Nom : Palantir (qui voit au loin et partout)
Prénom : Calion (le lumineux)
Surnom : Narmacìl (Epée de feu)
Âge : Né en l'an 1200 de l'Âge des Arbres
Rôle: Ambassadeur du Conseil Elfique
Description physique : Il arbore une luxuriante chevelure d'ébène agrémentée de quelques tresses élégamment disposées le long des côtés, une couronne naturelle qui encadre majestueusement son visage. Celui-ci, finement ciselé, dévoile des traits légèrement creusés, évoquant une élégance intemporelle. Sa peau d'une blancheur immaculée, bien loin de la pâleur, porte la marque de la grâce elfique sans aucun stigmate des affronts qu'il a pu endurer au fil des âges. C'est un visage digne d'un Elda, un porteur de la Lumière des Arbres. Mais ça, c'était à l'aube de sa vie. Au fil des Âges et ses multiples blessures, son corps est devenu marqué de traces lames, son nez est cassé mais droit.
Sa silhouette, élancée et svelte, reflète la grâce caractéristique de son peuple, tandis qu'une stature impressionnante, frôlant le mètre quatre-vingt-treize, révèle la noble hauteur des Eldar. Chacun de ses mouvements exprime une agilité extrême et une souplesse exceptionnelle, que ce soit lors de la traque silencieuse, de l'escalade agile des arbres ou des esquives gracieuses pour éviter projectiles et coups. Pourtant, cette élégance ne masque en rien une robustesse et une force qui évoquent celles des Premiers Nés.
Ses yeux, d'un noir profond, brillent de la Lumière des Arbres, une lueur mystique qui témoigne de la connexion intime entre son être et les forces immortelles de la nature elfique. Chaque regard révèle la sagesse et la puissance d'une âme ancienne.
Histoire : Âge des Arbres
« Les Elfes édifièrent leur cité au sommet de Túna, Tirion aux murailles d’albâtre, et la plus haute tour fut celle d’Ingwë, Mindon Eldaliéva, dont le phare d’argent éclairait jusqu’aux brumes marines. » Quenta Silmarillon
Il s’agissait de la description de Tirion, première des cités construites par les Eldar en Valinor. Entouré de hautes murailles d’albâtre, la cité d’Ingwë puis de Fingwë baignait dans la lumière de Laurelin et Telperion, les Deux Arbres de Valinor que la Valië Yavanna planta des siècles auparavant. C’est au début de l’Année des Arbres 1400 qu’un Elfe parmi tant d’autres naît. Il se fit appeler Calion « le Lumineux » car le jour de naissance, la lumière dorée de Laurelin brillait intensément sur Tirion. La naissance de Calion fut célébrée aux pieds des Deux Arbres. Son père prénommé Calimmacil, duquel Calion tenait son prénom, était l’Elfe le plus heureux à ce moment. Sa mère était Irildë et elle partageait ce sentiment de bonheur. La paix régnait sous la lumière des Deux Arbres bénis. Calion était un Elda du peuple de Finwë les Noldor. C’est ce dernier qui mena le père du père de Calion en Aman. Mais la famille de l’Elfe venant naître n’était pas proche de leur meneur mais ils lui jurèrent allégeance. Calion allait grandir parmi de grandes figures de son clan.
Ses premières années furent celles d’une jeune Elda qui s’éveillait et s’épanouissait en Aman auprès des siens. Les années continuaient de passer et un ombre surgit du Sud du continent immortel, dans un ravin aux pieds du Hyarmentir. Un esprit empli de ténèbres et incarné dans la forme d’une gigantesque araignée, la mère de toutes les autres. Calion était âge de 92 ans lorsque Melkor rejoignit Ungoliant et qu’à eux deux, trois ans plus tard détruisirent les plus beaux arbres du Monde. Celui-ci sombra dans l’obscurité et Calion pleura la mort de Laurelin et Telperion. À tout jamais ses yeux reflèteront leurs lumières dorées et argentées. Il avait été béni par eux, voilà qu’il pleurait leur disparition. Calion pleura une seconde fois lorsque sa famille et lui apprirent le décès du père de leur clan, Finwë, tué à Formenos par Melkor devenu Morgoth « Le Noir Ennemi ». C’est ainsi qu’il fut nommé après ces évènements. Désormais le clan des Noldo se déchirait entre l’aîné des fils de Finwë, Fëanor et le demi-frère de celui-ci, Fingolfin. Le père de Calion, Calimmacil ne voulait pas prendre parti pour l’un des fils de Fëanor. Leurs caractères étaient si opposés que Calimmacil et Irildë voulaient éviter le conflit avec leurs semblables. Sans le vouloir, ils choisirent. Lorsque Fëanor et ses sept fils prononcèrent leur serment, une grande majorité des Noldor fut galvanisée par les paroles de l’aîné de Finwë dont Calion qui s’engagea à lutter contre Morgoth. Mais c’est seul qu’il prit la direction de la Terre du Milieu. En effet, Calimmacil et Irildë décidèrent de ne pas froisser les Valar et de vivre en paix parmi eux pays d’Aman. Cependant Calion préféra suivre Fingolfin envers qui il voyait un meilleur chef que Fëanor. L’Elda fit ses adieux à ses parents et partit en direction de l’Helcaraxë, une étendue de glace et de la banquise.
Alors que Fingolfin et sa suite remontaient vers le Nord d’Aman à pieds, Fëanor avait atteint les rivages du Beleriand, grâce aux navires volés aux Teleri d’Alqualondë que ses suivants et lui avaient massacré. La prophétie de Mando, aussi appelée Malédiction des Noldor n’eut pas raison du courage du jeune Elda. Fingolfin et les siens dont Calion, mirent trois années à travers le froid et la banquise pour enfin poser le pied en Terre du Milieu car Fëanor avait fait bruler les navires pour ne pas devoir venir en aide à son demi-frère.
Premier Âge
Au début du Premier Âge du Soleil, Fëanor mourut lors de la Dagor-nuin-Gilath. Fingolfin devint donc le seul Haut-Roi des Noldor en Exil. Dès lors, Calion apprit à se battre pour survivre dans ces nouvelles terres. Celui-ci participa à sa première bataille, Dagor Aglareb, et son rôle y fut très mineur mais il se souvient encore des lances brillantes et des armures dorées des Noldor. Sous l’étendard de Fingolfin, les Exilés vainquirent le Noir Ennemi qui se terra dans sa forteresse d’Angband, cet évènement porta bien son nom de Bataille Glorieuse et le Siège d’Angband débuta pour presque quatre siècles. Entre temps il rejoint Finrod, fils de Finarfin fils de Finwë et se rendit aux cavernes de Narog où des salles furent investies et construites avec l’aide des Naugrim d’Ered Luin. Le fils de Calimmacil assista donc à la naissance de Nargothrond. Il s’y sentait chez lui et l’appelait volontiers « maison ». Le jeune Elda ne rejoignit pas l’armée de Finrod malgré sa facilité au maniement de l’épée. En effet, celui-ci préféra devenir l’ambassadeur du fils de Finarfin. C’est grâce à cette fonction qu’il put parcourir la presque totalité du Beleriand. C’était la raison pour laquelle il ne se tourna pas vers l’armée, parcourir ce nouveau monde fut son seul désir.
Durant ce temps de paix, deux évènements d’importance survinrent. Premièrement Turgon acheva la construction de sa forteresse cachée Gondolin et secondement, une nouvelle race se montra au grand jour en Beleriand. Venant d’Hildorien et ayant parcouru les montagnes et les fleuves à l’Est, ils traversèrent l’Ered Luin et arrivèrent en Ossiriand. Le cœur de l’Homme est pur mais aisément corruptible. À Nargothrond, où le Quenya était encore parlé, ils étaient appelés Atani. Calion était intrigué par cette nouvelle race et dans les premiers temps de leur relation, il fallut se comprendre mais fort heureusement les Atani avaient été en contact avec les Avari et des ressemblances de langage aidèrent les deux peuples à se comprendre. Le temps passa mais les Atani mourraient. Ils n’étaient pas immortels et leur espérance de vie n’atteignait pas le quart de celle d’un Nain.
Le siège de la forteresse d’Angband arrivait à son terme. Morgoth brisa le siège de son antre dans la Dagor Bragollach. Calion y participa sous la bannière de Finrod. La bataille fut perdue mais le jeune Elda réussit à battre en retraite avec un bon nombre d'Elfes.
C’était une époque maudite puisque quelques années plus tard alors que le Beleriand subit des incursions des années de Morgoth. Finrod mourut tandis qu’il aidait Beren l’humain pour la quête des Silmarils. Entre temps Calion avait été témoin de l’abdication de Finrod en faveur d’Orodreth, son neveu. Mais la fin de la quiétude de Nargothrond arrivait, la Bataille des Nirnaeth Arnoediad annihila tout espoir de vaincre Morgoth. Calion n’y combattait pas, il parcourait le Beleriand avec un petit groupe afin de réunir un maximum de force pour sa cité. Il revint en Nargothrond avec moitié moins de soldats et des blessures. Dès lors Calion ne servait plus que dans l’armée à la tête d’autres soldats, son épée Anglïr reconnaissable entre toutes. C’est à cette époque que le surnom « Narmacìl » : « Epée de feu » lui fut attribué car son antique lame rougeoyait lorsque des ennemis s’approchaient. Il inspirait l’effroi à ses ennemis lorsque ceux-ci voyaient son arme tranchante.
Les années s’étaient écoulées et le Beleriand était en majeure partie dominé par Morgoth, Nargothrond résistait. Un des Atani s’était installé et il était de noble ligange, fils d’Hurin. Il était appelé Mormegil « Le Noir Epée ». Calion voyait d’un mauvais œil ses agissements mais il avait les faveurs d’Orodreth.
Glaurung vint et ravagea Nargothrond. En essayant de protéger la fille d’Orodreth, Finduilas, Calion fut assommé. Il reçut un coup de gourdin sur son heaume d’or. Il s’écrasa tête la première au sol, comme mort. Le Noldo se réveilla dans la forêt. Il avait été emporté par les siens et placé à l’abri. Après que Nargothrond fut dévastée, Calion et les siens y retournèrent afin de chercher de possibles rescapés. Ils furent témoins du plus horrible spectacle qu’il ait été donner à Calion de voir. La mort. Des corps amoncelés sur les dalles ensanglantées des salles brillantes. Certains tas étaient calcinés. La tristesse s’empara d’eux tous. Il n’y avait plus rien à sauver à Nargothrond. Calion récupéra une bannière de Finrod qui était par chance intacte. Les Elfes prirent la direction de l’Ouest avec tout ce qu’ils pouvaient emporter. Ils arrivèrent sur l’île de Balar chez Cirdan que Calion ne connaissait pas. Il était un des Falathrim, un peuple navigateur.
Calion ne fut pas témoin de la défaite de Gondolin, heureusement il avait pu la voir bien avant, splendide, un émerveillement pour les yeux. La vallée de Tumladen était si verte et si paisible. Il n’imaginait pas qu’elle puisse être dévastée. Pourtant l’espoir refit surface lorsque l’armée des Valar intervint. Le Noldo les rejoignirent dans la Guerre de la Colère.
Le guerrier elfe se tenait au sommet d'une colline, son regard fixé sur les plaines qui s'étendaient devant lui. Les forces de Morgoth, le Seigneur des Ténèbres, s'avançaient avec une sombre détermination, déployant des légions d'orques et de créatures maléfiques. La Terre du Milieu était plongée dans l'ombre, et le cœur de Calion brûlait d'une colère justifiée.
Il se souvenait des jours anciens, quand les Elfes et les Hommes avaient lutté côte à côte contre Morgoth. Mais la trahison de certains de ses frères elfes avait semé la discorde, entraînant la chute de royaumes autrefois glorieux. La trahison avait allumé une étincelle de fureur dans le cœur du Noldo, une fureur qui brûlait plus fort que les feux des la forges elfiques. L'Elda ajusta la prise de son épée rougeoyante, forgée avec l'habileté des artisans elfiques.
Il se mit en marche aux côtés de ses compagnons, ressentant la puissance de la colère et de la détermination qui les unissait. Ils traversèrent les plaines, défiant l'obscurité qui s'étendait devant eux. Les batailles qui suivirent furent féroces, les lames elfiques dansant comme des éclairs contre les hordes de Morgoth. Le guerrier elfe se battit avec une grâce mortelle, sa lame tranchant les ténèbres et protégeant les derniers refuges de la lumière. Les sacrifices furent nombreux, mais la colère et la détermination des Elfes ne faiblirent pas.
Finalement, après d'innombrables combats, la puissance de Morgoth fut brisée. Les Valar intervinrent, et le Seigneur des Ténèbres fut jeté dans les limbes. La Terre du Milieu était libérée de son emprise, mais le Noldo ne put s'empêcher de ressentir une lourde mélancolie. Tant de vies elfiques avaient été perdues, tant de royaumes réduits en ruines.
Alors que la lumière de la victoire perçait à travers les nuages sombres, Calion contempla le prix payé pour la paix. La Guerre de la Colère avait marqué la fin d'un Âge, mais elle avait laissé derrière elle des cicatrices profondes dans le tissu de la Terre du Milieu. Aujourd’hui encore, il se souvient de la puissance des cohortes, de la brillance des lances et des épées, des combats entre les dragons ailés et Thorondor. Morgoth fut à la fin, vaincu.
Ce fut la fin du Premier Âge, Calion rejoint le Haut-Roi des Noldor en Exil en Lindon, un vestige d’Ossiriand alors que le reste de Beleriand avait sombré sous la Grande Mer.
Deuxième Âge
Au Deuxième Âge le Noldo vit l’avènement des Numénorééns, descendants des Edain. Ils accostèrent en Terre du Milieu et Calion fut envoyé à leur rencontre, comme ambassadeur. Il foula quelques fois le sol de l’île des Hommes bénis et il en garda de bons souvenirs.
Aussi parcourut-il les forêts de la Terre du Milieu avant qu’elles ne disparaissent pour la plupart à cause des Numénorééns. En tant qu’Ambassadeur de Gil-Galad, Calion put rencontrer nombre d’illustres personnages comme Celebrimbor, petit-fils de Fëanor. Durant ces temps d’insouciance, Calion put voyager là où il le voulait, en Lorien ou en Vert-Bois mais peu chez les Nains.
Les saisons défilaient, laissant dans leur sillage une valse infinie de changements, mais le Mal, insidieux, ressurgissait sous l’égide impitoyable de Sauron, le sinistre lieutenant de Morgoth. Calion, se dressait inlassablement au fil des années, menant avec intrépidité des batailles et des escarmouches aux côtés de son peuple. C'était une époque où l’Eregion, autrefois glorieuse, se voyait dévastée par les armées implacables de Sauron.
Malgré les ravages, une période de relative quiétude s'installa. Cependant, des siècles plus tard, les relations entre les Elfes et les Númenoréens se détériorèrent, plongeant Calion et les siens dans une obscurité diplomatique. L'accès à l'île leur fut finalement refusé.
Narmacìl prouva sa vaillance de manière éclatante lors d'une bataille héroïque qui sonna le glas de Sauron. Les légions démoniaques avaient déjà croisé le chemin de Calion par le passé, mais cette fois-ci, elles semblaient animées par une puissance redoublée mais heureusement il n'y avait ni dragons, ni Balrogs.
Finalement, dans l'éclat des dernières lueurs du jour, Calion contempla la défaite de Sauron, une victoire chèrement acquise. Il avait été vaincu, et le guerrier elfe pouvait reposer son regard fatigué sur un monde désormais débarrassé de l'ombre dévorante de Sauron.
Troisième Âge
Le Troisième Âge fut calme pour Calion. Gil-Galad n’était plus et il n’y avait plus de Haut-Roi des Noldor en Exil. L’Elda alternait entre les Havres Gris ainsi qu’Imladris mais aussi Vert-Bois ou la Lorien. Quand l’Angmar gagna en puissance contre l’Arnor, Calion participa à la Bataille de Fornost, où les forces combinées des Elfes des Dúnedain ont réussi à repousser les armées d'Angmar. Cette victoire a permis de mettre fin à la menace immédiate, bien que le royaume d'Arnor ait été affaibli et divisé. les combattants.
Vint la Guerre de l’Anneau le Noldo resta à Imladris auprès d’Elrond. La sagesse d'Elrond et la puissance des Elfes réunis à Imladris créèrent une forteresse inexpugnable contre les ténèbres qui menaçaient la Terre du Milieu. Calion, fidèle à la vision d'Elrond, consacra ses compétences au service de la communauté formée pour détruire l'Anneau Unique. Son habileté au combat et son lien ancestral avec les arts elfiques firent de lui un conseiller respecté, toujours prêt à partager son savoir. Son attachement à la Terre du Milieu et à la préservation de sa beauté le motivait à lutter contre les ténèbres qui menaçaient de la corrompre. Il participa à quelques escarmouches contre les forces d'Angmar s'étant reformées dans le Nord.
Quatrième Âge
Au Quatrième Âge, la plupart des Noldor avaient quitté la Terre du Milieu afin de retrouver leur ancestrale demeure. Quant à Calion, il rejoint la cité de Gar Thulion dans l'Emyn Muil dont le fonctionnement lui rappelait Gondolin. L'Elda fit ses premiers pas dans la Maison de l'Arbre afin de se rapprocher de la nature. Cependant, la place d'Elnaith de la Maison du Roi lui fut offerte, il l'accepta.
Caractère, talent, signes particuliers : Calion était autrefois un Elfe impatient, prêt à en découdre puis, il s'est assagi : il raisonne, se plonge dans le futur et essai de savoir quels effets auraient ses actions car chacune d'elles peuvent changer le cours des choses. Narmacìl est du genre perfectionniste, il ne résiste pas à cette envie profonde de faire le mieux possible. De nature presque optimiste, Calion sait tout de même que des évènements fâcheux ont peu de chance de prendre quoi qu’il arrive une tournure positive à la fin. C'est un homme courageux, surmonter la peur et la douleur sont des capacités difficiles à acquérir, beaucoup de gens pensent l'être. Le vrai courage c'est la capacité à dominer la peur pour faire face à un danger mais aussi à dépasser la douleur physique et morale.
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C’est un fin tireur, l'arc n'a jamais été son arme de prédilection mais c'est un Elfe après tout et il s'est tout de même perfectionné dans ce talent. L'art de l'épée et des armes blanches ont fait de lui un homme d'arme hors pair, il possède Anglïr -qu'il contrôle à la perfection- et deux gants à lames rétractables (Assassin's Creed) achetés dans l'Antre des Ombres dont il a appris à se servir de façon à toucher mortellement ses ennemis. La maîtrise des plantes.
Son armure de facture noldoli du Premier Âge, son épée Anglïr dont la lame rougeoie lorsque des ennemis sont proches et un arc en bois de Mallorn.
Possessions:Armes : Son épée Anglïr dont la lame rougeoie lorsque des ennemis sont proches, un arc en bois de Mallorn et deux gants à lames rétractables (Assassins's Creed) achetés dans l'Antre des Ombres.
Anglïr Équipement pour voyage :300 grammes de lembas, 3 litres d'eau de voyage, une gourde en peau de bête, un sac de voyage de 50 litres en peau de bête, une longue vue avec une portée de 500 mètres, une boussole d'excellente qualité, une tente en tissu épais.
Animal et nourriture de l'animal :Terendul son aigle qu'il a relâché mais parfois lui rend visite.
Un sac de graine variées, et un pain nutritif pour oiseaux.
Vêtements/Armures : Un bandeau elfique orné d'une émeraude, ainsi que des protège-poignets en cuir ornés de motifs de feuilles en fil d'argent obtenus en Comté.
Une excellente ceinture de cuir, avec une paire de botte en cuir, des jambières en cuir, un torse en cuir, une paire gants en cuir, des épaulières en cuir, une tunique d'hiver, une cape elfique (qui rend invisible), une cape de la Maison du Roi achetée chez le tisserand de Gar Thulion ainsi que la cape du Soleil Blanc (cape que les Elfes durent porter lors d'une campagne dans les Ered Mithrin). Calion possède également une armure de facture noldoli du Premier Âge.
Et éclaire nous : Comment as-tu découvert le forum? Que penses-tu du forum ? :
J’étais Alexor Canir, et j’ai voulu changer, car je n’avais pas d’idée avec ce dernier. Je trouve que le forum est toujours aussi convivial, son design est toujours aussi cool et soigné. Le STAFF est toujours aussi compétant. Bref, j’adore toujours autant MT.