Le Dringalph en pleine mer serait il suivi?

Le navire était parti de la cité portuaire de Pelagir avec la marée du matin.

Malgré un effectif réduit pour les manœuvres, ils purent prendre de l'avance sur le délai avec les marées et ils se dirigèrent droit vers l'Anfalas passant à proximité du cap de Dol Amroth au sud de la cité.
Seul le capitaine se tenait là, apercevant sur le haut un cavalier solitaire qui partit dans l'ombre à grand galop.


Ulfred cria fort et tous les hommes se rassemblèrent sur le pont en bon ordre.

Les simples rameurs côte à côte avec des chevaliers prirent place aux rames quand Ulfred leur dit qu'on les avait vu et peu être reconnu.


Pressez l'allure.Nous n'avons pas encore la force de résister face à plusieurs vaisseaux de guerre.

Tous sortirent les rames par les faibles ouvertures et les rames d'ébènes s'abattirent en un mouvement souple et régulier dans les flots.

Le navire prit de la vitesse et il dévoila soudainement la rade de la ville du cygne.


Dans celle ci, deux vaisseaux se préparaient vivement à un départ forcé et Ulfred observant le tout à la longue vue devint blanchâtre et ordonna d'augmenter la cadence.

Après plusieurs heures de navigation forcé suivis au loin par deux gréements , ils atteignirent un lieu propice à un débarquement.
Le rirage était formé de telle façon que une faible ouverture donnait sur une sorte de petit lac.

Une crique tout ce qu'il y a de possibles.


Le vaisseau jeta à la mer une embarcation et Ulfred, Yrallyn et quelques hommes choisis sur la volée.

Il débarquèrent soudain sur la rive et se dirigèrent vers un village tout prés, là où un château d'une belle taille plongeaient dans l'ombre.

Devant Ulfred, Yrallyn et les autres se trouvaient le chateau de feu.

Certains avaient désignés le nouveau duc Lengle comme un allier pour la prise de Dol Amroth.

Il habitait dans le grand chateau reculé.Gebir avait eu un jour la mission de se rendre en ce lieu et Ulfred savait comment on pouvait convaincre le seigneur des lieus.

Le marin tapa trois fois à la porte et attendit une quelconque réponse.

Derrière la porte, des bruits de pas précipités.
Des épées étaient tirées en un sifflement perceptible.

Tous reculèrent de la porte.

Soudain des paroles retentirent comme le bruit des sabots sur la plaine fraîche.On les attendait.


Alors, le Prince s'est enfin risqué à envoyer ses hommes me tuer et détruire avec moi une nouvelle poche de résistance.


La porte s'ouvrit à la volée et des fléches sifflèrent.

-On se cache, traitres.Ce n'est pas la première fois.Venez affronter le duc de ces terres, le duc Lengle.

-Arretez, seigneur Lengle. Nous ne vous voulons nul mal, nous venons de la part du chevalier Gebir.


-Ah oui, il a abandonné son prince dans son heure la plus sombre.

-Non, il était en mission lors de la mort de Berund. Il est celui qui nous a envoyé ici.Il a dit que nous pourrions trouver en cette demeure les forces pour attaquer la cité du cygne.


-Et vous? Qui êtes vous?
Vous pouvez être des espions du prince.

Yrallyn s'avança alors devant la porte et il se retrouva face à cinq arcs bandés en sa direction.

-Vous me connaissez moi. Je suis Yrallyn, j'ai assisté au jugement du premier traitre.Je tuerais de mes mains le second si je le peut.

-Oui, je me souviens de vous.Vous étiez fidèle à Berund.

Rangez vos armes mes amis et entrez dans le château de feu.
Le duc de Belafalas est bien pire qu'Athan.


Tous rentrèrent à l'intérieur sans toutefois se méfier.

******************

De l'autre côté, dans la crique, les deux navires avaient réussi à repéré le Dringalph mais rentrer dans la crique n'allait pas être possible si ils devaient se battre en même temps.

Le navire de Gebir avait été laissé avec une défense plus faible mais les armes serviraient fortement.

Soudain, une douzaine de petites embarcations furent jetés à flot sur les cotés des deux navires de guerre.

A l'intérieur d'un des vaisseaux, une faible lueur d'espoir scintillait. Galathor, un Noble de Minas Tirith avait la volonté de reprendre le pouvoir sur ses traîtres de soldats au service du tyran à la tête de Dol Amroth.
Dans la sombre cale, le Noble à l'armure scintillante tint un discours aux autres Chevaliers, et Hommes hostiles au Duc:

* Chevaliers, Soldats, Nobles et autres, le Duc, nouveau souverain tyrannique de Dol Amroth, ne nous a que trop exploité. Il extermine, et réduit au silence toute personne qu'il juge traître à ses yeux, toute personne qui pourrait lui faire de l'ombre. Il nous a enfermés, dans une cale sombre et humide, et nous fait garder par des Soldats. Ce sont ces mêmes soldats qui nous traîtent comme des chiens. Maintenant, il sont dans des barques, à 200 mètres de ce navire pour combattre.
Allons-nous attendre leur venue, et nous faire flageller, pour ramer jusqu'a en mourir?
Je suis moi-même un Homme du Gondor, tout comme vous. Nous sommes nés ici en Gondor, et durant toutes ces années, nous avons combattu pour sa fierté. Aujourd'hui nous en sommes réduits à ramer, pour des traîtres, où est la fierté du royaume des Hommes d'Elendil? Où est notre dignité? Je n'ai pas combattu, durant toutes ces années pour être réduit ici.
Alors je vous ordonne de combattre, Hommes du Gondor!!!!
Que la gloire des Chevaliers de Dol Amroth jaillisse.
Debout, Hommes du Gondor!!!
Pour le Gondor!!!!!*

Aussitôt, tous les hommes dans la cale se levèrent, leurs yeux refletaient comme une sorte d'admiration envers le Noble inconnu.
Tous crièrent:

* Pour le Gondor!!!!*

Tous courèrent sur le pont. Les quelques soldats présents sur le pont furent pris par surprise et n'eurent à peine le temps de dégainer leurs épées, qu'il furent assommés et attachés en fond de cale. Leurs armes furent prises par les Chevaliers de Dol Amroth, fidèles à Gebir et aux serviteurs de Berund, mort désormais. Ces mêmes soldats qui sont alliés aux Chevaliers de Brethil.

Les soldats n'avaient eu aucun mal à se débarrasser des quelques gardes laissé sans grande intelligence alors que le reste de l'équipage, groupés dans les radeaux s'avançaient vers le navire rebelle.

Les chevaliers et autres rameurs criaient déjà victoire lorsque leur regard plongea sur le second navire envoyé contre le Dringalph.

Ce n'était pas un navire de Dol Amroth mais un bateau pirate, un bateau de mercenaires.
Les balistes étaient déjà chargés et les pirates préparaient déjà les arcs.

Les chevaliers n'avaient que peu d'expérience dans les combats maritimes et aucune fuite n'étaient possible car à la nage, ils auraient été fracassé sur les récifs entourant la crique.

Le navire dol amrothien était armé pour la guerre mais auraient ils le temps d'attaquer?

Sur le côté, on voyait de nombreux pieux et un lourd tonneau de chaux.

[HRP tu comprend ta mission mais cette fois vas y doucement on va rigoler tkt pas pour l'autre navire le mien je men occupe tout seul HRP]

A la vue de ces pirates, sanguinaires, n'éprouvant aucune pitié, les Chevaliers de Dol Amroth présents sur le navire prirent peur. Aucune fuite n'était possible.
Galathor tenta de garder son calme face à la situation. Il savait qu'aucun discours ne pourrait les épargner.
C'est alors qu'il prit la parole:

* Chevaliers, ces Hommes sont des soldats. Vous aussi. Vous êtes semblables à eux, hormis le fait qu'ils n'éprouvent de remords, ou de pitié. Certes, leur unique balise est chargée, certes leurs arcs sont bandés. Mais certains parmi vous sont sûrement Archers, il n'y a pas que des Chevaliers face à moi. *

Aussitôt sept personnes s'avancèrent, lui disant qu'ils furent Archers. Tous cherchèrent arcs et flèches et trouvèrent seulement quatres arcs et et quatres carquois d'environs 5 flèches chacun. Le problème est que les corsaires furent 30 voir 40.

Galathor reprit son discours:

* Soldats, certes nous pourrions aborder le vaisseau ennemi, malheuresement, le temps de manoeuvrer, nous serions morts, et nous sommes assez près d'eux.
J'ai vu ce tonneau de chaux. Et tous ces pieux. Peut être pourrions nous les utiliser pour tuer le reste des corsaires. Vous savez tous lancez un pieu. Quant à ce tonneau de chaux, nous pourrions le lancer s'il n'est pas trop lourd. Quelques personnes musclées suffiront à le porter.
Archers, je veux que l'un de vous se concentre sur l'homme qui charge la baliste. S'il meurt nous n'auront pas à craindre la plus grande des menaces. Quant aux autres, tuez les corsaires. Si nous en avons le temps, et la force jettez ce tonneau de chaux sur ce navire. Il y a très peu d'archers dans leurs rangs, si ceux ci meurent, il n'hésiteront pas à aborder. Là votre vaillance sera testée.
Tenez bon soldats de Dol Amroth, Eru, Manwë et Varda veillent sur nous.*

Malgré son discours, Galathor avait peur. Il craignait la mort des ces soldats. Il eût un commandement par le passé, et tous ses soldats aurait pus mourir à cause d'une erreur stupide qu'il rattrapa. Il ne veut pa revivre cet frayeur. Puisse les Valars le protéger se disait il.

Les pirates rirent en apercevant les chevaliers se préparer.

Des javelots enflammés passèrent sur le pont et enflammèrent de nombreuses toiles et provisions.
Trois soldats chargeaient la baliste et de nombreux autres préparaient les javelots.

Le projectile tiré par la baliste jaillit enflammé grâce à la chaux alors que les ennemis essayaient en vain de l'envoyer vers leur navire.

Continuez, vous allez exploser si vous continuez?

Les pirates sortirent leurs arcs et tirèrent sur le tonneau de chaux.

Les chevaliers et autres gens de Dol Amroth se précipitèrent à l'abri.

Le capitaine des pirates banda un long arc noir et emflamma une flèche prévu à cet effet.

Il sentit une fléche percé son bras qui bandait le trait.

En un bruissement terrible, l'arc se détendit et le tonneau de chaux s'enflamma.

Le navire commençait à bruler, il fallait empêcher le feu de se propager et vite.

Beaucoup s'y attelèrent à demi accroupi pour éviter les tirs ennemi.

Soudain, l'attaque.


Les grappins griffèrent le bois de la rambarde et les deux navires se rapprochèrent très vite.

Enfin, un combat loyal?

Les pirates passèrent sur le navire.

Aussitôt les Chevaliers se précipitèrent à l'attaque tandis que les quelques archers essayait d'utiliser leurs dernières flèches à bon escient.
Les boucliers des Gardes servirent aus Chevaliers de repousser les Corsaires dans l'eau alors qu'ils n'étaient encore sur les passerelles d'abordage. Galathor avait retrouvé son épée. Il accoura face aux pirates.
Il préférait les pousser à l'eau plutôt que de les tuer. Les Archers furent vite à court de flèches. Certes il avaient tués environ 15 Corsaires, qui se trouvaient sur le navire ennemi. Un mur de boucliers était formé, mais ne tint pas longtemps face aux coups des pirates. C'est alors que Galathor prit un javelot, qu'il enflamma. La chaux répandue sur le bateau coulait.
Galathor demanda aux soldats de reculer vers l'arrière du navire. Les Corsaires accourèrent, dans un piège.
Galathor lanca son javelot à terre, sur la chaux qui s'enflamma. Sur les 30 Corsaires présents sur le bateau, seuls dix survivèrent. 10 étaient encore présents sur le navire ennemi. Le problème était que l'explosion provoquée par Galathor avait enflammé la passerelle et ses abords. Les Archers, éteignirent le feu de leur coté, pour qu'ils ne brûlent.
Soudain, un bruit sourd survint. Galathor regarda vers la côte, mais l'obscurité l'empêchait de voir quoi que ce soit.

La victoire était proche, si proche pour les chevaliers.
Que restait il des pirates?
Un capitaine et une dizaine de bleusailles sans expérience du combat.
Impossible de fuir et inacceptable de se rendre.

Les derniers pirates qui avaient lancés l'abordage peinaient en sous nombre devant des hommes déterminés que l'esclavage avait rendu furieux.Ils avaient quelque chose d'inhumain.
Une force que nul ne pouvait qualifier.

Le capitaine sourit.
Lui aussi avaient ses fou furieux.Des hommes facile à persuader.

C'est le seul moyen de réussir.

Le capitaine se dirigea vers les cales et défit à l'aide des marins les chaines.

Des pas lourds retentirent sur le pont et des coups d'épées retentirent à nouveau.
Le capitaine blêmît et parla aux prisonniers qui le regardaient sans comprendre.


Ces hommes sont pires que des hommes.
Ils sont cruels et vils.Ils vous tortureront pour le plaisir de leurs femmes et vous mangeront vivants.
Ces hommes ignorent la pitié.

Ce sont eux qui vous ont soumis à cet esclavage, nous promettant des richesses pour vos compagnes au Harad en compensation mais voyez comment ils nous remercient en nous tuant et en vous soumettant par une force pure.

Il faut combattre.A l'attaque.


Les Haradhrims se précipitèrent sur le pont, renversant deux chevaliers.
Ils s'armèrent de tous ce qui leur tombaient dans les mains.
Tout y passa.
Des armes classiques aux armes moins conventionnelles tel les chaines, les rames, les épieux et même un morceau de mât.

***************

L'assaut du Dringalph ressembla à une plaisanterie comparé à ce qui se passait entre les deux navires.

Les compagnons d'Ulfred travaillèrent de concert sans véritable chef.

Les balistes furent chargés et tous ensemble les radeaux arrivèrent tant bien que mal sur le Dringalph après que de nombreux soldats furent tués ou jetés à l'eau.
On y vît également un commandent couler dans l'eau peu profonde.

Les guerriers jetèrent les grappins et commencèrent à monter en tout point sur le plat bord.

Ils n'y furent accueillis uniquement par des flèches et des lances.
Les marins s'étaient reculés de l'autre côté du navire pour affaiblir.

Puis d'un coup, tous se précipitèrent vers les envahisseurs.
Nombreux furent ceux qui lâchèrent les armes et seuls quelques lâches totalement fidèles furent tués, assommés et même décapités.

Un groupe de quelques soldats furent envoyés vers les deux navires qui avaient ils remarqués se livrer un combat à mort.

Un jeune fut quand à lui envoyé sur la plage pour prévenir Ulfred des nouvelles.

Des cris retentirent du navire tel qu'on en voyait jamais à Dol Amroth.
Le dernier avait été celui du capitaine Reznor et le prince du cygne et duc de Belfalas avaient fait appel aux services de certains autre à nouveau.

La petite délégation fut attaqué d'un coup et tous s'abaissèrent l'un deux se jetant même à la mer.
Une baliste avaient abimé le haut de la coque de l'embarcation.


[HRP dsl pour mon retard petit problem familiaux c'est bon on peut repartir HRP]

Galathor changea d'expression. La victoire fut si proche de lui et des soldats sous ses ordres. Il leur donna des ordres et essaya tant bien que mal de les encourager face à de tels hommes:

* Soldats!! L'explosion que j'ai provoquée empâchera les Haradrims de nous attaquer directement. Ils devront passer par la cale. Je veux que vous bloquiez la porte. Que tous ceux qui ont une facilité à lancer des projectiles en lancent. Je vois des soldats du Gondor s'avancer de nous.
Nous ne pourrons pas tuer ces Hommes de Harad seuls, mais nous devons tenir assez longtemps pour que nos renforts arrivent. Je veux qu'une fois que ces soldats sortiront de part cette porte vous leur jetiez des projectiles, quoi que ce soit.
En avant Hommes de Dol Amroth!!! Battez vous pour l'honneur, pour la gloire, et pour voir ces engeances mourir. Meme s'ils sont bien plus nombreux que nous, cela ne nous empêchera en rien de remporter la victoire.
Le Gondor a vaincu aux Champs du Pelennor en nombre inférieur à celui des Orques. Les Rohirrims ont gagnés au Gouffre de Helm à 300 contre 10 000. Alors nous avons vaincu nombres de batailles par le passé. Et aujourd'hui ne fera pas exception.

Pour le Gondor!!!!!*

A ce son, les Haradrims défoncèrent la porte qui menait aux ponts.Les dix premiers furent tués par de simples lances ou morceaux de bois. Aussitôt, Galathor s'élanca à l'attaques des Hommes de Harad. Il fut vite suivi par les Chevaliers de Dol Amroth présents. Galathor combattait avec ardeur, et rapidité. Les Chevaliers derrière lui furent indemnes jusqu'a ce que des Haradrims décochèrent des flèches enflammées. Une, deux, trois, puis une dizaine. Une dizaine de soldats tués en quelques secondes. La porte était encombrée par les Haradrims qui arrivaient en masse. Les Hommes étaient faibles. Organisées certes, mais épuisés. Lorsque qu'un grappin tout droit sortit de la brume tua un des Haradrims présent sur le ôté opposé du pont.
Les renforts étaient là.

Les haradhrims avaient enfoncé le passage et progressait sans trop de difficultés.Plusieurs soldats étaient allongés, harassés par les combats et le voyage.

Les soldats du Dringalph débarquèrent naturellement.L'un d'eux avait armé une lourde arbalète et il tira avec puissance dans un groupe d'haradhrims.

Trois d'entre eux s'effondrèrent.

Les soldats tirèrent de lourdes épées et des rapières effilés.

Sus à l'ennemi!!

Les haradhrims reculèrent très vite et certains jetèrent les armes sans grande résistance.

Les soldats du Dringalph rigolaient mais un sentiment furieux pourtant emplissait leur cœur, la haine.

Le capitaine pirate se préparait à combattre quand un carreau le transperça de part en part laissant de ci de là des morceaux de chair.

Les pirates furent tués comme il se devait.

Puis un des soldats de Brethil revint sur le navire dol amrothien et questionna les chevaliers et autres gens de Gondor.


Que c'est il passé ici je pensais qu'on vous envoyé nous tuer?
Qui est votre chef?

Galathor s'avança face à l'homme:

* Mon nom est Galathor, fils de Maelëthor Periondör. Je suis comme qui dirait le chef de ce groupe de soldats.
Je les ai mené à la révolte contre les traîtres servants du Duc, lorsque les Corsaires nous ont attaqué. Sans vous, nous serions morts. Ces Haradrims ont tués nombres de soldats.
Et non nous ne souhaitions pas vous tuer, ce furent les Capitaines de ce navire qui le souhaitaient. Cet homme, le Duc de Dol Amroth doit être détrôné, mais les soldats suivent ses ordres comme s'il était le chef légitime de ces terres. Je pense néanmoins que certains Hommes fidèles à Berund, décédé, luttent contre ce despote. Il faut reprendre la Cité de Dol Amroth. Je suis un Noble de Minas Tirith, mais je compte devenir Gouverneur de la Cité Blanche.
J'exige de parler à votre capitaine, le capitaine du Dringalph.*

Attendant l'apparition du Chef des Hommes de Brethil, Galathor jugea bon d'avertir le Roy Méphisto des évènements qui se déroulaient en ces terres.
Il rédiga une lettre:

Citation :

Mon Roy, je suis Galathor, fils de Maelëthor. Peut être avez vous entendu parler de moi. Réellement, j'en doute. Je me trouve aujourd'hui non loin du Dringalph. Vos ennemis ne sont pas seulement les Hommes de Harad. Peut être avez vous entendu parler de la révolte et de la prise de puvoir qui s'est passée à Dol Amroth. Le Duc de Dol Amroth, compte enrayer Minas Tirith, aidé des soldats de Dol Amroth, déloyaux, ces Hommes qui se rangent du côté des plus forts. Toutefois, des Corsaires et des Haradrims aident cet homme tyrannique à assouvir ses noirs desseins. Un étrange mal se profile sur le Gondor, des hautes trahisons, des meurtres. Je compte essayer de reprendre les rênes de Dol Amroth, mais il n'y a pas assez de soldats je pense. Je resterai en ces terres jusqu'a ce que le bien soit fait.
Le mal qui se lève n'est guère rassurant. Soyez prudent Mon Seigneur.
Je vous envoie cette lettre par le biais d'un oiseau voyageur, un faucon blanc. Je ne sais quand cette lettre parviendras au Palais mais quoi qu'il en soit faites attention à vous, et à vos frontières, car l'ennemi attaque de l'extérieur mais aussi de l'intérieur. Il est fort probable que le Duc de Dol Amroth ait engagé des Mercenaires au sein de la Cité Blanche. Il est possible que ces hommes eurent été engagé dans le but de vous tuer, vous ou un haut-personnage.
Envoyez-moi une réponse aussi vite que possible, par le biais du faucon. Il sait où aller ne vous inquiétez point.
Votre dévoué serviteur Galathor.

Puis le faucon d'un des Chevaliers s'envola en direction de la Cité Blanche.

Le chevalier sourit devant le dénommé Galathor.
Les autres étaient revenu du navire pirate et glissèrent un mot entre eux.

"L'autre n'est pas trop abimé et celui là non plus.Cela serait une belle force de frappe en plus."

"A condition de pouvoir les rallier de notre côté."

"On verra?
On les conduit à Ulfred?"

"Tu crois?Bah oui, il demande le capitaine mais en attendant il aura le second."


Les marins regardèrent le noble alors que celui ci envoyait un message.

"Suivez nous jusqu'au rivage.Le capitaine est absent pour l'instant mais son second vous recevra bien sûr."

Galathor suivit les Marins sans hésiter. Ils naviguèrent vers la côte, et Galathor vit le Dringalph. Ils accostèrent et marchèrent en montant la colline.
Galathor posa un question:

* Qui êtes-vous jeune homme?? Un des Chevaliers de Brethil??*

Celui ci ne lui répondit point ce qui énerva quelque peu Galathor. Enfin il arrivèrent devant un bloc de soldats.

Un des Marins parla:

* Monsieur. Il est là, le Noble qui tua les Corsaires
Faites-le avancer.*

Galathor avança, certes mais ne vit toujours pas l'homme qui était le Second du Capitaine.
Le Noble s'inquiétait aussi de l'absence du faucon blanc, envoyé quelques heures plus tôt à Minas Tirith. Méphisto l'avait il reçu ? Aurait il été tué?
IL n'en savait rien.
A l'horizon, le Ciel se voilait. Une tempête approchait. Le Soleil fut rapidement couvert par les nuages épais et aussi noirs que la fumée qui s'élevait de la Montagne du Destin. La mer qui était bleue s'assombrit, devenant qu'un reflet du Ciel en ses points découverts. Seuls quelques rayons de lumière parvenaient à terre. Le Noble était éclairé par une lumière qui faisait scintiller son armure, éblouissant tous ceux qui se trouvaient aux alentours. Des bruits de tonnerre se faisaient ouïr, tandis que la lumière de quelques éclairs se faisait voir. Cependant, la pluie ne tombait pas, enfin pas encore. Le temps se faisait de plus en plus lourd, l'air aussi.
La pluie tomba et Galathor attendait toujours de voir son interlocuteur, qui discutaient avec d'autres officiers.
Galathor attendit donc sous la pluie, couvert de sang.

Ulfred venait de sortir accompagné de nombreux hommes en armure.

Des cavaliers étaient partis et déjà ils revenaient accompagnés de cavaliers encapuchonnés se cachant aux regards des passants.

Ulfred, Lengle et Yrallyn invitait les venus à rentrer à l'abri des regards puis Ulfred se dirigea vers le noble et s'adressa à lui en ces termes :

"Nombreux seraient les récompenses que des grands seigneurs pourraient vous offrir pour vous remercier de votre action mais nous sommes en guerre.On dit que vous n'êtes pas de la cité d'argent, ainsi vous n'avez en vérité que peu d'autorité sur ces hommes.
Votre choix est simple :
Soit vous nous aidez, soit vous partez et jamais on ne vous citera.

Le plus grand combat va venir et nous aurons besoin de tout les navires disponibles.
Comprenez vous la situation actuelle?

L'homme qui dirigera cette opération est le capitaine du Dringalph, Gebir.
Aux dernières nouvelles, il se trouvait en Mordor.
Si vous décidez de nous suivre, vous serez accueilli comme un représentant du Gondor et vous devrez en rendre compte au roi.
Que décidez vous?"


Ulfred réfléchi, il avait envoyé Furian avec un message pour Gebir mais dans combien de temps parviendrait il à l'avoir?
Furian mettrait au minimum trois jours pour atteindre la cité en toute sécurité.Mais un serviteur dévoué pouvait il faire des miracles.

Galathor ne tarda point à répondre à cet homme, charismatique, qui faisait preuve d'une grande assurance:

* MonSeigneur, je me fiche de l'or ou des joyaux. Je ne veux point de récompense. Mon père fut de Dol Amroth, ainsi que tous mes ancêtres. Ils allèrent vivre à Minas Tirith. Je suis Galathor Periondör, dernier de ma lignée. Peut être connaissez-vous ce nom.
En effet, je viens de part Minas Tirith, où je réside. Mon but était d'honorer mes ancêtres et de saluer le Prince Berund. Mais cet usurpateur, ce Duc m'a envoyé ici, dans les cales d'un de ces navires. Je compte combattre à vos côtés et rétablir l'ordre dans la Cité d'Argent, car je suis un fils de cette Cité. Je sais mener des hommes au combat et c'est avec joie que je servirai Gebir.
Par ailleurs, j'ai envoyé un message au Roy Méphisto, pour qu'il sache la situation ici. Je n'ai pas reçu de réponse, mais si quelqu'un arrive à Minas Tirith et qu'il est votre allié, je pense qu'il ne tardera pas à venir ici.*

Galathor se tut, tous autour de lui le regardait avec une certaine forme de respect, de crainte, et de soulagement.

Ulfred fit signe à un des ses hommes de se rapprocher.
"
Fais ancrer les deux autres navires dans la crique.
Réparez ce qui peut l'être.Il faut qu'ils puissent naviguer.
Nourris les hommes du navire du cygne.
Ils ont subi beaucoup d'épreuves.
Va!"

Il se retourna et invita le noble à rentrer dans le château.

"Ne parlez pas ainsi de Gebir.Ici, vous aurez des hommes possédant un certain statut social.
Or Gebir n'en a aucun il est juste un fils de paysan qui a réussi et qui est très aimé.

Nous allons exposer le plan qui a été préparé il y a un mois déjà.
Donnez votre avis mais ne mettez pas de batons dans les roues car sinon...."


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