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 Sigvald Lingwë Finwëth, l'elfe déchu.

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Sigvald Lingwë
Mercenaire
Mercenaire
Sigvald Lingwë

Nombre de messages : 175
Localisation : Esgaroth
Rôle : Mercenaire

~ GRIMOIRE ~
- -: Elfe Sylvain -Nandor/Sindar-
- -: Né en l'an 2799 du TÂ- 526 ans
- -:

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Sigvald Lingwë Finwëth, l'elfe déchu. EmptyDim 17 Juil 2011 - 20:13
Sigvald Lingwë Finwëth, l'elfe déchu. Glorfi12

Nom/Prénom : Sigvald Lingwë Finwëth.

Un nom composé bien elfique. En partant de la gauche, le premier nom est son patronyme puis le nom choisi et enfin le matronyme, le tout constituant le nom complet de notre fameux elfe.

De coutume chez les Eldar, le patronyme et le nom choisi sont les deux noms véritables du Haut Elfe. Il est public alors que le nom choisi est réservé au privé, privé et non pas secret. Il est signe d'intimité et d'affection, entre relations d'amitié ou amoureuse. Le prononcer sans permission est perçu comme présomptueux et insultant.

Sigvald, le patronyme, dans le langage Nandor, il correspond à un ancien esprit de la forêt. Un esprit qui respectait l’œuvre de ses créateurs. Une cérémonie importante est célébrée en présence des deux familles, le père proclame le nom de son fils/fille et ce juste après la naissance, c'est un jour de fête nommer Essecarmë.

Lingwë est le nom que notre elfe se choisit lors de son Cilmessë, elle prend lieu quand les deux parents estiment leur enfant capable d'exercer un bon goût pour la sonorité et la forme des mots, ce fut à l'âge de ses sept ans. Une coutume très courante chez les Noldor est peu répandue chez les Nandor. Il signifie "Serpent".

Les mères chez les elfes, donnent parfois à leurs enfants un prénom qu'elles inventent. C'est ce qu'on appelle l'Amilissë. Ce que l'on peut appeler des noms pénétrants, servant à décrire la nature profonde, le caractère intime et véritable de l'enfant elfe. Sa mère le nomma Finwëth, c'était le nom d'une ancienne plante du Béleriand, une plante aux fleurs blanche à la lumière et dans les lieux obscurs ses fleurs sont noires.

Donc nous l’appellerons Sigvald. Pour ses amis très proches il sera Lingwë et pour sa mère, ce sera donc Finwëth.



Âge : Né en l'an 2799 du Tiers-Âge, donc 522 ans.

Lingwë se sent jeune de corps et d'esprit, malgré ses nombreux siècles d'existence. Durant son enfance tout n'était que paix et douceur, il vivait simplement, sans prise de tête, tout était facile, le temps coulait doucement, comme un cours d'eau. Passant son temps à apprendre, chanter, danser, le maniement des armes ne l'intéressait pas spécialement.

Du haut de son demi-millénaire il ressemble à un homme d'une vingtaine d'années. Ses connaissances sont vastes, mais restreintes à certains degrés. Une grande partie des royaumes elfiques et des royaumes humains n'ont presque plus rien à lui apprendre, au niveau culture bien sûr.

Sa vie n'a pas été qu'un long fleuve tranquille, il a vécu plus d'expérience, de choses bonnes ou mauvaises que la plupart des elfes qu'il soit jeune ou qu'il est vécu plusieurs âges.



Sexe : Masculin

Ses parents l'attendaient depuis longtemps, ils souhaitaient un garçon et un jour, leur vœu fut exaucé. Son père voyait déjà en lui un grand homme, respectueux et fier, un tisserand de renom comme lui, un elfe qui serait digne de se tenir à côté des plus hauts.

Sa mère souhaitait juste que son fils vive heureux, jusqu'à la fin des temps, qu'il jouisse des plaisirs simples de la vie... Qu'il chérisse les dieux et leur soit dévoué.



Race : Elfe Sylvain, Nandor

Lorsque les Eldar atteignirent l'Anduin lors de la Grande Marche vers Valinor, les Teleri s'arrêtèrent un moment sur sa rive orientale. Après quelque temps, les Teleri s'aperçurent qu'ils étaient seuls, car Oromë était loin, en train de guider les Vanyar et les Noldor à travers les Monts Brumeux ; l'un d'entre eux, nommé Lenwë, décida alors d'abandonner la marche et descendit le fleuve vers le sud, entraînant avec lui une partie des Teleri, renommés Nandor dont son père descend en droite ligne de ces elfes. Quand à sa mère, ses parents vécurent en Doriath avant de rejoindre la protection des bois de Las Galen.


Particularité : Porteur de la marque de Melcor et Sauron

Un peu avant la guerre de l'Anneau, notre elfe parcourait le monde pour découvrir de nouveaux paysages, de nouvelles cultures, étudier la nature et toute chose, Lingwë est un elfe curieux. Une fois dans les contrées du Sud et en prenant soin d'être "invisible" devant les habitants de ces terres, qu'ils savaient dangereux et cruels, il participa à une suite d’événements qui changèrent sa façon de voir les choses et la direction que prit sa vie.

Lingwë fut marqué au fer rouge, son corps elfique ne put jamais cicatriser ces brûlures maudites. Il porte l’œil rouge surmonter de la couronne de fer. Ces marques se situent sur l'intérieur de son avant-bras gauche. Il les cache en permanence, c'est un secret que personne ne doit connaître. Le fruit de son ancien dévouement et allégeance pour les Dieux Noirs. Ainsi que son attachement à l'Ordre de la Couronne de Fer dont-il a rompu tout lien désormais.



Alignement : Le Sien  (Bon>Mal)

Lingwë appris très jeune qu'Eru était le Créateur, d'autres dieux et esprits, ainsi que des elfes. Le chant prenait une part importante dans sa "religion", un moyen d'expression rappelant la Première musique.

Comme tout elfe, il croit que les esprits peuvent rentrer en contact avec des objets, mais surtout d'autres esprits. Lingwë croyait surtout en Manwë, qui possède un puissant souffle, pour lui certain vent fort ne sont pas naturelles, ainsi que la présence parfois étonnante d'aigles ou de faucons.

Pour lui la paix est un rêve, que personne ne peut atteindre, les agissements maléfiques de Melcor et de ses serviteurs ayant déjà fait leur œuvre sur ce monde.

Mais une série d’événements fit de nombreux morts, dont il prit l'entière responsabilité. Se maudissant chaque jour pour avoir agi, il fit la rencontre d'un homme. Qu'il le tortura et l'asservi, il perdit toute personnalité, envie ou sentiment, il devint l'instrument de Melcor et Sauron, au service de l'Ordre de la Couronne de Fer. Il n'était plus qu'un instrument au service du Mal.

De nos jours, il ne sait plus en qui placer sa confiance, il renoue doucement avec lui-même.



Rôle : Mercenaire

Le métier de mercenaire n'est pas le métier le plus facile, disons que dans le pire des cas, l'on peut mourir. Il demande du talent, de l'expérience et un grain de folie. Rares sont ceux qui se font un nom dans la grande famille de ces hommes avides d'or et de reconnaissance.

La plupart sont des vétérans d'armée, d'anciens gardes du corps ou même des pillards. Et plus rarement, comme Lingwë, des elfes, un peu à part des autres, seule la soif de combat où les complots auxquels il peut prendre part l'intéresse.

Il se fit remarquer par des mercenaires du Harondor lors d'une bagarre de rue, où seul et sans arme, il réussit l'exploit de mettre à terre quatre gardes de la cité avant de prendre la fuite. Rattraper par des mercenaires, personnes ne lui demanda d'où il venait et qui il était, seul son prénom fut réclamé. Former et guider parmi ces nouveaux compagnons. Les missions et contrats affluaient, il se fit une petite réputation, puis il revint vers l'Ouest.

L'or n'est pas sa priorité, dans sa culture la fortune n'est pas vitale, ni visible, juste optionnelle. Très exigeant et respectueux vis-à-vis de ses "patrons", il n'hésitera pas à mettre en péril la mission ou à y mettre un terme sur-le-champs, voir à user de violence dans le pire des camps, si son employeur se joue de lui...



Sa Famille :



Depuis qu'il a quitté Vertbois, voilà des siècles, il n'a revu son père que quelques heures. Lui et son père ont gardé son secret. Mais Eärodan à quant à lui  garder son propre secret. Ne souhaitant pas dévoiler ce qu'il était advenu de Sigvald à sa famille il ne dis rien, de même son père ne lui dit pas que son fils ainé a désormais un frère et une sœur.

Eärodan, son père est un Nandor pure souche, sa famille a toujours vécu dans ses bois. Il a dans les 2500 ans, anciens guerriers et désormais tisserand de renom pour les nobles de Vertbois. Il a rencontré sa femme lorsqu'il dût être soigné après une sanglante bataille.

Alhysia Enelyë est une femme douce, une Sindar débordant de bienveillance et de gentillesse. Elle a deux passions dans sa vie, ses enfants et aider les gens. Elle fait partie des guérisseuses. Depuis que Lingwë a quitté la maison, elle entretient un jardin à sa mémoire. Elle eut deux enfant en plus, mais elle a toujours gardé espoir qu'un jour son plus grand des fils revienne. Espoir volé en éclat lorsque son mari, partit à la recherche de son fils, revint sans rien. Depuis, deux années ont passé, la tristesse et le désespoir se sont peu à peu emparé d'elle. Assez, pour que l'inquiétude grandisse grandement dans la famille.

Sigvald/Lingwë a donc un frère, Dior Edrahil, 342 ans, une sentinelle de Vertbois, il s'est marié il y a moins de cinquante ans avec une guérisseuse Lalwendë. C'est une sentinelle de talent, tant pour le maniement des armes que pour son sens stratégique, sa discipline est de fer. Les anecdotes et histoires que sa mère lui faisait de Sigvald et les rares fois où son père en parlait lui ont dépeint frère curieux qui aime apprendre, mais indiscipliné et faible par bien des façon ; surtout son attrait désinvolte des armes et sa lâcheté d'avoir quitté le royaume. Mais malgré l'apparente colère que Dior montre quand le sujet "Sigvald" est évoqué, sa femme Lalwendë sait que au fonds de lui il éprouve de l'affection et un sentiment partagé entre de la colère et de la fascination.  

Pour finir, sa jeune et magnifique sœur, Nami Tatië, âgée de 278 ans. Elle passe ses journées dans la nature, chanter, danser, elle prend particulièrement soin des animaux. Une extravagante au grand cœur. Tout son temps elle le dédie principalement à la nature accompagné de sa harpe, prenant soin des arbres, plantes et animaux. Nami se définie elle-même comme la Gardienne de Las Galen. Son talent pour le chant et l'art en général ferait pâlir certains Noldor, mais c'est son amour pour Arda qui la départage de ses elfes arrogants. L'idée qu'elle se fait de Sigvald est nimbée de mystère, même pour ses parents. En réalité, elle considérait son frère comme mort, mais elle se l'ai toujours imaginer dans les moments difficiles ou joyeux ; comme une présence invisible qui lui donnait force et courage, qui partageait ses peines et la protégeait lors de ses longues escapades seule dans la forêt.





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Équipement :

Son équipement est sommaire.

Son armure se comporte d'une "robe" de maille, une sorte de longe cotte de mailles qui descend juste en dessous des genoux. Elle est faite d'argent, de facture elfique. Il porte un long gantelet de cuir blanc et d'argent, lui prenant la main jusqu'au coude, il le porte au bras gauche, ce qui lui sert à masquer ses maudites marques. Par-dessus la cotte, il porte une robe de combat de cuir et de tissu dans les ton blanc, qui le protège plus ou moins bien. L'ensemble est d'une légèreté surprenante, en effet il privilégie sa liberté de mouvement à une imposante armure.

Il possède des bijoux sans grande valeur, un anneau de simple facture, qui ne désigne rien de particulier à part la beauté de l'objet lui-même. Et sur sa tête, un diadème, non pas le diadème des nobles elfes, mais celui que porte certain guerriers.

Il possède une arme, une seule, une épée elfique de Vertbois. Sa qualité n'est pas à discuter, la lame est finement parcouru de lignes et de feuilles argentés en relief.

Son ensemble d'armure le protège relativement bien, du fait de cette légèreté il ne s'épuise que très peu lors de longues marches. Lingwë voyage aussi avec un sac qui contient principalement des vivres, des fruits ou de la viande séchée. A l'instar d'un bon nombre d'elfe, Lingwë aime manger de la viande, même si celle-ci provient d'être dotés d'une conscience et de sentiment. On y trouve aussi une gourde d'eau, de quoi faire un feu et des pierres pour aiguiser sa lame. Il garde précieusement deux fioles de Mirùvor, qu'il ne boira qu'en compagnie d'un véritable ami. Son père lui offrit un jour l'étoile de Shériff de Sam Sagace Gamegie afin qu'elle lui rappelle que le courage est en chacun et que même les petites choses peuvent accomplir de grandes choses. Au fil de ces aventures il fut amené à posséder une demi-pierre et une pierre précieuse.

Il voyage léger et ne s'encombre jamais outre mesure, discrétion et rapidité font la force des elfes.



Description physique :

Lingwë est un elfe que l'on pourrait qualifier de "grand", il s'approche à quelques centimètres près des deux mètres. De corps musclé et élancé comme bon nombre d'elfes, il adopte une posture fière et droite. Sa peau est pâle et prends un teint légèrement hâlé sous les ardents rayon du soleil.

À l'instar des Nandor qui ont généralement les cheveux bruns, ses cheveux sont d'un blond très claire presque blanc. Ses traits de visage son fin et "noble", lui donnant même un côté angélique. Beaucoup d'humains diront qu'il ne transgresse pas à la règle, les elfes sont beaux. Comme tout elfe Lingwë possède des oreilles que l'on pourrait qualifier de "pointues", une vue perçante et une ouïe fine. Son regard quant à lui est vraiment très expressif, d’un vert émeraude des plus envoûtant. Notre elfe arbore un léger sourire quand une situation lui semble intéressante, ce qui ne manque pas d'agacer certaine personne. Sa voix est calme et posé, mais même au coeur d'un combat sa voix prends des notes puissantes et claires.

Ses bras et ses jambes sont robustes, il est à même de combattre des heures ou de courir pendant de longue durée. Il n'est pas un grand guerrier, même s'il s'approche d'un siècle de combat. Pour un elfe de cet âge c'est une expérience que peut ont. S'il s'en donnait la peine, Sigvald pourrait devenir un soldat d'exception. Le combat fait parti intégralement de lui. Et malgré son indiscipline, à l'instar de son frère son sens de la stratégie demeure dans l'ombre, ne demandant qu'à être exposé à la lumière du jour.

En dépit des nombreuses tortures qu'il a subit, il ne possède qu'une "seule" cicatrice. Les marques sur son bras gauche, les symboles noirs. Le reste de son corps n'est que fine coupure cicatrisé et marque de brûlure, presque imperceptible si l'on ne si attarde pas.

Le domaine de combat qu'il préfère est le maniement des lames simples, avec et sans bouclier. Les elfes sont ambidextres et il est aussi à l'aise avec deux épées. Il a toujours préféré la fureur d'un combat rapproché que de tirer à distance flèches sur flèches. Il privilégie sa dextérité et sa précision plutôt que la force brute ou des techniques répétées et répétées à force d'entraînement. Agir à l'instinct lui procure plus d'adrénaline et de plaisir, c'est dans les combats qu'il laisse libre cours à se « côté » noir qu'il s'efforce de mettre aux oubliettes. Dans les combats ils seraient un animal imprévisible et fascinant à observé, élevant la mort à une certaine forme d'art.

A noté aussi que les elfes aime les boissons alcoolisé, vin, hydromel, cordial etc... mais raisonnablement. Lingwë quant à lui c'est retrouver plus d'une fois la tête à l'envers, déambulant dans les rues comme un ivrogne, à ne plus se rappeler de ses nuits. Dans les moments rares de fêtes et plus particulièrement quand il voulait tout simplement oublier.


Description mentale :

Avant de passer à la suite, il y a un point très important sur lequel nous devons nous pencher, point qui dévoilera un partie de son histoire. Il a été retenu près de dix ans, durant ces années il a subit d'inimaginable torture, autant physique que mentale. Certain iront jusqu'à dire qu'il perdit plus de sang qui n'en fit couler tout au long de sa vie. La souffrance et la douleur était devenu son quotidien. Mais son envie de rester en vie était si puissante qu'il ne put se résoudre à abréger ses souffrances et rejoindre Mandos. Il tint bon ces dix années pour au final devenir un être brisé, tout ce qu'il était ou aurait dû être avait disparu, sa personnalité, ses envies, il rejeta le fait d'avoir des sentiment pour ne plus souffrir, il perdit alors tout sentiment elfique. Et c'est là qu'on l'asservi, qu'on le conditionna et qu'on lui donna un but. Seul restait ses atouts physique d'elfe, un corps et un esprit  éternelle et puissant. Il s'abandonna  alors entièrement à Melcor et Sauron. A la fin de la Guerre de l'Anneau, rejoindre à nouveau le monde normal, s'intégrer plus ou moins et refréner du mieux qu'il put ses pulsions noirs pris des siècles. Mais il ne retrouverait peut-être jamais l'elfe qu'il était avant tout ça. Il est désormais très loin de ce qu'est un elfe. Il essaye par tout moyen de se laver de ses pêchés.

Il apprécie sa vie de solitaire, sans attaches ni obligation envers qui que ce soit, il est libre de faire ce qu'il désire.

De nos jours, Lingwë est un elfe si l'on peut dire, des plus particulier au caractère bien affirmé. Il est doté d'une intelligence surprenante et il réfléchis toujours avant d'agir. Il calcule ses coups, entreprend des actions et assume parfaitement tous ses actes, connaissant les raisons de ceux-ci et leurs conséquences. Il est menteur et infidèle, pouvant se cacher derrière mille et une facette, il affiche tout de même son vrai visage la plupart du temps et ne se cache pas d'être parfois le méchant. Bien qu'il ne se voit pas comme tel. Il aime blesser et ressentir la peur ou le dégoût de ses ennemies lorsqu'ils comprennent sa véritable nature mais pour lui c'est quelque chose de normal et non de malsain. Il doit ça à ses nombreuses années au service des Dieux Noirs où il rejeta tout ce qu'il était pour n'être quelques temps, qu'un être sombre et sans émotions. Il assume sa part d'obscurité qui vit en lui, il doit faire avec et la contrôlé. Et il ne parvient pas toujours à comprendre pourquoi les gens portent des préjugés sur lui comme quoi il serait un meurtrier. C'est comme si on demandait à un orque d'aimer les humains ! Sérieusement, c'est impossible. Il est connu pour avoir un calme légendaire, rien ne semble pouvoir le mettre en colère et ce côté de sa personnalité agace son entourage, quand il en a un. Vous lui avez fait défaut ? Ne vous en faites pas, vous n'aurez aucunes réprimandes venant de sa part mais seulement à une petite vengeance. Pour son côté calculateur, retenez seulement qu'il se débrouille toujours pour que ses plans lui soient favorables et que chacune de ses phrases peuvent porter un sens caché ..  Et c'est pour cette raison qu'il se trouve tout à fait normal et dans ses droits les plus strictes. Malgré tout ceci, il reste quelqu'un d'impulsif à qui il ne vaut mieux pas chercher des noises car son sang ne fait qu'un tour et il peut rapidement devenir piquant. Il prend rapidement la mouche et peut en venir aux mains assez vite, cela dépend de son humeur et de son degré d'agacement. Il prend tous au premier degré et n’apprécie pas qu’on lui manque de respect. Mais attention car il est doté d'un sens de la jalousie très prononcé. Il faut se méfier de ce personnage car il possède un courage exceptionnel et il est têtu comme une mule. Lorsqu'il a une idée en tête, on ne peut plus rien faire. Il s'attaquera sans hésiter à plus fort que lui, sachant très bien qu'il essuieras une cuisante défaite.

Il s'efforce de se trouver "lui-même", comprendre qui il est et ce que le destin attends de lui. Aujourd'hui il accepte son passé obscurs et le condamne, mais Sigvald apprends à faire avec, cela fait parti de lui qui le veuille ou non.

Faire la part des choses et trouver la paix est désormais son but, il y mets toute sa volonté afin d'y parvenir. Une quête intérieur et un chemin qu'il doit arpenter en solitaire. Sa quête, son but ultime...

Histoire :

Vertbois-Le-Grand, un endroit aussi terrifiant pour les étrangers que mystique. Un lieu, que tout elfe des bois doit tenir secret même si pour cela il doit y laisser la vie. C'est à l'abord de ce palais, parmi une petite communauté d'elfe Nandor. Que Eärodan et Alysia, deux elfes, plusieurs fois millénaires et éperdument amoureux l'un de l'autre, mires au monde un enfant.

Eärodan était un ancien guerrier, blesser gravement il dut délaisser les armes pour un métier moins dangereux. Celui de tisserand, un art que son père lui apprit, qui lui, détenait de son père. Il travailla pour les plus hautes lignées de ce monde dont son roi, Thranduil.

Sa mère, Alysia, herboriste et guérisseuse s'occupait de préparer les onguents et remèdes, afin de guérir ou de soigner les siens. Respectée pour ses talents, elle suivit à de nombreuses reprises les guerriers partant aux combats. C'est ainsi qu'elle rencontra son futur époux, Eärodan fraîchement blessés de la main d'orques. Pour eux, tout alla très vite, et ils s'établirent non loin du grand palais. C'était un temps de paix, les conflits étaient rares et rapidement réglés, les seuls ennemis étaient des orques, des loups, voire des trolls peuplant la forêt.

C'est dans ce climat relativement calme que naquit Sigvald Lingwë Finwëth.

Ce jour fut à jamais le plus beau de ses parents. Ils attendaient depuis longtemps qu'Eru leur accorde un enfant. Peu leur importait qu'il soit un garçon ou une fille, ils l'aimeraient de tout leur cœur.

Dès son plus jeune âge Sigvald montrait une grande curiosité pour la nature et les animaux, il était curieux et voulait apprendre. Son père le confia à l'un des grands sages du royaume qui offrit à son fils, ainsi que d'autres, un enseignement et un savoir digne des grands. Près d'un siècle plus tard, dès que son enseignement fut achevé et qu'il devint un adulte à part entière, son père commença doucement à lui faire connaître le maniement des armes. Exercice dont il ne raffolait pas, du même temps, il lui apprit à tisser. Mais là où il était le meilleur, c'était son savoir des herbes, de tout ce qui touchait de près ou de loin à la nature.

Le Royaume était secrètement gardé, personne ne devait sortir sans autorisation et personne ne devait rentrer sans être suivi. Mais à la nuit tombée, déjouant la surveillance de ses parents et la vigilance des gardes, il quittait parfois les bois pour explorer les terres alentour. Pour revenir au petit matin et se reposer près de la rivière. Les elfes ne "dorment" pas, on peut comparer cela à une sorte de méditation. Un moment où le corps et l'esprit se reposent sans réellement dormir comme les autres races, leur temps de repos est cours, mais suffisant.

Sigvald était heureux. Les soirées passé avec sa famille et ses amies à chanter et à danser sous un rideau d'étoiles. Des moments inoubliables... mais il avait envie d'une chose, partir à la découverte du monde. Rencontrer d'autres races et cultures. Notre elfe avait un peu moins de deux cents ans quand il fit part de son désir à ses parents et à son roi. Tous acceptèrent sachant pertinemment qu'une interdiction ne l'arrêterait pas. Son Roi, Thranduil, émis une seule condition pour protéger l'intégrité de son royaume. Que s'il voulait revenir un jour, il devrait attendre à l'orée de la forêt et une patrouille le guidera alors chez les siens.

Notre elfe partit, ne regardant que de l'avant, sans une once de remords, sachant que tout irait bien, il quitta Verbois pour n'y revenir que bien plus tard et différent.

Notre elfe fut confronté à la bonté et à la cruauté des hommes, dont le cœur était le plus corruptible. Il savait le bien en eux, mais le mal était le plus visible. La jalousie, la cupidité était monnaie courante. Il rendit visite aux descendants de Cirdan dans les Havres-Gris, tout en passant par les plaines du Rohan. Puis, il longea la côte pour atteindre le Sud et le royaume du Gondor. Sigvald s'arrêtait à chaque ville ou hameau, restait plusieurs journées afin d'observer, il était curieux, puis il repartait comme il était venu.

Il continua seul le long des rives sans savoir ce que le monde vivait. La guerre de l'Anneau allait bientôt éclater, dans une dizaine d'années précisément, personne ne vit cette sinistre guerre venir. Il poussa jusqu'au Sud de Pelargir, près de la frontière du Harondor, puis descendit jusqu'au Harad. Sa curiosité l'avait pousser beaucoup trop loin. C'est ce jour-là que sa vie bascula, de la lumière à l'obscurité.

Il croisa une caravane de marchands, ils firent connaissance et notre elfe décida de les accompagner. C'est là qu'il fut capturé par une bande de pillards Haradrims, sans armes, ils les capturèrent comme de vulgaire gibier et enchaînés dans la foulée. Son destin et celui des marchands n'avaient que deux choix possibles, la mort ou l'esclavage. Sigvald se disait avec ironie qu'étant donné son appartenance à la race elfique, il ferait un esclave de luxe, un bien précieux. Mais il n'avait pas envisagé le troisième chemin.

Ils marchaient depuis plus d'une semaine, sous-alimenter et déshydrater. Dans le désert et sous un soleil de plomb, quelques marchands moururent, des personnes âgées seulement. Et un soir, un seul soir, la brise était légère, la température douce, le garde qui les surveillait s'endormit à son poste. C'est à ce moment précis que me cours de sa vie changea littéralement. Il se leva furtivement, laissant traîner ses chaînes sur le sable pour étouffer le bruit et il brisa la nuque du pillard. Les autres prisonniers savaient que c'était la meilleure chose à faire, et aucun d'eux ne dit un seul mot. Tout se passa dans un silence morbide.

Il prit les clés du geôlier et libéra ses compagnons. Notre elfe donna rapidement ses directives, le plan était simple mais risqué, il ne dirigeait pas des guerriers, mais des marchands, hommes et femmes. Des gens innocent, qui n'avait rien fait pour vivre ces durs moments. Les pillards n'étaient pas nombreux, une petite dizaine, mais entraîné et armés. Ensemble, ils avancèrent doucement sans un bruit et tout se passa trop vite... L'un des marchands trébucha sur une pierre et tomba directement sur un des Haradrims qui dormaient. L'alerte fut donnée et le carnage commença. Les marchands sans défense furent complètement massacré, des gerbes de sang jonchaient le sol, tous n'étaient que cris, bruits sourds d'une arme frappant un corps, un cauchemar. Sigvald, lui, se battait avec rage, il était le seul armé, il abattit de nombreux pillards, mais encercler, il ne pouvait se résoudre à perdre la vie. Il jeta ses armes au sol et accepta son sort. Le coup fut brutal...

Sigvald se réveilla par les coups de fouet qui lui flagellait son dos, il était enchaîné dans un lieu obscur. L'air était pesant, l'huile des flambeaux dégageait une fumée âcre et désagréable qui irritait à chaque respiration les poumons de notre elfe. Il savait son corps meurtri, le goût de sang dans sa bouche était désagréable. Tout n'était que douleur. Et chaque jour, les coups de fouet, les brûlures et autres tortures recommençaient indéfiniment. Torture aussi physique que mentale. Pas une parole, seulement ses cris. On le forçait à se nourrir et à boire, le corps des elfes guérissait plus rapidement que celui des hommes et son bourreau en profita grandement. Ce fut la plus terrible choses qui pouvait arriver de toute sa vie, durant ses longues années de torture il se coupa du monde. Il mit de côté tout sentiments, toutes émotions pour ne plus ressentir cette douleur. Il n'y avait plus rien d'elfique en lui, il était brisé. Malgré tout, son envie de rester en vie était sa seule raison pour laquelle il n'avait pas rejoint Mandos. Quand son corps était trop abîmé et qu'il devait se remettre de ses blessures, ses ou son geôliers le soignait très bien, mais dans le même temps on le droguait. Dans ces moments-là les hallucinations, les cauchemars était tout aussi effrayant que la simple idée d'un tisonnier rougeoyant.

Il n'était plus un elfe, il était plus rien. Sa personnalité, ses anciens désirs, ce qui fait un elfe un elfe avait totalement disparu. Il rejeta tout ce qu'il était, tout ce qu'il le rattachait à ses souffrances éternelles. Il n'était plus qu'une coquille vide, son âme était meurtri et saigner à blanc. Il était près pour un nouveau destin. Dix années passèrent et un homme vêtu de noir se présenta à lui, peut-être le même homme qui le torturait, il n'en savais rien. Il fit amener une petite table et il y déposa deux statues. Sigvald les reconnues immédiatement, l'une représentait Melcor et l'autre son second, Sauron. Il ne lui dit qu'une chose... Il savait l'elfe prêt, sa volonté brisée, il n'était plus qu'une âme mourante dans un corps ne ressentant plus rien. Son asservissement pouvait commencer.

Et il lui dit :

- Rappelles toi tes erreurs. Qui es-tu vraiment ? Un criminel, un tueur ! Tout ce que tu à endurer tu le dois à toi ! Rejoins-moi.

Les jours, les semaines passèrent et les yeux fixer sur ses statues maudites lui fit perdre tous ces moyens, il n'était plus Sigvald, il n'était plus rien, il associa ses statues à un sentiment de puissances dans lequel les souffrances n'avait plus court. Il se sentait coupable, il n'était pas digne d'Eru, et ce Dieu n'était plus rien pour lui, seulement un nom, un ennemi qui la abandonner. L'homme lui parlait sans cesse, avec des mots habiles il éduqua notre elfe comme il le souhaitait, il asservit Sigvald.

- Traître à ton dieu ! Meurtrier ! Tu es le Mal ! Melcor t'a choisi !

Dans ses moments là, il pensait même devenir fou. Il voyait et faisait des choses, réalité ou rêves, il ne pourrait jamais le dire. Il voyait Melcor, Sauron, il les sentaient, il sentait leur puissance l'envahir. Et dès l'instant que cette pensée traversa son esprit, tout était déjà perdu. La corruption l'avait gagné, et la lumière éteinte depuis très longtemps fit place aux ténèbres. Laver de toute bonté et de gentillesse, de toute ce qu'il était et ce qu'il avait put être. L'homme lui amena de nombreux prisonniers ainsi qu'une multitudes d'outils et ce, jours après jours. Durant des semaines voir des mois.

- Souris à tes Dieux ! Ils te regardent ! Offre les en sacrifice !

Sigvald s'exécutait, la rage et la haine qu'il ressentait envers lui et le monde était intense. Tuant et tuant, il sortait des heures plus tard, couvert de sang, et dans un silence de mort, il rejoignit l'homme. Qui observait son nouveau disciple plein de potentiel. Notre elfe n'était plus que "mal", le "bien" en lui avait totalement disparu. Il faisait preuve d'une cruauté sans nom, jouant avec ses victimes.

- Te voici à présent au service de Melcor et Sauron ! Je connais ton secret et personne ne le saura. Tu t'appelleras désormais Huron, le Sombre Cœur. Tout commence maintenant ! Voici la marque de ton allégeance, donne ton bras.


L'homme sortit un tisonnier du feu, un œil surmonter d'une couronne. Et fermement, il l'appliqua sur l'avant-bras gauche de l'elfe. Aucun son, plus aucune douleur ne sortit de sa bouche, son ancien lui était mort. Il devint un fervent de Melcor, rituels, sacrifices et prières étaient devenus le rythme de sa vie. Jusqu'à ce que l'homme lui confie une mission plus importante. Il était désormais un bourreau. Son rôle, soutirer les informations de l'ennemi puis le sacrifier au nom de ses dieux et pour l'Ordre de la Couronne de Fer, dont-il faisait partit. Un rôle qu'il tenait à la perfection, il le fit sans une once de sentiment, pas de regrets ni de remords. Et ce Huron Sombre Coeur était connu dans chaque temple du Harad pour sa cruauté et sa violence. Tout ce passait au sein du temple de Djafa, l'un des plus grands temples Melkorites de son temps. Un endroit lugubre, sombre et horrible. Certains murs du temple étaient faits des ossements des infidèles, ceux qui croyaient en Eru. Mais selon les rumeurs il avait perdu plus de sang durant des années qu'il n'en aurait jamais fait couler.

Tout s'arrêta aussi brusquement que c'était arrivé. Sigvald était monté en haut de la tour du temple, il regardait se monde qui regorgeait de potentiel sacrifice, confirmant ainsi qu'il n'était digne que de deux personnes, Melcor et Sauron. Et à ce moment précis, il vit au loin l’œil rouge vaciller et disparaître, dès lors il savait que le monde dans lequel il avait choisi d'être allait bientôt disparaître. Il avertit les siens et la nouvelles fut vite connu de tous. Ils s'organisèrent pour une dernière défense, de villes en villes, il participa à de nombreuses batailles avec ses alliés Melkorites. Mais leur détermination ne suffit pas face aux forces Unifiés de l'ouest.


Un jour, l'armée du Roi Elessar libéra Djafa des dernières poches de résistance. Huron mourut pour  ce jour-là. Le temple était en pleine effervescence, tous s'armaient pour leur dernière bataille, un dernier sacrifice. Lui et les siens avaient déjà défendu à de nombreuses reprises les temples de la région, mais tous tomba sous le courroux du Roi Gondorien, Djafa étant l'un des derniers. Sigvald, enleva la tenue noire, il s'était toujours attacher à la vie et il ne mourrait pas aujourd'hui, il retrouva ses anciennes affaires, se banda le bras gauche et resta là, assis. Dans un coin de l'immense pièce de torture, la tête dans les genoux, il ferma les yeux, jouant le prisonniers. Les coups de poignards, le sang qui coule, les cris de douleur, la souffrance sur les visages, ses os se brisant, touts ça était fini, cette sensation de solitude lui serra le cœur. Il était à nouveau seul. Comment reprendre une vie au-delà de ses murs ? Il ne savait pas, il verrait bien... La porte s'ouvrit dans un vacarme, il releva la tête, les hommes de Gondor étaient là.

Il retrouva sa liberté, sauver, il se remit vite sur pied et une nouvelle existence débuta. Sigvald ne se sentait plus digne de rejoindre les elfes ni de croire en Eru, il ne ressentait plus rien pour eux. Et l'échec de ses nouveaux dieu avait brisé la personne sans âme qu'il était devenu. Ils n'avait aucun remords, il avait agi comme il devait le faire, certes il serait un monstre pour d'autres, mais il ne se voyait pas comme ça.

Il erra ici et là, recherchant un semblant de but. Le Harad était libéré et la paix régnait. Un soir, il tomba sur une foule, et curieux, il s'approcha. Sigvald vit une femme se faire rouer de coups par trois hommes. Il ne s'interposa pas, mais l'envie de se défouler, de faire jaillir cette haine le fit intervenir. L'elfe surpassait en taille et en force ces trois hommes, et il les battit sans armes.

- Merci Monsieur ! Merci !

- Je me fiche totalement de vous.


Il se fit alors remarqué par des mercenaires qui le prirent sous leurs ailes. Sigvald ne refusa pas, il masquait ses traits elfiques habilement et nulle ne sut qui il était vraiment. Il savait tuer, c'était sa spécialité, mais combattre ce n'était pas vraiment sont truc. Former et entraîner il commença à travailler, tuer, protéger des caravanes etc... Être mercenaire lui convenait parfaitement, il mettait en pratique un savoir qu'il connaissait, tuer. Il devint un bon combattant, mais rien d'exceptionnel.

Et cela dura pendant des siècles, du Harad au Gondor, jusqu'en Arnor, il mena à bien ses missions, les choisissant avec précaution. Il ne voulait pas mourir et il refusait les missions ou tâches trop risqué pour lui. Même s'il s'intégrait peu à peu à nouveau parmi les gens, il ne redeviendrait jamais l'elfe qu'il était. C'était et c'est encore aujourd'hui une sombre personne, bien que très sociables avec les gens. L'attachement qu'on lui donne est vite regretter.


Aujourd'hui, il souhaite revenir à Vertbois, pourquoi ? Seul ses désirs et ses envies le guide. Tuer et faire souffrir fait partie de sa vie, c'est un monstre et il accepte. Jouer avec les personnes, les tromper, s'insinuer dans leur vie, se faire des amies, tout cela lui sert. Il n'a d'amour pour personne et il redoute le jour où il en éprouverait. Il n'a plus rien d'elfique que son enveloppe charnels. Il se nomme désormais Lingwë, « serpent », un prénom qui le sied plus qu'autre choses. Si vous le croisez et si vous ne succombez pas à son charme, essayer d'être amis avec lui, ce sera certes difficile, mais peut-être pas impossible. Mais si c'est lui qui viens vers vous, restez sur vos gardes, c'est qu'il aura quelques choses derrière la tête. Il ne fait rien pour rien à moins que...




~~~~~

Comment trouves-tu le forum ? :  Magnifique, toujours très bien, bien structurer, une bonne ambiance et un nombre impressionnant de membres. Et une activité du tonnerre.


Comment as-tu connu le forum ? : Avec mon premier personnage, Kharn Dunhar, mais bien avant par un jeune elfe qui est aujourd'hui un espion de Rhun. Étant un débutant dans le Rp j'ai crée Kharn Dunhar beaucoup trop vite, et je me suis vite aperçu que je n'aimais plus mon perso, je n'arrivais plus à accrocher. Mais bon là c'est du dur et du définitif.


Dernière édition par Sigvald Lingwë le Lun 18 Fév 2019 - 22:40, édité 55 fois
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Sigvald Lingwë Finwëth, l'elfe déchu. EmptyDim 17 Juil 2011 - 22:01
Bonsoir Huron,

Quelques fautes par ci par là qui pourraient être corrigées avec une relecture ( s'expliquant sûrement par la longueur du texte ), ton personnage a l'air peu commun et donc devrait être agréable à jouer.

Huron ça fait un peu Indien, je l'aurai appeler Sioux à ta place.

Je te valide,
Bon jeu.
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Sigvald Lingwë Finwëth, l'elfe déchu. EmptyDim 17 Juil 2011 - 22:21
Merci d'avoir répondu. Very Happy

Pour les fautes je corrigerais ça demain, pour Huron ça viens d'un jeu de figurines : Warhammer 40000.

Bonne soirée^^

Edit': C'est bon j'ai corrigé au mieux.
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