A la recherche des documents

Le duo étaient partis aussi vite qu'il l'avait put. Truyar avait fixé un délais court, très court, même inrespectable même, et il l'avait toujours su. Il voulait que Agrir se rende compte de l'importance de ces documents. Aucun échec ne sera toléré c'était clair. En les voyant partir, il avait souris...

***

Il leur fallut toute la nuit pour atteindre à cheval les Hauts des Galgals. Dés qu'ils les atteignirent, l'atmosphère joyeuse d'Annùminas disparut, laissant place à des odeurs de peur. Un vent vicieux tournoyant autour des deux cavaliers, leur soufflant des mots. C'était bien un lieu terrifiant. pas étonnant que Truyar avait fui, même le meilleur des guerriers hésiterait à mettre un pied en ces lieux.
Agrir menait sa bête à bride abattue, suivit de prêt par Sirkaël. Ils étaient tendus! Des bruits venaient de partout, une attaque pouvait se faire de n'importe ou. Un craquement à droite. Tous se retournèrent et un lièvre apparut entre deux nappes de brouillard avant de disparaître....

Trouver ces documents allaient être dur, mais les indications de Truyar était assez clair: trouver un gros rocher en forme de pointe de lance, au Nord-Est de la capitale...Mais avec ce brouillard découvrir ce rocher allait être une tâche ardue....
Surtout si les deux aventuriers commencent à chercher des trésors oubliés....

// Je répond très tard, désolé aussi. Poste fait rapidement, ne m'en tenais pas rigeur ;-)//
Malgrè les délais impossible a respecté, nous avions prit le chemin des Hauts de Galads. Par sécurité, j'avait tiré ma lame : je doit avoué que je n'était pas très rassuré, mais la peur ne m'était en aucun cas un sentiment inconnu et, comme nombre de bon guerriers, j'avait appris à la géré. Après tout, peu de gens me vallaient une lame en main et spectre ou pas, je doutais qu'un coup de cette dernière ferait expetion à la règle. J'avançais mon cheval à hauteur de mon compagnon d'aventure et lui dit :
-Je te suis. Si tu a un arc ou une arme du genre, j'avou que cela pourrait nous être utile ; sinon, tant pis.
Je m'en remit ensuite à lui, alerte au moindre bruit ou problème. L'endroit était lugubre, il fallait le reconnaitre : l'abscence de réel forme de vie me fit un instant pensé que ses légendes étaient réel. Certaines parlé de choses horribles, d'hommes subissant d'indéscriptibles tortures. Un frisson me parcouru l'échine et je serais plus fort ma lame, me sentant comme observé. Je tallonais ma monture pour encore une fois me mettre à coté de Agrir.
-Peut être est simplement l'ambiance, mais je doute que nous soyons seul.