En route pour le Rohan

Après avoir atteint Minas Thirit et y avoir passé une semaine, Alet fut appellé à rejoindre l'armée qui se regroupait en rohan. Bien des aventures pouvaient surgire en chemin.
Journal d'Alet
Voyage vers le rassemblement des armées en Rohan
Jour 1)
Dès le début de mon voyage, à peine avais-je quitté les dernières traces de vies humaines, que je sut que j'avais été trop hatif dans mon soucic de rejoindre l'armée et que je ne m'était aps muni d'aucune carte de ses contrées. De plus, jamais je n'y avait mit les pieds auparavant et l'on ne m'avait jamis rien enseigné sur la géographie de ce pays lors de mon enseignement dans ma jeunesse. Très vite je me perdis (bien que je n'avais aucun itinéraire récis). Et j'errai longtemps. Bien tôt, la faim se fit sentir, et là, huereusement je put me débrouiller. Grâce aux savoirs accumulés chez le maître d'école à Minas Thirit, je put aisément réunir quelques biaes et autres plantes comestibles que j'accompagné d'un lapin capturé au petit matin.
Bien que le repas n'avait rien d'un festin de roi, cela me suffit pour le moment. Très vite, il me fut clair que seul, je ne parviendrait pas à arriver à temps au lieu de rassemblement. Il me fallait soit un guide, soit une monture ou encore les deux. Cependant, rien ne laissait paraître une quelconque vie humaine dans les environs. Il me restait à trouver une monture. Mais comment faire? Je n'avais pas d'argent, perosnne à qui en emprunter et de plus, je comprit vite que je ne trouverais aucun écurie dans les environs. Je du me résoudre à mettre en pratique un autre savoir acquis chez le maître, capturer un cheval sauvage. Cependant, je n'avais encore jamais mit en pratique les paroles du sage et les chevaux de Rohan n'était pas de vulgaires mules. La tâhce me parait impossible. La nuit porte conseil, demain je déciderai de la marche à suivre...

Jour 2

Au réveil j'ai du prendre une décision. Que faire? Je savais a présent qu'il était impératif que je trouve quelqu'un pou m'aider à arriver au lieu de rassemblement, ou du moins, m'indiquer le chemin et d'autre part, l'diée d'obtenir un fidèle coursier m'omnubilait. Que faire? Je trouvai un petit ruisseau, plus tard dans la journée, et je décidai de le remonter tant que possible. Au moins m'aporterai-il de l'eau. Rien d'autre ne se passa aujourd'hui. Vais-je m'en sortir?

Jour 3

L'espoir revient, là, dans une large prairie à l'herbe verte et tendre, se trouvait un troupeau de chevaux. Il était peu nombreux mais je repérai très vite l'étalon noir de jet qui dmoninait le troupeau et un autre mâle, surement un dominé qui ne tarderait pas à être chassé du groupe. je remarquai imméditement sa robe noisette. Oui, c'est lui que j'attraperait. Je ne pouvais me permettre de capturer l'étalon noir, bien qu'en le revendant, j'aurais pu en tirer un bon paquet. En effet, privé de son mâle dominant et protecteur, le troupeau aurait périclité jusqu'à sa disparition totale. Je n'avais pas reçu cet enseignement, non, on ne m'a pas appris à analyser une telle situation avec l'oeil de l'avare. Le jeune étalon à la robe brune me suffira bien emplement. Maintenant, il resatit à l'isoler du grouper et à le capturer. J'attendrai demain pour passer à l'action. Je n'ai rien mangé aujourd'hui.

Jour 4 et 5

La chance me sourit, ce matin j'ai été réveillé par des hennissment. L'étalon noir de jet et le jeune noisette se battait. Le fort cheval noir eu bientot le dessus, et le pauvre brun dut s'exiler. Dès qu'il se fut eloigné, je commencai la chasse. Je le suivit des heures durant, sans qu'il ne me repérat. Je compris vite que tous les enseignements du maitre pour entre en harmonie avec la nature me serait fort utile afin d'être le plus discret possible. Ma cape m'a sauver la mise à plusieur reprise. Il s'arreta en amont du ruisseau que je remaontait deux jours plus tot pour s'abreuver. Là, caché dans un tailli, au falnc du cheval, le vent contre moi, je l'observai attendant, le meilleur moment. Jusquà cet instant, ou, pour je ne sais quel raison, quelque chose en moi me dicta d'agir maintenant! Je bondis hors de ma cachette et si le cheval n'avait pas été épuisé par son combat et sa longue trotte jusqu'au ruisseau ne l'aurais jamais attrapé. Je dus lui fabriquer un harnais très rudimentaire, juste de quoi l'empêcher de fuir. Durant toute la soirée je tentai de l'apprivoiser et de l'amadouer, masi a peine je m'approchais qu'il devenait comme fou. Alors patiemment, doucement, sans geste brusque je commencai à m'approcher de la bête. J'avais pris avec de l'herbe fraîche, de quoi l'amadouer un peu plus. Finalement, a à l'aube, j'était à ses côté. Il semblait plus calme et bien qu'au début il la refuse, il apprécia la nourriture que je lui apportai.
Je dormit durant out le jour et la nuit.

Jour 6

Aujourd'hui, il fallait que je parvienne à monter le cheval, car ma monture, si elle acceptait ma présence ne me seravit encore à rien.
Avant tout, il me fallait absolument manger. Je partit donc en chasse.
Cette journée fut bonne puisque je parvint à capturer un jeune lapin dans un piège encore vivant (qui sait, peut-être pourrais-je le conserver afin de le manger plus tard). Puis quelques autres gros rongeurs vinrent se perdre dans mes pièges. Le journée commencait seulement et déjà, je sentait une bonne chasse en perspective. Tout à coup, j'entendi un henissment déchirer l'air. Suivit de deux longs hurlements. J'accouru jusqu'à l'endroit qui me servait de campement et là, mon cheval (auquel je n'avait toujours pas donné de nom) se débatait comme il pouvait, attaché par ma sangle, contre deux loups sauvages énormes. Dès l'instant ou je les vu, je su que je ne viendrait pas à bout des deux monstres réunis. Une idée me vint à l'esprit. Devant le loup, le plus gros des deux qui s'avencait, je jetai à terre mon sac de chasse contenant le lapin et les rongeurs capturés. Ceux-ci détalèrent, et le loup, attiré par des proies faciles qui ne lui causeraient aucun dommage se lanca à leur poursuite. LE second, qui toujours s'attaquait à mon cheval ne me vit pas arriver. D'un coup d'épée sur la tête je le mis à bat. Sans perdre de temps je tentai de ratrapper la seconde bête féroce mais c'est elle qui me ratrappa. Commenca alors un duel dont je ne pensais pas sortir vainqueur. Finalement je pervint à percer le monstre de deux coups d'épée et il s'en fut, perdant son sang et agonisant. Dans la soirée, je parvint à trouver les baies et les plantes qui nous soigneraient mon cheval et moi. Je décidai de le nommer Efrahïl.

Jour 7

Aujourd'hui, il fallait que je monte Efrahïl. Il se laissa tout simplement faire, comme reconnaissant de lui avoir sauvé la vie.
Cependant, il me fallait trouver un guide dans ces landes désertes.
Je mis le reste de la journée à rechercher quelqu'un en criant aussi fort qu'il m'était possible et en tracant sur le sol et ailleur des signes indiquant ou je me trouvait, peut-être quelqu'un aura l'amabilité de me sortir de cette solitude...

Lors de ce septième jour, Alet vit se dresser devant liu un petit village. Les toits de chaumes et les ruelles propres auraient pu donner un aspect chaleureux à ce petit hameau... s'il n'avait pas été désert. A part le grincement des volets qu'on avait oublié de fermer et le hurlement de chiens abandonnés, aucun autre son n'était perceptible. Pourtant, rien ne laissait croire qu'un combat avait eu lieu : toutes les maisons étaient intactes et aucun cadavre ne jonchait le sol.

Tout à coup, le martèlement de sabot sur le sol se fit entendre, et rapidement un cavalier sans conteste Rohirrim fit son apparition. Son javelot tendu devant lui, il chargeait le voyageur solitaire. Mais lorsqu'il se rendit compte de la nature de ce vagabond, il redressa son arme et fit décélérer sa monture. Lorsqu'il fut à hauteur d'Alet, il le jaugea quelques instants du regard. Son casque prtégeait un visage vieili par le temps et visiblement soucieux. Ses sourcils brousailleux et sa barbe épaisse étaient tous deux blonds. Il questiona l'elfe :

Que faites-vous ici?

Je ne fait rien, ou plutot, je ne parvient pas à faire mon devoir. Je dois me rendre au plus vite au lieu de rassemblement de l'armée qui va s'opposer aux Uruk, mais malgré un cheval rapide et vaillent, capturé dans une plaine sauvage il y a quelques jours, je ne parvient pas à trouver mon chemin.
Dans ma précipitation, je n'ai pas pensé à me munir d'une carte de le région.
ME voilà donc perdu, j'erre depuis une semaine maintenant.
Pourriez-vous, je vous en prie m'indiquer le chemin à suivre, si cependant vous le connaissez. Je ne peux pour vous dédommager que vous donner tout ce que j'ai, 100£.
Ce n'est pas grand chose, mais comprenez que c'est toute ma reconnaissance avec ceci que je vous offre.

Jour
grâce aux conseils du Rohirrim, j'ai pu trouver mon chemin, le camp n'est plus très loin. Ici se termine mon voyage...