Un sombre secret ?

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Au milieu d'un petit village perdu au milieu d'une contrée peu connues, un feu rougeoyé
encore, avec à côté une petite silhouette perdue dans ces pensées,
Temïs regarder le feu mourir après de longues heures de chaleur et de
lumière. Plongés dans ses pensées, elle n'entendît pas l'ombre
s'avancer vers elle, une brindille qui craque, un léger tintement et
elle se retrouva face à face avec un villageois, une lame sous la
gorge.

-Excuse moi, je ne t'avais pas entendu, je suis vraiment désolée.

Elle rangea vite sa lame et fît asseoir le jeune homme qui ne lui fît
aucune résistance et examinant sa gorge elle remarqua qu'il n'avait
rien.

-Qu'est qui t'amène si tard, hors de ta maison ?

-Vous étiez toute seule dehors, alors je voudrais vous proposer de dormir chez moi, il y a de la place et à manger et ....

-C'est très gentil, mais je dois refuser, je repars bientôt de toute
façon. Je n'aurais fait que te déranger, retourne donc chez toi, il se
fait tard.

Le jeune homme hésita, mais en voyant le regard perdu de Temïs il n'insista pas.

-Est-ce vrais ce qu'on raconte sur vous ? Est-ce vrais que vous avez combattu des monstre et des gobelins ? On dit que vous ne pouver pas être touché au combat, que personne ne vous à jamais infliger une blessure.

-Ce ne sont que des contes, rentre maintenant.

En disant ces mots Temïs parti vers sa charrette, ses cheveux d'un
blanc si pur pendant la journée semblaient s'être teint en un noir
aussi profond que la nuit.
Ombre parmi les ombres, Temïs se glissa jusqu'à sa charrette, elle monta à l'intérieur, puis pris sa couverture pour dormir, le silence du village l'emporta dans un rêve sombre, ou son frère serait tué, par une main quel connaissais bien, trop bien, par sa propre main. Elle fit son visage déformée par la colère et la haine, au milieu d'un champ de bataille, d'un côté des gobelins armés jusqu'au dents, et de l'autre, des dûnedains, faiblissant, elle ne pouvait pas bouger, au milieu de se massacre là, un cri, une voix de femme. Elle ouvrit les yeux, l'ombre avait disparu, une lumière orange montais lentement dans le ciel, c'était le matin, l'heure de partir. Une petite tête apparus près d'elle, une petite tête d'enfant.


-Bonjour madame Temïs.

-Bonjour Néfilisse. Qu'est-ce que tu fais debout à cette heure si ?

-Je viens vous apporter à manger Madame Temïs, vus devez avoir faim. Ho et, je vous est apporté un petit cadeau.

La jeune fille tendit un collier de fleurs bleues à Temïs, qui le pris et le passa autour de son cou.

-Il est magnifique, merci beaucoup.

-Les villageois disent que vous aller partir.

-Oui je dois malheureusement vous laisser, mais je reviendrais vous voir, je vous le promet. Va t'amuser avec tes amis, regarde ils t'attendent.

Après avoir finit de faire ces adieux, elle repartit, sur un sentier, qui aller surement nul par ou du moins sur un endroit peu attrayant, mais Temïs s'en fichais pas mal, tant qu'elle allait loin, le plus loin possible de ce qui la poursuivait. Tant qu'elle ne serait pas morte ce qui la poursuivait ne s'arrêterait jamais, elle devait donc faire de même mais pendant combien de temps encore ? Elle ne savait pas elle-même.
Alors que le soleil était haut dans le ciel, Temïs fit une pause près d'un lac, elle remplit ses gourdes, fit boire les chevaux et s'allongea dans l'herbe. Elle allait s'endormir quand des bruits de chevaux arrivèrent jusqu'à ses oreilles, elle se releva et pris son épée, près au combat si besoin.

Les cavaliers approchés, Temïs n'étant pas loin de la route, elle était facilement repérable. Ils étaient là, elle les voyés, ils semblaient chercher quelques choses, elle ? Non on ne dirait, se fessant la plus discrète possible derrière son arbre Temïs les vit descendre de cheval. L'un d'eux fit un signe de tête dans une direction, les autres remontèrent sur leurs montures puis repartir. Celui resté sur place pris un bout de papier dans sa sacoche accrocher sur son cheval, le mit par terre et parti dans la même direction que les autres.Cinq minutes passèrent puis elle sortit de sa cachette avança jusqu'à la lettre puis la prit, c'était une lettre comme on vois tant, banale, elle l'ouvrit regardant à droite, à gauche, comme si quelqu'un allait réclamé la lettre.

Elle lut " Viens petite sœur, viens, je t'attend, laisse les te guider jusqu'à moi" .

De rage elle froissa la lettre t le lança aussi loin que possible, elle retourna dans sa charrette puis reparti dans la même direction que ces hommes.


[HRP] La suite https://jeuderoles.forumactif.com/les-terres-sauvages-f80/la-rencontre-t4670.htm