Immrick Baron de la Recourmiere Seigneur Des Landes au vert ponton Maître du fleuve tranquille aux poissons frétillants
Présentation:
Immrick Baron de la Recourmiere Seigneur Des Landes au vert ponton Maître du fleuve tranquille aux poissons frétillants, tu parle... Ce gars est pire qu'une fille, on en dit souvent d'elles, mais lui fait fort. Il a une grande gueule mais à côté, dès qu'un petit danger surgis c'est tous à couvert et laissez faire les autres. Et avec ses grands aires de noble, et ses ordres, quand en faite la famille n'a qu'une petite portion de terre au Pelennor. Ah pour ça oui... il sait en donner des ordres, mais n'accepte que très peu la critique.
Vous vous demandez surement qui j'suis pour parler de cet homme ainsi. Je suis sa troisième sœur, celle qui est née juste après lui. Dans la famille nous sommes trois filles et deux gars, lui est l'ainé des garçons, mais le troisième que ma mère mis au monde. Devenant l'héritier de la famille il se fit bien dorloter par tout le monde, et encore plus par ses deux ainées. A la mort de nos cher parents, elles le traitèrent comme un roi, ce qui ne lui déplu pas le moins du monde. Ce fut un gosse pourris gâté à un point qu'il ne reste plus grand chose de bon à prendre. J'ai bien peur de ce que deviendront nos terres dans quelques années, heureusement encore qu'il reste certaines personnes qui font attention à la finance de la famille, lui qui est un si grand joueur risque de tout perdre sur une partie de dé dans une taverne mal fréquenté, sans même s'en soucier avant qu'il ne découvre ce qu'est la vie quand on a pas tout cet argent.
Je lui botterais bien les fesses moi jusqu'à ce qu'il comprenne que la vie n'est pas qu'un jeu où tout le monde est à ces ordres et services.
Ah et je vous ai pas raconté cette fois où en pleine forêt il comptait fleurète à une jolie courtisane. Il en trouvait des jolies mots pour décrire sa beauté existante, et même imaginaire, surtout imaginaire à mes souvenirs. Il savait bien faire son malin avec toutes ses acrobaties, lui racontant comment il était venu à bout d'une troupe de sangliers féroces, comment il les avait « pourfendu », enfin bon à ce que je m'en souvient c'était juste des souris et encore on les tua pour lui.
Or quand il s'était bien venter sur les exploits de ses rêves, une bande de vils voleurs croisa notre chemin. Il rigola beaucoup moins quand ce gars avec son nez d'aubergine, nous menaça . Ah il a sut extraordinairement monter sur la bute, la plus éloignée possible des bandits, dont la plus grande part desquels il manquait des dents, un œil, ou même des morceaux d'oreilles. Il ne prit pas la peine de dégainer son épée, ce goujat eu même le toupet de me placer juste devant lui pour le protéger, quand je l'eus rejoints. Qu'est-ce que j'ai eu une envie de meurtre à ce moment précis. Mais je me suis contenu.
Heureusement que nous étions de sorti avec des chasseurs, et une poignée de gardes. Or nous restions toujours en sous nombre, même si beaucoup valaient deux fois ces vermines. Je pris donc l'épée inutile du fourreau de mon frère et parti à la charge. Même si ce crétin tremblait comme une feuille, il trouva tout de même le moyen de me dire comment me battre. Je ne sais pourquoi j'ai mérité un frère comme ça, mais ce que je sais c'est que c'est moi qui l'ai eu et je devais faire avec. Or je n'avais plus longtemps à le supporter, enfin c'est ce que je croyais quand cette épée me transperça de par en par. Il ne descendit même pas de son perchoir pour me venir en aide, il cria juste mon nom trois fois et fit des signes aux gardes pour leur demander de venir à mon aide, ce qui étais quand même pas mal venant de sa par.
Au final ils eurent le dessus sur les brigands, je ne fut qu'une des trois victimes de cette bataille de notre côté, ne restant plus que quatre hommes valide de l'autre, qui finirent leurs courses au bout d'une corde.
Quand ils rentrèrent à la villa, la courtisane raconta tout ce qu'elle a vu à mon deuxième frère, elle lâcha tout. Mon petit frère lui en voulu à mort, il failli l'étrangler, mais on l'en empêcha, et ils ne se parlèrent plus, ne mangèrent plus jamais à la même table, ni se retrouvèrent seuls dans une même pièce.
Leur seul point commun était qu'ils étaient têtu comme des mules tous deux, et impossible de leur faire changer d'avis. S'ils disaient que le chariot est vert, même si on leur prouve qu'il est marron par tous les moyen possible, il sera toujours vert.
Après quelque mois depuis sa majorité, il trouva les femmes qui étaient à ses pieds trop fade, il décida de partir à la recherche de la femme de ses rêves, ce crétin avait juste à claquer des doigts pour avoir les plus belles filles de la région devant lui. Or pour une fois il choisi d'être censé, ce que j'avoue, j'ai admiré pour une fois. Cette décision était digne d'un homme mûre, et jamais je n'eus cru, qu'il fasse une chose comme ça, mais il partit. Et le voici sur la route avec son valet assez lèche botte, qui n'hésite pas à le féliciter même s'il n'a rien fait, juste pour un sous d'or.
Ce voyage ravi de plus au point mon chou de frère qui ce retrouvait avec une partie des rênes du royaume, ce qui ne sera pas plus mal.
