Au Dragon Vert

Bienvenue au Dragon Vert !!! Vous voila dans la meilleur auberge de toute la comté, tous les hobbits vous le diront. Asseyez vous et profitez de l'ambiance chaleureuse. Vous prendrez bien un p'tit quelque chose ??




Menu

Légumes en importation direct de chez M.Magott

Viande (la part):cuit a la broche*
-lapin : 15 £
-lièvre: 17£
-mouton : 20£
-porc : 20 £
-boeuf : 20£
-poulet : 25£
-Dinde: 25£
* supplément (pour les gourmands): 3£
* supplement < sauce a la bière > : 5£
* supplément : 15£

Gibier:
-Cheuvreil: 30£
-Sanglier: parts allant de 30£ à 60£ pour les énormes
-Loup (nouvelle recette): 25£
-Ours entier à la bière: Pour les fêtes et les grandes occasions: 100£

Poisson :
Truite : 25£
Morue: 20£
Brochet : 20£
Saumon : 35£
Fruits de mer (plateau) : 30£
*supplément: : 15£

Légumes:
a l'eau
5 Carottes : 15£
5 Patates : 15£
5 navets : 15£
bol d'haricots : 20£
Potée : 25£

Patates grillés : 15 £
Patates en robe des champs : 20£
Patates "papas arugadas" (en croute de sel) : 25£

Entrées:
Carottes rapées: 10£
Patates froides: 10£
Salade: 12£
Celerie: 10£
*Supplément : 5£

patisserie:
Pain elfique : 30 Po
Pain aromatique : 30 Po
Pain de voyage des Nains : 35 Po
Brioche (dessert): 30 po
Croissant: 10Po

Spécial second petit déjeuner:

Menu complet "Casse croûte": 50£
-Thé aromatisé au choix
-Croissant
-Petites gâteries du chef (batterie de petites patisseries)
-Pommes

Menu complet "Dure journée qui s'annonce": 70£
-Bacon
-Oeufs sur le plat
-Omelette
-Fruits de mer au choix
-Bouteille de vin frais en provenance directe de Bree

fromage:
Chevre: 15£
camenbert: 15£
fromage des montagnes:(emballage etanche) 20£
Caprice des Elfs (fins et doux) 35£
Brique des Ogres (Fort, pour connaisseurs) 30£

Alcool
Bière brune de la comté: 35£ la chope
Bière blonde de la comté: 35£
Bière de Bree: 40£
Bière naine: 60£

Vin de la comté: 60£ la bouteille
Vin en direct importation des royaumes humains: 120£

Le maire entra dans le dragon vert, salua l'assemblée d'un geste amical de la main et se dirigea d'emblée vers la table où se trouvait un jeune hobbit qu'il ne connaissait pas encore et s'adressa à lui:

"Bonjour jeune hobbit, je me nomme oldscool29 et suis le maire de La Comté. Accepterais-tu de boire une bière en ma compagnie?"

Joignant le geste à la parole, il commanda 2 pintes de bière blonde de La Comté ainsi qu'un lapin nappé de sauce à la bière avec des navets et des patates grillées et s'assit sans plus de façons à la table du jeune hobbit.

ps: je me permets de commander ces victuailles (pour un montant de 120£) car si j'ai bien lu, j'ai déjà droit à ma première paye...?

Le jeune hobbit fut impréssionné que le maire s'asseoit à sa table. Il se dit qu'aprés tout il le méritait car il était le plus courageux.

"-J'accepte volontiers, cher Maire et je suis honoré de votre présence à ma table. Un verre de vin de Bree, peut-être??"

Je n'avais pas tellement faim (c'était bien la première fois), mais j'avais décidé de prendre le taureau par les cornes. Le décès de père était bien inattendu et il allait me falloir travailler à présent. Père disait toujours qu'il cultivait la meilleur herbe à pipe de tous les temps, mais il n'en vendait guère beaucoup. Je pense qu'il était un bon cultivateur mais pas un très bon vendeur. Il se disputait avec tout le monde (même le maire qui est pourtant connu pour ses talents de diplomate). J'avais décidé d'être un meilleur vendeur que lui et d'investir dès lors dans les relations publiques.

Quel meilleur endroit pour cela que l'auberge. Je commandai du saumon, des patates en robe des champs ainsi qu'un bol de haricots (75£) et m'installai seul à une table à l'écart afin d'observer la clientèle. Etant malheureusement allergique à l'alcool (c'était pas faute d'avoir essayé pourtant), je bus l'eau offerte par la maison (des cruches étaient disposées sur les tables).

Il fallait maintenant aborder des clients potentiels. Justement, il y avait Edgarrac Mantte, le Shiriff, et Olscool29, le Maire. Mais je n'étais pas sûr de vouloir me joindre à eux immédiatement. Compte tenu de la quantité de bière et de vin sur leur table, ils n'allaient pas tarder, selon moi, à être complètement saouls.

Edgarrac se leva de table et remit son chapeau, avant de se diriger vers la sortie.

"- Encore un étranger, murmura-t-il dans ses dents à la vue de l'elfe, dis donc!!!!!"

Aprés m'etre entrainée en Lorient, je décide de faire une petite excrtion en compté, ou j'entre dans la taverne du Dragon Vert, decidant de gouter au bon vin de la Comté

Bonjour aubergiste! Je prendrais 2 bouteille de vin de la Comté!

Je pose 120po sur le comptoir, puis, me sentant de bonne humeur et n'étant pas avare je cris:

Venez prendre un verre avec moi! Que je ne goute pas seule ce vin délicieux!

Plusieurs clients s'installent á ma table et ont vite un nez bien rouge, quand á moi je ne bois que deux verre et observe l'animation de la taverne en souriant et ne me manifeatant que pour repousser les avances de quelque hobbit saoul.
Enfin aprés avoir essayer 10 fois de quitter l'auberge sans me faire apercevoir puis d'avoir été forcée á resté "encore un tout petit peu", je me glisse par la porte et decide d'explorer la Comté

Un elfe tres étrange entra,se freya un chemin parmi tout les hobbit saoul allait au comptoir et dit d'un air tres amical en retirant sa capuche:

Bien le bonsoir tres cher hobbit,a ce qu'il parrait vous fesez de la nourriture excellente je dirrait meme la meilleur de toute la terre du millieu... Alors je voudrais un sanglier a 30po et un lapin a 17 po
merci d'avance et bonne soiré.

L'aubergiste qui au départ pensais avoir a faire avec quelqu'un de pas tres commode eu vite prix un sourire. Il fit ce que l'elfe lui avait demandé
et revien quelque minutes plus tard avec un bon repas tres appétissant.

Alors merci beaucoup de répondre l'elfe.

il partit a une table poursavourer son repas

Je voudrez un menu complet dit-il en mettant 70£ sur le comptoir.

Etelion entra et salua les serveurs qu'il connaissait depuis une paire d'année, puis il s'asseya à une table et demanda, quand un serveur vint prendre sa commande:

- J'aimerais un ours à la bière (100£) et un bière blonde de la comté (35£).
- Je t'apporte ça tout de suite, Etelion.
- Merci bien.

En attendant que le serveur revienne, Etelion prépara les 135£ pour le payer et une fois qu'il eu réunit la somme, il sortit de sa poche un bout de papier en peau de chevre sur le quel était inscrit quelques points au centre avec marqué à coté de ceux-ci des mots comme hobbitbourg, bree, les montagnes bleues. C'était la carte qu'Etelion faisait depuis sa majorité en souvenir de son père. D'ailleurs, il cherchait encore les anciennes cartes de son père pour achever son travail.

Le serveur revint, les mains encombrées par un ours à la bière et pas une choppe de bière blonde, qu'il posa sur la table. Etelion lui remit les 135£, le remercia, et commença à manger ce dont il était sur qu'il ne finirait pas.[b]

Forlong et ses compagnons laissererent leurs montures dans les ecuries, puis entrerent dans la taverne Au dragon Vert. Des qu'ils passerent la porte, ils furent innondes par une vague de chaleur, tellement agreable et surpreyante apres deux journees passees dans la neige et le froid.
Cependant, l'ambience que reignait dans l'auberge, etait beaucoup plus froide.
Les hobbits presents regarderent les nouveaux arrives d'un air suspect, mais ne dirent rien.
Les voyageurs s'asseyerent a une des tables. Forlong appella l'aubergiste et dit:

-Donnez nous du vin chaud aux epices pour un peu nous rechauffer, ainsi que du boeuf et des pommes de terre.

L'aubergiste nota la commande sur un bout de papier, puis partit sans rien dire. Apres quelques minutes, il apporta le vin et la nourriture.
Forlong dit a ses compagnons:

-Ils ne sont pas tres joyeux, nos amis les hobbits...ca va pas etre facile de mener une enquete dans ces conditions.

Personne ne répondit immédiatement à Forlong. Peut-être était-ce à cause de cette ambiance pesante, où seuls les murmures des conversations, le bruit des couverts et le crépitement agréable du feu perçaient le silence. dans ces conditions, parler à voix haute semblait être un manque profond de politesse. Les voyageurs commencèrent à manger en silence. Des regards les survolaient sans jamais se poser sur eux. Mais ce n'était pas la peur qui émanait de cette ambiance, plutôt une sorte de tristesse, ou de résignation.

Finalement, Halbarid rompit le silence en prononçant à voix feutrée quelques mots :

Nous devrions commencer par recueuillir des témoiniages de l'attaque de Hobbitbourg... Vous savez, ce dont je vous avez parlé et qui a déclenché le conflit : des bandits qui ont brûlé le moulin et un champ d'herbe à pipe. Peut...

L'entrée de trois hommes chaudementvêtu le coupa dans sa phrase. Eux non plus ne semblaient pas heureux, et la seule raison qu'on pouvait trouver à leur sourire était la chaleur envoutante de la pièce. Il s'assirent à une table non loin du petit groupe et aussitôt le petit cuisinier leur apporta un plat fument qu'il portait tant bien que mal à bout de bras, avant de revenir avec plusieurs chopes de bière. Il commencèrent à discuter, maisleurs chuchotements ne permirent pas aux autres de comprendre entièrement ce qui se disait.

"...Arnor sont arrivé...

-...Protégerai Bree...

-...Pas durer bien longtemps..."

Mais un regard de l'un deux sur Forlong mit fin aux conversations, et ils se penchèrent encore plus au-dessus de la table.

Les rangers avaient raison...mais comment commencer une conversation?
Forlong regarda discretement les trois hommes assis a une table non loin d'eux. Ceux ci semblaient interesses par le petit groupe des voyageurs. Etaient ce des soldats de Bree de la garnison locale? Ou bien des hommes du meme groupe qui les attaqua pendant la nuit? Peut etre des simples voyageurs?
Le capitaine du Nord appella l'aubergiste, et lorsque celui ci arriva, il dit:

-Pouvez vous nous servir un bon cafe au lait? J'aimerais aussi fumer la pipe, mais j'ai entendu des rumeurs qu'il y a eu un probleme avec les reserves d'herbe a pipe... ce serait bien dommage, rien ne vaut mieux que l'herbe a pipe de la Comte!

Ce n'etait peut etre pas le meilleur moyen de commencer la conversation avec l'aubergiste, mais c'etait le seul qu'il trouvait...

Le tavernier posa un regard suspect sur Forlong, et après un haussement d'épaule lui tourna le dos pour se diriger vers le petit comptoir pour y disparaitre. Il revint quelques secondes à peine plus tard avec des tasses et une cafetière, ainsi qu'une pipe et un sachet d'herbe à fumer. Sans prononcer un seul mot, il partit à patits pas précipités vers l'autre table où les humains l'avaient appelé.

Le capitaine aurait pu paraitre vexé du mutisme du hobbit si il n'avait pas trouvé, grossièrement dissimulé dans le tuyau de la pipe un bout de parchemin tâché où une écriture qui se voulait élégante laissait voir quelques mots.



//pas très long mais je n'ai pas le temps.//

Forlong sourit discretement...cette facon de faire passer le message correspondait bien au petit peuple, des choses similaires apparaissaient dans des nombreuses histoires si populaires dans la Comte.
Il etait satisfait, cette lettre signifiait que le peuple local allait peut etre les aider dans l'enquete.
Il finit lentement son cafe, et alluma la pipe. Il observa la salle pendant un long moment, puis se leva et partit dans sa chambre. Il decida d'aller seul, sans ses deux compagnons, mais arme. Qui sait, c'etait peut etre un piege...
Il se coucha sur son lit, et essaya de s'endormir pour les quelques heures qu'il lui restaient avant le rendez vous. Mais il n'arrivait pas a trouver sommeil. Qui sait, etait ce ses pensees concernant la lettre qui le maintenaient eveille ou etait ce le cafe?

Environ une demi heure avant minuit, il se leva de son lit, et enfila sa veste. Il dissimula ensuite son poignard dans la botte, et attacha son epee imposante dans le dos.

Le dragon vert etait une auberge hobbite, il n'avait qu'un seul etage. C'est pour ca que Forlong, a la place de sortir par la grande salle de l'auberge, se glissa discretement par la fenetre ronde de sa chambre.

Lorsqu'il se retrouva dehors, il regarda attentivement autour de lui. Aucun danger visible...il se dirigea vers le moulin, un batiment beau construit dans le style du petit peuple...d'apres la legende il fut detruit par Saruman et reconstruit par apres.

Il se cacha dans l'ombre du batiment...

ayant parcourue plusieur lieu pour se rendre en comté, Nomis trouva enfin la fabuleuse auberge du dragon vert. Lorse qu'il entra il se dirigea vers le comptoir et demanda a l'aubergiste:

Pourrais-je vous acheter quelque une de vos spécialité,
Du poulet avec supplement < sauce a la bière >: 45 po
Un bon bol d'haricot et des carrotes: 20 po
Du fromage de chèvre avec de la bière blonde de la comté: 50 po

Le tout pour 115 po si je n m'abuse.
Après avoir payer, il alla s'asseoir et attendit qu'on lui serve son repas.

Forlong et Bannor entrerent dans leur chambre par la fenetre, pour ne pas eveiller des supcons. Forlong nettoya sa blessure et enroula un bandage autour de sa jambe.
Il enfila ensuite une chemise propre, et se nettoya le visage.
Ensuite les deux hommes descendirent dans la salle.
Ils s'asseyerent a une table et Forlong commanda de la biere.
Il regardait attentivement autour de lui et observait les visages des hommes presents dans la salle.
Il y avait t'il quelqu'un dans cette ville a qui il pouvait faire confiance?

Si c'était fort probable, la question restait de savoir qui. Comment trouver ceux qui pouvaient l'aider et être sûr de leur bonne foi? Après tout, comment pouvait-il être sûr que les soldats d'Arnor qui étaient restés à Bree étaient de braves serviteurs du roi Aldarion? La confiance ne pouvait régner, et c'était sur cela que se basait le Maire pour arriver à ses fins.

A l'auberge, l'ambiance était la même que la veille, et on pur aisément croire que c'était le même jour. Mais bien des événements s'étaient passés depuis l'arrivée de Forlong au Dragon Vert et cette matinée là. Comme on l'a dit, personne n'était là pour conseiller le capitaine, mais pourtant il ne pouvait rester là à réfléchir éternellement. Quand le maire apprendrait que ses sbires les plus fidèles étaient morts, il ne faisait aucun doute qu'il allait agir. mais que pouvait-il faire sans se trahir?

Soudain, un homme vint s'asseoir sans rien demander près de l'écuyer du capitaine. Il affichait un grand sourire des plus francs. A ses côtés, l'écuyer était devenu livide. L'inconnu dit d'une voix calmeet aimable au capitaine :

A l'instant ou je parle, votre ami à une lame prête à être enfoncée dans ses côtes. Il mourra si vous ne faites pas ce que je dis : sortez comme si de rien n'était et retrouvez derrière l'auberge mon collègue. Il vous conduira... quelque part. S'il lui arrive quoi que ce soit, votre compagnon est mort. Soyez sûr que je serai informé de tous vos actes presque en temps réel, alors ne jouez pas au plus malin. Ai-je été clair?

Autour d'eux, des soldats de Bree étaient attablés à trois longues tables, et aucun des chaises qui les entouraient n'était vides. tenter quelque chose serait bien dangeureux...

Forlong n'hesita que pendant un court moment, puis se leva lentement, et jetta un regard rassurant a Bannor.
Ensuite il dit d'une voix calme:

-On peut meme pas finir une biere tranquillement...je ne sais pas qu'est ce que vous me voulez et qu'est ce que votre ami souhaite me faire derriere l'auberge, mais vous avez des arguments assez...forts.
Je vous previens cependant, n'essayez pas de faire mal a mon compagnon, si vous ne voulez pas vraiment m'enerver.

Il y avait quelque chose de dangereux dans le sourire moqueur du capitaine.
Il se dirigea vers la sortie murmurant quelque chose sur le besoin d'uriner.
Lorsqu'il se retrouva derriere l'auberge, il regarda attentivement autour de soi...

Un homme habillé modestement apparut devant le capitaine, et sans un mot lui fit signe de le suivre. Peut-être à sa surprise, l'inconnu le fit revenir sur ses pas. Il s'arrêta devant une petite porte. Il s'arrêta, vérifia que personne ne l'avait suivi puis frappa deux coups brefs suivis de deux plus lents. De l'aure côté, on put entendre le même signal. Le guide de Forlong dit alors un mor dans une langue incompréhensible et la porte s'ouvrit. Un homme encapuchoné leur intima de rentrer, puis la porte se referma, les plongeant tous dans le noir. Forlong, l'espace de quelques secondes, distinga les respiration de plusieurs hommes, puis une voix s'éleva :

"Nous allons pouvoir discuter sans être dérangés, enfin. Vous m'avez causé nombre de troubles vous savez. Je n'oublierai pas votre corriacité d'ici peu. Mais à présent je sais que vous ne tenterez rien, vous êtes trop digne pour laisser mourir votre écuyer. La bonté est une faiblesse sans pareil..."

On entendit un grincement sonore, et une lumière tamisée pénétra dans la pièce. Les volets d'une fenêtre avaient beau être écartés, la propreté de la vitre ne permettait pas à un maximum de lumière de pénétrer. Dans la pièce, cinq personnes, la tête baissée, une épée dans le dos. Un rai de lumière vint éclairer le visagedu sixième, l'interlocuteur de Forlong qui put imméditaement le reconnaitre : le Maire, une expression sournoise défformants ses traits.

Personne n'avait pris l'épée du capitaine. Le bruit des conversation dans la sale à manger passait à travers le mur.


Dans la pièce juxtaposée qu'avait quittée quelques minutes plus tôt le capitaine, l'arrivée du hobbit avait été remaqruée. Un des hommes, ivre, s'approcha d'Etelion? Son haleine puait l'alcoll, et ses vêtements exahlaient une odeur rance de transpiration.

"Depuis quand les pieds-Velus y portent des couteaux? Pas bien longtemps, pour sûr! Regardez bien ct'e spécimen là mes amis, il est pas courant."

Il partit dans un rire gras, suivi par ses acolytes. tandis qu'il portait sa chope à ses lèvres, il renversa un bon tiers de l'alcool qu'elle contenaot sur l'aventurier.

Forlong regarda le maire avec surprise. Il savait que c'etait un ennemi extremement dangereux...mais comment a t'il fait pour se liberer des dunedain laisses a Bree et venir jusqu'ici si rapidement?
Cependant, il dit, d'une voix calme:

-Je suis heureux de revoir votre visage grassouillet...
Quant a la bonte etant un defaut...comment pouvez vous compter sur la fidelite de vos hommes, si ils sont seulement des instruments dans vos mains grasses, des pions, que vous etes pret a perdre pour atteindre un but plus important pour vous?

Il regarda les cinq hommes armes:

-Est ce l'argent? Car je suis sur que je peux vous offrir plus que ce miserable manipulateur...qui en plus sera bientot pendu a Annuminas.

Il regardait les hommes presents dans la salle avec un sourire moqueur, meme si dans les profondeurs de son ame, il n'avait point envie de rire.