Promenade inquétante

Une flèche fila. Elle pénétra profondément dans la chiar de l'ours; ce-dernier se releva et igonra sa proie intiale. Il huma l'air à la recherche de son agresseur, et lorsqu'il le trouva reçut une deuxième flèche entre les deux yeux. Quelques secondes passèrent, puis l'archtitecte put voir son sauveur. Contre toute attente, ce n'était pas et jeune et fougueux chasseur mais un vielliard aux cheveux grisonnants. Mais mieux vallait ne pas se fier aux apparences : l'inconnu se tenait droit, fier et ce qu'il venait de faire ne semblait aucunement être un effort pour lui. Son regard sévère fixa un instant Orzer puis lui dir d'une voix sans intonation :

*Il faut être fou pour s'approcher ainsi d'un ours. Les gens de la ville sont tous pareil.. Suivez-moi, je vais soigner votre blessure.*

Et il s'enfonça à pas silencieux dans la forêt.

Orzer n'avait pas lachait du regard l'inconnu. Il etait impressonant.
-Qui etes vous pour m'avoir sauver la vie ?
La réponce ne vint pas tout de suite.

// Si tu pouvais un peu plus développer tes posts... C'est vrai que parfois il y a des situations où il n'y a pas grand chose à dire, mais là je pense que c'est quand même possible de faire plus de trois lignes... //

L'inconnu ne se tourna pas pour répondre. C'est donc en marchant d'un pas vif qu'il répondit :

*Mon nom importe peu. Sachez seulement que je vis seul dans cette forêt et qu'elle me fait vivre. Même si la courtoisie n'est plus toujours de mise ces temps ci, il me semblerait que vous pourriez au moins me remercier, car comme vous l'avez dit, je vous ai sauvé la vie. Mais je ne vous en veux pas.*

Sa démarche, silencieuse, était presque féline. Après cinq petites minutes à valser entre tronc d'abres en buissons, tous deux arrivèrent devant une petite maison de bois se dressant dans une clairière. L'air était doux, les oiseaux chantaient, un ruisseau coulait non loin. Ce cadre refaisait parfois surgir des souvenirs dans l'esprit du vieillard qui les chassait aussitôt. Il entra sans un mot dans sa maison et en ressorti avec dans une main une espèce de paumade et dans l'autre une bande de tissu immaculé. Il étala l'onguement sur la plaie avant de la recouvir du tissu légèrement humide. Il disparut à nouveau dans la hutte et revint quelques insatnts plus tard avec des baies et un morceau de viande.

*Mangez. Le soleil se couche et il est trop tard à présent pour rentrer chez vous. Vous passerez la nuit ici. Et ne vous inquiétez pas, il y a dans ma deumeure tout le confort requis. A présent, dites-moi ce qui vou amène ici.*

Orzer Gan'el Etait pasionnait par l'homme. Un homme si simple et généreux.
Mais il devait répondre a sa question.
-Bon ba voila, je fasais ma balade du matin dans la foret. En même ya pas de meilleur endroit ! Donc je me baladais depuis un bon bout de temps, lorsque qu'un sanglier afoler passe. Un sanglier affoler comme ceci c'est comique, mais c'est aussi inquiétant, donc je m'enfonça dans la foret. les arbre devenait de plus en plus touffu. Mon battait a la chamade. Jusqu'au moment ou je vit une forme... Un orc, me dis-je, non impossible. La forme était trop grande et ce n'était paas un endroit ou on trouve beaucoup d'orc... je m'enfonça dans la fôret.... la forme se fit plus net. Un ours ! Je m'approcha, et la il m'attaqua, et vous arrivére avec votre arc vous me sauvez la vie je vous dis merci du fond du coeur!
Orzer regarda l'homme d'un air reconnaisant.

*Ce n'est pas souvent que j'ai l'occasion de me rendre utile. Ce fut un plaisir...*

Pour la première fois, l'ombre d'un sourire apparut sur le visage de l'inconnu. L'enthousiasme de ce jeune homme le charmait. Il se souvenait de sa propre enfance : lui aussi avait été comme cela. Mais c'était du passé. Les épreuves de la vie l'avaient endurci, forgé. Parfois il lui arrivait de regretter cette époque. Seulement parfois... Il reprit :

*Le soleil se couche. Il vous faut à présent dormir. Demain, lorsque vous repartirez, je ne serais plus là. Surtout ne m'attendez pas. Vous pourriez rester ici très longtemps... Prenez donc ma couchette, je dormirai autre part. Ne vous en faites pas pour moi, ce n'est pas souvent que j'ai de la visite.*

Orzer aurait pu remarquer un changement frappant chez l'inconnu. Lui qui tout à l'heure était fermé et froid s'ouvrait à présent. Il s'éloigna d'un pas tranquille. Le vent carressait son visage. Il s'assit sur une souche hors de la vue de son hôte. Il devait prifiter de cette soirée...