Double assaut sur la Cité du Cygne

Thonin frappa. L’archet tomba de la muraille et alla s’écraser sur la plage. Le feu des flèches commençaient à brûler quelque entrepôts, semant la confusion parmi les défenseurs. Le soleil de l’aube éclairait des scène que tous auraient voulu éviter…

Au loin un famille pleurait sur un corps d’homme. Etait-ce le frère ? Le père ? L’oncle ? Il ne le savait pas, mais, en pensé, donna toute son affection à la famille de cet homme mort. Et au même moment, il en tua un autre…

Décidément, la guerre était chose cynique…

Il s’arrêta, protégé par ses hommes qui combattaient tout autour de lui. Devant eux, le gouverneur de Minas Tirith menait l’assaut contre une tour. Dans quelques minutes il en aurait fini avec les quelques hommes qui espéraient y être secourue… Dans la ville, les lointaines rumeurs d’un combat lui parvenait… Mais un combat déjà perdue par les hommes du Duc félon…

Le Duc…

Il repensa au plan. La bataille au port n’était qu’une diversion pour permettre aux autres de monter directement dans le palais par le même passage qu’avait utilisé Berund… Finalement en y repensant, cela avait dut être un erreur… Car le duc félon s’en saurait sûrement souvenue…

Il avait demandé à Ajax, bon pour le cris de guerre, et à Odrille de lever haut sur le palais la bannière de Brethil accompagné de celle de Minas Tirith. Sen l’avait soutenu : cela effrayerai les ennemis dans la ville et dans le port, et confirmerai aux soldats qui étaient dans la flotte la capture de l’ennemi…

Il regarda plus attentivement…

Est-ce que ???

"Non… Déjà ?" souffla-t-il...




La Soleil se leva sur la cité du Cygne, comme chaque matin.

Elle fit son devoir en éclairant toutes les habitations de la cité de Dol Amroth, aussi bien les installations du port que le palais du Prince. Il l’avait vu construire cette cité. Il avait vu de nombreuses choses en cette endroit : la noyade de l’elfe Amroth, la construction de la cité, le départ au combat du Prince Imrahil, le passage de nombreuses flotte pour combattre… De grande chose pour les hommes, si futiles pour elle… Ce qui l’intéressait, c’était de porter la lumière des Valar, et eux, ces simples mortel, ne pensait qu’à se regarder, qu’à rega, l’admirer…

Puis, des qu’elle partait, ils s’en plaignaient et craignaient de nombreuse chose dans l’obscurité…

Mais aujourd’hui, la Soleil y regarda de plus près. Car elle avait vu de nombreuse chose, mais celle-là, jamais…

Des frères se battaient pour le contrôle de la cité du Cygne, pour lever la bannière de leur seigneur sur le dame du Sénat… Oh, les Valar avaient sûrement un préférence pour ceux qui étaient alliés au elfe, mais elle, aucune…

Elle regarda tout de même, attentif comme toujours à tous ce qu’il se passait…



La bannière de Brethil s’éleva dans le vent d’Ouest.

Un rayon du soleil l’éclaira, faisant resplendir son rouge et, ceux qui la regardèrent monter eurent l’impression que le dragon prenait vie. Le dragon du Heaume de Dor-Lomin, fait par les nains pour tourner en dérision le Dragon de Morgoth, Glaurung…

La bannière de la victoire était levé…

Dol Amroth rentrait dans les fiefs fidèles au Roy Tar-Mephisto du Gondor…

Les bannières rougeoyantes et resplandissantes de leurs vives couleurs flottaient dans le vent frais matinal. Les fumées noirâtres se dissipaient dans le jour éclatant, et les rayons du Soleil venait toucher le Palais de leur lumière chaude.
Galathor fut couvert de sang, et son armure blanche, devint vermeille et les pavés de la Cité furent couverts du sang des Traîtres. Les ruisseaux rougeâtres coulaient dans les orifices, et entre les pavés de pierre blanche.
Les lances furent plantées au sol et les bannières de Dol Amroth, portées par les Hommes Corrompus de Dol Amroth n'évoquaient nulle fierté.
Galathor se dirigea vers le Palais, suivi des Fidèles de Dol Amroth. Le silence régnait dans les rues encore enfummées.
A certains endroits, quelques traîtres tentaient en vain de s'échapper.
A d'autres, les rayons du Soleil ne firent point leur apparition. Peu de gens acclammaient Le Noble, ils ne le connaissaient point.
Eu égard de son avancée spectaculaire sur les quais, certains criaient:

* Hourra, vive le Soldat Blanc!!*

Galathor arriva sur l'esplanade du Palais, escorté des Fidèles et vit Gebir, le fidèle Gebir.
Il le salua:

*Salut à vous Gebir! Votre réputation vous précède. Quelle percée phénoménale dans les défenses de la Cité. Jamais je n'eut vu tel retournement de situation. Je vous félicite Gebir, je vous admire!*

Puis Galathor regarda les quelques nuages de fumées s'échapper des murs encore sombres.

Si Galathor avait tourné son regard en direction du Sud, il aurait pu voir une armada de voiles blanches, avançant le vent en poupe et à grande vitesse, et se dirigeant droit vers la Cité du cygne...

En effet, une vingtaine de puissants navires Gondoriens avaient quitté le port de Pelargir il y a bien des jours, avec dans l'un d'eux le prince Eaque, accompagné de Tior, dunàdan d'Arnor et messager d'Halbarad, Hector, un elfe de Fondcombe, et Hasharin, le mystérieux assassin de la Guilde.

Tous ces gens avaient pour but de se rendre dans le Nord, afin de participer à la guerre qui s'annonçait. Mais une escale à Dol Amroth était nécéssaire, et Eaque avait tenu à s'arrêter dans la cité côtière.

Or donc la flotte de Gondor, qui n'était qu'une traînée de points blancs au début, devint bientôt visible à mesure qu'elle se rapprochait du port de la ville du Cygne. Là les marins réduirent la voilure, et essayèrent tant bien que mal de s'amarrer.

Nul être n'avait mis le pied sur la terre ferme pour l'instant.

Galathor regarda l'horizon devenu calme et clair, et vit les fameuses voiles du Gondor. Malgré la bataille au Sud, il eut quelque écho de la guerre qui faisait rage au Nord. Il désirait hardemment rentrer à Minas Tirith, mais il ne pouvait laisser les Dunedains combattre seuls.
Il vit du sang sur l'esplanade et comprit l'évènement funeste, quoiqu'utile qui venait de se dérouler.
Le Noble de Minas Tirith rêvait de voyages, de gloire et de pouvoir, mais son poste de Noble ne pouvait ne rien permettre à Galathor.
Le Noble regarda donc les voiles blanches qui avançaient vers les quais et se rememorait les Blanches Nefs des Teleri.
Il ne souhaitait pas descendre jusqu'au Port et laisser Gebir là, sans même attendre réponse de sa part.
Alors Galathor se posta face au Port faisant un geste aux navires.
Le vent soufflait de moins en moins, mais assez pour que la Bannière de Brethil puisse être vue de loin.

Les navires allaient accoster et Galathor voulut souhaiter la bienvenue à ces hommes. Alors il envoya un des Fidèles jusqu'aux Quais, souhaiter la bienvenue aux soldats du Gondor dans une cité libre.

La bataille avait fini. Les combats dans la cité avait cessés.Partout le sang sur le marbre et la pierre.

Partout, des seigneurs morts. De grands seigneurs.
Partout, des familles déchirées, des blessés agonisant et des guérisseurs allant de ci de là arrêtant les hémorragies et achevant avec une certaine bonté les mourants.

Gebir avait tenté de reprendre sa lance de la pierre mais rien à faire.
Pour la retirer il aurait fallu briser la pierre.

Il la laissa, un témoignage de la rébellion contre les traitres.

Dans le port, Meneldir tentait d'éteindre le feu et de sauver ce qui pouvait l'être alors que de nombreux seigneurs montaient au palais en attente d'une déclaration. Ils pénétrèrent tous à l'intérieur alors que les chevaliers de Brethil et Gebir regardait la cité.

"Nous avons gagné. Il est vengé.
Nous enverrons un message au prince."

Tous acquisèrrent de la tête.
Beaucoup avaient des blessures mais rares étaient les blessés graves.

Un homme à l'armure blanche se présenta devant lui lui adressant comme beaucoup ses félicitations.

Gebir le remercia amplement :

"Ce que vous avez fait est très courageux. Les hommes d'honneurs sont ici récompensés. Nous reparlerons de cela quand la cité sera en une meilleure forme. En attendant, j'ai d'autres affaires à régl....."

Les trompettes avaient retentis car pendant que tous regardaient leur cité d'argent , une flotte avait contourné la presqu'ile et avait accosté dans le port.

Gebir fit signe à Furian de s'approcher.

" Retiens les autres seigneurs dans le palais. Préviens juste Yralldn que une flotte du Gondor est arrivé."

Il descendit, suivis par ceux qui l'entouraient vers le port où une flotte de vingts bâtiments avaient accostés.

Il s'approcha du navire amiral qui descendit une passerelle jusqu'aux quais.
Sur le haut, il reconnut un jeune homme noblement habillé entouré par Ajax à la main lourde et Nestor le vieux.

Meneldir accourut suivis par Ulfred et d'autres forestiers. Tous se demandaient ce que venait faire une si importante flotte alors que la cité avait été reprise.

Le soleil illumianit la Cité, et Tior, se tenant sur le pont, put voir les étendards rouges et or flotter dans le vent frais du matin.

"Ainsi Dol Amroth est aux mains des hommes de Brethil, pensa Tior... Voilà une bonne chose. Avec les rumeurs de la guerre, je m'attendais à bien pire compagnie..."

Puis le navire amiral s'immobilisa, et une passerelle fut installée pour que tous ceux qui le désiraient puissent gagner la terre ferme. Eaque et Tior faisaient partie de ceux-là, et ils ne tardèrent pas à atteindre le quai.

A ce moment vinrent un groupe de ceux que l'on nomme les Fidèles, qui souhaitèrent la bienvenue à l'équipage.

Puis vinrent aussi un groupe de forestiers, et avec eux Meneldir, Ulfred, et Gebir. Mias ils semblaient faire plus grand cas d'Eaque et de ses confrères que du Dunàdan et de l'Elfe.

Tior ne trouva rien à dire pour l'instant... Il se tenait à l'écart du groupe, au cas où Eaque aurait besoin de lui. Après tout, c'était le frère d'Eaquem qui avait décidé de faire escale dans la cité portuaire, et pour quelle raison... le Dunàdan l'ignorait. Il savait juste qu'il fallait prendre de l'équipement et des vivres pour leur long voyage à venir...

...leur voyage vers le Nord.

Peu de temps après, vint Galathor, Le Noble de Minas Tirith.
Malgré le sang qui couvrait son armure, celle-ci ne cessait de scintillait.
Le vaisseau amiral fut beau et puissant, et comme l'eus pensé Galathor, il était l'égal des Blanches Nefs de Tol Eressëa et d'Alqualondë.
Alors, Galathor se dirigea vers le dit Eaque, nouveau prétendant au trône de la Cité du Cygne.
Entouré des Fidèles de Dol Amroth, il s'avanca. Digne de sa réputation il souhaita la Bienvenue aux Hommes du navire.
S'approchant d'un Homme, apparemment Dunàdan et lui dit:

"Salut à toi Homme du Nord! Le courage des Dunedain ne fut point altéré par le temps, ou l'exil. Je suis heureux de revoir un "confrère" dirais-je.
J'eus ouï dire que la guerre faisait rage au Nord et cela me désole de ne pas avoir pu venir plus tôt.
Au moins, Dol Amroth est désormais libre. Je vois que vous êtes accompagné d'Eaque, votre réputation à tous vous précède.
Puisse les Valar vous protéger dans ce périple risqué"

Puis Galathor se dirigea vers Eaque et lui adressa ces paroles:

"Bien le bonjour, Eaque, prétendant légitime au trône de Dol Amroth. Je suis fier de voir un Homme bon prendre les rênes de la Cité, et je vous en suis reconnaissant. Je ne sais si vous avez combattu pour atteindre le Port, mais je me doute que si.
La Cité reprend vie peu à peu après le choc qu'elle a subie.
Même si je vis à Minas Tirith, et que j'en suis originaire, sachez, Prince, que je serai toujours fidèle envers vous et que mon allégeance envers le Prince et Héritier légitime du Trône de Dol Amroth ne sera jamais bafouée.
J'espère que vous rendrez cette Cité aussi radieuse qu'elle le fut lors de ses "Belles Années" et je n'en doute point. Désormais, les fondateurs de ma famille seront honoré et demeureront en paix.
Que les Valar soient à vos côtés, dans vos épreuves les plus sombres, Eaque."
Puis Galathor alla se poster en retrait.

Alors que le dunàdan attendait à l'écart du groupe d'Eaque, il vit s'avancer, venant de la Cité où le marbre blanc contrastait avec le rouge luisant du sang, un Homme qui se démarquait des autres par sa prestence et son allure. Il s'agissait là de Galathor, bien que Tior ignorait son nom, n'ayant jamais croisé sa route.

A sa surprise, l'individu à l'armure étincelante vint en sa direction, le saluant et prononçant quelques phrases de politesse. Tior s'inclina à la manière des Dunedain, et il repondit aux paroles de Galathor, avant que ce dernier ne se tourne vers le prince Eaque:

"Salut à vous, noble guerrier. Le courage de tous les Hommes ne fut point altéré par le temps, dirai-je... Je suis heureux de rencontrer une compagnie aussi acceuillante, car notre voyage depuis Pelargir fut long et monotone."

Tior leva les yeux vers la Cité, où venait de se dérouler la bataille. Il ne savait quel était l'armée vaincue, mais avait seulement entendu dire qu'il s'agissait d'humains, qui auraient normalement dû être tous des frères. La trahison n'est pas la moindre des douleurs dans une guerre.

"Et du courage, il en faudra! reprit le Dunàdan. Car votre ouïe ne vous a pas trompé: l'Arnor est bel et bien en guerre. Mais nous aurons le temps d'en reparler avant notre séparation, je pense... Puisse le soleil briller à jamais sur votre route..."

Puis Galathor se tourna vers Eaque, et Tior se tenait à côté d'eux pour ne rien rater de la discussion.

Hasharin fut encore malade pendant trois jours, mais des que le bateau accosta il prit toutes ses armes s'attendant à une bataille. Il fut le premiere homme à sauter du bateau avant même que la paserelle soit installée. Il atterit, fit une roulade et sortit son arbalete à double tir. Aucun signe d'enemie.

Rapidement arrivèrent deux connaissances de l'assassin....Meneldir et Gebir. Il s'approcha d'eux et tint se discour:
-Cela fait un bail les amis. Toujours vivants ca m'étonne de vous...Je m'attendais à voir une citée en flammes, veut cadavres entouré de dizaines d'enemies morts autour dans la rue, et un homme qui vous regardait les yeux emplit de joie. Mais heureusement ce n'est pas la cas.
Hasharin avait toujours son doigt sur la detente de l'arbalete, un enemie, un assassin pouvait toujours etre ici.

Des que la passerelle dut baissé OEil-de-Nuit vint se placer aux cotés de son ami.

Meneldir avait sourit en voyant descendre son ami Hasharin du navire, armes au poing, l'envie de tuer dans les yeux.

"Peut être longtemps pour toi mais nous avons eu fort à faire ces dernières semaines.Le combat qui vient de se terminer m'a épuiser et je crois que l'heure est venu pour moi d'arrêter tout cela. Je crois que mon départ pour le nord est imminent."

Meneldir se tourna vers les autres personnes et reconnut Eaque qui était l'héritier de Berund au niveau du titre de prince de Brethil mais pas de Dol Amroth.
Avec lui, une homme du nord et un elfe ainsi que les quelques chevaliers de Brethil absent pour la bataille.

"Gebir, je doutes qu'il faille laisser ces hommes ici au port. Les seigneurs s'impatienteront déjà? "

Meneldir montra au nouveaux venus le chemin vers le palais.
Eaque lui tendit pourtant une lettre cachetée.
Le couteau permit de la défaire et Meneldir reconnut vite l'écriture fine et précise de Mithrandir.

La retraite serait reportée. Une mission de la guilde le rappelait vers le Gondor et ensuite les royaumes nains.

Gebir avait rapidement compris la situation.

La vitesse d'exécution et de préparation devrait être grande.Il savait qu'il devrait régler les problèmes avant son départ ou tout au moins les déléguer.

Il fit signe à Ulfred et à un Earkano se trouvant parmi eux.

"Vérifiez l'état des navires, je veux un état complet de chaque navire militaie ou non dans une heure avec les earkanos et amirals.
Ulfred, je veux que le Dringalph soit en capacité de prendre la mer demain, c'est possible?"

"Quelques tirs de balistes ont dû endommagés la coque mais je pense que ce n'est pas si grave. Je vais trouver des charpentiers pour réparer tout ça."

Gebir se tourna vers les autres mais ceux si avaient déjà commencer à se diriger vers le palais.

Seuls quelques chevaliers de Brethil et l'elfe semblaient rester au port.

Gebir rattrappa tout le monde au niveau de la muraille.
Il se plaça à côté de Meneldir. Des corps jonchaient le sol et les pierres rouges semblaient refléter le soleil.

"La vie est trop courte. Le temps nous manque."


Gebir passa la porte et mena la compagnie dans un bureau à l'écart des oreilles.

"Je m'excuse mais je dois m'entretenir avec les seigneurs."

Tous les nouveaux venus suivirent Meneldir et arrivèrent finalement au palais, après quelques sauts et zigzags pour éviter les corps ensanglantés.

Tout en marchant, Tior demanda à Gebir, qui marchait devant lui:

"Vous avez dit, seigneur, que vous souhaitez prendre la mer avec le Dringalph dès demain, n'est-ce pas? Allez-vous voguer avec nous jusqu'au nord. toute aide serait certes la bienvenue... Mais peut-être que je me trompe et que vos intentions sont tout autres."

Le Dunàdan était entouré de quatre confrères de la Guilde: un nain et trois Hommes. Meneldir et Gebir n'étaient présent à la réunion dans la tour de Mithrandir, sûrement trop occupés ailleurs...

Cela lui rappela que le frère d'Eaquem avait été nommé en tant que Ghuildmaître des Lames, et Tior se risqua à lui poser la question qui le tracassait depuis un bon bout de temps:

"Eaque, cher confrère de la Guilde, puis-je vous demander si vous avez choisi vos second pour vous aider dans la grande tâche qui s'annonce?"

Les grandes portent se refermèrent avec un bruit sourd. A l'intérieur du palais, les couloirs, les salles, et les divers passages plus ou moins secret se succédaient, comme s'il s'agissait d'un labyrinthe.

Hector descendit du navire il voyais des cadavre dans le port et une mer de sang de partout, il se doutas qu' une très dure bataille s' était déroulé en ses lieu, il regarda le chevalier qui était en train de demander si il y aurais une autre mision, il écouta :

Citation :

Une autre mission ? si oui pourrais - tu m' en dire un peu plus ?

Hector savait très bien que la personne dont il avais question n' en savait peut-être pas autant de lui alors il dit:

Bonjours bien que tu me connaisse pas moi non plus , j' ai écouté que vous voulez savoir si il y avait d' autre mission, ben oui s' est vrai qu' il en a une, on poursuit une armée d' haradrim qui s' est approché de Minas Tirith. IL nous ont ignoré donc voila c' est tout se que je sais si tu veux d' autre information tu peux demander d' autre information a d' autre personne.

Eaque monta les marches du palais. Il était là en tant que Haut conseiller du Roy et non en tant qu'héritiez de Berund. De plus, la loi de Dol Amroth permettait l'héritage par les hommes mais non point par les femmes comme celle de Brethil...

Il voyait donc ici la cité dont son oncle était Prince, mais lui ne le serait jamais...

Les chevaliers de Brethil l'entouraient, faisant attention a ce que les quelques derniers hommes fidèles au duc félon ne tentent pas un assassinat...

Il devait s'entretenir rapidement avec le gouverneur de Minas Tirith en tête à tête pendant que la flotte se préparerai. Puis il ferait route vers le Nord.

Mais en tout premier lieux, il irait devant le Sénat pour leur demander assistance au nom du Roy Méphisto.


HRP// Hector, si je peux me permettre un conseil, relit à voix haute tes Rp quand tu les a fini, tu te rendra compte d'une ou deux erreurs de sens... Je sais, je fait moi même pas mal d'erreur avant de me relire...^^//HRP

Meneldir salua Erco qui revenait avec Nimdalf du combat.

On pouvait voir que Erco en était à ses premières batailles car il semblait prêt à recommencer.

"Perdre des plumes, je crois avoir déjà perdu de chair pour le Gondor.
Maintenant je vais devoir repartir à Minas Tirith.

Mais oui, une autre mission est apparu, bien qu'encore officieuse mais plus pour longtemps.
une mission qui semble conduire vers le Nord et le royaume jumeau du Gondor, le grand Arnor et Fornost.

Je ne puis vous dire avec précision ce qu'il va vous arriver car malgré votre engagement dans cette bataille, vous n'êtes pas un soldat de Dol Amroth et je pense qu'il vous faudra retourner auprès du Roi. Or celui ci est parti vers le nord donc le mieux serait de partir avec Gebir."

Meneldir tata le contenu d'une sacoche pour en sortir du lembas.
Il murmura quelque chose à son cheval.
Les nains allaient avoir de la visite.
Quel homme aurait pû mieux représenter ceux ci chez les petites personnes barbus.

Combattant à la hache et à l'arbalète, un peu plus grand que le plus grand des nains et barbu. Alcoolique en plus. Parfait, ils vont m'adopter.


[HRP persos utilisables dans la limite du raissonable avec monopole pour eaque.ne pas oubliez que Meneldir ne part pas au nord HRP]

Ainsi Meneldir allait repartir pour la Cité Blanche... c'était son choix. Tior, quant à lui, aurait bien aimé avoir un Nain pour compagnon de voyage dans le Nord.

"Il aurait été bien que toutes les races soient représentées dans la grande guerre qui nous attend dans les régions septentrionales, pensa Tior. Mais je ne doute pas que, même si Meneldir ne vient pas, d'autres petites personnes descendront de leurs montagnes pour combattre à nos côtés."

Mais il ne fit pas part de sa pensée à Meneldir, sachant que le choix d'un nain, lorsqu'il était fait, devenait aussi inflexible que la pierre.

Par contre, Tior avait ouï dans les paroles du Nain que le Roi de Gondor se rendait dans le Nord. Il l'ignorait jusque là, et se rendit compte que les affrontements qui allaient se dérouler dans son Royaume d'Arnor étaient de toute première importance.

"Ainsi Mephisto se rend dans le Nord, selon vos dires... Voilà certes une nouvelle!"

De plus Erco Skaline allait peut-être, lui aussi voguer avec eux. Le nombre de guerriers se rendant au Nord grossissait de plus en plus.