Aube d'or...(La première bataille de la 3ème alliance...)

Pissant le sang, Taorin se tint l'oeil de la main gauche et frappa l'orque qui lui barrait le chemin. Angbor protégeait son flanc gauche, mais le haradrim coiffé de noir était plusieurs mètres devant, occupé par quelques orques. Loin à l'ouest, une clameur s'éleva. A environ 2 kilomètres du capitaine, un homme de l'Est se dressait, immobile, sur un destrier noir, accompagné par les porteurs de deux immenses bannières rouges.
Après une demi-heure de combats, Taorin arriva jusqu'au "général Darkblade", et lui dit:
"Alors, Dark', j'fais quoi de mes cavaliers? Ah, j'pense qu'il faudrait tuer le gus encadré par les deux port-étendards, là-bas, tu vois? Et si tu pouvais m'envoyer un toubib, pour qu'il arrête l'hémorragie, ça serait plutôt sympa... Et ton pote, là, qui m'a amené jusqu'à toi, tu devrais le promouvoir, il m'a été très utile. Mais, j'y pense, tu ne m'as pas donné ton nom..." finit-il en parlant au haradrim armé de couteaux de lancer.
Le discour pouvait sembler décalé, mais Taorin était tellement heureux de retrouver son chef vivant qu'il oublia le protocole trop rigide à son goût...

Ryak tailladai avec son sabre de bronze comme seul arme. Il devait être le seul guerrier assez experimentée pour ne pas se faire décapiter quand l'orc en face de lui tentait une attaque. Il se débattait avec un orc plutôt coriace quand il vit un homme entouré de deux bannières rouges sangs. Il se dit que se devait être le chef. Il décapita son orcs et rameuta quelque guerriers assez courageux pour tenter une percée et commença à s'ouvrir un chemin vers grand orcs vétu de noir. Un orc se jata devant lui en criant:
-Vous ne passerez pas!

Tiens,tiens,tiens,tiens!!

La général se débattait comme un fou furieux au milieu de la mélée.Il tranchait,tailladait,percait,éventrait,fracassait,écrasait et autre tout ce qui passait a porté de son lourd cimeterre.Il vit vaguement le capitaine taorin s'approchez,et continua de se battre avec son uruk.Il lui trancha la main,une oreille,le fit tomber et lui écrasa la crane avec sa botte clouté.

-Euh,Tao',c'est pas que tu m'déranges la,mais on est en train de se battre,donc tu te demerde avec tes cavaliers,occupent toi en intelligemment.Et tu tue tout ce qui bouge,cherche pas a cibler.C'est tout la meme merde.

Il esquiva un coup de hachette qui se planta dans la poitrine d'un autre haradrim,et fit exploser comme une pasteque trop mur la tete de l'orc.

-Et demerde toi pour trouver un toubib,t'est pas le seul bléssé!

Il coupa les jambes d'un orc qui,privé de tibia,s'effondra,avant de se faire enfoncer un sabre dans le fond du gosier.
Le capitaine vira un haradrim d'un cheval,le prit et lui piqua les flancs de manières a ce que le canasson fracasse a grand coup de sabot les vermines devant lui.Et un pillard.Mais on s'en fout.Il se battait mollement,c'est pas une grosse perte.



Les orcs reprenait le dessus.Ils avaient arreté de s'entretuer pour faire front commun.Mlgré toute leur bonne volonté,les humain était dépassé par le nombre.A moins d'un miracle,ils ne ferais plus long feu...

La mêlée battait son plein, Nimrod tranchait tou ce qui lui passait à porter, de nombreuses blessures et égratignures le couvraient. Il entendait sifflé au-dessus de lui les flèches de Kalimë. Il espérait juste que Meakil avairt réussi. Pour une fois, il le sentait, l'espoir allait faillir. Voir une colonne de fidèle se jeter sur le sorc slui redonna courage. Harad était encore là. Au tour de lui la débandade, le doute.
RALLIEZ VOUS A MOI ! HARADRIM! RALLIEZ-VOUS!

Cris de rages de tout coté, des orcs surpris par cet humain vociférant se firent prendre par surprise. Un Uruk lui écrasa la gorge d'un patte, un autre le lia, et ils l'emmenèrent au travers de la mèlée vers un chef orc.
Un truc brun à poil... une tendane courant chez les haradrims. Tu es un chef, dis leur de se rendre.
Meurt immonde chose.]
Mot (tue-le)
L'orc amorça un mouvement de son cimeterre, que son bras ne termina jamais. Une bannière rouge très similaire à celle qui flottait sur le palais s'approchait à grand galop dans le crépuscule. Le vétéran de gondor qui venait de lancer son arme fut désarçonné et tué. Nimrod ne put jamais le remercier, il fut emmené vers la bataille par un orc et jeté dans le tas pour y être piétiner...

Yavendhir, qui était resté près de Darkblade après avoir escorté Taorin, était à la fois terrifié et impressionné par son ami, le visage recouvert de sang, son arme arborant fièrement les entrailles de ses adversaires.Il se battait comme un chien de guerre, découpant des jambes, broyant des cranes, arrachant des bras, mais de son coté Yavendhir aussi massacrait les vagues du mordor, les quelques jours qu'il avait passé dans la ville assiégeait l'avait affaibli, mais la rage le galvanisait.
Il entendit un sifflement dans l'air, et se baissant instinctivement, vit passer un trait au dessus de sa tête,puis restant accroupi , balaya les jambes d'un ennemie d'un grand mouvement de son épée. Il n'eut pas le temps de regarder l'autre agonisait car un autre orque se jeta sur lui.Yavendhir le fit basculer d'un mouvement d'épaule, l'autre chuta et s'empala sur l'épée d'un haradrim décapité qui tenait encore son arme.

Hrp/dsl pour l'absence, j'ai oublié de prévenir .
Bon ben tant que j'y suis joyeux noel et bonne année à tous/Hrp

La vision obscurcie par le sang, Taorin appela de toute ses forces Angbor, le seul de ses cavaliers présent à ses côtés.
"Dis à nos hommes de rejoindre les défenseurs, ils ne surviveront pas seuls au milieu de toute cette pourriture! Fais vite, et ne tue que si tu es obligé!"
Puis, regardant autour de lui, il aperçut un jeune homme, visiblement terrifié, en train de bander le bras d'un blessé, accroupi entre les combattants. Taorin fit volter son cheval, et se dirigea vers celui qui pourrait le sauver. Le sabre dégoulinant du sang noir des orques, Taorin abattit sa lame sur un visage hideux, ne pouvant appartenir qu'à une créature des Ténèbres. Arrivé au niveau du "toubib", il descendit de son cheval et ordonna qu'on le soigne. Trois minutes plus tard, il repartait avec un bandage crasseux qui lui couvrait la moitié du visage. Au loin, il vit ses hommes tenter de revenir vers les lignes protectrices des haradrim, mais une centaine d'orques leur barraient la route. Sur les 500 cavaliers du départ, il n'en restait qu'environ 200.
Angbor brandissait la bannière du Harad, empalant ses ennemi avec la lourde hampe. Voyant un espace libre d'une quinzaine de mètres avant de retrouver les combats meurtriers, Taorin lança son cheval au galop et fonça vers les orques, qui menaçaient d'enfoncer la ligne de défenseurs. Trois moururent sous les sabots de son cheval, et un sous le sabre haradrim.

hrp// Désolé pour l'abscence, je n'ai pas eu le temps de prévenir... Bonne nouvelle année 2008!//hrp

Ayant récupéré nimrod dans la cohue les cavaliers de Gondor qui se repliait purent apercevoir une ligne noire sur l'horizon.

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Meakil admirait la cité et la bataille au devantd'eux, les hommes rangèrent les provisions dans les sacs de selles.
4 lignes mobiles, pressés les sur les dernières unités qui sont en formation. Allons camarades, une de leurs armées est en déroute, sappons en une seconde.
Le sonneur à sa droite sonna l'appel de Gondor. La centaine de survivant s'aligna.
Soyez sans espoir, la mort vous tend les bras. Vous vaincrez ou vous mourrez, il n'y pas de place pour eux sur nos terres.
Bien monsieur!
Aya Meakil sayid!
CHARGEZ!
La cavalcade qui suivit parut interminable, mais l'effet fut immédiat des orcs durent modifier les positions, des ordres contraires volèrent. Ce qui laiss ale temps au haradrims et leurs alliés de se réorganiser un peu.



Meakil occupé au combat ne vit pas un oiseau qu'il connaissait bien tourné au dessus de sa tête. Mais il put voir s'aligner sur le pas de ces hommes des guerriers encapuchonnés au foulard gris... une dizaine... puis 20.. soit des recrues, soit toute l'Elite des griffes. Meakil sourit...
Qui vous envoie?
Une voix qu'il reconnut pour celle de Sentier lui dit
Silence ne peut venir secourir la ville lui-même, il est très malade. Nous devons vous amenez à lui après la bataille.
Meakil fut heureux à l'idée de revoir Silence après de si long mois.. La froideur du mercenaire manquait en ses terres. La compagnie fit impact avec une compagnie d'orc prise à revers, qui vola en tout sens sous la charge. Balayé par les lances. Ils nettoyèrent autour d'eux comprenant vite qu'ils étaient moins nombreux et qu'il allait falloir ruser. Pas très loin, Meakil vit les 2 bannières et l'homme qui marchait au milieu.

Il y eut alors un moment étrange, et Meakil vit Sentier répondre à l'homme en sa langue. il sentit le cheval qu'il chevauchait faillir. Il se retourna, et il la vit.
De la femme qu'il avait aimé elle n'avait plus les traits, pourtant s'était elle.
Serres?
Meakil...
Qu'elle est cette..
Les griffes formaient un cercle autour de lui, les assaillants les évitants soigneusement, et les haradrims se heurtant à un mur de lames orques et humaines.
Il est pris le chat au trop grandes griffes, enfonçés dans son arbre... Amouth est mon berger. Je ne connais que ténèbres, ton souvenir m'indispose...
Meakil admira la seule dague qui lui restait, sa lance gisait brisée au sol et un cimeterre ne servirait de rien ici... Elle l'engaga en duel, Meakil voulait la blesser pas la tuer, il pensait pouvoir la sauver, la ramener. on la lui avait enlevé, et on lui rendait un monstre. Il arracha son turban, défit la haut de sa robe.
Il n'y a qu'un homme pour me vaincre, et il n'est pas venu!
Arrogance, sursaut de foi en l'impossible. Meakil pleurait devant cette dernière injustice. Il évita un coup, en para un autre, se roula d'un coté, se releva en craquant son dos.
La jeunesses t'a quitté, Ammoth y a veillé... Admire le pouvoir de mon maitre... hihihi
Il ne savait lequel de ses membres entre son coeur et son bras avaient le plus mal... Ils combattirent alors que le cercle se réduisait sous la pression des ennemis... Il se retrouvèrent collé par la masse, en une étreinte finale, Il sentit la dague pénétré dans son foie, il sentit la sienne luii déchiré un muscle du bas du dos, elle vivrait. Il sentit le monde ralentir, les yeux de la dresseuse semblèrent s'ouvrir, des orcs commencèrent à hurler et Meakil entendit Sentier, la voix pleine de doute...
Ammoth est mort...Je ne sens plus l'appel
Meakil, Meakil... qu'ais-je fait....
Ainsi ils reprenaient conscience...
Sauvez Silence, ils l'appeleront, qui qui ait pu faire autant de mal l'apellera, Sauvez... Je t'aime...
(Hrp// melodrama americain I Know on ne se refait pas//hrp)
Meakil, MEAKIL!!!!!!!!!!!!
Le dresseuse revenait à elle, comme si cet entrainement dans les ténèbres s'effaçait lui laissait à nouveau goutez le soleil, sentir le froid dans son coeur. Sentier semblait pourtant garder la lueur terrible dans son regard. Comprenant qu'elle s'apprétait à fuir il l'assoma d'un coup de talon bien placé. Il se pencha pour ramasser l'anneau de Tulkas tant bien que mal pendant que 5 hommes de l'Est maintenaient la cohue loin de lui. Surpris de ne rien découvrir aux doigts du cadavre, il observa ses hommes les plus proches. Busard semblait justement offrir une attention toute particulière à un objet entre ses mains. Soit, en bon mercenaire il laisserait son butin à son camarade.
On rentre. Laissez le corps là.


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Quand les griffes se détachèrent de la bataille, Nimrod comprit tout à coup qu'il n'avait pas rèvé... Il avait entendu crié le nom du chef des rebelles... Alors il chargea avec une poignée d'homme vers l'endroit ou le cri avait eu lieu. La bataille se déplaçant vers les murs il s'approcha du corps, maintenant bien en vue. Il regarda le corps du vieux semi-elfe...
Mon meilleur ennemi...Aby (Mon père)
Messieurs, sonnez le rassemblement. Il faut fuir avant que tous ici nous ne soyons mort.
On ne peut laisser les morts à ces charognards. Ni la ville.
Repli dans les montagnes ou à Gondor, nous ne pouvons choisir. Pour l'amour des Valars ou de n'importe quoi que tu nommes un dieu! C'est fini, Il faut que tous ceux qui le peuvent évacuent avec nous demain à l'aube, dés que ceci sera fini. Maintenant tâchez d'en massacrer le plus possible avnt que l enuit ne tombe, ils se replieront, car ainsi combattent les guerriers de l'Est

Les combats cessèrent petiit à petit. Les deux camps étaient épuisés et devaient pleurer de nombreux morts. Quand le seigneur de l'Est parla, Taorin appris la mort de Meakil. La tristesse emplit son coeur, et c'est le coeur lourd qu'il rejoignit ses hommes. Sur les cinq cents cavaliers d'Azarwa, seul soixante avaient survécu.
Le capitaine chercha un médecin et fit laver sa plaie. Le "toubib" lui mit un bandage blanc, immaculé, seul linge propre au milieu de toute cette crasse et ce sang séché.
Après avoir enterrés les morts, Taorin rejoignit la tente de commandement. La nuit était tombée depuis longtemps, et des torches éclairaient les deux camps. Dans la tente, Meakil reposait, le corps enroulé dans sa bannière en dernier hommage. Le nouvel émir attendait, parlant avec différents capitaines. Taorin s'approcha, s'inclina et dit:
"Mon seigneur, vous avez appelé les gradés. Je suis le capitaine Taorin al Mukalibh. J'ai été envoyé en Gondor chercher des renforts au début de cette guerre. Je vous suivrai comme j'ai suivi Meakil, mon seigneur. Que voulez-vous?"

Yavendhir, épuisé, souillé du sang de ses adversaires, trempé du sien parvint après quelques heures à atteindre les contreforts de la ville.
Personne ne le remarqua se trainait au milieu des cadavres.
Il tenta de hurler mais il était épuisé, un simple murmure franchit ses lèvres.
Ramassant une lance, il la ficha dans le premier corps venu, un haradrim au corps lacéré et se releva en prenant appui sur l'arme.
Au bout de 5 minutes, un homme vint de la porte de la cité et commença à remuer les cadavres du pieds.
Il doit surement rechercher des survivants.Je suis sauvé.
Se rendant compte que l'homme ne cherchait pas des survivants mais des biens, Yavendhir se jeta a terre pour échapper au regard du pillard. Mais son sabre percuta la plaque d'armure d'un des orques et l'autre accouru dans sa direction.
Il sembla comprendre ce qui c'était passé en apercevant le regard terrifié du blessé.
Oh t'inquiètes pas, j'ai surement tués moins de personnes dans ma vie que toi aujourd'hui!Et de toutes façon, là où ils sont, ça leur servira pas je pense.
Yavendhir poussa un gémissement de douleur, en essayant de se dégager discrètement, il avait appuyé sur sa blessure au ventre .
L'autre regarda son torse et son visage se crispa,
Oh mon pauvre, viens je vais t'amener au camps et après libre à toi de faire ce qu'il te plaira.Pour ma part, c'est Neiklot, voleur, faussaire, commerçant et poète à mes heures.
L'homme le souleva et le posa précautionneusement sur son épaule puis se dirigea vers l'allée.
Yavendhir se réveilla au milieu d'un des camps établis pour accueillir les blessés.Un homme s'occupait de lui, il cligna des yeux , puis au bout de quelques minutes, s'habituant à la lumière, reconnu son sauveur, Neiklot.
Celui-ci était également en train de se faire soigner.
t'as quoi?
Ho j'ai marché sur un éclat de lame fiché au sol tout à l'heure, ton poids additionné au mien a bien enfoncé le bout d'acier. J'attends d'être soigner et de bien remarcher et je pars pour Minas tirith.
Minas tirith, qu'est-ce
Ho mon pauvre, qui n'a pas vu Minas tirith n'as rien vu.C'est une gigantesque cité à flanc de montagne, blanche comme le nacre, belle comme aucune autre cité ne l'ai .Le commerce y est florissant et la vie agréable.
Pour ma part, j'y vais retrouver de vieux amis et vendre quelques petites choses.

-Rahh!

Le capitaine planta sa lance dans le ventre d'un orc agonisant.Il était couvert de sang et de bout d'orc,mais il n'était pas tellement bléssé...Quelque égratinures tout au plus...

-Capitaine!Capitaine!
-Quoi encore?!
-Le seigneur méakil,capitaine...Il est mort.
-Raaaaaaaaahhh,noooooooon,pourquoi??!!!

Oh.Zut.Je pourrais pas faire main basse sur le harondor.Bon,tant pis j'verrais ca avec Nimrod...

-Capitaine,soyez fort...
-Raaaah,c'est trop injuste!!!Pauvre vieux!!C'est ignoble!!-Oui chef,mais il faut trav...

Le capitaine venait de faire voler la tete du soldat.Personne ne l'avait vus.

-Merci soldat,sache que ca detend.

Il fit un salut puis remonta vers le palais...