Sous Jorkil(past)

Ils descendirent dans une cave remplie de lingot de métal et demoules en tous genres
- Jedrokar as-tu connu Droghbar Duzingi?
- Oui, c'est-lui qui m'a offert l'asile..
- Si je te disais que l'actuel Prince est un usurpateur me croirais tu?
- Peut-être, mais il va falloir que tu me dises c'est qu'est devenu l'épée de Droghbar, car en dehors de lui, des Nazguls, maudits soit leur nom, et les généraux de moria nul ne portait ce genre de lame, et nul ne la porte plus... Qui est-tu? Sois sincère, j'ai trahi ma race bien avant toi, et un ami est plus important que tout en ces temps troublés.
- Mon non est Meakil Duzingi Oth Harad, Seigneur des Duzingi, Héritier de Droghbar, Général des divisions du nord, je suis "Mahdi"
Le vieil orc parut halluciner, Meakil sortit alors les fragments d' "Alyahad", et Jedrokar se jeta au sol
-Respectez le car grand est son nom, sombre est son vêtement et rapide sa lame... WaMelkorem ve Mahdi Faderat... Je reforgerais cette épée, pour mon honneur et par respect pour le seul humain que j'ai connu qui voulut comprendre les orcs, et comme marque d emon allégeance...
Wil Duzingi Khan, Wil Duzingi zerdan HArad Nimkore( Vive le Prince de s Duzingis, que leurs domaines s'étendent sur tout le Harad)
- Relève-toi, je n'ai pas besoin d'un sous-fifre, mais d'un forgeron.

Meakil profita de sheures de trvail pour explorer la cité, casernes à tous les vents, orcs et humains mutilés partout, les blessés d'une armée, toutes les heures d'autres arrivaient en repli. Ils devaient essuyé une défaite à en croire la mine effarée des conducteurs de chariots. Ces hommes semblaient à bout, la solde devait être maigre... Une révolte ici ne prendrait que quelques heures avant de s'enflammer si elle était menée par un homme habile...
- Kedan, descends au porte, fai tdire que Mahdi est revenu, joue l'illuminé si il t'embarque improvise, et range tes armes...
- Bien camarade
Appréciant la discrétion du nom utilisé Meakil poursuiv son cheminjusqu'au palais princier, il examina la facde monumentale, avec ses colonnades autrfois couvertes de lierres, aujourd'hui noire de crasse. L'escalier d'appârat qui débouchait dans le grand hall de réception. mais ce qu'il cherchait en fait c'était les quartiers des gardes. Arrivé devant la porte de service, il constata la présence d'un officier du sultan. Il cacha donc son sabre dans les plis de son vêtement
- Qui va là?
- Je cherche le poste de recrutement
- c'était il ya un mois qu'on recrutait!!! Tu es en retard chien du désert, Quel vent t'amène ici?
- Les miens sont morts, je cherche de l'argent pour leur offrir une sépulture...
- Tu peut toujours faire les chiottes de soffciers, cela te rapportera surement queqlue spièces, mouahaha, fous le camp!!!!
Meakil ne se le fit pas dire 2 fois, il couru, mais vers les gardes, se jeta à leur pied et murmura:
- Des monts du nord rentre les frères endormis de la longue marche, à leur tête la bannière d'or pleure tous ces morts sur les marches...
Tout gamin élevé au Harad se devit de connaître ce poème. Jusque là, la maneouvre n'avait donc rien de subtile, le capitaine arriva et le releva de force...
- et du sable jaillira le nouveau Roi, choisi du peuple et des seigneurs pour porter au loin les flambeaux du malheur...
Cette partie du texte était connue uniqument de la garde et ces gens de Dur'Zork, en effet cette prophétie ne concernait que leurs domaines
- Va Duzingi shaa?
- Hai
Les gardes écartèrent l'officier et emmenèrent Meakil à l'intérieur.
- Qui êtes-vous?
- Un ancien nomade
- donc vous cherchez à vous sédentarisez
- Il semble que ma demeure soit occupée..
- Ah, et que désirez vous,
- Aidez-moi à chasser l'usurpateur!!
- Où se trouve ta demeure citoyen?
- Ici-même entre ces murs!!!
- Gardes!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Meakil jugea intuile de résister il donna ses armes et fut enfermer dans une pièce aux murs sombres. L'air y sentait la vieille viande et le brulé.
Il pensait que dans quelques secondes il verrait son fils, et dans quelques heures l'un des deux seraient morts

Des cavaliers pénétrèrent dans l'enceinte au grand galop. Leurs tuniques brunes ne laissait aucun doute sur l'armée qu'ils servaient.

-Le Roi de Khand te salue Jorkil Duzingi. L'échec récent devant Minas Tirith et le refoulement des pillards orcs sur tout le front nord de l'ancien Mordor le pousse à te poser une question vitale, Qu'as tu fait pour les soutenir?
Et à qui rends tu allégeance? A lui seul ou au fantôche de Harad ?
Les gardes du messager sortirent les armes. Le sgardes de Dur'Zork s'interposèrent. Pratiquant le rite de soumission, Jorkil tendit son pommeau au cavalier.

A des kilomètres de là en plein désert, 100 hommes habillés de robes jaune-soleil et de capes noires et ors chevauchaient, ignorants dans quel merdier on les avait envoyé.

La garde d'or pénétra au grand galop dans la grande porte. Les gens regardaient ces grand soldats dont la peau et la vesture signifiait qu'ils arrivaient du Sud, et donc du Sultan. Leur capitaine les menait dan sles ruelles de la cité, montant la colline. Des soldats de Khand ébahi regardaient l'arrivée de ceux qu'on leur avait appris à craindre depuis leur plus ejune âge. L'élite des armée sdu Sultan. Face aux escalier de la demeure princière, le capitaine fit sonner son cor.

- Bienvenue, bienvenue mes amis, Il n'y a pas d'heure pour entrer dan scette demeure, déclara le chambellan(ici synonime de concierge) en débouchant du palais
- Où est L'honni? et où est Jorkil?
- L'honni... s'est échappé... Le prince vous attends en audience...
- Godrik, Alek, avec moi. Les autres trovuer des écuries. ET pas de palefrenier orc pour mon cheval!!
- Oui monsieur.


Les 3 hommes pénétrèrent dans le palais. Ils montèrent l'escalier ouest. Et tombèrent né à né avec des gardes de Khand devant la porte de la salle d'audience.
- Le prince nous attend, veuillez-nous annoncer. Alfrek al-Zawaran et deux de ses sergents.
- Mrrf, Et il entra
- Le commandant Alfrek al-Zawaran.
- Qu'il entre!

Quelque chose clochait, tous les nobles tremblaient comme des feuilles dans le vent.

- Hai, le Sultan de Harad te souhaite la bonne santé.
- Qu'elle lui soit rendue.
- On m'a dit qu'il a fuit... crains-tu une insurrection au nord?
- Oui

Ils discutèrent ainsi stratégie et futur pendant quelques heures.

-Dhar'al-Malik, comment a t'il osé!!!???
-Je vous répète Malky, sa bannière et une vieille bannière rouge y flotte, on les voit depuis l'Harnen, .
-C'est une violation ouverte de nôtre accord de non agression!! éructa l'un des rares nobles à l'air convaincu de l'assemblée.
-Et elle ne restera pas impunie, Sonnez le rappel, et envoyez des messagers au Sultan! Nous allons brûler ces chiens!!
- YA!!
Dur'Zork venait de se réveiller d'un gueule de bois, les officers des 2 armées se concertèrent, entreprirent d'évaluer les forces que d'autres espions avaient pu signaler. Ils fixèrent une pré-stratégie et commencèrent les préparatifs.

Au milieu du chaos qui s'ensuivit,car tous les hommes regagnaient leurs baraquements, les armes étaient regroupées, les chevaux rassemblés, les grands blessés achevés et enterrés hors des murs, Un homme se faufila hors les murs et emprunta discrètement un cheval aux écuries de la garde. Personne ne le sût jamais, il en manquait tant depuis un mois...