Voyage de la compagnie de Bois doré, Argonui, Anael, Jango

Ils voyageaient de nuit. Marionel leur expliqua que ces derniers temps les routes étaient peu sûres la nuit tombée et en tant que compagnie ayant préter serment de servir les terres du Milieu, la compagnie de Bois doré créée par Adanael il ya plus de cent ans devait voyager nuitamment pour protéger les voyageurs isolés.

les elfes étaient habitués mais ces voyages nocturnes déstabilisaient les humains . Leurs sens étaient mis à rude épreuve.Mais au bout de dux muit leur corps étaient habitué. Les realtions étaient étranges avec la comapgnie de Bois Doré . Rer et Thesior ne parlmaient à personne, muets comme des carpes, des elfes par excellence , pas hostiles , juste inatteignables. Adanael était retranché dans un mutisme franchement hostile envers les humains, il parlait uniquement à Anael , juste pour lui parler des merveilles de Fondcombles.

Marionel par contre; était réllement sympathique avec les deuxhumains , elle était attentionnée de leur état de aftigue, elle s'interessait à leur vie.

Une nuit avant l'arrivée à Aldburg; autour du feu du camp, tandis que Rer et Thesior monataient la garde, la conversation démarra entre Marionel, Argonui, Jango, Anael et Adanel toujours sur la retenue.


"Racontez moi un peu vos vies, Argonui et Jango et que voulez vous faire en Rohan. Avez vous eu des echos des troubles qui se sont déroulés récemment dans cette antique cité" demanda Marionel, le visage eclairé par parcimonie par les flammes du feu de camp.

puis le visage triste elle demanda à Anael

"Messire Anael, pourriez vous me conter de votre voix cristalline la romance d'Arween et Elessar"

Puis Adanel d'une voix étonnament douce , le visage caché à moitié dans l'ombre répondit

"Arrête Marionnel tu te fais du mal !!"


Hrp: on fait quelues postes du voyage et ensuite on effectue l'arrivée à Aldburg au plaisir
Gallen

Le voyage était fort agréable. En compagnie de ces Premiers Nés, j'avais l'impression d'être de retour parmi les miens, aux Havres. Et Adanael se faisait une joie de me narrer les merveilles d'Imladris, où mes pieds de ménestrels ne m'avaient jamais mené. Il contait les hauts piliers, les magnifiques chutes, et tant d'autres détails que les chants m'avaient déjà soufflé à l'oreille.

Malgré tout, l'ambiance durant ce voyage était étrange. Adanael était visiblement irrité de chevaucher avec ces deux Hommes. Malgré tout, leur compagnie m'était agréable, et j'envisageais de les questionner à Aldburg sur ce qu'ils connaissaient du monde. En effet, notre chevauchée était digne d'une chanson de marche, et je songeais aux vers que je pourrais en tirer. Quelque chose parlant des pieds légers de nos coursiers, de la nuit étoilée, et de l'étoile d'Elbereth, guidant tous nos pas vers cette ville des Eorlingas.

Un soir, la fille d'Adanael, Marionel, me manda le chant de la romance d'Elessar et d'Arwen. Cette chanson, composée par les plus grands poètes de la fin du Tiers Age, ne m'était pas inconnue, mais je n'aimais pas la chanter. La chute en était certes belle, mais brutale, et l'extinction de l'Etoile du Soir avait été une terrible perte. En outre, je voyais bien que, si la jeune elfe me demandait ce chant, c'était à à cause des raisons évoquées avant notre départ.

« Madame, je suis certes ménestrel, mais pas des meilleurs, et ma connaissance de ce lai est, pour ma plus grande tristesse, imparfaite... »

L'accent triste de la plainte de Marionel ne m'échappa pas. Elle déplorait ce manque. Autour du feu, tous étaient désormais silencieux, les deux Hommes n'ayant pas encore répondu aux questions de la fille d'Adanael.

« J'accepterai toutefois de vous conter un chant. Comme la grande majorité des arts elfiques, il est triste, triste et doux. Mais je le chanterai en Langage Commun, pour que tous comprennent. »

Sortant ma harpe de mon sac, j'égrenai quelques notes de ma main gauche. Je préparai soigneusement la traduction de ma chanson.

« Vos histoires, Messeigneurs, nous réchaufferont le coeur. »

J'avais dit cela en me tournant vers Jango et Argonui. Les deux Hommes étaient tout ouïe, apparemment heureux de pouvoir égayer leur soirée au clair de lune par un chant elfique. Celui-çi serait malheureusement d'une triste résonance...

« L'été vint sur les Havres, lorsque j'ouvris les yeux
Les cheveux noirs de jais, de ma muse partie
Égayaient mes soirées, loin des étendues bleues
Délicates et trompeuses, d'une mer endormie

Elle m'apprit la harpe, les chants et les poèmes
Écrits par les artistes, des temps immémoriaux
Et maintenant, hélas, menant une vie bohème
Je pleure le départ, de ma muse, mon flambeau

La voix dure d'une lame, faite d'acier bleuté
M'éloigna de ses chants, ses charmes et ses arts
Aujourd'hui comme demain, jusqu'à l'aube j'ai pleuré
Car maintenant ma muse, vers l'ouest a navigué »

Ce n'étaient que des extraits d'un lai que j'avais écrit avant mon départ des Havres. Il contait l'histoire d'un homme qui avait, par les armes, tout perdu. Arrêtant de chanter, je jetai un oeil à mon auditoire. Ils avaient l'air d'avoir apprécié. Je l'espérais.

« C'était mon histoire. »

Voyager de nuit ne faisait rien sur Argonui. Il était habituer, ayant habité dans la forêt toute sa jeunesse, il savait à quoi s'attendre. Marionel était à cheval avec Argonui, et le jeune homme était en sécurité vue la maîtrise qu'avait l'elfe sur le cheval.
Le voyage était un peu long pour tout le monde, surtout que les elfes étaient entre eux, et laissait la plupart du temps Jango et Argonui seul. Cela était une bonne chose pour les humains, il commençait à se connaitre, et même s'apprécier. "Le grand donne des conseils au petit ", se disait le rôdeur dans sa tête.

Une nuit, autour d'un bon feu de camp, Marionel entamait une discussion avec les deux hommes et Anël, qui était parmi nous. Surpris, Argonui lui posa quelques questions sur elle, et lui demanda:

"Pourquoi pas tous les elfes sont comme vous ? Regarde Rer, Thesior et Adanael, ils sont froids comme l'hiver ... "

N'ayant même pas répondu, il lui reprit :

"Ce qui m'emmène au Rohan, c'est l'aventure. Je suits juste mes deux compagnons elfe et humain, avec qui j'ai combattu l'autre nuit. Mais je n'ai eu aucun échos troubles de ce pays ... "

Après avoir poser cette question, Anël commençait une chanson. Sa chanson était émouvante, et le jeune homme l'écoutait attentivement. Une fois finit, il se tourna vers Anaël, et lui dit en s'abaissant :

"Maître elfe, vous avez le coeur bon. "

Argonui s'avait que l'elfe allait réfléchir à cette phrase, mais au fond de l'homme, il savait pourquoi il lui avait dit ca.
Le rôdeur avait un peu froid, et se rapprocha du feu, et mit ses mains au dessus. Le feu lançait de petits morceaux de bois enflammé, qui s'éteignaient à cause de l'air froid. Correctement installé, Argonui se tourna vers Marionel, en attendant sa réponse.

Alors qu'une troupe pour le moins hétéroclite s'était mise en route pour le Rohan, Jango remémora douloureusement pourquoi il préférait voyager à pied plutôt qu'à cheval. En effet, après quelques jours de voyage de nuit, le postérieur de l'herboriste ne cessa de tambouriner sur le dos du destrier de Rer. Même si le physique fin de l'animal était idéal pour les Elfes, il faisait subir le martyr à Nuage Rouge. Sans parler de la fatigue due aux nuits blanches et de l'ambiance du voyage. Entre Thesior et Rer qui ne disaient mots et Adanael qui se contentait de discuter avec Anaël, seul Marionel et Argonui égayaient un peu le tableau. En parlant du rôdeur, Jango lui avait donné quelques conseils au jeune homme. Certes, il n'était pas un rôdeur, mais il avait vadrouillé aux quatre coins de la Terre du Milieu.

Une nuit avant d'arriver à destination, le groupe stoppa sa progression et fit un feu de camp. Tandis que les deux muets montaient la garde, Nuage Rouge et les autres s'assirent et entamèrent des discussion. Enfin, Jango préféra quand même rester debout pour soulager ses douleurs. Il en profita aussi pour se raser avec son couteau de lancé. Contrairement à l'autre humain, l'herboriste devait soigner son apparence s'il voulait faire bonne impression auprès de ses clients et de ses potentiels victimes. Marionel, la curieuse enfant d'Adanael, demanda à Argonui et Nuage Rouge de raconter le but de leur voyage dans le Rohan. Elle se tourna ensuite vers le ménestrel et lui demanda de conter la romance de deux êtres très célèbres au Tiers Age. Anaël lui répondit avant de se tourner vers les deux Hommes, Argonui expliqua alors pourquoi il était venu en Rohan et Jango ne tarda pas à s'expliquer juste après :

"Je suis un herboriste itinérant qui a une clientèle partout en Terre du Milieu. Plusieurs de mes habitués, des soldats en fin de carrière pour la plupart, sont en faction à Aldburg. Par contre, je ne connais que quelques rumeurs concernant les évènements récents. Pourriez-vous éclairer ma lanterne ?"

Hélas, elle n'eut pas le temps de dire mot qu'Anaël partit pour conter une histoire typiquement elfique. S'il y avait une chose que Jango n'aimait pas chez les oreilles pointues, c'était leur goûts musicaux. Très peu rythmée et toujours tristes. A croire que l'immortalité leur ôtait le goût et l'amusement d'une vie éphémère. Comme à chaque qu'il était forcé d'écouter quelque chose qui ne lui plaisait pas, Nuage Rouge fit semblant de d'intéresser et récita dans sa tête une chanson de taverne Hobbit. Même s'ils étaient petits, les semi-Hommes savaient s'amuser. Les rythme entrainant de leur comptine plaisait plus que les plaintes elfiques, aussi douce fussent-elle. Durant tout le lai d'Anaël, l'herboriste garda un regard captivé, du moins jusqu'à ce que le ménestrel dise qu'il s'agissait de son histoire. Là, Jango se sentit mal à l'aise, mais il se rattrapa en ponctuant les d'Argonui :

"Le jeune rôdeur à raison, surtout avec les épreuves que vous avez dû traverser."

Nuage Rouge savait que sa phrase avait de bonnes chances de passer comme une missive royale entre Minas Tirith et Osgiliath. Après tout, les chants elfes étant souvent triste, il était logique que l'histoire du ménestrel le soit aussi. Alors qu'il reprenait sa séance de rasage, se servant de la lame de sa faucille comme miroir, l'herboriste attendait lui aussi la réponse de Marionel concernant les évènements du fort. Mais aussi sur la raison de l'implication de la compagnie Bois Doré.

Anael acheva sa sonate dans un silence géné. les deux humains observaient la jeune rodeuse avec attention. Des larmes apparurent dans le regard de la jeune elfe.

Elle se leva rapidement et rejoignit ses deux compagnons de garde.

Ils restèrent tous un peu interloqués devant ce revirement de situation.

La voix mélodieuse d'Adanael s'éleva de nouveau dans la pénombre; Toute animosité avait disparu, seule subsistait une mélancolie dans la voix cristalline du rodeur;

"Compagnons, ma fille doit se rendre à Aldburg car pour continuer à vivre sereinement elle doit faire le deuil d'un épisode de sa vie"

Adanel ménagea une pause puis reprit d'un ton plus sérieux

"Les terres du milieu sont au bord du gouffre. A mon avis, la situation est aussi perilleuse que lors des différentes guerres de l'Anneau que j'ai connues. Je le sens en moi. La criminalité augmente partout.Et apparemment le Roahn a été touché de plein fouet. Notre compagnie a toujours été proche du peuple des chevaux, nous venons donc préter notre aide à nos amis et en apprendre plus. Croyez moi j'ai connu de nombreux drames dans ma longuie vie et la guerre est proche avec son lot de malheurs""

Les lueurs du feu de camp jouaient sur le visage élégant de l'elfe; ses propos furent comme und chappe de plomb qui tombait sur le groupe.

hrp: je vous laisse répondre et ensuite nous narrons k'arrivée du groupe à Aldburg.
au plaisir
Gallen hrp

La situation avait l'air plus tendue que je ne me l'imaginais. J'étais resté enfermé dans mon univers, tentant malgré tout des ouvertures hasardeuses. Adanael tissait un sombre portrait de la Terre du Milieu, bardé d'individus sombres et de tout aussi sombres desseins. Le silence tombant désormais sur le camp, j'entrepris de faire quelques pas au loin.

M'éloignant discrètement, je me retournai brièvement: les flammes d'un feu ardent dansaient sur les visages sombres de mes compagnons de route, mais aussi sur leurs armes et armures. Comme autant d'étoiles, les scintillements de l'équipement dans le noir avaient un air magique, sortant d'âges immémoriaux.

* Eh bien, n'oublie pas cette image, conserve la dans ta tête, tu la chanteras plus tard. *

Je gardai donc cette image, puis tournai mon regard vers les plaines que nous traversions. L'étendue que nous avions traversée était impressionnante, et j'en devinais les contours dans le noir d'encre qui chutait désormais sur nos épaules.

Un vent frais courait dans la plaine, j'entendais sa plainte ténue et ses mouvements tantôt rapides, tantôt lents. Il dansait comme je souhaitais le faire depuis longtemps. Danser comme le vent. Un joli poème pour enfants. Je l'avais oublié, mais ses vers revenaient à ma mémoire.

Je retournai délicatement au camp. J'avais l'impression que tous dormaient, mais je savais que les elfes étaient plongés dans une veille vigilante et efficace. Je me rapprochai du feu à pas lents, bien que le froid ne me perturbe que très légèrement. J'aimais la chaleur d'un feu ardent, j'aimais la sentir courir sur mes mains, sur mes joues. Cela me rappelait Naelya.

Croisant les jambes, je fermai les yeux. J'avais un affreux et profond besoin de penser pour panser mes blessures. La route vers Aldburg était presque terminée.

On devait partir, Aldburg était près. Mais Argonui était fatigué ces derniers jours, il dormait peu. Le groupe partit, tous à cheval, et Argonui était toujours sur Marionel. A l'arrière du cheval, le jeune homme essayait de dormir. Mais le galop du cheval le réveillait à chaque moment ou le rôdeur fermait les yeux.

Quelques fois, il entamait une discussion avec l'elfe, et Argonui apprit beaucoup sur cette race. Réciproquement, Argonui aussi lui apprit des choses sur les rôdeurs, mais Marionel semblait en savoir déjà.

Argonui en avait marre d'être à l'arrière du cheval, et il savait bien que le Rohan était le pays du cheval, donc il se mit à l'idée d'en acheter un arrivé la-bas. Mais il connaissait peu les races des chevaux.

Argonui toucha l'épaule de l'elfe, et lui dit :

"Dame, quel est la meilleur race des chevaux"

Sur cette question, le groupe s'arrêta, et devant eux s'étendait d'immenses terres. "Le Rohan", se disait-il dans sa tête, et tous regardait la beauté que dégageait le royaume du Rohan...

Inutile de dire que l'énoncé d'Adanaël avait choqué plus d'une personne dans le camp. Comme ça une nouvelle guerre était proche. Les ennemis de la Terre du Milieu se rassemblaient et la criminalité ne faisait qu'augmenter. D'ailleurs, lorsque le mot criminalité sortit de la bouche de l'elfe, Jango fit une légère grimace. En effet, sous ses airs d'herboriste baratineur, se cachait un criminel. Certes, il n'était pas un assassin ou esclavagiste, juste un simple escroc et voleur. Il avait même aidé quelque personnes durant la grande bataille qui prit place quelques années auparavant. Toutefois, connaissant la rigueur des elfes concernant les lois, Nuage Rouge savait qu'il ne valait mieux pas révéler son côté roublard. De toute façon, à part à Osgiliath, Jango avait réussit à être assez discret pour ne pas se faire repérer.

Alors que le silence s'était installé dans le campement, Nuage Rouge rangea ses armes lui ayant servit d'outils de toilettes, il entreprit ensuite de fouiller la sacoche qu'il avait prit à la dépouille du chef Uruk plusieurs jours plus tôt. A cause de l'allure du voyage, Jango n'avait pu le faire avant. En ouvrant le petit sac, une odeur pestilentielle lui sauta au narines. Il recula alors la tête en grimaçant, puis revint à la charge. Il aperçu alors un vieux morceau de pain complètement moisi traînant au fond de la sacoche. Il s'agissait sûrement de l'origine de l'odeur. Grâce à ses connaissances en matière de moisissures, l'herboriste savait qu'il pourrait en retirer quelques chose. A côté du pain se trouvait des dents apparemment humaines représentant sans doute des trophées de guerre. Il y avait aussi un vieil anneau en fer rouillé. Il était entaillé de partout et ne valait sûrement rien du tout. Vu sa taille, il devait appartenir à un enfant qui ne devait se prendre pour un quelconque seigneur des anneaux.

Après avoir fini sa fouille, Jango rangea le petit sac dans sa poche et vit le ménestrel se rapprocher du feu. Il avait l'air perdu dans ses pensées. Ne souhaitant pas le déranger, Nuage Rouge se coucha sur le sol froid de la lande, s'enroula dans sa veste et dit à qui voulait l'entendre :

"Bonne nuit."

Tout de suite après, l'herboriste ferma les yeux et entra dans le monde des rêves. Bien sûr, même s'il n'avait aucun mal à dormir, il gardait le sommeil léger. Il s'était assoupi dans beaucoup trop de coupes-gorges et de bouges pour ne pas avoir apprit à resté vigilant, même en dormant.

Au petit matin, la route reprit comme la veille. La jeune Marionel semblait toujours aussi retournée par son fameux deuil dont avait parlé son père. N'étant pas vraiment du matin, Jango resta muet, fredonnant maladroitement des comptines Semi-homme de temps en temps.

Marionel ne répondit pas à Argonui. Le rodeur put juste remarquer des larmes naissantes sur le bord de ses yeux .

La chevauchée continua vers le sud, vers l'antique demeure d'Eomer. Le voyage aurait pu paraitre ennuyeux le long des plaines du Riddermark. Mais étonnamment,les chevaux piaffaient d'impatience et semblaient revigorer au milieu des étendues à perte de vue;

Le vent bourdonnait dans les oreilles de la compagnie elfe et de ses compagnons humains.

Malgré le silence entre les différents protagonistes, le voyage fut plus qu'agréable.

Mais une tension s'installa parmi les elfes au fur et à mesure qu'ils approchaient d'Aldburg.

La compagnie arriva au somet de la colline qui surplomble la cité d'Eomer.

Le groupe resta un long moment à scruter le panorama sur le promontoire, interloqué devant la cité encre ravagée par les tigmates de l'attaque violente dont elle fut la victime récemment.

HRP: Suite dans le post Aldburg
Au plaisir
Gallen