Direction le Nord !

Partout, des affiches.
Une annonce générale, en deux mots et moins d'une heure, c'est ous les hérauts et cireurs publics de Minas Tirith qui avaient été rassemblés sur ordre de l'Intendant Radamanthe.

Les fêtes et les beuveries n'avaient commencé que depuis quelque temps à peine... Tant pis, maintenant, il faudrait rester sérieux, car la discussion l'était tout autant.

Et les affiches placardées, dans le message était annoncé à divers endroit de la ville, cela disait :

Citation :

Mobilisation générale !

Suites aux récents événements, il parait clair qu'une action doit être menée pour mobiliser l'entièreté de ceux qui peuvent combattre la menace.

Nous partirons tous dans très peu de temps.

Direction le Nord et Fondcombe !

Alors qu'Hasharin était dans sa boutique, il entendit frapper à la porte, il se leva et ouvrit il vit un homme qui placardait une affiche sur la porte " Mobilisation générale pour le Nord" Hasharin jetta un regard noir sur l'homme et celui-ci partit sans attendre.... Hasharin arracha la feuille du clou et la parcouru, il retourna dans la boutique et s'adressa à son apprenti.
-Encore une fois je te laisse le magasin, et Umbre vu qu'il est parti, je partirai avec Oeil-de-Nuit et Hanor. Si il y a un contrat facile tu l'exécute et dans le cas contraire tu demande à attendre mon retour...
Hasharin s'équipa au maximum, comme il l'était tout à l'heure sur les murailles. A sa ceinture pendait la magnifique dague offerte par la Cité.


Enfin il passa chez lui cherché des provisions et Hanor sont déstrier du Harad. Beaucoup de gens dans la rue le regardait avec méfiance, il mit alors sa capuche et continua vers le haut de la cité sur la place du marché, là où il avait tué Rustor et Sombre-Chene.

Il attendit qu'une connaissance ce présente sur la place, tel que l'Intendant, Mithrandir, ou tout autre personne,il patientait dans un coin appuyé sur son cheval, les gens l'évitait, lui et son regard, le loup entre les jambes s'amusait à montrer les crocs pr effrayer les passants...

Le son mat des clous qui s'enfoncent dans le bois réveilla Earnur il sortit du lit et enfila quelques vètements pour aller voir qui esquintait sa porte à seul dessin d'y placarder un quelconque avis. Il sortit juste à temps pour voir un petit homme barbichu tourner les talons, portant sous son coude un épais rouleau d'affiches identiques à celle qui venait d'être placardée sur la porte de son vestibule . Il regarda s'éloigner le petit homme avec consternation et vit ce dernier rejoindre son assistant qui portait à la main les armes du crime, un marteau et un sac de clous . Puis il reporta son attention sur l'affiche . L'étonnement le saisit , les mots gravés sur l'affiche compensait bien le grief fait à sa porte , départ vers le nord le plus rapidement possible. Sans même prendre le temps d'avaller un morceau , il courut jusqu'à la place du marché . Il croisa sur sa route de nombreux gens qui lisait d'un air tout aussi ahuri que lui les panneaux et des propriétaires de portes qui ne trouvait pas la chose à leur gout. Enfin il déboucha sur la place du marché ou une foule grandissante se pressait déjà . Sur une Estrade l'intendant annonçait la nouvelle , nous partons donc vers le Nord , sùrement sur les traces de l'armée d'il y a quelques jour , quels étranges décision on bien pu être prises par nos chefs? pensa t-il. Enfin , on avait parlé d'un départ rapide , mieu vallait redescendre se préparer et prévenir sa femme . Il lui faudrait aussi passer prendre des flèches car les étendues solitaires ne regorge pas d'armuriers.

L'Intendant revenait. Pour la première fois depuis plusieurs jours, son visage éait fraîchement rasé, il avait pris le temps de revêtir des habits plus adaptés à la situation et en meilleur état, de plus, ayant eu enfin la possibilité de prendre soin de ses armes ainsi que de la cotte de mithril qu'il avait revêtu sous son manteau, il ne s'en était pas privé.

il paraissait évident qu'il avait eu quelques discussions avec le Roy Méphisto. Longs débats, sans doute, mais nul ne savait exactement ce qu'ils s'étaient dit et ce qu'il en avait découlé, car ce genre de réunion est on ne peut plus secrète.
Néanmoins, on pouvait de même notifier, en faisant bien attention, que l'Intendant portait un objet avec lequel il n'était pas coutumier de le voir. C'était une chose sphérique et recouverte d'un morceau de tissu ouvragé. On put remarquer, lorsqu'il la rangea dans un repli de son manteau, qu'il la maniait avec précaution, comme si c'était précieux ou bien qu'il s'en méfiait d'une manière ou l'autre.
Ou peut-être les deux...

Il s'avança, se planta sur l'estrade.

"Il a été décidé que nous partirons, avec la majeure aprtie de l'armée, dans une direction qui se précisera. Nous pouvons croire que la menace n'est plus ici, mais que c'est ailleurs qu'il faudra se battre pour restaurer la sécurité, et ce dans notre intérêt et celui de tous nos alliés.
Le départ est très proche, tenez-vous prêts."

En allant j' ai lui, il écouta l' intendant en disant :

Citation :

Il a été décidé que nous partirons, avec la majeure aprtie de l'armée, dans une direction qui se précisera. Nous pouvons croire que la menace n'est plus ici, mais que c'est ailleurs qu'il faudra se battre pour restaurer la sécurité, et ce dans notre intérêt et celui de tous nos alliés.
Le départ est très proche, tenez-vous prêts."

Il ne voulais pas laisser des personnes y aller et non lui et surtout aprés avoir vus une armée aussi grande pouvantdétruire une grande ville sans fortiffication.

Il allait jusqu' a la place du marché et lui aussi voulait partir pour les aider , il n' avait pas d' épée mais il pourrais bien prendre une arme parterre dés qui aurras plus de fléches ou aller se dépécher d' aller a une armuries et revenir a la place du marché.

Il était clairement temps, il ne fallait plus tarder.
Radamanthe regardait les émissaires de partout arriver. Bien sûr, ce départ prendrait un temps certain, car c'était véritablement toute l'armée Gondorienne qui était levée ainsi, ayant appelé les alliés qui n'avaient eu le temps de rejoindre la Cté lorsque la menace s'était précisée au Sud.
De ce fait, les troupes de la Cité Blanche semblaient déjà un peu plus conséquentes qu'on avait pu le voir il y a quelque temps.

Et, dès lors, le voyage serait lent, à cause des nombreuses différences entre tous les groupes qui se mettaient en route, car c'était là une armée bien plus étendue que celle partie dans le Sud, à l'époque où radamanthe n'était pas encore Inendant, pour prêter main forte à feu Meakil Duzingi, qui devait devenir émir d'Harondor, pour une période trop courte malhueruesement.
Cette fois-ci, l'ordre avait été général, tout le monde avait été mobilisé, avec la promesse de grandes récompenses pour ceux qui survivraient à cette aventure périlleuse, vers l'Inconnu.

La Cité Blanche vivrait au ralenti pendant bien longtemps, les marchands ne pourraient plus vendre qu'aux civils restés sur place, sous la surveillance d'une garnison très réduite.
Quelques conseillers et nobles, un capitaine, s'était tout ce qui restait sur place.
Radamanthe lui parlait à l'instant même.

"Capitaine Nogard, vous possédez dès maintenant, façon de parler, les clés de la ville. Vous aurez le devoir de potéger ses habitants si quelque chose tournait mal... Que votr devoir ne faillisse pas..."


On voyait déjà les premieres unités partir, les fantassins aux équipements lourds, et bientôt d'autre se mettraient en route, et cela finirait par être le tour du Roy de partir vers Imladris.

Earnur était revenu place du marché , étant donné qu'il était éclaireur, sa place était plus tot devant l'armée , et non derrière. L'intendant se tenait là , pensif , ou donnant des ordres aux capitaines. Earnur n'allait plu tarder , juste le temps de voir de quelle manière allait se passer la suite. Il était équipé pour un voyages de plusieurs mois , avec tous les achats dont-il avait eu le temps de s'occuper. Il la traversa d'un pas pressés . Non , c'était inutile d'attendre d'avantage , il fallait partir .

Sombre-chêne était resté en arrière, à l'abri des regards sous un portique. Appuyé sur une des colonnes, il observait la scène qui se déroulait devant lui. Les habituels apostrophes des commerçants avaient été remplacés par les ordres beuglés par les commandants peu scrupuleux et les pleurs des femmes dans les bras de leurs maris, sans doute pour la dernière fois. la joie de tantôt avait vite était remplacée par la tristesse.

Toutefois, l'ambassadeur put remarquer un lueur de joie dans les yeux d'une personne. Une personne qui marchait anodinement sur la place se fryant un chemin dans la foule. En fait, s'il eut pu passé inaperçu en temps normal par son désintéressement, c'était ce détachement qui attira l'attention de l'elfe. Heureusement pour lui, tous les autres étaient trop occupés en embrassades et préparatifs de dernière minute pour le remarquer.

Sombre-chêne put voir l'étrange personnage détacher une lourde bourse de la ceinture d'un des rares bourgeois qui restait et qui, absorbé par sa discussion du malheur qui se passait avec un gradé, ne remarqua rien. Le voleur croisa l'espace d'un instant le regard de l'elfe et disparut aussitôt. Aucune chance de le retrouver.

Tout en pensant à ce qu'il venait de voir, l'ambassadeur se glissa dans une étroite ruelle à l'opposé de la direction que l'armée prenait. Il aurait un peu de retard, mais il serait toujours temps de rattraper l'expédition. Avant, il devait se procurer une feuille et de l'encre pour écrire à une alliée. Ensuite, il irait le rejoindre pour encore quelques explications, et finalement il irait au Nord.

Il arriva du côté ou le voleur c' était enfuie, au début il croyais que c' était un soldat partie a la forge mais quand il vut avec un sourire est sa bourse, il reconnut que s' était un voleur, mais quand il voulut lui courir aprés il était déja partie, il revue ensuite le même elfe qu' il avait déja vut sur les muraille. Il regarda Minas tirith et son haitation, aprés il regarda en direction de la grande porte et des muraille. Il était triste de partir l' endroit ou il avait vécu pendant quatre ans, et surtout il pourrais pas revenir a Minas Tirirh et plus rien voir ensuite car il pourrais étre tuer, mais avant il aimerai bien revoir Foncombe avant. Il se métta dans les rangs et il suivit les autre soldat .

Finalement revint l'Intendant. A ce moment là de la journée, la majorité des troupes était déjà en mouvement, certaines unités n'étaient déjà plus que des points àl'horizon, laissé un moment à la seule responsabilité de leurs capitaines...

On mit donc Radamanthe au courant des dernières nouvelles importantes, et qu'il n'avait pu entendre de par son petit voyage au Palais.
- Mithrandir et ses gens ne sont pas montrés, Monseigneur.

Radamanthe grimaça, car bien l'homme ne sache pas vraiemnt de quoi il en retournait, cette guilde était une alliée non-négligeable. Bien entendu, il aurait pu deviner que la réunion se prolongerait, et il avait pris quelque disposition.

"Nous ne serrons pas difficile à rejoindre. Nous ne pouvons attendre, néanmoins, bientôt nous les verrons..."

Ainsi Radamanthe se mit en route, avec un groupe de soldats particulièrment conséquent.
En la Cité restaient quelques troupes, avec le Roy, et le Mage dans sa Tour. Ils se retrouveraient un jour.

Bientôt tous seraient en route pour former l'armée unie de Gondor.



[Si vous êtes dans l'armée, vous vous trouvez logiquement ici, ou en éclaireur. Il sera toujours possible de nous rejoindre.]