Discussions au Palais

"Mon Seigneur, êtes-vous certain qu'il faille réunir du monde et débattre du Harard ? A ce propos...vous ne trouvez pas que..."

"Silence, mon ami ! Ecoutez, et ensuite, sans doute, vous verrez".

Mon conseiller baissa la tête et s'excusa en faisant des moulinets avec ses grands bras raides. Après les dernières excuses, il s'enfuit en direction des cuisines du Palais. J'avais envoyé un messager faire quérir le Stratège et le haradrim, premier concerné de l'affaire. Je m'assis sur le premier fauteuil et saisis son bras. J'étais nerveux, de par le fait que pour l'instant, je ne m'étais encore que guère intéressé au Harad et ses alentours. Désormais, ce sujet serait en centre de nos discussions...

J'essayai de réfléchir, autant que possible, en attendant les personnes convoquées.

HRP: Toute personne gradée peut se joindre à la discussion.

Silence pensait en chemin comment récompenser son crébain, d’une obéissance infaillible. La brave bête avait dut être d’une terrible efficacité pour arriver jusqu’au Roi en si peu de temps. Les statistiques étaient bonnes, c’était un bon investissement pour son argent.
Pressent le pas dut à l’urgence qu’imposait la situation et le ton du milicien –malgré son état de panique évident- il arriva bien rapidement au Palais, traversant les passages avec une facilitée d’autant plus déconcertante dut à son nouveau rang. Il finit immanquablement par finir devant le Roi, qu’il salua d’une courbette digne de leur différence de rang. Etonnamment, il découvrit Meakil qui avait dut être encore plus rapide de son départ de la bâtisse.

- Salutation, Roy du Gondor. J’imagine que vous avez reçus mon message…

Il fit un hochement discret de la tête à Meakil, souriant en coin, telle une preuve d’assurance concernant ses requêtes.

Le Roy accueillit chaleureusement les deux invités en leur présentant deux chaises, au milieu de l'assemblée, parmi les nobles et autres dirigeants de la Cité Blanche. Une fois que tout fut prêt, le Seigneur des lieux prit la parole:

"Mes amis, nous sommes réunis aujourd'hui pour une affaire concernant le Royaume du Harard, au sud. Je présume que peu d'entre vous y soient déjà aller, si ce n'est Maekil oth Harad, ici présent" fit-il en désignant le Haradrim de la main.

Il enchaina de sa voix claire:

"Cet homme est le Chef d'un clan, dans ces terres méridionales. Il affirme qu'une bande de mauvais hommes, ces hommes mêmes qui ont fui devant nos portes , pillent le Harandor sans retenue et saccagent les terres ! Il est venu en Notre Cité Blanche pour quérir de l'aide...mais voici que se pose la question principale de notre conseil, l'aura-t-il ?"

Un homme moustachu au ventre gras émit un petit cri, après avoir tremblé durant le discours du Roy.

"Et eux, combien de fois nous ont-ils aidé, mon Seigneur ? Ce qui se passe là-bas ne nous regarde pas, ces gens sont étranges...et je crains qu'il n'y ait rien a gagner si ce n'est la perte inutile des hommes qu'on enverrait là-haut !"

Silence ne participa encore à la discussion, il n’avait pas encore son mot à dire. Cependant, il se tenait proche de Meakil, s’affichant clairement comme un allié, foudroyant le noble qui venait de parler de son regard perçant.
Quelque part, l’anneau de Tulkas animerait le courage de Meakil, bien que sa demande était légitime, il fallait un peu plus pour convaincre les hautes sphères de la hierarchie…
Le Roy était conscient des enjeux et les avantages qu'il tirerait de cette campagne. Peu être désirait il juste que Meakil présente cela à confrères à sa place...

Silindë entra alors dans le palais, les gardes voulurent l'en empeché mais son regard les en a disuadé, Il resta a une certaine distance avant de coupé d'une voix qui paruent sortir des abysses :
-Excusez moi d'etre en retard. Je suis la conversation en cours continuez, tout cela me conscerne aussi car je part avec eux...

Meakil ne pipa pas à la remarque légitime du vieux noble, trop de haine habitait le coeur des 2 peuples l'un envers l'autre... La réaction trop calme de Silence lui assura qu'ils étaient au moins 2 à penser la même chose.
Il se leva.

Votre doute est légitime, votre peur humaine. Je ne suis pas venu ici pour pleurnicher, mais pour bâtir un nouvel ordre! Oui, je l'avoue nous avons été ennemis, ennemis de sang, certains hommes de mes contrées, de mon clan même, ont rêvés de la fin de Gondor et de son peuple. Ces hommes ont accueillis Sauron et l'ont aidé dans sa réinstallation au Mordor. Mon père lui-même a tenu le Morrannon contre vous aux dernières heures de Mordor!!
Mais il est revenu de cette cité un autre homme, un homme qui croyait à la fin de la haine. C'était un pillard, pas un chevalier, il tuait pour vivre.

Oui, votre haine est légitime! Mais combien de mère en Harad et en Gondor pleurent leur fils? Combien de femme n'ont plus qu'un lit froid ou dormir? La haine nous a divisé il y a des milliers d'année, parce que nous avons juré allégeance à un monstre capable de nous détruire en un tournemain. Les rois du Harad ont choisi l'allégeance à Sauron car les rois de l'ouest étai alors des hommes corrompus, et entre mourir libre et vivre pour voir un nouveau monde, ils ont choisi de vivre. Ce n'est pas comme si le plateau de Nûrn formait la frontière entre bien et mal!!!
L'Harondor a été une des provinces de Gondor pendant plus de Mille ans!!! Mon peuple est un peuple métisse, en comptant tous les bâtards des soldats de khand, les nomades suderons, les anciens Gondorims et le peuplement de souche Harad, et ce peuple est fatigué de servir de grenier à pillage à toutes les factions, Sultan, Al-Jarkal, Al-Emmena, Khand, Tribus orcs en tous genre et j'en passe beaucoup. Je vous offre monsieur les richesses de nos montagnes, L'Ephel Duath est en effet sur notre domaine dans sa majeure partie, je vous offre l'allégeance d'une région qui fait 1/4 de la taille de votre royaume, ses richesses, ses dorits de douanes, tous... si vous nous assister pour chasser cet impie et sa monstrueuse clique.
Ma mère était une elfe de fondcombe, ma première épouse une princesse d'Umbar. Ces 2 femmes avaient poussé notre clan et notre cité vers de meilleur sentiment, vers un raffinement, ma cité resemblait à une pâle copie de celle-ci, mais une tentative de mieux! Ce chien en a fait une caserne géante, les habitants mendient de la nourriture aux soldats! Les orcs des plus infâmes clans vont et viennent librment dans la cité. Ces orcs même qui ont pillés le pays jusqu'il y a peu. Et c'est ainsi qu'on traite des humains! Récemment les survivants de l'armée que vous avez mis en déroute ont pillés les cités, En rasant certaines jusqu'au fondations, capturant la population d'autres!
Celà c'est ce qu'il reste de l'ordre ancien, de vieilles haines et des massacres
Il sortit al-Hadaïm de son fourreau. Le raclement du métal fit sursauter l'assemblée
Cette épée fut autrefois nommée Al Yahad, la vengeresse. Elle est dans mon clan depuis l'arrviée de Sauron.Elle est faites d'un métal qu seul le Mordor a pu produire, et ses composantes n'ont pas à être décrite à la lumière du jour. Ce métal nécessite pour fusionner un certain litrage de sang, humain ou elfique bien entendu. tremblement de l'assemblée, surtout des gros nobles Elle était le symbole de la haine, et c'est brisée lorsque mon père voulu tuer un de ses vassaux, un homme de mal, un chien de Khand qui l'avait trahi. Lorsque qu'elle aurait du percuter l'homme elle explosa, blessant mon père à la main. la façon dont elle fut forgée lui interdisait de faire du mal à un serviteur des ténèbres.
Elle a été reforgée, et s'apelle aujourd'hui Al- Hadaïm, "L'amitié". C'est un orc qui l'a reforgée, un orc de bien, aussi absurde que celà puisse paraître. Cette lame ne peut plus tuer ceux qui me sont fidèles, ni ceux qui veulent le bien.

Je vous offre l'allégeance de cette épée et de tous ceux qu'elle défend ou représente. Je vous offre l'allégeance de L'Harondor, du clan Duzingi et de ses vassaux. Je vous offre la fin du culte de Melkor si il le faut, mais de grâce, sauvez ces pauvres gens, que ceux qui ont cru bon de rescussiter l'espoir ne doivent plus courber l'échine

Serre avait prévenu Yrian que Silence accompagné d’un homme nommé « Meakil » venant du Harad était allé au près du roi pour une affaire concernant la région du nouveau venu. Le mercenaire partit donc d’un pas leste et rapide vers le haut de la cité. Plus il montait dans la cité plus les classes sociales évoluaient et plus il était regardé d’un mauvais œil.

Arrivé au porte du Palais, il dévisagea tour à tour les deux gardes et avança pour entrer.
Hola manant retourne dans ton taudis ici c’est le palais du roi déclara le premier des deux gardes, sur de lui confiant dans sa supériorité.
Yrian ne répondit que deux mots :
griffes d’amorth Le garde devint subitement livide, se rappelant passage de Silence. Finalement ils le laissèrent passer.

Le mercenaire arriva dans la pièce où se réunissaient les personnes de haut rang. Il ne s’anonça pas et s’installa dans l’ombre, certain que les noble ne le remarquerai pas sauf le roi, silence, le fameux Meakil et des elfes si ils y en avait dans la salle.

Il écouta attentivement les dires de Meakil et commança à comprendre de quoi il s'agissait.

Silindë pris la parole et dit dedains et haine:
- Malheureusement le culte de Melkor ne s'arretera pas comme sa, trop de gens lui vouent encore un trop grand honneur, et surtout a sont successeur Gaurthor........Sauron, je parle encore ma langue et se n'est pas le cas des hommes de cet age, je vois que vous etes de moins en moins cultivé....c'est peut etre mieux comme cela, vous n'avez pas de trop mauvaises idées, je ne sais pas si ses mots vous rapelles quelque chose et la Silindë dit avec la meme voix qu'a son entré, mais seulement sa voix cette fois ci paru sortir aussi de la bouche de l'Ennemi :
-Ash nazg durbatuluk,
Ash nazg grimabatul,
Ash nazg trakatuluk,
Agh burzum ishi krimpatul...

Le gros noble marmonna quelque chose d'incompréhensible dans sa large moustache, tout en gesticulant sur son fauteuil. Un autre homme, plus grand et plus fort que le précédent, se leva, les poings fermés, et il s'écria :

"A entendre votre récit, vous parlez comme si tout cela n'était de votre faute ! Mais vous oubliez que nous autres, du Gondor et du Rohan, n'avons point cédé devant le Grand Oeil, bien que nos coeurs eurent des moments difficiles à vivre ! Non non, sans nous et notre bravoure, vous ne seriez même plus là pour quérir notre aide...et maintenant, il faudrait qu'on viennent secourir ceux qui ont voulu notre fin, ceux qui ont essayé de nous faire tomber. Sotises et folie, c'est tout ce que j'en dis !"

Il dévisagea le Haradrim d'un regard très dur avant d'aller se rasseoir, visiblement détendu. Un elfe se leva à son tour, sa cape bleue virvoltant derrière lui. Très calme, et de manière posée, il annonça :

"Je comprends la réaction de notre ami Bargalond, bien que je sois d'una vis fort différent. Il est un temps où il faut savoir se défendre et un autre où il faut savoir pardonner et ravaler ses remords."

Il regarda froidement le dénommé Bargalond, et poursuivit :

"L'appel du Mordor était trop fort pour eux. Vous croyez tout savoir l'ami, mais bien des points restent flous à vos yeux. Que pouvait faire le Harad ormis le fait de se joindre à Sauron ? Se battre à un contre deux-milles ? Allons donc, savoir pardonner et comprendre nos anciens ennemis détient de la sagesse...De plus, nous ne pouvons laisser de telles atrocités libres. Si les femmes qui sont entrain de se faire violées étaient les vôtres, réagiriez-vous différemment ? Je crains que soit de nouveau venu le temps de sortir nos lames de leurs fourreaux, et de ramener le respect et les droits de chacun. Depuis quand un enfant de quatres and mendie-t-il aux pieds d'un infâme orques ?"

Il alla se rasseoir, et le silence tomba dans la salle.

Silence ce leva à son tour, confiant et d’un étrange charisme :

- Les griffes d’Ammoth soutiendront l’acensions légitime au trône de Meakil Duzingi ici présent. Ce que pourra en tirer le Gondor de cette alliance n’est plus à souligné. Il ne manque que les fonds pour faciliter cette entreprise et prouver votre bienveillance à l’égard de votre prochain. Cet homme vient se risquer jusqu’ici pour prouver la noblesse de sa cause. Qu’importe le camp duquel il fait partit, il est toujours mieux que ses chiens qui diriges actuellement le Harad et qui étaient, il y a peu de temps encore, dans nos champs…

Il laissa traîner sa phrase sans fin dans l'air avant de se rasseoir, telle unje gargouille désenchantée.

Silindë dit plus calmement que tout a l'heure mais tout aussi sechement et durement a Bargalond :
- Humain, vous dite que vous avez resisté a l'oeil, mais si les Quendi, n'avait pas ete la, le gondor serait tombé, car sans les quendi d'accord vous auriez trés bien puent gagné la bataille des champs de pellenor, mais vous auriez eu, Dol-Guldur, Angmar, Le Morranon, et Rhûn sur le dos, Les quendi ont rasé Dol-Guldur, Les dunedain ont ralenti Angmar jusqu'a l'arrivé des quendi, beaucoups de choses ont ete faite par ma race, mais cela vous l'avez peut etre oublier.
Ma quete en harad est personelle, mais elle va tout aussi bien vous aidez, car les numenoriens noirs sont une plaie ouverte et encore saignante car comme je le disait Le Noir Ennemi est encore dans leur esprit et dans leur coeurs!!! Je hais Melkor plus que peut etre n'importe qui pour se qu'il m'avait fait... Et beaucoup d'elfe (sont regard se tourne vers l'elfe present)
le haissent a cause de se qu'il a fait a nos peuples. Vous ne pourrez jamais comprendre cela je crois, vous etes trop, BUTER, BORNER, et vous etes trop CORRUPTIBLE POUR CELA!!!!!

Silindë finit sa phrase dans une colere terrible, sa voix se fit entendre jusque dans la cour de la fontaine et dans tout le palais.
Sont visage etait crispé de Haine, une haine presque incomprehensible par les humains. Sur se Silindë finit par dire :
-Au fait vous pouvez me rapellé "Morgoth"!!!

Puis il quitta le palais...

Sans tes ancêtres nous serions tous morts l'ami,Cria Meakil vers le couloir où l'autre s'enfuyait bruyamment,quant à utiliser le nom que Fëanor donna à ma divinité, bien t'en face, mais ta malédiction dépasse tes propres paroles Moriquendi, n'as tu dont rien appris de celle des Noldors? Si tu cherches des alliés évite de rapeller aux humains combien ils ont souffert de l'alliance des elfes, Evite de tourner des couteaux dont les plaies se sont seulement cautérisées* dans la lutte contre Sauron, 300 ans pour 7000, c'est bien peu pour oublier!
Et expose ce qui fait que tu veux nous accompagner, ta quête est personelle dis-tu? Mais le nom que tu invoques nous implique tous!. Ta mauvaise humeur théatrale risquerait d'entraver le débat. Sois clair c'est au Roi des hommes que nous nous adressons!!!(Ce titre n'est pas fortuit)



(*cautériser: Cicatriser par le feu)

Silindë se retourna :
-Tu sais se que sont les Noldor??? Ils sont des traitres, des assassins!!!!
Ils ont tué des gens de leur race pour pouvoirs s'enfuirent, les Noldor vous ont abbendonnez quand l'heures etait de vous aidez, les noldor m'ont banni pour se que j'etait!!!!!

Sa voix resonna dans tout le palais, un silence de pierre s'en suivit.
Puis il continua:

-Mon surnom je ne l'avait pas choisit, les orques me l'ont donné, car pour eux j'etait un peu se qu'etait Belegur pour les elfes...
Je ne remue pas le couteau dans la plaie, les hommes n'ont que peu souffert par rapport a mon peuple.
Vous savez Haradrim, vous pouvez toujours priez Melkor, tant que vous le voudrez il ne peut plus rien faire, en dehors des cercles du monde...
Le banni, le mille fois maudit, L'ainur dechu, Celui qui a faibli en puissance!!!(Jeu de mot avec la traduction de Melkor qui est : "Celui qui grandit en puissance" )
Ma quete est une vengeance envers des Numenorien noirs, trop long a raconter ici...

Sur ceux Morgoth tourna le dos et partit vers la sortit.

Aleth arriva dans le haut de la citée, le vent y était plus frais mais tout aussi doux...Il regarda autour de lui puis son regard se fixa sur l'arbre blanc...C'était à côté de cet arbre qu'il jouait quand il était petit...C'était de très bon souvenirs pour lui...

*Woaw...Magnifique...Qu'elle belle vision...*

Il s'approcha devant les gardes et les regarda un moment, puis il se décida à parler...Lentement il ouvrit la bouche

"Je suis Aleth...Je demande à voir le Roi tout de suite, qu'il soit en réunion ou n'importe qu'elle autre affaire...Pour la simple et bonne raison que..."

Un garde d'une forte musculature le coupa

"Vous ne pouvez pas entrer, le Roi est en réunion importante..."

Aleth le coupa à son tour, il finit sa phrase en ignorant les dires du garde

"...Que je suis son fils...Prince du Gondor..."

Le garde ouvrit de grand yeux et se dépécha d'ouvrir la porte, il se poussa et ce mit sur un genoux, l'autre fit pareil...

Au son le plus subtile du fer se caressant à l’ouverture des portes, Silence ce tournis vers le nouveau venu, près en son fort intérieur à n’importe quelle situation. Pareil événement devait être exceptionnel pour que le Roy soit ainsi dérangé, il fallait donc être préparé à une situation exceptionnelle… Quel ne fût pas son désappointement à l’annonce du fils revenant qui osait interrompre cette séance…
En sa condition de Stratège, Silence aurait bien voulu commenter cette insolente prestation. Mais connaissant un temps soit peu Méphisto, il se retint. Pour l’instant du moins. Il ne manquerait pas de gronder l’impatient garnement plus tard.

Il deveanit clair que le conseil se transformait en moulin, Meakil bien qu'ulcéré, se calqua sur l'attitude calme de son compagnon. La mine renfrognée des vieux nobles qui voyaient ce jeune homme arriver le fit garder son calme. L'importun qui venait de sortir n'avait pas eu besoin d'attendre pour être remplacer. il mumura à l'oreille de silence..
- Sont-ils tous aussi déranger ici? On m'avait dit que les elfes de pure souche savaient être étrange, de là à s'emporter lorque qu'on leur propose une alliance utile.. Qui est donc cet homme? Le roi semble réjoui de le voir approcher. Je fatigue de cette trop longue palabre, les conseillers somnolent en attendant de répondre non et des gens qui ne nous aident en rien parcourent ce hall en mille chemins. Bien qu'ayant formulé sa pensée oralement, il avai tud mal à rester calme, des milliers de vies dépendaient de ce conseil et d'aucun se comportaient comme s'il s'agissait de foutaises...

Aleth s'approcha des personnes étant la, pivota et s'assit dans un coin...Il ne voulais pas trop les dérangers car ça avait l'air vraiment important...Il regarda un à un les hommes présent puis ouvrit lentement la bouche

"Veuillez continuer...Je ne veux pas vous déranger pendant une réunion aussi importante..."

Il fit un signe de tête à son père, il voulait lui parler par après, mais d'abord il suivrait cette réunion avec attention...Il ne fit plus aucun bruit, restant immobile sur sa chaise, regardant dans le vide, l'oreille attentive...Il attendait que tout ce poursuive, pourtant après quelques secondes, son visage se tourna vers son père, le regardant quelques instents pour après retourner dans le vide

- Si vous eussent étiez un temps soit peu aussi sage que vous prétendez l’être à cet instant, vous n’auriez pas franchis cette porte, jeune Prince. Je doute que les gardes royaux eurent négligé de souligner l’importance de cette réunion. De plus, étranger ou non à ses lieux, cette session à lieu justement ici pour qu’elle ne soit pas écoutée par des oreilles importunes… Votre manque de résponsabilité dans la vie de votre Royaume compense votre place au sein de la famille royale... Votre rang sociale ne vous permet pas d'intégré n'importe quelle affaire jeune homme...

Silence se pencha vers l’oriental pour lui murmurer une réponse audible à lui seul.

- Les hautes sphères de toute société un tant soit peu riche est souvent difficile à convaincre, surtout quand c’est un « ennemi » qui vient parlementer. J’ai peur que cela ne prenne un temps considérable, chose que nous n’avons pas. Il serait plus sage d’achever cette discussion et que je m’entretienne en privé avec le Roy pour avoir son soutien personnel, au moins. La campagne aura lieu, avec ou sans leur support, n’ayez crainte. Attendons la réaction du Roy et nous clorons le débat.

-Soit mon ami, Soit, WaIlu, j'espère qu'au sud Meradam a fait son travail. Il nous faudrait des troupes, et si Gondor ne vient pas, il nous faudra de la ruse. Mais pour ça je te fais confiance...
Il sourit et se replongea dans l'écoute du blabla des noblions..

Morgoth vit entré le prince qui passa a quelque metre de lui.
L'elfe lui lanca un regard courroucé.
**Mais qu'est ce qui m'arrive???Je reagis comme...Comme avant... **
Morgoth se retourna puis dit d'une voix tout a fait normal:
-Excusez moi, je ne savait plus se que je faisait!!
Je...Bien sur que j'accepte cette alliance...mais ne parlez plus jamais de Melkor devant moi a par pour le renié et l'insulté...Vous n'imaginez meme pas se qu'il m'a fait!!!

Morgoth se rassit et dit a Meakil et Silence a voix basse :
-Je suis d'accord il faut que cette reunion cesse!! Ces "Noblions" m'exaspere... En verité rare sont les humains qui ne m'exaspere pas.
Vous faite partit de ses rares humains Silence.

Puis il reprit a voix haute d'un ton dedaigneux:
-Alors vous avez decidez quelque chose???

Aleth ne fit pas attention à cet elfe mais regarda Silence un moment...Son regard avait l'air calme mais pourtant on pouvait lire au plus profond de ses yeux qu'il était énerve...Il reprit d'une voix calme et posée

"Si cette affaire est si importante...Alors je pense que je suis concerné...Et que mon avis ne sera pas de trop..."

Puis son regard retourna vers le vide, il ne s'attendait à aucune réponse de Silence, il ne fit qu'écouter...

"Et puis pourquoi murmurer vous ? Je pense que vous devriez faire partager vos paroles avec cette assemblée..."

-Si je disait se que j'ai a dire a haute voix, je ne pense pas que cela plairait a certaine personne presente, Dit morgoth en regardant les nobles du coins de l'oeil et un sourire mesquin au levres....

Quand Aleth avait poussé la porte et pénétré dans la salle, des murmures parcourirent l'assemblée. Le Roy, lui, s'était figé et n'avait su quoi prononcer. Il invita le prince à s'asseoir en se promettant d'aller le voir par la suite. Il remua sur sa chaise et déclara d'une voix qu'il voulait douce:

"Mes amis, reprennons le fil de la conversation et cessez, je vous prie, de tourner autour...Le bourreau Radamanthe ne devrait plus tarder à présent, je l'ai invité à la dernière seconde et il n'est point connu pour sa précision...Il se pourrait qu'il nous soit utile..."


HRP: désolé pas bcp de temps !