Frères d'armes (ouvert à tous les elfes de Gar Thulion)

Alet avait cherché sans cesse l'endroit où il pourrait trouver le général, qui sembalit-il était en train de préparer ses soldats.
Il trouva enfin l'endroit où de nombreux guerriers écoutaient et reproduisaient les ordres et explications du général.
Alet, voyant que deux autres elfes discutaient déjà avec le général, s'approche et dit :
"Je vous salue, seigneur, et je viens humblement vous annoncer que je reprend mes services dans votre armée. Il m'était nécessaire de me soignier et de m'acheter un nouvel équiepement. Mais maintenant, je suis prêt.
Je voudrais savoir si vous daigneriez me reprendre sous vos ordres, et, oserais-je vous le demander, vous accompagner en forêt noire.
Je n'ai connu qu'un seul combat, celui des cinqs armées, et il m'est absolument nécessaires de m'aguerrir au combat."
Alet s'inclina une fois encore et fit un pas en arrière, attendant la réponse du général.

un petit groupe d'elfes avançait vers Gar Thulion. Tandis qu'ils se dirigeaient vers les portes, Sombre-chêne fit arrêter ceux qu'il guidait et scruta le regroupement d'arbres. Il descendit lentement de Niphredil et s'approcha des arbres à pas silencieux mais sûrs. Il franchit les premières rangées d'arbres tordus, et s'approcha de deux elfes. Il reconnut immédiatement le premier, mais la deuxième lui était inconnue. Alors qu'il s'apprcohait d'eux, il s'arrêta net et tendit l'oreille en inclinant légèrement la tête. Il lui avait semblé entendre un bruit, mais peut-être s'était-il trompé. Il haussa les épaules et reprit sa marche. Mais à peine avait-il fait un pas qu'il sourit, revint en arrière, et se planta devant un résineux. Il leva la tête et scruta les ramures, puis regarda le sol et dit :

Bien trouvé.

Alors, des épines qui jonchaient le sol émergea un elfe stupéfait. L'ambassadeur reprit :

Ton camouflage était exellent, mais tu as fait l'erreur de relâcher ton attention lorsque je suis reparti, car tu croyais que je ne t'avais pas remarqué. Ton souffle t'a trahi.

Sans un mot de plus, Sombre-chêne s'approcha de Hataldir et lui dit :

C'est un plaisir de vous revoir Hataldir. Et a qui ai-je l'honneur? ajouta-il à l'adresse de Silvirien.

Hataldir continuait de se promener, faisant un moindre bruit, au moidr soufle du vent, a la moindre hodeur... regardant Silivrien qui faisait de même, se promenant aussi décontracté. Hataldir fut soudain attirer par un bruit derrière lui ainssi que Silivrien, se retournant il vit en arriere plan un des jeunes elfes qu'il entrainait mais devant lui apparu un visage familier, qu'il n'avait plus vu depuis longtemps, celui-ci lui parla et Hataldir lui répondit:

-Sombre-Chêne! quel belle surprise! Ca faisait bien longtemps, trop a mon goût!

il s'approcha puis s'inclina devant celui qui fu son premier equipier et qui etait devenu embasadeur, puis le regarda avec un sourire se, remis droit et lui serra la main.

-je me répete, mais je suis heureux de te revoir!

il regarda derrière Sombre-chêne et revis cet elfe et lui dit:

-tu esmalheureusement tomber sur quelqu'un de très fort, tu avais tres peut de chance de lui échapper, mais je te félicite, tu es le dernier, tu t'es bien défendu!

l'elfe lui sourit puis retourna ver la cour ou se trouvais les autres elfes, Hataldir se retourna ver Sombre-Chêne, puis son regards se posa sur Silivrien qui approchait doucement, et parla:

-je te présente Silivrien, Elnaith de la Maison de l'Arbre et une elfe talentueuse et une super co-équipière, on peut lui faire confiance aveuglément, tu es sur de survivre avec une équipière comme ca.

il regarda les 2personnes qui fu ses co-equipiers et dit:

-presque aussi talentueuse que toi

dit-il en riant:

-Silivrien je te présente Sombre-Chêne, l'actuel embassadeur et ancien caporal des elfes, c'est la premiere personne avec qui j'ai fait une mission, je m'y suis retrouver sans le vouloir! si tu peux te fiers a quelqu'un c'est bien lui!

il posa la voix puis reparla au nouveau venu:

-Quel bon vent t'amène...

il réfléchis a la question qu'il venait de poser, regard Sombre-Chêne celui-ci sourrit, mais celui d'Hataldir disparu:

-Oublie cette question...

Aux portes de la ville Rustor inspectait les chariots. Il avait prévu de faire voyager ainsi son armée. On disait qu'au sud des hommes sautaient de leurs chariots au combat pour engager l'ennemi la ou il se trouvait.
Des bancs de bois avaient été cloué. C'était un assemblage sommaire mais satisfaisant pour un voyage rapide. Il avait prévu d'emmener 500 soldats. En comptant vingts elfes par chariot il lui en faudrait 25.
Il avait fait mettre dedans vingt cape de tissus kaki avec un col en fourrure. L'automne arrivait qui serait suivit de l'hiver. Il savait d'expérience que le froid pouvait à terme constituer un grand ennemi.De plus ces capes camoufleraient un minimum l'éclat des armures.
Quant à lui il avait décidé de porter des vêtements solide du noir du marteau de la colère. En dessous de ceux ci il porterait sa cotte de maille.Du moins si elle arrivait un jour...

Soudain un elfe apparut au loin. Rustor remarqua son équipement typique de la Lorien. Il s'émut tendrement de cette brève allusion à sa dame... Pourquoi le monde était il si complexe?

L'elfe mit pied à terre face au général.

- Je viens porter la parole de Dame Earwen de la Lorien au Général Gelmiron.

- Et le général recevra votre parole...

- La dame a dit : " Des cavernes de Mandos remontera l'espoir. La trinité sera recomposée avant que la forêt noire ne sombre dans les ombres.."

Rustor aggripa un bout de papier et griffona les phrases énigmatiques.

- Merci serviteur de la Forêt. Va en paix auprès de ta dame que nous aimons tous...

Ces quelques phrases jettaient le troubles dans son esprit. Mais au moins il concevait enfin la guerre en Forêt noire comme inévitable. Un autre elfe s'approcha de lui. Alet Dunadan.

- Ta mince expérience plaide en ta faveur Alet, puisse les dieux te protéger dans cette guerre qui s'annonce.

Il lui indiqua une unité dans laquelle il devrait se préparer.

- Nous partirons d'ici à demain.

Sombre-chêne laissa paraître un mince sourire sur ses lèvres, non seulement à cause de la joie qu'il éprouvait à retrouver son ami, mais aussi à cause de la bonne humeur qu'éprouvait ce dernier. L'ambassadeur se savait peu prompt à la bonne humeur et pas des meilleurs compagnons de voyayge par son silence, et lorsqu'il voyait des personnes au tempérament aussi enjoué que Hataldir, il ne pouvait que les envier. Sombre-chêne répondit :

C'est égalament un plaisir pour moi de te revoir. Nous nous sommes perdus de vue après la Bataille des Cinq Armées il me semble. J'ai hâte d'entendre tout ce que tu as vécu depuis, et nous aurons tout le temps de nous parler.

Puis l'ambassadeur se tourna vers Siliviren :

Heureux de vous rencontrer, Siliviren. Je ne doute pas une seule seconde de la véracité éloges que fait notre ami sur vous, et je serai ravi de partir dans cette campagne à vos côtés. Mais avant d'aller plus loin, je dois voir le général Gelmiron. Pouvez-vous m'indiquer où il se trouve?

//HRP deso silivrien je doit activer un peut le rp//

-Il est au palait, il s'ocupe des derniers préparatifs, et nous, nous devons recommencer l'entrainement, les elfes se refroidissent

dit-il en souriant, il se retourna et se dirigea vers les jeunes elfes qui attendaient leur prochain entrainement puis lanca d'un voix forte toujours le dos tourné a Sombre-Chêne et a Silivrien:

-nous aurrons l'ocasion de nous revoir avant le combat, et si ce n'est pas le cas, se sera pendant... Tu auras certainement besoin d'aide sur le champ de bataille

Hataldir ria et disparut dans les rangs des elfes...

Profitant du fait qu'Hataldir, cet incorrigible bavard^^, rejoignait le groupe de recrues, Silivrien put enfin glisser quelques mots pour se présenter à l'ambassadeur. Elle s'inclina courtoisement...

-Seigneur Sombre-chêne..., je suis honorée de vous rencontrer. On m'a beaucoup parlé de vous...en bien, je vous rassure. En fait, il semble que le général soit sorti, car je l'aperçois devant les portes. Veuillez me suivre, je vais vous accompagner...

Elle l'invita à lui emboiter le pas d'un geste élégant de la main, alors que Rustor Gelmiron était en grande discussion avec d'autres Elfes, allant et venant aux alentours de la forteresse. Ils rejoignirent le maître des lieux, et Silivrien s'inclina, avant de présenter son compagnon...

-Monseigneur..., l'ambassadeur Sombre-chêne est de retour, et souhaite vous parler...

Je suivait tout ce petit monde d'un pas engagé et je vis une dame elfique:

Mae Govannen,dame elfe,je suis Vayarë et vous?

J'attendait la réponse de la dame mais pendant ce temps je continuais vers la cité cachée.

HRPG:post court car peu de temps,c'était pour pas être laissé en arrière.

Silvirien fixa un instant cet Elfe vêtu de blanc et d'argent, qu'elle avait déjà aperçu une fois, sortant de la tente du Général. Elle le salua d'un bref hochement de tête...

-Je suis Silivrien Elemmirë, Elnaith de la Maison de l'Arbre. J'aurais aimé bavarder avec vous un moment, mais...vous conviendrez que mondanités et préparatifs de guerre ne vont pas très bien ensemble. De plus, un groupe de jeunes recrues m'attend. A plus tard donc...

Elle se détourna sans plus de cérémonie de Vayarë, pour s'adresser respectueusement au Général...

-Monseigneur, puis-je disposer ?...

Hataldir rejoignit les jeunes recrues, ils étaient tous là en train de discuter de la facon dont ils s'étaient cacher et celle dont ils se sont fait trouver, certains en riait, d'autres moins. A l'approche d'Hataldir ils se turent et se remirent debout, prêt a écouter. Hataldir arriva a quelques mètrs d'eux, s'arreta, mis ses mains croisée dans le dos et parla:

"je voudrait tout d'abord tous vous félicités, vous avez tous eu des très bonnes idées en ayant écouter de discour de Silivrien, malheureusment il y avait a chacun un ou plusieurs détails que vous avez oublier. Mais ca c'est avec l'expérience que vous aurez que vous vous corigerez vous même, de plus vous vous etes retrouver face a 2 elfes déja bien expérimenté, donc vous avez tout les honneurs! maintenant nous allons proceder au prochain entraînement, c'est presque le meme exercice, mais inverser, Silivrien et moi, nous nous cacherons et vous devrez nous trouvez et nous intercepter, pas besoin de dire que la plus grande prudence et le plus grand silence est de mise! car nous aussi, si ont vous voît on vous... interceptera, nous allons atendre Silivrien et quand elle sera la, nous commenceront, nous nous enfonceront dans les bois nous cacher, et quand 30 secondes seront passer vous pourrez commencer a nous chasser! des questions?"

personnes ne répondit

"Donc vous avez tous compris, tant que silivrien et moi ne seront pas tout les 2 mis en déroute, l'entraînement ne sera pas fini, idem pour vous, si vous n'etes pas mis en déroutes."

Rustor se retourna. Sombre-chène était enfin arrivé.Un elfe le suivait avec deux paquets , Rustor les prit tendit qu'il lui tendait avant de prendre la parole.

- Ambassadeur, je suis heureux de vous voir. Nous avons failli attendre...

Rustor avait toujours le verbe un peu cinglant avec Sombre-Chène. Mais comme le savait l'ambassadeur ce n'était que facade.

- En réalité Elnaith nous n'allons plus tarder à partir... Dès que nos retardaires seront près nous prendrons la route. Vous monterez dans le deuxième chariot tandis qu'Hataldir montera dans le troisième, je compte sur vous pour le prévenir. Allez chercher vos soldats et tenez vous près sur la place principale.

L'elfe prit congé.

- Vous voici donc... Quand croyez vous pouvoir partir ?

Silivrien rejoignit Hataldir avec sur le visage, le masque de l'inquiétude. Elle décida d'aller droit au but...

-Bien...les évènements ont l'air de se précipiter. Le Général vient de me dire que nous partions dès que possible, voire même aujourd'hui. Nous avons juste le temps de peaufiner certains détails, avant d'aller nous présenter sur la place d'armes pour embarquer dans des chariots, qui seront notre moyen de transport. Je ne sais pas ce que tu avais prévu Hataldir, mais nous allons devoir improviser. Pour gagner un peu de temps, le plus simple est de partager le groupe en deux. J'en prends cinq...les cinq premiers par exemple...voilà,...donc vous me suivez pour l'entraînement au tir à l'arc, les cinq autres vous allez avec Hataldir pour le combat au contact, épée, poignard, ou autres...Ensuite, nous échangerons. Si quelqu'un a des questions, c'est le moment, sinon, exécution !...

"Tres bien, ce que j'ai prévu avec vous tous est toujours d'actualité, cependant nous n'auront qu'un certain labs de temps, donc ca épice un peut l'entrainement car vous devez aller vite, etre discret et invisible et en plus de ca m'arreter, je vous souhaite a tous bonne chance, l'autre groupe vous ferez de meme apres, des que mes 5 elfes seront sorti des bois vous pourrez revenire quand silivrien aura accepter de vous laisser partir!"

Hataldir se retourna courur ver le bois puis s'arreta net et dit:

"pour les 5 suivants, peut importe dans quel situation sont vos co-equipiers qui sont avec moi seront, tant qu'ils sont hors de bois... je serait dans le bois cacher, et vous devrez me trouver, garde vos armes et vos armures, je pense que vous en aurez besoin"

dit-il en souriant, puis regarda silivrien et dit:

"au fait, pour l'entrainement précédent, il me semble que j ai gagner, j en ai trouver 5 et vous quatre, n'en voulez pas trop a Sombre-Chene!"

il se retourna courant ver le bois et une derniere phrase parvint aux oreilles de Silivrien:

"Vous m'offrirez a boire quand tous ca sera fini!"

sur ce il disparu, et 1minutes 30 plus tards les 5elfes se rendirent dans le bois armes en mains...

- C' est un magnifique enfant Nerdanel, complimenta Anilië, ses yeux ont l' éclat de la lumière des arbres d' antan ! Que les valar veillent à lui réserver le plus agréable destin qui soit.

- Approche donc Laurelin, mon fils, demanda Anilië en lui déposant délicatement le nouveau né dans les bras, n' est-il pas adorable ?

Laurelin ne répondit pas mais se risqua à déposer un baiser sur le front de l' enfant sous les yeux attendris de sa mère.

Bien des années plus tard ...

l' attaque fût aussi soudaine que terrible et l' embuscade des orcs avait failli décimer la totalité de la patrouille elfe ....
Laurelin pleurait aux côtés de son père qui venait de fermer définitivement les yeux d' un elfe adossé contre le tronc d' un arbre, le corps transpercé de trois flèches empenées de noir. Le cadavre d' un Uruk-hai gisant tout près.

- Rejoint maintenant les cavernes de Mandos au dela des cercles du monde, murmura Anilië, mon coeur saigne car tu étais mon meilleur ami. J' étais à terre, désarmé et l' Uruk-hai s' appretait à m' assener un coup fatal et sans ton intervention pleine de courage, c' est mon esprit qui errerait à présent sur les mers éthérées à la recherche des portes de l' attente. ton courage et tes exploits seront longtemps chantés sur ces terres que tu aimais tant.

Puis regardant son fils, il lui dit :

- Laurelin, il n' est jamais agréable d' être le messager d' une si funeste nouvelle, mais trouve son fils Linir et préviens le que son père gît là.

Bien des années plus tard ...

- S' il te plait Laurelin, raconte moi encore une fois l' histoire de mon père lorsqu' il terrasse l' Uruk-haï, demanda la jeune elfe, une derniere fois, la toute derniere promis.

- Il suffit !!, gronda Nerdanel, cesse d' importuner notre hôte. Tu sais bien qu' il est temps pour lui de repartir. Il est appelé au loin pour aider les nôtres à combattre et que son temps est compté.

Puis, s' adressant à Laurelin, elle lui dit :

- C' est à chaque fois un veritable plaisir de te reçevoir,

Elle fit une pause puis reprit tristement :

- Mon coeur me dit que la guerre ne te laissera que peu de répit à l' avenir et s' il ne me trompe pas, il se passera beaucoup de temps avant que tu ne nous revoie ma fille ou moi. Remercie chaleureusement tes parents pour l' amitié et l' aide qu' ils nous ont apportés. Prend bien soin de toi et que les Valar te préservent du moindre des malheurs.

- De merci, il ne saurait être question, répondit Laurelin, Ma mère chante les louanges de la maison des Elemmirë chaque jour et mon père pleure toujours la perte de son ami et pour ma part, c' est grâce à lui que je peux encore partager rires et pleurs avec mon père. C' est un honneur que de vous compter parmis nos plus fidèles amis.

- Approche petite, proposa Laurelin en se tournant vers la fille de Nerdanel, cela n' est nullement une corvée pour moi que de te narrer les exploits de ton père, bien du contraire, car il me plait de le faire autant de fois que tu le desireras.

Bien des années plus tard (Aujourd' hui)

Laurelin, s' émerveillait d' arriver enfin à Gar Thulion il scrutait les alentours en restant encore une fois à la traine et c' est en partie caché par les autres elfes qu' il regardait s' avancer la nouvelle venue et le choc fût grand lorsqu' il cru reconnaître la fille de Nerdanel.
Il n' avait pas oublié ses yeux vert émeraude mais se pouvait-il que la petite adolescente de dix sept ans, friande de toute les histoires relatant les hauts faits de son père se soit transformée en cette jeune femme grande et athletique aux long cheveux auburn ?
Lorsqu' elle leva la main pour indiquer à cinq elfes de la suivre, le doute n' était plus possible. Il reconnu immédiatement la bague d' argent sertie de cristal noir qui brillait à son doigt, bien le plus précieux de la maison des Elemmirë, et dont le frère avait hérité à la mort de leur père.
Il faillit crier le prénom de l' elfe habillée de vert et de brun, mais bien que difficilement, il se retint, car il n' était pas temps, la jeune femme assumant ses prérogatives en préparation des combats à venir.
Laurelin se tint coi, décidé à attendre un moment plus propice pour de si inattendues retrouvailles avec Silivrien aux yeux émeraudes, la fille du meilleur ami de son père.
Mais un des elfes avec qui il avait conversé sur le bateau le héla fortement :

- Alors Laurelin, fils d' Anilië, comment trouves-tu Gar Thulion ??

Plusieurs regards se tournerent alors dans sa direction attendant sa réponse et Laurelin, mal à l' aise jeta un regard vers Silivrien se demandant si elle allait, elle aussi, se retourner ...

Sombre-chêne suivit Silvirien sans un mot, et lorsqu'il arriva devant le général, il la gratifia d'un sourire, avant de se retourner vers son superieur et de regagner son impassibilité :

Mon général, je vous prie de m'excuser de mon absence après la Bataille des Cinq Armées. Mais j'avais besoin de me ressourcer. Mais je...

L'ambassadeur raconta alors brièvement son voyage vers Gar Thulion, puis son départ vers Minas Tirith.

...et lorsque j'arrivai, une armée venant du Sud se dirigeait vers la Cité Blanche. Je suis parti accompagné de quelques gardes pour tenter de parlementer ou du moins de tirer quelques renseignements. Mon premier objectif, comme vous pouvez vous en douter, ne fut pas atteint. En revanche j'ai appris qu'ils venaient chercher quelque chose ou quelqu'un à Minas Tirith. Tandis que les hommes se sacrifiaient pour me sauver, je revenai parler de mes trouvailles à Radamanthe. Lorsque les Hardrims sont arrivés, une violente bataille s'est engagée de laquelle le Gondor est heureusement sorti vainqueur, même si quelques points restaient obscurs comme la réelle raison de leur attaque. Mais je n'ai pas pu en apprendre plus car je devais revenir ici au plus vite, tels étaient vos ordres. Malheureusement j'ai été blessé durant la bataille, et si je reprend peu à peu mes forces, je crains de ne pas être opérationnel pour la guerre qui s'engage.

Sombre-chêne s'arrêta et attendit la réponse de Rustor.

Hataldir regard s'en aller l'avant dernier des jeunes elfes, celui-ci avait compris la ruse et l'avait donc laisser partir sans rien dire pour ne pas qu'il se fasse lui-meme repere. il s'en fit donc, jouant la proie et le prédateur, le dernier allait etre aussi facile que les précédents, Hataldir en avait assomer un, bailloner 2autres 1 a qui il ne fit rien, comment reviendrait le suivant? Hataldir se déplacait comme une ombre, et préferait la hauteur des arbres, il appercu le dernier, sa lame sortie et prete a etre utiliser, mais celui-ci ne la tenait pas bienet ne faisait presque pas attention a ce qu'il l'entourait, Hataldir tomba derrier lui, le desarmas avant qu'il ne puisse faire quoi que se soite et lui mi une pointe de fleche sur la gorge et Hataldir dit:

"Fin de l'entrainement, tu es morts..."

il le poussa devant lui pour qu'il rejoigne les autres et attendis les 5 suivants qui etait a l'entainement avec silivrien...

Rustor se doutait que l'ambassadeur blessé ne lui serait pas d'une grande utilité...Malgré tout il disposait d'un certain charisme qui plaisait aux soldats et qui redonnait courage...

- J'ai des combattants en nombre mais je manque d'officier. Je ne veux pas faire de vous une machine à tuer... Vu votre état de forme je crois qu'il me faudra vous confier une tâche moins éprouvante... Je crois que je vous chargerai de la logistique jusqu'à ce que vous soyez mieux en forme...

Il aurait mieux aimé un guerrier en pleine possesion de ces moyens mais il aurait également préféré ne pas devoir combattre... Malgré tout il se demandait qui allait bien pouvoir mener la charge à ses cotés ... Tout d'un coup Gelmir et Gwindor lui manquèrent terriblement.

Je m'approchais du général et lui dit d'une voix basse:

Je suis désolé de mon absence,je vous expliquerez celà plus tard.

Puis d'un ton froid je lui annoncai:

Berund a été tué par le Duc Félon.

je fis une pause de quelque instant pour reprendre:

Je suis prêt à combattre...Les elfes rénégats ne souilleront pas de leur injustice et de leur traîtrité,la belle forêt noire...

Je regardais le général et dit:

Je vais m'entraîner avec les elfes au tir à l'arc.

Sur ce,je laissai Rustor pour rejoindre Silivrien...J'arrivais à sa hauteur et je lui dit:

Dame Silivrien,j'aimerais me remmettre un peu le tir à l'arc car celà fait quelques jours que je n'en ai pas fait...

Pendant que ses recrues se regroupaient à bonne distance des cibles, Silivrien ruminait en pensée cette affaire de pari bêtement interrompu…

-Et l’autre gros malin qui en tire gloire et voudrait que je lui offre à boire ?…Le seul coup que je vais lui payer, ce sera un coup de gourdin bien placé, histoire d’effacer ce sourire suffisant qui lui barre le visage…même pas fichu de me tutoyer plus de trente secondes…A-t-il un cerveau atrophié au point que chaque nouvelle idée vient chasser les précédentes ?…Et pourquoi Sombre-chêne est-il venu se mêler de cette affaire ?…Il y a vice de forme, ça ne compte pas…

L’arrivée de Vayarë lui remit les pieds sur terre. Elle lui indiqua d’un geste son approbation…

-Je vous en prie, choisissez une cible…

Elle se rappela soudain qu’il y avait des choses bien plus importantes que certains paris stupides, et que des évènements capitaux pour l’avenir de la Terre du Milieu étaient imminents. Au fond, ses petites taquineries avec Hataldir ne faisaient que mettre un peu de fantaisie au cœur de la gravité des circonstances, et le Caporal était un bon compagnon. Elle revint donc à ses recrues, joignant le geste à la parole…

-Bien…je suppose que vous savez tous tirer un minimum à l’arc, mais je vais vous rappeler la technique de base. Vous prenez une flèche dans votre carquois, vous l’encochez, vous armez…attention, il ne s’agit pas de tirer bêtement sur la corde, il faut faire corps avec l’arme, entrer dedans, autant en poussant avec un bras, qu’en tirant la corde avec l’autre,…jusqu’à l’amener à votre joue…,vous alignez votre œil directeur avec l’axe de la flèche, puis la cible…oui oui, la cible minuscule là-bas au fond,…ajustez aussi en fonction de la distance et du vent,…et quand vous êtes prêt, vous bloquez votre respiration, et vous lâchez…

Le trait de Silivrien suivit une superbe trajectoire, pour venir se planter en plein centre de sa cible. Plutôt satisfaite, elle allait commenter son tir, lorsqu’elle entendit une phrase prononcée par un Elfe non loin de là, qui la figea littéralement sur place…

-Alors Laurelin, fils d' Anilië, comment trouves-tu Gar Thulion ??

Elle se retourna, pour apercevoir Laurelin, qui l’observait avec le pus grand intérêt. Sa première intention fut de courir vers lui pour se jeter dans ses bras, mais elle se rappela soudain qu’elle n’était plus une petite fille, et qu’elle avait un statut à assumer, d’autant que de nombreux témoins assistaient à la scène. Ce fut donc d’une démarche souple et majestueuse qu’elle le rejoignit, avant de lui donner une sobre accolade, dont la sagesse fut démentie par son sourire radieux, et son œil pétillant…

-Laurelin…je…ah ça, quelle surprise ? Mais que fais-tu ici ?

Alet Dunadan était toujours autant en colère contre lui, s'être ainsi laissé berner.
Il se permit en voyant le caporal revenir, avec le jeune elfe, qui avait lui aussi lamentablement échoué, d'aller lui parler.
"Caporal, j'aimerais vous demander de m'entrainner plus longtemps.
Je n'ai pas peur de me battre, j'ai du courage et des tripes.
Je sais me battre, j'ai appris à maîtriser parfaitement mon épée, et j'ai même appris des rudiments de stratégie militaire. Mais malheureusement, mon pire défauts, qui est de taille est mon manque d'expérience. Je n'ai vécu qu'une seule bataille et je suis encore très jeune.
Cette bataille ne sera pas banale, et je pense que cet armée est très peu préparée, ou du moin est inexpérimentée. Je ne veux pas être un fardeau pour les autres parce que je serai trop faible ou que je ne saurai pas quoi faire devant les dures situations, qui j'en suis sur m'attendent.
C'est pourquoi, pour palier à ce manque d'expérience, je vous demande de me donner des entrainements particuliers. Je m'entrainnerai toute la nuit. Mes longs voyages en solitaire avec mon cheval m'ont appris à être endurrant et je ne crains pas la fatigue. Je veux cependant que vous m'appreniez un maximum sur tout le temps qui nous reste et qui nous est disponible. Acceptez-vous de m'aider?"

Hataldir regarda ce jeune elfe qui en voulait, il le regarda et sourrit:

"Je veut bien t'accorde plus de temps, mais malheureusment, je n ai pas le temps dont j'aurait souhaiter, car je doit m'ocuper de tout ce petit monde..."

montrant les autres elfes qui maintenant écoutait et s'approchait:

"mais je veut bien vous accorder une séance de rude entrainement, mais avant tout, je vait te dire ceci..."

il commenca a marcher et a parler devant tout le monde, mais son regards restait sur cet elfe:

"peut importe votre technique, peut importe vos entrainements, ce que vous devez avoir en tête, et dans le coeur, c'est la capacité a se dire que ce n'est pas au combat que vous devez mourrir, ni sous un ordre. Vous devez vous dire mes amis, que vous avez encore votre temps a vivre dans ce monde, vous avez quitter vos familles, vos femmes vos enfants et quand viendrait meme que vous n'ayer pas ou plus de famille, la vie veut que vous en fondiez une, vous avez quitter tout ca pour venir vous battre, ici, aux coters de ceux qui ont fait le meme choix que vous, le choix de défendre la terre de vos encetres, et défendre ceux que vous aimez et ceux que vous aimerez. Et ce choix est le bon, mais dite vous que ceux qui vous ont vu partir, pour venir vous battre, espèrent un jour de vous vor revenir saint et sauf ! Battez-vous pour vous bien sur, mais surtout pour ceux qui vous aimes! Si vous avez cela en tête, je vous reverais tous ici, apres la guerre saint et sauf!"

il se retourna ver l'elfe et lui dit:

"l'expérience... tu ne la gagneras qu'en plein combat, et avec le temps! aller, prépare toi a me montrer ce que tu sais faire... Vous autres, entrainer vous avec un autre,je suis attentif et je vous regarde"

Hataldir sortit son épée la mis sur l'épaule et dit:

"je t'attends..."

Sa machoire restait déséspérement bloquer et refusait de se mouvoir, impossible de prononcer le moindre mot. Laurelin déglutit difficilement, puis tapota la garde de son épée en fixant le sol.
Puis, reprenant contenance, il releva les yeux et observa encore un peu gêné la jeune femme qu' il s' amusait à effrayer jadis de ses réçit pleins de dragons et de batailles épiques, mais elle en redemandait.
Son visage avait gardé sa délicatesse d' autrefois mais à présent, ses traits s' étaient légèrement durçis et les quelques petites rides qui lui barraient le front donnaient une impression de beauté allié à une froide détermination. On pouvait deviner, sous sa démarche aérienne, une force, sorte de puissance cachée qui jaillirai à la moindre sollicitation. La frêle jeune fille avait laissé place à une véritable guerrière et Laurelin en était impressionné.
Il savait le moment peu propice aux épanchements, il s' inclina donc brièvement en lui adressant un clin d' oeil rapide et articula enfin quelques mots :

- Je suis venu en ces lieux pour y trouver la guerre, Dame Elemmirë, mais le destin ne se trompe que rarement lorsqu' il vous prend dans sa toile et il recèle bien des surprises, votre présence ici en est la parfaite illustration, répondit-il en souriant, et si vous l' acceptez, l' épée de mon père serait fière de se battre aux côtés de votre long poignard à tête de cygne.

Sensible à la gêne de son vieil ami, Silivrien fit de son mieux pour garder une contenance distante, convenant au lieu et aux circonstances...

-Toute aide est la bienvenue, et particulièrement celle d'un ami. Mais bien que j'aie depuis peu quelque pouvoir ici, en tant qu'Elnaith de la Maison de l'Arbre, je ne suis pas la personne à laquelle il faut faire allégeance. C'est le Général Gelmiron, qui seul peut accéder à une telle demande...que bien sûr j'approuve de tout mon coeur. Dans l'immédiat, je dois m'occuper de l'entraînement de quelques recrues, mais j'espère que nous aurons ensuite le temps de bavarder plus longuement...

Elle lui rendit son clin d'oeil, avant de s'éloigner pour rejoindre les jeunes Elfes qui pendant ce temps, s'étaient acharnés sur leurs cibles avec des fortunes diverses...