Chapitre 2 : Là où le Soleil ne pénètre pas.

Chaque elfe s'agitait à la tâche, dénouant les cordages et faisant sauter les clous qui liaient les différentes parties des machines entre elles. Mais comme l'avait très justement pensé Alet, cela n'impliquait pas que ces machines étaient irréparables. Eleriol se tint immobile devant un des engins et la la tête posée sur sa main contempla une des pièces d'artillerie. Il fallait rendre impossible la construction d'une catapulte à partir des différentes parties qui gisaient sur le sol. Et pour ce faire un seul détail aurait suffi. Finalement l'ancien ranger s'avança et saisit une pierre avant de s'agenouiller devant une planche de bois. Sous le regard surpris des autres elfes, il saisit un des clous et le planta à l'endoit même où il était auparavant, mais sans rien entre la tête de la pointe et le bois. Le clou s'enfonça au maximum et Eleriol assena un coup plus puissant que les autres sur la pointe qui rentra dans la planche en créant plusieurs petites fissures.

Ainsi, si les rénégats enlevaient les clous, il leur serait impossible de les remettre au même endroit sans risquer d'âbimer encore plus le bois et d'augmenter la fragilité de la catapulte. Eleriol répéta l'opération sur les autres pièces et fut rapidement imités par les autres membres de l'assaut. En moins d'un quart d'heure, les catapultes furent rendues définitivement inutilisables. Rejouis par la réussite de l'opération, les elfes relâchèernt leur attention, et ceci fut sûrement la cause de ce qui allait suivre. Un rénégat gravement blessé qui s'était fait passé pour mort approcha en grimaçant son sor de sa bouche, et après une inspiration, souffla.

Le son, malgré la faiblesse du souffle fut puissant. Tous les regards se tournèrent vers le fautif qui reçut une flèche entre les deux yeux. Mais peu importait, car il avait réussi. Les elfes de gar Thulion se regardèrent avec affolement et s'apprêtèrent à se replier, mais attendirent toutefois l'ordre qui ne tarderait qûrement pas venir.

Eleriol, de son côté regarda Silvirien et l'elfe que ses archers mençaient. Il lui fallait prendre une décision rapidement : abandonner l'inconnue ou la ramerne au camp? Le temps leur était compté.

Silivrien partit d'un rire clair, en regardant l'Elfe inconnue et son élégant animal...

-Je crois pas que tu sois en position de menacer qui que ce soit. Je n'aurais qu'un geste à faire pour que ton âme vogue vers l'ouest, et que ton superbe animal finisse en descente de lit. Alors je te conseille de...

Elle fut interrompue par le son d'un cor, et un cri de surprise. En se retournant, elle vit l'un des guetteurs s'écrouler avec une flèche entre les deux yeux. Il devenait urgent d'évacuer les lieux. Elle donna quelques ordres brefs...

-Tout le monde se replie...quant à toi, fais ce que bon te semble. Si tu nous suis avec ton tigre, nous reprendrons notre conversation une fois à l'abri. Si tu restes...je ne suis pas certaine que les renégats prennent le temps de te questionner...

Silivrien réactiva sa vision nocturne et prit la tête de sa compagnie en direction du campement...

Gelmir rentrait au camp en même temps que la troupe de l'Elnaith. Il était heureux car ils avaient effectué un pas décisif dans la guerre. Privé de puissance de feu les renégats devraient attendre sous le pillonement de Gar Thulion attendant sans cesse l'ultime attaque. Le coté psychologique jouerait un grand role dans cette guerre et il éspérait sincèrement avoir marqué un point important.
Entendant le son du cor de l'autre coté de la forêt il fit se hater son groupe.
Se glissant parmi les ombres de la forêt il se dirigea vers le camp suivit de ses hommes.

Je divaguais dans le camps en attendant des nouvelles de cette petite communauté partit chercher les catapultes pour les détruires.Pour le moment aucunes nouvelles,l'endroit était calme,trop calme à mon gout....Mon frère somnolait encore,il fallait le laisser dormir...Je fit le camp de long en large plusieurs fois avant de revenir ou dormait mon frère.Je sortis mes deux lames et les aiguisa.Au finale,elle était tranchante,je sortis ma dague d'acier,elle ne me servait guêre,je pourrait bien la laisser en dépot vente dans ma boutique.Bref,j'attendait impatiemment et de pied ferme une nouvel attaque,tout était prêt...

HRPG:C'est juste pur poster plus fréquemment pour pas faire une énorme post d'un coup,même si il se passe rien....

- Je vous suit ! Prétez moi seulement une épée et je me battrait a vos côté, avait crier Kairi a l'Elnaith qui se dirigeait vers le camp elfe.

Elle rattrapit l'Elnaith. Quand ils eurent retrouver le camp, plusieur soldat se mirent en place. Elle vit un homme qui attendait l'attaque auprés d'un autre homme qui dormait. Puis elle se retouna vers Silvirien:

- Matenant c'est a vous de choisir ! Soit vous accepter mon aide en me prétant une épée, sois vous la déclinait, mais sachez cela : je sais me battre, et je suis même préte a vous défendre en cas de necésiter.

Un long s'abbatit entre les deux elfes. Un silence qui pourrait tout faire changer.

Laurelin, du haut de la catapulte qu' il commencait de détruire s' arreta brusquement pour contempler le visage de l' elfe avec lequel il venait de combattre.
Jeune au demeurant, il avait perdu son rictus de haine. Ses grand yeux toujours ouverts, tournés vers le ciel, fixait l' éternité. Son corps étendu sur le sol dans une position de souffrance ressemblait à une marionnette dont le marionnetiste aurait, d' un seul coup, laché les fils.

- Qui était-il ? D' où venait-il ? Comment avait-il échoué dans cette funeste clairière ? se demandait-il.

Il se posait mille questions. Le plan de Silivrien avait pleinement réussi, l' attaque fût foudroyante, mais l' euphorie de cette victoire laissait peu à peu place à la tristesse. Elle envahi son coeur et des larmes coulaient à présent le long de ses joues.

- Quelle mauvaise farce en vérité !! se dit-il, j' entend le rire démoniaque qui anime l' esprit de Melkor, errant aux confins du monde dans les limbes du néant, mais ressentant que le peu d' elfes suvivant encore en terre du milieu s' entretuent comme de vulgaires orcs et ajoute à la gloire de son oeuvre maléfique.

Brûler !! Ho oui, il avait réclamé de tout brûler, provoquant l' incompréhension de ses compagnon mais qu' y avait-il de plus purificateur que de tout faire flamber dans cette clairiere maudite, et consumer la honte qu' il éprouvait en voyant cet elfe qu' il venait de tuer et qui le regardait de ses yeux morts, vides, accusateurs ?

Il descendit de l' engin qu' il avait, de rage, fini par totalement défoncé et s' inclina sur la dépouille du jeune elfe qu' il venait de vaincre, approchant sa main, il lui ferma les yeux.

- De frères, nous sommes devenus adversaires, constata-t-il tristement, les graines de haine semées par Morgoth semble devoir continuer à éclores encore et toujours et ce, même dans le coeur des premiers enfants d' Iluvatar.

Se relevant lentement, il suivi l' ordre de l' Elnaith de la maison de l' arbre qui réclamait le repli vers le camp, admirant, au passage, la volonté farouche manifestée par la nouvelle venue qui proposait son aide à Silivrien.

Les derniers poursuivants avaient été repoussés par un tir de barrage venu des tranchées. Les Elfes de Gar Thulion n'avaient plus désormais à redouter les catapultes, et le calme ne tarda pas à règner sous les frondaisons de la Forêt Noire. Interpelée par Kairi, Silivrien prit le temps de l'examiner de haut en bas avec une légère moue dubitative, avant de s'asseoir en l'invitant à en faire autant, d'un geste élégant de la main...

-Hmmm...bon, le problème vois-tu, c'est que nous sommes des Elfes, et nous combattons...des Elfes. Et alors que nous venons de livrer une rude bataille, tu déboules comme ça avec ton tigre, sans savoir qui nous sommes, qui sont nos adversaires, et quelle est notre cause. Là-dessus, tu affirmes vouloir nous aider. Je ne demande qu'à te croire, mais ne trouves-tu pas que ta démarche est un peu légère, voire même suspecte compte tenu des circonstances ? Mets-toi un peu à ma place...ce serait un bon moyen pour infiltrer un espion dans nos rangs non ? Tu dis vivre ici...Ignores-tu que cette partie de la Forêt Noire est devenue le refuge des renégats ?

-Oui je vous comprend votre méfiance, mais sachez tout d'abord que je n'ai aucune mauvaise attention envers vous. Pourquoi je n'était pas au courant que ces " elfes renégats" était ici ? Tout simplemnt car je vit a peu plus loin dans la forêt noire. Pourquoi vous aidez ? Car c'est vous que que j'ai rencontrer en premier, c'est à dire avant les renégats, et vu ce que vous m'avez raconter sur eux, je pense que si je les avait rejoint; ne n'e serait plus de ce monde.

Puis aprés avoir termina sa réponce, elle s'assit a coté de Sivilrien et rajouta:

- Si vous ma'ccepter dans vos rang pour cette battaille qui se prépare, je vous promet de faire mes preuves, et aprés, a vous de jugeait. Si vous me laisser participer a cette battaille, jessairai de vous prouver que je suis digne de confiance.

Les engins n'étaient pas encore suffisament endommagés lorsque le retour vers le camp fut sonné. Peu importe les risque à présent, il étaient quand même repéré. Alet eut un instant de folie et mit le feu aux engins.
Puis il se dit que de toutes façons, si les renégats ne voulaient pas tous mourir, ils éteindraient les feux. Il leur fallait partir et tuer un maximum d'entre eux.

Alet eut un accès de rage lorsqu'un des plus jeunes volontaires d'entre eux, un jeune garçon intelligent et ouvert tomba à ses pieds, percer de trois flèches.
Alet poussa un cri, et fonça l'épée à la main dans les fourrés. Etonnés par cette réaction, les renégats restèrent pétrifiés et Alet pourfendit trois d'entre eux puis rejoint le combat.
Là, il fit éclater deux cervelles, coupa au moins 5 membres et perça en tout une dizaine d'ennemis. Sa douleur et sa rage étaient sans limites. Mais une fois que le premier combat fut terminé, il se calma, la route serait encore longue et pleine d'embuches vers le camp...

Silivrien avait écouté attentivement les explications de Kairi, hochant la tête à plusieurs reprises comme si elle approuvait ce qu'elle venait d'entendre...

-De nombreux Elfes sont partis pour l'ouest, mais certains, par amour de la Terre du Milieu, ont préféré demeurer dans nos antiques Royaumes, afin d'aider les Humains à en devenir les nouveaux maîtres. Sache pour ta gouverne que les renégats prônent le retour de notre suprématie, et l'élimination ou l'asservissement des races supposées inférieures. C'est aussi simple que ça. Nous ne pouvons pas le tolérer et ce n'est pas la volonté des Valars. Voila pourquoi nous combattons. Si tu es prête à épouser cette cause, tu peux te joindre à nous. Fais tes preuves, et si par la suite le Général Rustor Erumeglos l'approuve, tu pourras intégrer l'une des Maisons de Gar Thulion. Qu'en penses-tu ?

La retraite s'était presque faite dans le calme. Les archers de l'Hirondelle disposés par Sombre-chêne avaient effectué admirablement leur tir de couverture. Même si cela ne sembalit plus necéssaire, le marteau de Colère et la Fleur d'Or se précipitèrent hors des tranchées pour protéger les elfes qui revenaient, et protégés par leurs boucliers, ils revinrent à reculon vers les tranchées. Il se détendirent seulement lorsque tous furent à l'abri dans les fossés, même si les seuls rénégats qu'ils avaient vu étaient ceux abattus tantôt par les flèches de Gar Thulion. Dans les tranchées, chacun était revigoré par cette opération réussie, et les violents combats qui l'avait précédé étaient quelque peu effacé de la mémoire, peut-être à tort.

Mais Sombre-chêne ne faisait pas partie de ceux-là. Même s'il avait vu arriver avec soulagement ses frères, il optimisait la situation. Une manche venait d'être gagnée, mais ce n'était que le début de la guerre, les rénégats pouvaient très bien reprndre le dessus. Toutefois l'ambassadeur n'exprima pas ses pensées à voix hautes. Il aurait été stupide de briser cette vague de confiance qui déferlait sur l'armée.

Sombre-chêne, au lieu de cela, survola du regard les tranchée apprament à la rechreche de quelqu'un. Ses yeux s'arrêtèrent sur Eleriol à qui il adressa un hochement de tête complice. Son tuteur lui répondit avec un sourire, puis se mêla à nouveau dans la foule et disparut. l'ambassadeur l'imita et se fryay un chemin entre les soldats en leur prodigant des paroles aimables. Mais il s'arrêta devant Silvirien qui était en pleine conversation avec une autre elfe qu'il ne connaissait. Sombre-chêne n'intervint pas mais écouta avec attention.

Le groupe était revenus au campement,sain et sauf,maintenant il fallait savoir si il avait détruit les catapultes....Mon frère fut réveiller par les flèches des archers de la maison de l'hirondelle qui fusaient.Il marcha pour se dégourdir les jambes et parla avec des elfes qui était revenus.

Pendant ce temps,je regardais les arrivant et je vis Silivrien parlai à une nouvelle elfe,enfin,je ne l'avais encore jamais vu,l'ambassadeur était à côté d'elle mais les laissa parler,je m'approcha d'elles et de lui.Je m'arrêtai à côté de l'ambassadeur qui écoutait,alors je les laissa se parler et je laissai écouter l'ambassadeur,il fallait savoir si les catapultes était détruites.J'écoutais avec attention.

Un long silence s'abbatu. Kairi réflichissait. Abandonnait sa liberté ? Cela est-il raisonnable ? Elle réfflichissait... Que dire ? Que Faire ? Elle se posa toutes ces questions, pour finalemnt dire :

- Oui j'accepte votre propositions. Même si cela devrait peut être m'enlever ma liberter.

A ce moment un autre Elfe se posa devant eux. Il les regardait et parut réfléchir. Mais quelque seconde plus tard, Encore un autre elfe les rejoignit. Le silence était au grand complet...
Kairi se leva, pour se mettre face a Silivrien.

- Je pense qu'il est temp de nous préparait, les elfes renégats peuvent être ici d'une minute a l'autre !

Puis elle se tourna vers les deux elfes qui les avaient rejoint.

-Je vous salut ! Je me nomme Kairi Logis, je compte vous aidez dans votre mission, matenant que les catapultes sont hors d'usage, Les elfes renégats n'ont aucune chance !

La conversation fut finit,ce qui était bien,c'est que les elfes rénégats étaient désemparés de leurs machines de siège.L'elfe se présenta,à nous d'en faire de même:

Et bien je suis Vayarë,le forgeron de Gar Thulion,quand à l'autre elfe,je pense qu'il seras se présenter tout seul.

Je regardais l'ambassadeur et je sourit,je porta la tête sur Silivrien et je dit:

Et bien,qu'elle mission réussi,j'espère qu'il n'y a pas eu trop de pertes de notre coté bien sur....

Je regardais Silivrien et je n'étais pas décontracté car les elfes rénégats pouvaient attaqué à tout moment....Et nous n'étions pas prêt.

Hataldir suivit tout le monde ver le camp, il pourait peut-etre se reposer, il ne savait pas pourquoi mais il avait pris un coup de fatigue. Arriver dans les tranchées, il fis d'abord un tour, avant de se diriger vers ses hommes rester dans les tranchées en cas d'attaque. sur le chemin, il croisa la nouvelle venue et Silivrien, devant eux se tenait Sombre-Chène et Vayarë. les hommes d'Hataldir étaient content de revoir leur Caporal et celui-ci leur raconta comment c'était passer la mission, une lueur d'espoire naqui dans le regards de ceux-ci. Il se mis sur le côter, histoire de reprendre un peut d'énergie, meme si il se demandait pourquoi une telle fatigue lui était tomber dessu. Il s'asseilla, sans oblier de dire a ses hommes qui si il se passait quoi que se soit, qu'ils devaient le réveillé.

Sombre-chêne déclara calmement, sans emphase :

Je suis Sombre-chêne, ambassadeur elfe. Il est toujours plaisant d'assister à l'arrivée d'une nouvelle recrue. Mais je vous laisse aux soins de Silvirien.

Adressant un signe de tête à l'interessée, l'elfe recula et s'approcha de Hataldir, mais se rendant compte qu'il se reposait, Sombre-chêne ne voulut pas perturber son sommeil et revint donc vers l'Elnaith :

Je vous félicite pour cette opération. Elle semble être une totale réussite. Encore bravo.

l'elfe se tut et attendit la réqction de l'Elnaith.

Silivrien leva les yeux vers Sombre-chêne, alors qu'un pâle sourire barrait son visage. Sa joie semblait très relative, et cette impression était accentuée par le voile trouble qui ternissait son regard...

-Je vous remercie Ambassadeur...Certes c'est une victoire, à laquelle il faut associer tous mes compagnons, ainsi que le Seigneur Gelmir et son groupe, mais...à quel prix fut-elle obtenue ? Si nous n'avons eu que peu de pertes, de nombreux Elfes sont morts cette nuit...Mais je sais que nous n'avons guère le choix. Les renégats n'ont pas eu d'états d'âme en massacrant d'innocents villageois, mais cette lutte fratricide emplira toujours mon coeur d'une profonde tristesse...

Elle se ressaisit avant de se tourner vers la nouvelle recrue...

-Kairi...tu peux voir avec Vayarë ici présent pour t'armer, c'est un excellent artisan qui te sera de bon conseil...

Laurelin se trouvait près de l' Elnaith de la maison de l' arbre et de Sombre-Chêne mais il ne dit mot. Il constatait simplement avec réconfort que les deux elfes ne se réjouissaient que fort peu de la victoire acquise cette nuit sur les renégats.
Pourtant, Silivrien avait de quoi être fière de l' opération qu' elle venait de mener.
Perte minimum, résultat maximum et c' est grâce à son commandement plein de sang froid que les différentes compagnies pouvaient se reposer plus tranquillement maintenant sans risque de recevoir de nouveaux projectiles destructeurs.
Même Alet, lui d' habitude si enclin à inciter à la sagesse, de rage et bravant les ordres, s' était laissé aller à enflammer une catapultes au risque d' embraser la forêt noire. Peut être avait-il, lui aussi, ressenti le besoin d' un brasier purificateur lavant la vaste clairière des restes d' une bataille dont les seuls perdants étaient les elfes eux-même, les vaincus comme les vainqueurs.
Tout cela ne faisait que commencer cependant, et il fallait rester concentré sur l' objectif d' éradication du mal profond qui s' était saisi des elfes renégats.
La puissance des elfes au service du mal, même diminué par l' apparition d' un âge où ils n' ont plus leurs place, pourrait facilement déstabiliser l' avènement des humains et leurs prises des rênes des terres du milieu. Il fallait se battre pour les accompagner vers leur quête, vers nul ne sait quel destin, puisque aucun même parmi les Ainur ne connait les derniers accords réservés aux nouveaux venus durant la grande musique.

Les guider sans les commander. Les aider mais non les soumettre. Les conseiller mais non les brimer.

- Toujours purs !!, avait crié un renégat.

- Mais quel pureté peut donc détenir le plus brut des cristal si son sein recèle le sang d' innocents ? Se demanda Laurelin.

J'écoutai Silivrien,apparemment les elfes en avaient quand même tué...Silirvien dit à Kairi de me suivre pour lui montrer mes armes,hélas,je n'avait pas toute la boutique ici.Mais bon,une épée dépannera avant qu'elle achète celle qui lui plait....Elle me suivit jusqu'a une tente et à coté il y avait une charette,dans cette tente,des soldats avait ramener des armes,je pris une épée en acier et la déposa sur une table dans un coin de la tente,je fit de même avec une épée de mithril et une épée de fer,puis pour finir une épée elfique.Je regarda ensuite les arc et je lui en sortit le plus résistant,un arc en gallvorn.Je pense que maintenant elle pourrait prendre l'arc et une des épées.

Choisissait une des épées puis prenait l'arc,pour le moment vous ne paierez rien,car dans ma boutique à Gar Thulion,j'ai bien plus de choix.Il faudrait donc vous contentez de celà,arrivé à Gar Thulion vous devrez redéposé les épées car elles dépannent juste...Enfin,choisissait.

J'attendit impatiemment l'elfe qui se décidait...

- Merci beaucoup ! Je me contenrez de cela. Pour ce qui est de choisir une épée je prendrez celle en mithril, dit Kairi avec un grand sourire enjoleur.

Vayarë lui tendit l'épée en mithril et l'arc en gallvorn. Kairi mit l'arc son son dos, et l'épée dans sa ceinture. Elle était prête maitenant. Elle était présser que ces fichus renégats attaque, mais comme elle l'avait déja dit, " Nous ne somme pas prét !".

- Peut être que maitenant, on pourrait s'entrainait, qu'en dite vous ? Demanda-t-elle a vayarë.

Elle sortit son épée et l'examina en attendant la réponce de vayarë.

Alet avait tout d'abord suivit le caporal et écouté ses explications. Il le quitta par la suite et flana de-ci de-là pour voir ce qui se passait dans le camp. Enfin, il se présenta auprès de l'armurier de Gar Thulion qu'il avait rencontré pour la première fois au bord des rives de l'Anduin et la nouvelle venue de la forêt noire. Devant l'elfe qui attendait de se battre, Alet se présenta et demanda si il pouvait se joindre à l'entrainement, de plus, peut-être était-il meilleur pour elle qu'un soldat l'entrainne plutôt qu'un armurier.

-Pourrais-je me joindre à vous, sinon de vous apportez ma maigre expérience, pourrais-je profiter de la vôtre, armurier...

Ce fut kairi qui répondua Alet :

- Oui ! Avec grand plaisir, lui dit- elle avec un grand sourire.

A peine eut-il sortit son épée que Kairi lui assena un coup puissant et éfficace, Mais Alet le bloqua sans grand diffilculté. Tout de suite Elle envoya un nouveau coup au soldat, qu'il parat aussi avec, cette fois une légére hésitation.

- Viens te joindre a nous, Vayarë, dit Kairi a l'attention de Vayarë.

// escusez-moi pour ce court post, mais j'ai préférer ne pas trop utiliser le perso de Vayarë, pour l'entrainement. Vayarë si tu trouve que j'ai trop utilisé ton perso ou si quelque chose ne va pas, mp moi !

Les deux jeunes elfes venaient de revenir lorsqu’une petite chouette vint voleter autour de la tête de Nidnama. Celui-ci se releva d’un bon :

- Maegethir ! L’expédition est de retour ! Allons y ! Il y a sans doute des blessés… Vous deux, vous laissez les poisons ici et venez m’aider, il faudra peut-être transporter du monde. Que trois autres infirmiers viennent avec moi ! Et prenez quelques simples…

Sans même regarder qui le suivait, Nidnama se leva, attrapant un bâton ferré et une sacoche au passage. Il pris le chemin des tranchées et arriva a temps pour voir une dernière salve de tir s’envoler pour chasser les Renégats. Le guérisseur se dirigea vers ceux qui avaient dirigé l’attaque pour avoir une idée du bilan. Les infirmiers qui l’accompagnaient pourraient s’occuper des blessés mais Nidnama devait savoir sur lesquels porter sa propre attention. S’approchant de Sombre-chêne et de Silivrien, il pris la parole :

- Monseigneur… Dame Silivrien… Je peut vous annoncer que l’état d’Eowegen est aussi bon qu’on pourrais le souhaiter… Mais autant dire qu’il vas mal… Il pourra peut-être remarcher.

La nouvelle avait été apportée et le guérisseur pouvait à présent parler de la véritable raison de sa visite :

- Comment l’expédition c’est-elle déroulée ? Des blessés graves ?

HRP//Silvirien, il me semble que tu est blessée, tu veut bien me donner un petit descriptif ? sinon, je le ferais moi même mais bon…//HRP

Silivrien sourit au Guérisseur qui s'était joint à la petite assemblée...

-Il y a eu peu de pertes, et quelques blessés légers. En ce qui concerne le Seigneur Eoweng, je suis sûre que vous avez fait de votre mieux. Son destin est maintenant entre les mains des Valars...

Elle surprit alors le regard de Nidnama, posé sur son bras blessé, ce qui lui rappela son propre état...

-Ah...oui, je ne pensais plus à cette entaille. C'est un coup d'épée peu profond, sans poison visiblement, car sinon je ne serais pas en train de vous parler...

L'Elnaith ôta sa cape et dégagea son bras, afin que le Guérisseur puisse l'examiner...

Nidnama s’approcha de Silvirien qui venait d’enlever sa cape et examina la blessure… Elle avait eu une chance incroyable : la lame était passée à quelques millimètres d’un tendon… S’il avait été sectionnée, elle en aurais perdu un bras mais bon… L’entaille était propre mais saignait abondement ce qui expliquait l’auréole brune sur la cape. Le guérisseur sortit de sa sacoche un petit pot de cataplasme qu’il appliqua sur la plaie ouverte. Enfermant la plaie, il en permettrait une cicatrisation plus rapide en remplaçant au moins pour un moment la croûte qui devrait se former pour endiguer le flot du sang. Il y ajouta un bandage solide et entravant (volontairement) les mouvements de l’elfe. Il lui en ferais un autre plus tard mais pour l’instant, il fallais que les chaires se ressoudent et qu’elle ne bougent pas… Lorsqu’il eu terminé, le guérisseur adressa un sourire à Silivrien :

- J’aimerais bien savoir comment la combattante que vous êtes à bien pu se blesser… Mais vous devez être fatiguée : vous avez perdu beaucoup de sang et je ne vous ferais rien boire pour vous maintenir éveillée comme je l’avait fait pour moi-même… Si vous voulez bien suivre mon conseil : reposez vous… Et ne vous battez plus avant un moment. Je pence que nous pourrons reprendre le combat en même temps… Encore que je puisse déjà lancer quelques couteaux !

HRP//edit : pour ceux qui comme moi on pas vu qu'un nouveau sujet avait été créé, le voila !! https://jeuderoles.forumactif.com/la-foret-noire-f70/chapitre-3-nous-ne-sommes-plus-seuls-t2613.htm#37643