n'y était pas. Firion se décida à lui parler.

"Elerion, je te promet que si l'on gagne cette bataille et cette guerre, tu seras libéré de tes fonctions de capitaine de la garde. Tu pourras retourner commercer à Minas Tirith ou ailleurs. Mereorn sera lui aussi libéré et pourra t'accompagner."

Elerion releva soudainement la tête.

"Je vous remercie, je regrette en effet ce poste. Je m'aperçois que je ne suis pas fait pour les guerres. Les petits combats ne me dérangent pas, mais à cette échelle, si."

Son moral avait augmenté d'un coup, il avait maintenant envie de gagner et il mettrai tout son coeur et sa force dans cette bataille pour que ça devienne une victoire.

Sombre-chêne avançait au pas, comme tous les cavaliers. Il repensa à la comparaison qu'il s'était faite lorsque l'armée elfe chevauchait vers Edoras : un long serpent de jade ondulant paresseusement dans une plaine d'herbe brune et rase. A présent, le nom "jade" ne convenait que pour un petite partie de la colonne. Ce jade était à préent encadré d'argenté.

La capitaine secoua la tête. La plus grande bataille à laquelle il n'avait jamais pris part se préparait, et lui réfléchissait à la meilleur manière de définir métaphoriquement l'armée. L'elfe poussa un soupir de consternation envers lui-même, puis, ayant relevé la tête, il reconnu devant lui un visage familier. Mais Sombre-chêne, malgré ses efforts, ne put se souvenir de l'endroit où il l'avait déjà vu. Il se remémora chaque événement depuis sa venue en Rohan, et eut un déclic. Il avait déjà vu cette homme lors de la première réunion à Edoras, dans la salle du trône. Leurs regards s'étaient croisés, mais la mission d'espionnage qu'effectuait l'elfe les avaient empêchés de faire connaissance. L'elfe ignorait même le nom de ce Rohirrim.

Sombre-chêne talonna Niphredil et vint se mettre à la hauteur de l'archer monté, sous leregard stupéfait des autres cavaliers. Le capitaine lui dit :

Vous souvenez-vous de moi?

// C'est toi Eroald, je vais tenir ma promesse! //

Eroald avait suivit de loin toute la "dispute tactique" (comme avait dit un soldat proche de l'archer monté). Hataldir n'ayant pas été très bavard.[D'ailleurs il est passé où?] il avait changé de cap après avoir fait ses adieu et voulu s'approcher des chefs. Malgré toutes ses tentatives, il n'avait réussi qu'à se mettre dans les troupes d'élites. C'est ainsi qu'il s'était retrouvé après dans la foule des gardes royaux. Il avait remarqué depuis un temps l'elfe qu'il avait rencontré brièvement dans son ancien métier. À son plus grand étonnement, il lui parla. Il lui répondu chaleureusement;

"-Si je me souviens de vous?! Comment vous oublier! Excusez-moi... Eroald, archer Rohirim."Dit-il en lui tendant sa main, attendant une réponse.

[Désolé de la longueur ]

Voila! La plus grande bataille que Bargonno n'a jamais vécu va comencer. Aprés des longues heures à avoir attendu qu'une déssision soit prise, enfin il allait combattre, et montrer à tout le monde de quoi il est capable.

Il sentait une chaleur étoufante qui l'épuisait, qui le rendait un peu plus faible, il aurait sans doute du manger avant la bataille, pour lui donner un peux plus d'énergie en reserve.

Il était avec les gondorien car il ne savait pas trés bien se battre à cheval sinon il se serait placé avec les cavalier du Rohan, et en plus il se sentait plus util à pied. L'apprenti ne voulait pas montrer à l'énemie l'étendu des ses pouvoirs donc il se battra au début à l'aide de son épée et de son baton.

En regardant l'etendu de toutes les armée même s'ils étaient sous nombre ils partaient gagnant car quand le mage regardait dans les yeux de tout ces soldats il voyait du courage et de la vaillance , même s'il y aura beaucoup de perte ils gagneront.

Sombre-chêne ne put s'empêcherde sourire devant l'enthousiasme du jeune Rohirrim. Lui n'avait jamais été comme cela et ne pensait pas le devenir. Il était fait d'un autre materiau. Le capitaine chevaucha un instant à côté d'Eroald sans rien dire, puis finit par répondre :

Je suis très heureux de connaître enfin votre nom. Je suis Sombre-chêne, ancien caporal ranger nouvellement nommé capitaine. Le général Rustor m'a chargé de le remplacer. Vous avez peut-être remarqué cette épée et cette armure que je ne portai pas la dernière fois que nous nous sommes vus? Apparament nous allons combattre ensemble. Ce sera un plaisir pour moi.

Il y eut à nouveau un silence, puis Sombre-chêne reprit :

La guerre... C'est la une bien étrange invention des peuples doués de raison. Puis-je vous demander ce que vous comptez faire après cette bataille?

L'elfe avait posé cette question sans sous-entendus. Il ne servait à rien de faire douter les soldats de la victoires, car si le doute est nécessaire dans certains contextes, il faut parfois l'éradiquer de toute pensée.

Enfin, le général nain était content, ce blahblah était devenus interminable et il était bien content que tout le monde ce soit entendu sur un plan. Il barvardait avec ses trouppe l'harcelant de dévoilé les dépêches ammené par l'elfe.

-Allez Horgeon, donne nous les ces nouvelles! s'enquit un soldat près d'Horgeon
-Non.
-Et si nos contrées étaient attaqués?
-Il vaudrait mieu le savoir une fois la guerre terminer, nous nous inquièterons pour rien
-POUR RIEN? Es-tu totalement givré?

Horgeon lui jetta un regard glaciale, le jeune soldat se rappela qu'il parlait à son général. Il posa les yeux à terre, Honteux.

-De toute façon, que ferions nous? répliqua durement le général. Quittez nos alliés du rohan en plein guerre pour notre propre interet! Ce serais lâche! Alors retourne au rang soldat!

Ce dernier en pleine humilliation bouscula ses collègues pour partir plus loin, à la grande joie d'Horgeon. Le général se dirigea vers Derïn. Un grand sourire aux lèvres.

-Dis donc mon vieux. Ça va faire la troisième guerre que l'ont fait ensemble, dont la deuxième au rohan, mais cette fois, crois-tu qu'on gagneras... Dame chance doit surement être agacer de nous...

Derïn regarda Horgeon en souriant:

-Et oui...Déjà!
Mais il ne faut pas désespérer,ceci est sans doutes la dernière alliance avec les Elfes avant qu'ils ne s'en aillent à Valinor et je crois qu'ils voudront quitter ces terres avec un coup d'éclat.Ils risquent de faire beaucoup dans cette bataille mais nous,Nains,n'avons pas de forces assez conséquantes...

Mais la chance a souvent été de notre côté,ce serait dommage qu'elle nous lâche quand nous en avons le plus besoin!!

Derïn jeta un coup d'oeil à l'étui qu'Horgeon tenait toujours en main:

-Je me demande quand même quelles sont ces nouvelles si importantes pour qu'un Nain sorte de ses mines et ce fasse attaquer par des gobelins qui d'habitude restent tapis dans de profondes cavernes...
J'espère que notre peuple n'est pas en danger!

Mais tu as fait ton choix et je le respecte.

Les armées avançaient au rythme des soldats d'infanterie qui avaient besoin de pause régulières,l'afrontement approchait!

//Pouf,ptit passage en coup de vent...Je reviens mercredi matin normalement //

Firion était toujours en tête des armées. Il ne discutait plus, et à moins que l'on vienne lui parler, il n'avait pas l'intention de discuter. Il regardait le paysage.

*Le Rohan est si beau... Pourquoi devons-nous le saccager dans une guerre ? *

Firion leva la tête vers le ciel, il était bleu, azur, avec un nuage par-ci par-là.

*Il ne pleuvra pas durant la bataille, c'est déjà une bonne chose.*

Puis il se retourna et vit tout le monde derrière lui, des milliers de personnes, hommes, elfes et nains.

*Je suis heureux qu'ils soient tous venus à notre secours et je suis heureux de me battre avec eux. Ce sont de vaillants soldats, tous.*

Il se retourna vers Eoseld.

*Que ferais-je sans toi Eoseld ? Ton mariage avec ma défunte soeur est la plus belle chose qui fut. Je suis content que tu sois à mes côtés, et je suis content que tu es toujours été à mes côtés, comme un ami, comme un frère.*

Puis il regarda Elerion, celui-ci avait toujours le sourire et n'avait pas perdue sa motivation.

*Que fait-il là ? Pourquoi l'ai-je envoyé au massacre, lui qui ne souhaite pas se battre à cette envergure ? Serais-je un monstre ? S'il s'en sort, j'espère qu'il ne m'en voudra pas. Je suis fier de toi, mon neveu.*

Enfin, il regarda Theneor, son unique fils.

*Fils, tu as grandi si vite... Je n'ai même pas eu le temps de m'en apercevoir. Te voir et te savoir à mes côtés durant cette bataille sera ma meilleure motivation. Je mettrais tout mon coeur dans cette bataille pour toi. Si jamais je te vois en difficulté durant la bataille, je serais là pour te servir de bouclier et d'épée, je t'en fais la promesse.*

Firion se retourna et regarda droit devant lui. Il baissa ensuite la tête, vers son mearas.

*Tu as été le meilleur cheval que j'ai connu, je ne t'ai jamais donné de nom car j'attendais de te connaître. Maintenant, je te connait suffisamment et vais te donner un nom : Nahar. Nahar était le cheval d'Oromë, un des Valar. Je te donne ce nom car je suis sûr que tu es son descendant, et tu le mérites.*

Firion se baissa et caressa la crinière de son cheval. Puis il lui murmurra à l'oreille :

"Nahar, c'est ton nom."

Puis il se redressa. A présent, il était paré pour se battre.

Orandar marchait au beau milieu de l'armee. Il y avait tant de soldat.


Pour Orandar c'etait la victoire assuree.


Plusieurs soldats faisaient de grands et terrifiants cris de guerre. Orandar, lui, il se detendait le plus possible.

Un soldat lui adressa la parole.

"Bonjour... ehh... Orandar, c'est sa?"

"Oui, pret pour la guerre jeune guerrier?"

Il avait dit sa parce que la voix de ce jeune homme ne muait pas encore... c'etait encore un enfant, environ 15 ans et il se battait.

"Je vois que tu es courageux de te battre a cette age?"

Le soldat fit un sourire et partit en sautillant.

*Bizarre parfois ces soldats...*

Puis il continua la marche...


\\\\HRP Desole, je suis pressentement sur un clavier Anglais et il y a plusieurs touches qui ne sont pas la... veuillez m<excuser..Hrp\\\\\

Siliviren partit d'une élégante petite foulée, et finit par rejoindre les Rangers Elfes. Ils avaient progressé rapidement et en silence, mais l'entraînement de la jeune Rôdeuse avait été de qualité. Elle n'eut donc pas de trop grandes difficultés à les rattraper, et remonta prestement la colonne pour trouver un officier, qu'elle apostropha avec respect...

-Hola...puis-je vous parler un instant ?

//bah ^^ pour le nombre, j,ai autant aucune idée pour les nains que les elfes!//

La charge de cavalerie avait fait mouche. Ces cavalier était dévastateur, comment avait-il put voter contre. Horgeon s'épongea le front, sa hache pointa le sol puis elle s'éleva vers la mer noire qui se tenait devant eux. Il se mit à courrir en remettant sa lourde hache sur son épaule et se protègeant des carreaux qui se brisèrent sur le métal lourd de son bouclier. Tout les nains le suivèrent dans un cris de joie et de colère réunis. Un sourire se désinna sur son visage, ce qui fit pour effet de faire douter l'huruk devant lui.

Un lancier se dréssait devant lui, il para sa lance avec aisance et la brisa d'un seul coup de hache. L'huruk jeta sa lanche dans un grognement sourd puis dégaina son épée noir. Horgeon lui jetta une coup de bouclier en plein visage et lui enfonça sa hache dans le crâne, lui faisant faire quelque spasme désagréable à voir. Il cria et s'élança vers le voisin qui se battait contre un arbalètier. Il ne jeta qu'un regard au nain pour qu'il comprene sa tactique. Les deux nabots lancèrent leurs bouclier dans les cotes de l'huruk. Il perdis son souffle et se recrocvilla en deux puis le soldat le finit avec un coup de marteau assourdissant. Le général rattrapa son bouclier et tandis l'autre au brave soldat qui se tenait devant lui. Il lui serra la main et envoya un coup de hache dans le ventre d'un fantassin qui allait l'assomer avec sa lourd lame. Horgeon repartit vers le gros de ses troupes. Il aboya des ordres que seul les nains pouvaient comprendre et ceux-ci hochèrent d'un signe de tête. Quelques soldats qui en possèdait, sortait leur arbalète. des carreaux volèrent sur les Huruk, ricochant sur leurs armures ou s'enfoncèrent dans leur chaire. Le général rouge repris place au front. Il se précipita vers Derïn et son frère qui assomaient un autre goblin avant de lui enfoncer une de ses dagues dans le front. Il aimait bien se battre avec ces maitres d'armes, car leurs tecniques et ses commentaires lui remontait toujours le moral. Il lui rappelait des tecniques qu'il avait oublier au fil des années...

-Faudra que je reprenne l'entrainement avec toi, mon grand, Ironisa Horgeon en jetant une hache de jet dans le coup d'un goblin. Je perd mes fines tecniques!

Alors que la bataille allait commencer, Tanarith et son ami Aloïr étaient au milieu de l'infanterie comme prévu. Aloïr était excité comme un débutant malgré son expiérence à Dol Amroth... en réalité c'était sa première bataille en tant qu'apprenti rôdeur.
Devant l'agitation de son apprenti, Ambremage ne put que sourire...

-Aloïr, va donc devant! moi je resterais à l'arrière, au cas où des soins devaient être apportés. Préviens les soldats, s'ils sont blessés qu'ils aillent à l'arrière.

-Oui, Ambremage... Que la chance vous accompagne...

Cependant, alors qu'Aloïr partait vers l'avant, une vague de magie frappa le mage vétu de brun. Parmi les elfes, une forte source de magie était présente. Les elfes étaient des êtres de magie, mais là...il y en avait plus : le fait que Tanarith était aveugle lui permettait d'autant plus de localiser la magie. Il se concentra sur l'endroit précis d'où provenait la magie.
Le mage elfe s'appelait Aqua... Aqua Tar'ylia. Le fait que Bargonno et ce nouveau mage étaient présents rendaient Tanarith plus confiant. Oui, dans cette bataille qui commençait, c'étaient sans doute les Elfes, les Hommes et les Nains qui gagneraient. Celui qu'on appelait Ambremage releva la tête et pris son baton à deux mains. Il focalisa son esprit sur tout ce qui pouvait être maléfique comme un Uruk-Haï ou un Gobelin.

La cavalerie était rassemblée au loin. Elle pouvait voir se battre l'infanterie. Il fallait qu'elle fasse sa seconde charge pendant que les uruks se battaient. Alors Firion hurla :

"Cavaliers du Rohan, cavaliers elfes, chargez !"

La cavalerie se rua à toute vitesse en direction de la bataille. La charge fut aussi dévastatrice que la première mais ils n'avaient pas besoin de faire une percer, il pouvait se concentrer sur la bataille. Firion déguéna Aranrùth et trancha le crâne d'un uruk. Il se retrouva encerclé par les uruks, il renguéna son épée et il prit son arc. Il décocha des flèches en direction des uruks qui le séparaient des autres cavaliers. Puis il reprit son épée et chargea les uruks qui le gênait. Il planta son épée dans le corps d'un uruk, en décapita un autre. Elerion et les autres gardes du roi vinrent l'aider et chargèrent les uruks. Ils furent enfin réunis et ils continuèrent à se battre ensemble. Firion chercha Eoseld et Theneor mais il ne les vit point. Il tranche le bras d'un ennemi puis Nahar le fit tomber et il le piétina. Eoseld arriva prêt du roi avec Theneor. Firion fut soulagé et redoubla d'effort, si bien qu'il fendit la tête d'un ennemi. Des gobelins approchèrent et tuèrent deux cavaliers ainsi qu'un garde royal. Firion décocha deux flèches mais il rata une des deux cible car elle évita la flèche. Mais la créature n'évita pas la flèche d'un cavalier monté, et les autres gobelins n'évitèrent pas les flèches des autres archers. Firion fit un bref signe de tête en direction des tireurs et reprit le combat. Son épée était devenue noire, recouverte du sang des ennemis. Nahar piétina un uruk. Le cheval du roi était très combatif et aida beaucoup Firion. Celui-ci tua encore quelques uruks. Un garde royal tomba au sol. Un uruk-haï s'approcha pour le tuer mais Theneor se rua sur lui et le tua. Le garde monté réussit à remonter sur son cheval qui n'était pas partis. Mais le sort avait décidé qu'il devait mourir, aussitôt remonté en selle, il fut criblé de flèches. Ses assassins subirent la charge des cavaliers et ils périrent rapidement. La bataille ne faisait que commencer.

Au début de la bataille Bargonno regardait les cavaliers charger les uruks et il s'aperçut que c'etait au tour de l'infanterie de combattre. L'apprenti changea de place pour aller en tête des gondoriens c'était mieux, comme il est un mage. Plus les soldats approchaient plus on pouvait voir les différentes réactions des soldats face aux monstres; certains ne se souciaient pas de leur sort, ils étaient prêts à mourir pour sauver les terres du Rohan et leur liberté, mais d'autres avaient peur et Bargonno le comprenait, ce-là était encore jeune et ça devait être leur première guerre. La confrontation du bien et du mal arriva très vite, le mage était armé de son épée et de son bâton qu'il n'utilisa pour utiliser ses pouvoirs, il préférait garder ses forces. Son premier Uruk il le tua en lui tranchant la gorge d'un coup sec et précis, ensuite il utilisa son bâton pour faire tomber ses ennemies et achever à coups d'épée n'importe où sur leur immonde corps du moment que ça les tuaient, il en tua beaucoup comme ça, mais là il vit l'Uruk le plus gigantesque et le plus immonde qu'il vut, il se faisait un malain plaisir de couper les bras de ses victimes et il riait de ses actions ensuite il achevait sa victime et il continua de plus belle et toujours il riait d'un rire diabolique. Après avoir tué un gobelin il décida d'aller tuer ce monstre un dur combat commença, Bargonno passait plus de temps à esquiver les coups de son ennemi qu'à lui en donner, et il trouva nécessaire d'utiliser ses pouvoirs il chauffa l'armure de l'uruk qui fut destabilisé; il donna un coup dans l'épée de l'uruk qu'il lacha à cause de sa douleur et il émit un crit rauque mais puissant et Bargonno fut à son tour destabilisé, l'uruk surmonta sa douleur et donna un coup de bouclier qui fit valser l'apprenti à 3 mètres, l'uruk en profita pour récupérer son épée et quand il allait frapper le mage en un effort Bargonno se défenda avec son épée, mais l'arme de son ennemie glissa sur la sienne qui lui entailla gravement le bras gauche, il lacha son épée de douleur, l'uruk était prêt pour lui donner un deuxième coup, or, là le mage à l'aide de son bâton envoya une lumière si blanche si pure que l'uruk fut ébloui en même temps que les autres qui étaient aux alentours et chaque soldat qu'il soit elfe, homme ou nain en profita pour prendre le dessus, le mage tua donc son adversaire avec son bâton, il lui donna un puissant coup dans sa gueulle immonde et il mourut sur le coup. Bargonno rangea son épée dans sa ceinture et se replia, il ne pouvait pas se soigner seul, il se rappela avoir vu Tanarith :

**Lui seul pourra m'aider, mais où est-il ? peut-être en me concentrant je pourrais le repérer**

Aprés s'être concentré il trouva un pouvoir assez grand mais ça pouvait être qu'un elfe aucun mage autre qu'un elfe pouvait avoir une magie comme ça, il recommença à chercher et le trouva il se dirigea vers lui et quand il le vit, il alla acoura pour lui demander de l'aide :

-Tanarith, j'ai besoin de toi, mon bras est entaillé il faut m'aider sinon je vais perdre une bonne partie de mon sang, Bargonno montra sa blessure qui n'était pas belle à voir, je pense que je ne pourrais plus me servir de ce bras pendant la bataille.

Edit Firion : Ca ne sert à rien de faire d'aussi longs rps s'ils sont d'aussi mauvaise qualité que celui-ci.

Edit Barg' je finirais la correction plus tard.

Tanarith n'avait rencontré que peu d'ennemis pour le moment, en réalité c'était surtout les fantassins Rohirrims qui venait le voir pour être soigner. Il avait déjà du en laisser quelques-uns allonger sur le champ de bataille, ses compétences de guérisseurs n'étaient pas si grande. Il était désormais au centre de la masse de fantassins. Il ne percevait plus où était le mal tant tout était dérangé... en réalité, il ne voyait plus que la masse magique des elfes.

Un point de magie se déplaça vers lui...

C'était Bargonno... Heureusement, le mage brun avait prévu de soigner des blessures un peu plus graves qu'une entaille. Il fit signe à Bargonno de s'accroupir, et examina sa plaie. Une large entaille dans l'avant bras, pleine des mauvaises choses qu'on peut trouver sur la lame d'un Uruk-Haï...Ce qui inquiétait plus Tanarith c'était qu'en cassant le bras de Bargonno, l'Uruk-Haï avait paralysé un nerf... cela s'annonçait difficile. Il fouilla dans sa sacoche et en sortit deux morceaux de hêtre, ainsi que quelques pousses de bois de Fangorn. Il mastiqua les racines et étala la pate sur le bras de Bargonno... Pour la plaie, c'était bon. Maintenant il fallait imobiliser le bras. Il saisit les deux bouts de bois, les fixa sur le bras de Bargonno et pris ensuite une ficelle. Il fixa le tout et le consolida avec une incantation...Cependant le nerf n'était pas réparable immédiatement.

-Voilà mon ami. Cependant, il y a un problème... En cassant ton bras, l'Uruk-Haï a abimé un nerf qui paralyse ton bras. Je pense que tu ne pourras plus le bouger durant une longue semaine... Essaie de faire aller tes doigts? ou de te servir de ta magie à l'aide de ta m...

A ce moment là, deux Gobelins surgirent du ciel. Tanarith saisit son baton, les frappa à la poitrine et les plaqua contre le sol.

-Alors ça ne vous suffit pas de vous en prendre à la maison d'Elrond... il faut en plus que vous vous attaquiez au fils adoptif de ses habitants!

Il fouilla dans sa sacoche pour trouver une serpe et coupa les deux gorges des deux Gobelins.

-Bargonno, tout va bien?


Aloïr se trouvait lui au front, sur les premières lignes, comme à son habitude il avait dans une main son glaive et dans l'autre sa dague. Il avait laissé son arc et ses flèches au campement, autant ne pas s'encombrer!
La bataille commença et Aloïr fit preuve plusieurs fois d'héroïsme. A un moment trois Uruk l'encerclait, lui et un Rohirrim. Il se mirent dos à dos, Aloïr fit signe au Rohirrim de s'occuper d'un des trois Uruk. Il se dirigea vers les deux autres et plongea sur leur jambes, où une brèche dans leur armure mettait leur genou à nu. Il brisa les deux genoux d'un des deux à l'aide de ses deux lames et esquiva une frappe par le haut du deuxième. Pendant que le premier se pliait de douleur il transpersa le ventre de l'autre par derrière avec son glaive puis il acheva le premier en lui tranchant la tête à l'aide de sa dague.
Alors qu'il rengainait ses épées, le Rohirrim tuait l'autre uruk mais il avait pris une entaille sur la cuisse.

-Va voir celui qu'on appelle Ambremage, à l'arrière, il te soignera.

Les deux guerriers se séparèrent.

-Tu crois? répliqua le Nain au général.

T'es encore plein de vigueur pour ton âge et puis je suis sûr que t'as pas besoin de bottes secrètes pour massacrer ces foutus gobelins dans la joie et la bonne humeur!!

Un Rohirrim qui avait entendu la conversation regarda quelques instants les Nains avec un air ébahi: comment pouvaient-ils discuter aussi légèrement alors qu'ils sont au milieu d'une des plus terribles batailles que la Terre du Milieu a connu.Le sang-froid des Nains est plus qu'épatant...

Mais le Rohirrim qui se tenait toujours devant eux ne voyait pas un grand Uruk s'approcher derrière lui et qui se levait son gourdin bien haut en se léchant ses lèvres noires.Il abbatit son arme:

-Att...!!!

Thrór n'eut pas le temps d'achever sa phrase et l'Uruk d'achever son geste...Ses yeux étaient vides et sa tête transpercée d'un tempe à l'autre par un carreau bien ajusté d'un arbalestrier qui fit un clin d'oeil au Rohirrim et leva le pouce.
Le Rohirrim sourit,remercia le Nain et retourna vivement au combat.

Juste après Derïn enfonça sa dague dans l'oeil d'un gobelin qui avait essayer de lui transpercer le flanc avec sa rapière.Puis d'un geste expert,le maître d'armes remontaviollement sa dague et d'un mouvement du poignet il fendit le crâne de son agresseur par l'intérieur.

-Au suivant!!

Bargonno avait regardé Tanarith soigner son bras, le mage ne montrait aucun signe de douleur, même si au font il avait mal, il ne se souciait pas de ne plus pouvoir bouger le bras pendant quelque semaine, il savait qu'avec un seul bras il pourra toujours tuer le plus d'uruks, Tanarith lui dit ce qu'il devra faire pour son bras, mais là il n'avait pas le temps. Quand les deux gobelins arrivèrent il ne les avaient pas vu, et son ami lui sauva la vie et il répondit à sa dernière question:

-Oui ça ira trés bien.

Là ils furent interonpus par un nouvel arrivant, c'est le magicien elfe qu'il avait ressenti au par avant:

-Je vous salus, non ça ira trés bien, je vous propose qu'on se parle plus tard aprés la guerre pour l'instant les soldats on besoin de nous.

//désolé si je déconne un peu, mais c'est de bon coeur//

La stupeur se voyait sur le visage d'Horgeon. Il regardait le maître d'arme de façon à avoir l'air insulté.

-Qu'est-ce que tu veux dire par ''à mon âge''? Tu crois que je n'ai pas la force de commander des hommes?

Il serra son bouclier et sortit une hache de sa cape. Courru de toutes ses forces vers un huruk qui se battait contre un gondorien avant de lui rentre dedans et de le renverser. Une fois au sol, le général le charcuta de toute ses forces, criant avec rage. Ce spectacle fit vomir le solda qui se tenait près de lui. Quand Horgeon en eu finit de lui, il ne restait qu'un bouilli noire. Il se jetta sur un autre huruk qui massacrait le cheval d'un rohirim. Il lui enfonça plusieur coup de hache dans le dos pour être sur qu'il ne se relèverait jamais. Il prit l'épée de son défunt adversaire et la lança dans le bras d'un goblin qui allait tirer une flèche. Son arc se brisa sur le spasme de douleur et des éclats lui revola dans les yeux. Maintenant aveugle, la pauvre créaure titubait en gémissant de souffrance. Le général lui porta un coup d'hache dans les côtes avant de cherchez une nouvelle victime. Trois huruks qui avait assez de ce nain qui massacrait sans aucun ennui. Ils se jetèrent sur lui avec rage. Horgeon les vus venir et se jetta sur lui. Un huruk lui transperça ses bijoux de famille et horgeon enfourcha son cheval et partit au galop. NON Il désarma l'un deux avec une tecnique grotesque mais qui marchait à tout les coups:

-Hé regarde là-bas!

L'huruk se retourna et Horgeon frappa sur son arme et enfoça dans les côtes de son ennemis l'arme mortelle. Il heurta un autre avec son pied et lança une hache de jet sur son casque. Il se retourna derrière lui où le dernier se tenait, l'arme en l'air près à frapper. Il cru que sa dernière heure était arrivé lorsqu'une lourde masse bloqua son coup. Horgeon jeta un regard interrogateur sur la lourde arme qui faisait face à la lame tranchante de l'huruk. Il sourit à son porteur qu'il ne reconnu pas sur le coup. Celui-ci défie l'attaque avec facilité et lui envoya la tête de sa masse sur le crâne de la créature qui craque bruyament, faisant grimacé Horgeon. Il examina plus rapidement son sauveur qui avait un visage très familier au général. Le soldat l'étreignit avec affection. *Horgeam* pensa-t-il, encore sous le choc d'avoir vu la mort en face. Il le prit par les épaule.

-Hé regarde là-bas? S'exclama Eam, d'un ton ironique, Ça marche ce truc?
-Haha, on dirait bien!!

Il partit avec son fils dans la mélée, content de revoir son fils qui se fairait une joie de démolir des créatures avec lui.

-T'as pas reçu ma dépêche, s'exclama le jeune nain, soucieux du messager.
-Oui, mais je ne voulais pas l'ouvrir maintenant.

Eam ne comprit pourquoi son père n'aurait pas ouvrir une dépêche qu'il disait importante, mais il ne rajouta rien, c'était inutile.