Maethor Ranger
Nombre de messages : 29 Localisation : Minas Thirith Rôle : Guerrier - Ranger
~ GRIMOIRE ~ -: Homme du Nord -: 19 ans -:
| Mar 11 Déc 2007 - 13:58 | | C’est pas d’ma faute si tu l’as accepté, Dernod ! dit Maethor
Je sais, répondit le Ranger, mais je n’avais pas le choix non ? demanda Dernod
On a toujours le choix. Maintenant arrête d’appréhender sur cette mission. Ou appréhende dans ta tête, Ranger ! répondit Maethor
Les deux Rangers étaient donc en mission. Leur Caporal avait demandé qu’ils se rendent derrière la Cité, dans les sombres sentiers de l’Emyn Mindolluin.
Selon le Premier Ranger, des éclaireurs de Minas Tirith avaient aperçu des hommes d’armes dans un endroit sombre de l’Emyn Mindolluin. Il fallait donc deux Rangers pour aller les espionner et agir en cas de besoin. Les éclaireurs de la Capital ne savaient pas d’où ils venaient et ce qu’ils faisaient. Ce pourquoi il fallait envoyé des Hommes capables de récolter de telles informations...
Les deux Hommes marchaient alors dans les sentiers rocailleux de la montagne. Derrière eux se tenaient la magnifique Tour de Garde des Peuples Libres, qu’ils venaient de quitter pour obéir à leur Caporal.
Le compagnon de Maethor, Dernod, jeune Ranger de Minas Tirith n’était pas très enthousiaste quant à l'idée d'espionner des Hommes d’origines inconnus.
Maethor lui, était plutôt excité de remplir avec succès, sa première mission.
Alors, demanda Maethor, tu sais le chemin ou tu avances comme ça ?
Bien sûr que je connais le chemin, et lequel tu veux qu’on suive ? Compte les, il y en a pas plus qu’un, cher ami !
On ne sait jamais, peut-être qu’il y a des raccourcis hors du chemin principal ! Parce que si nous cherchons un autre destin qu’a se faire tuer, on f’rait mieux de ne pas resté au milieu de la route. C’est silencieux, une flèche ! rétorqua Maethor, d’une voix basse et discrète.
Certes ! Mais selon les indications de notre cher Caporal, ils ne sont pas près d’ici !
Bon, très bien, continuons, alors...
Les deux Rangers s’éloignaient gentiment du chemin (si on pouvait appeler ce sentier un chemin) et s’approchaient gentiment, mais sûrement de l’emplacement des « brigands ». |
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