La Bataille Des Cinq Armées

Orandar n'arrêtait pas de sortir des cris de guerres et découpait ses ennemis facilement, coupait les têtes comme sur une feuille de papier et brisait les boucliers comme il ne l'avait jamais fait.

*C'est la première fois que je me bas aussi bien, wow!*

Il en avait tué une bonne vingtaine ou plus, il n'était pas épuisé.

Il en décapitait un et se retournait tout de suite vers l'autre. Puis, quand il parut une attaque, un autre gobelin lui arriva dans le dos. Orandar l'évita in extremis, mais il reçu un coup sur le poignet gauche. Il tenait maintenant son épée à une main.

Cela gisait et le sang coulait en abondance. Orandar commença à perdre des forces. Il démembra la créature qui lui avait presque tranché le poignet, puis il continua la même démarche que tantôt, sauf, avec moins de force...

Firion vit deux nains qui discutaient ensemble au loin. Puis deux uruks arrivèrent par derrière sans que les nains les virent mais le roi eut tout juste le temps de décocher deux flèches. Les nains se retournèrent en toute hâte et virent les deux corps des uruks immobilisés juste derrière eux, puis ils les virent tomber. Les nains remercièrent Firion et arrêtèrent leur discussion pour se concentrer sur la bataille. Firion dégaina Aranruth une énième fois et buta de l'uruk-haï. Il trancha le crâne d'un ennemi, en décapita un autre, puis à un autre il lui fendit l'estomac et à un autre il lui coupa les deux mains avant de le tuer en lui plantant sa lame dans le cou. Le roi vit qu'Eoseld venait d'achever une créature et que Theneor se battait contre une autre. Soudain, le roi vit au loin une flèche décochée en sa direction mais un de ses garde royal mit son bouclier. Firion n'avait pas de bouclier étant donné qu'il avait son arc. L'uruk qui avait tiré se fit transpercer le ventre par un homme du Gondor qui se trouvait derrière. Cet homme n'était autre que le capitaine Martelong qui fit signe au roi, ce qui lui eut presque valut de mourir s'il n'avait pas esquiver un uruk au dernier moment. Il se retourna et lui trancha la gorge, le sang de la créature giclant sur lui. Il poussa un cri de dégoût puis se replongea dans la bataille. Firion vit un groupe de cavaliers charger quelques uruks qui furent tués. Les archers montés vidèrent leur carquois sur une multitude d'uruks qui périrent. Certains arrivèrent à récupérer des flèches qu'ils décochèrent à nouveau sur les ennemis. Le roi aperçut Tanarith pas très loin de lui. Il s'approcha du mage.

"Pouvez-vous me soigner la jambe ? Ce n'est pas une blessure grave mais je préfèrerai me battre sans."

Alors c'était lui, ce mage elfe... Aqua. Cet elfe était mystérieux, tout comme Tanrith bien qu'ils se retrouvassent au milieu d'un champ de bataille il était désireux d'en savoir plus sur ses comparses. Bargonno avait raison cependant, aussi intrigant que fût le personnage Tanarith ne pourrait lui parler qu'une fois la bataille achevée (s'ils arrivaient tout trois à s'en sortir.)
Puis, alors qu'il soignait rapidement un fantassin blessé au côté d'Aloïr, Tanrith vit le Roi Firion s'approcher, une flèche plantée dans la cuisse. Le combattant s'agenouilla devant son roi, ce qui le fit grimacer de douleur.

-Idiot! adressa le mage au fantassin. Nous sommes en un endroit où ta vie est en jeu, oublie le protocole! Allez retourne au combat!

Le mage se concentra ensuite sur la plaie de Firion. La fléche qui l'avait faite était bien une flèche Uruk, pleine de leur maléfice et se serait par conséquent plus longue à guérir. Tanarith prononça quelques mots en elfique puis extrait la flèche assez facilement grâce à la magie, ensuite sortit de sa sacoche quelque racines de la forêt de Fangorn. il les broya entre ses mains et les appliqua sur la plaie noiratre du roi.

-Voilà, votre altesse. Cette blessure ne devrait plus vous causez souci sauf bien sûr si elle est à nouveau touché. Les maux de la civilisation restent inconnues des plantes de Fangorn, le maléfice des Uruk-Haï s'estompera à leur contact.

Deux Orcs chargèrent dans leur direction alors qu'ils causaient. Tanarith envoya la pointe de son baton droit dans la gorge de Luruk qui s'ettoufa. Le mage sortit sa dague et l'enfonça dans la nuque de l'Uruk. Pendant qu'il essuyait sa lame il vit le cadavre du deuxième Uruk gisant aux pieds de Firion.

-Allez, Firion! Cette bataille ne me semble pas avoir pris une mauvaise tournure pour le moment... Votre plan fonctionne, soyez-en à la hauteur.

Déjà, un archer elfe s'approchait d'Ambremage, une flèche noire dans le bras.

// Tu les a sauvé finallement tes Nains Firion^^
MDR Horgeon :P //

Derïn vit Horgeam étreindre Horgeon (ou l'inverse,ils se ressemblent tellement) et s'approcha alors de lui mais juste avant souffla à Thrór:

-Surveille mes arrières pendant que je parle,tu veux?
-Pas de problèmes...

-Heureux de te voir Horgeam!!Mais n'aurais-tu pas de nouvelles de mon frère Oín? Je ne l'ai plus vu depuis la bataille en Forêt Noire... Je commence à me faire du soucis.

Durant la conversation Thrór restait bien caler derrière son bouclier et protégeant ainsi le dos de son frère. Il jeta un coup d'oeil à l'état de sa protection et vit qu'il y avait des dizaines de flèches plantées dedans.

-J'ai intérêt à bouger quelque peu...Mon bouclier est pris pour une cible par ces foutus archers.

Il vit alors son ami Bóhr,le chef des troupes d'Erebor en difficulté, encerclé par quatre Uruks dont un semblait assez affaibli.
Ne réfléchissant pas il donna un coup de pied à Derïn pour lui signaler qu'il bougeait un peu et chargea!

Il fonça sur le premier Uruk-Haï et lui broya les os avec son bouclier lorsqu'il fut projester à terre.Se retournant il eut juste le temps de faire tournoyer sa hache et de trancher les cuisses des deux ennemis qui s'apprêtaient à lui sauter dessus,ils se tordaient de douleur au sol mais Thrór eut tôt fait d'abréger leurs souffrances en leur tranchant la gorge à tour de rôles.Il n'en restait plus qu'un qui légèrement désemparé voulu porter un coup fatal à Thrór mais qui oublia Bóhr dans son dos.
Celui-ci ne se fit pas prier et plaça un grand coup de masse dans la nuque du soldat qui s'écroula lentement à terre.

-Bien joué Bóhr!!
-Je te dois une fière chandelle!!
-Elle sera oubliée lors de la tournée générale dans la taverne,quand nous fêterons notre victoire!!

Et Thrór revint ensuite près de Derïn qui était toujours en discution avec Horgeam...

//Bordel,c'est chiant ce bug...J'crois que c'est en rapport avec le dernier message de la page! //

Orandar se promenait un peu partout sur le champs de bataille. Beaucoup d'ennemi gisait au sol, pour Orandar, c'est la victoire assurée.

Il coupa le bras d'un archer Uruk et transperça le torax d'un fantassin.

"Ne revenez plus jamais vers-moi, petites vermines! Même si vous êtes obligés." Dit-il avec un sourire.

De loins, il vut le roi. Il s'était blessé et était en train de se faire soigné par un mage, c'était celui de tantôt.

Il retourna le regard vers son ennemi et continua à se battre.

Puis, tout à coup, un grand et fort Uruk se tenait à l'arrière du roi du Rohan et s'apraitait à planter son épée dans le dos de celui-ci.

*On dirait qu'il s'en aperçoit même pas...*

Orandar fonça et en un plongeons, désarma l'Uruk. Il se battit pendant plusieurs minutes jusqu'à lui trancher la main et le finir.

*Firion ne s'est même pas aperçu que je lui ais sauvé la vie... enfin, je pense...*

Firion remercia vivement Tanarith et retourna auprès des siens se battre. Il trancha le corps d'un uruk quand il entendit cor, c'était un cor du Gondor.

*Le messager a réussi !*

Une garnison de mille cavaliers arriva à la charge, dirigée par le capitaine Falarior. La charge ne fut pas dévastatrice mais le nombre de morts qui s'ensuivit fut conséquent. Ces renforts allaient bien aider les armées déjà présentes qui avaient souffertes de nombreuses morts. Il ne restait à présent plus aucuns gobelins, ils avaient tous été décimés. Les combattants reprirent courage et leur force fut doublée. Firion tua quelques uruk-haï puis il prit son arc à toute vitesse et décocha trois flèches en direction de trois uruks qui étaient prêts à tirer. Firion demanda alors à tous ceux qui possédaient un arc de viser les uruk-haï qui possédaient un arc ou une arbalète. Des flèches fusèrent de partout et une multitude d'ennemis tombaient. Firion décocha ses dernières flèches vers des uruks avec des arbalètes. Firion vit qu'une créature ramassait un arc qui était au sol, il galopa dans sa direction et Nahar lui donna des coups de sabots. La créature tomba au sol et Nahar l'acheva en lui piétinant le crâne. Firion découvrait l'esprit combattif de son cheval durant cette bataille.

Au milieu du combat, Alet tenatait aussi bien qu'il pouvait de faire son devoir.
Il ne s'était pas imaginé cela ainsi ! C'était un vrai enfer! Au début, il crut qu'il ne parvientdrait jamais à tuer un seul adversaire. Il doutait même d'avoir le courage de le faire. Mais à présent, il n'avait plus le choix. Le combat était acharné. Les Uruks étaient partout. Alet était parvenu à abattre 5 de ces monstres. Pendant le reste du combat il n'avait qu'eu de la chance. D'autres le sauvaient. Peu à peu il prenait de l'assurance et ses coups se faisaient enfin meurtrier. En peu de temps, il tua un autre de ces monstres.

Horgeon sauta sur quatre goblins et...

Horgeon remercia brèvement Firion en tournant la tête vers les deux Huruk. Étais-ce étonnent que le roi du rohan soit aussi habile à l,arc qu'un elfe? Le général rouge était bien fière de son fils, il se battait comme un chef, et Horgeon craignait même qu'il le surpasse. Le vieu nain dû arrêter sa contemplation car un cor sonna. Tout les nains se retournèrent et apperçurent les gondoriens qui venait prêter mains forte. L'étonnement régnait, ils avaient fait diablement vite. Ceci donna du courage au nain qui se battirent plus férocement contre les goblins Huruk-Haï, imaginez le carnage! Horgeon fit une vite compte de ses troupes contents de voir qu'ils se défendaient bien, il continu à se battre aux cotés de son fils. Eam apperçu un nain qui se défendait avec dificulter contre un goblin Huruk un peu trop affamé. Il donna un coup de coude dans les côte de son père avant de courrir. Avec un synchronisme horspaire Horgeam le frappa dans le homoplate alors que son père mis sa hache devant son poitrail. Le général éssuya son visage recouvert de sang noir avec un mouchoir et le laissa sur le sol, il n'allait pas s'encombrer de cette horreur gluante. Horgeam passa une arbalète à son père que le regarda avec interogation. Malgré tout ses éssais pour le réprimer son fils ne pu s'empêcher de sourrir.

-Ben, Tire avec!
-Et comment tu fais ça?
-Tire la chevillette et la bobinette cherra.

Horgeon, totallement convaincu que son fils se fouttait de sa gueule tira tourna un genre de... de bidule qui fit pour effet de tirer une sorte de corde et pressa sur... heuh... quelque chose et un carreau partit en direction d'un autre goblin arbalètier. Le général lança l'arme dans un élan de surprise. Horgeam soupira, Il était mieux de continuer au corps à corps.

//désoler Firion, je comprend pas la petite subtilité de ton message ^^//

Aqua continuait de se battre vaillament contre les uruks, lorsque soudain une immense vague d'alliés vint et ceux-ci les aiderent a terrasser l'ennemi. Aqua les vit. Soudain il s'approcha du nain horgeon, il aimait bien taquiner les nains, mais sans être mechant, il fallait bien aussi se distraire un peu pendant la bataille. Toujorus sur le dos de son cheval galopant, arrivant derriere l'homme barbu de petite taille, il tira l'épée de son fourreau, et fit tomber le pantalon du nain, puis continua de galoper. Il fit demi-tour, et rit un peu. En attendant il sauta de son cheval dans un bond très delicat et tomba a côté du nain.

Il colla ses mains les unes contre les autres et regarda, les dix flèches qui foncaient en direction du nain et de l'elfe magicien. Il avait bien fait de réunir ses mains ensemble, il ferma les yeux se concentrant puis finalement separa ses mains pour les mettre en direction des fleches et prononca la formule exact en ancien elfe pour pouvoir bloquer les flèches.

"*Letta Orya thorna!"

Les flèches se bloquèrent a deux centimètres du jeune mage elfe, et du vieil homme nain. Il baissa ses mains, puis sortit son épée remarquant que le nain avait remonté son pantalon. Il dit alors, en souriant.

"Pas de mal mon cher ami?"

Les flèches sont toujours arretées je rapelle!


[*Letta Orya Thorna: Elfique signifiant "Arêts des flèches" (prit du langage elfique d'eragon)]


Edit Rada' : C'est bien joli, sauf que nous ne sommes pas dans le monde d'Eragon, alors merci d'en tenir compte !

[Edit Aqua: Ouais mais bon c'est du langage elfique!]

S'aperçevant que le roi ne s'était pas aperçu qu'il serait mort à l'instant même, Orandar s'en alla plus loins sur le champs de bataille.

*Je n'aura aucun remerciement ou quoi que ce soit...* Soupira-t-il.

Il venait d'abattre un autre Uruks puis il entendit le cor du gondor. Il se retourna et vit, dans les rayons du soleil, des centaines, voir des milliers de cavalier dévaler une pente pour venir en renfort.

"Super!"

Orandar avait reprit courage, sa blessure ne le dérangeait plus, avec cette assurance, il se sentit encore meilleur qu'au début du combat. La force en lui renaissait. Il se battait pour son père et peut-être, si elle a sombré, pour sa mère.

"Yaaa!! Yaaaa! Pour le pouvoir Elfique et pour la Terre Du Milieu!"


Et il fonça...

Firion vit la cavalerie en renfort arriver à son niveau. Un homme s'adressa à lui et il comprit que c'était le capitaine.

"Bonjour, seigneur Firion. Je suis le capitaine Falarior et je suis venu avec mille cavaliers vous prêter main forte. Votre messager nous est parvenu il y a une semaine.
-Bien, je vous remercie d'être venu."

Falarior se retourna et tua un uruk-haï. Quand il se retourna vers Firion, il vit qu'il n'était plus là, il était parti plus loin se battre. Un elfe tua un archer adverse et donna une flèche au roi Firion qui lui demandait. Eoseld se battait toujours au côté du prince qui se battait très bien. Il leva son épée, tranchant le corps de bas en haut d'un ennemi. Eoseld tira ses dernières flèches sur des arbalétriers et des archers ennemis. Firion lui était toujours avec Elerion et ses gardes royaux, qui étaient moins nombreux à présent. Martelong se retrouva proche d'Eoseld et ils décidèrent de se battre ensemble. Nahar piétina encore un uruk-haï tandis que Firion en décapitait un autre. Le roi assénit un coup d'épée à un ennemi qui tomba. Un uruk-haï vint par derrière et Firion eut tout juste le temps de parer son coup, l'uruk tenta un nouveau coup mais Elerion vint le transpercer de son épée par le côté droit, l'armure fut d'aucune utilité, l'uruk tomba raide-mort. Firion remercia Elerion et le combat repris. Le roi tua encore quelques uruks, tout comme Nahar et ses sabots. Mais ce dernier commençaient à fatiguer et il s'arrêta de piétiner les ennemis, se concentrant juste sur son déplacement. Tanarith était avec Bargonno, le premier soignait quelques blessés pendant que le deuxième le défendait. Ils formaient une bonne paire. Tanarith était un bon guérisseur et fort utile, beaucoup de blessés soignés purent retourner au combat grâce à lui, sans quoi ils seraient encore en train de souffrir, écroulés au sol. Il soignait même des elfes et un nain. Bargonno se battait au corps à corps, de temps en temps faisant un bout de magie, mais il ne voulait pas dépenser son énergie trop rapidement pour garder la force de se battre.

[Hrp] Je fais participer Tanarith et Bargonno dans mon message à leur demande car ils sont absents. [/Hrp]

La discussion entre Derïn et Horgeam fut coupée par l'arrivée impromptue d'un Uruk qui obliga les deux Nains à engager le combat.
Lors de la charge de la créature Horgeam c'était légèrement écarté tandis que Derïn s'abaissa au dernier moment pour esquiver le coup mortel que l'Uruk souhaitait lui porter avec son épée à deux mains. Celui-ci était maintenant en déséquilibre suite au coup puissant qui n'avait fait mal qu'aux quelques mouches qui voyageaient déjà de cadavres en cadavres sur le champ de bataille... Derïn avait maintenant les deux jambes de son ennemi en face de lui et elles étaient très peu protégées.N'hésitant pas une seconde le Nain brisa les tibias de l'Uruk d'un coup de marteau bien placé,ce qui eut pour effet de faire tomber le monstre à genoux.
Horgeam n'en demandait pas plus: son ennemi était à la parfaite hauteur!!
Il lève sa masse et *PAF* l'imbécile d'Uruk tombe à terre le crâne fracassé...

Faisant un signe de main à Horgeam,il s'éloigna quelque peu pour retrouver son frère mais deux Uruks lui barrèrent la route.
Il eut juste le temps de frapper le bras droit d'un ce qui le rendit inutilisable mais l'autre Uruk était rapide et d'un coup d'épée longue il désarma le Nain.Derïn évalua alors la situation calmement: il était désarmé face à deux ennemis dont un était gravement blessé.Il lui fallait donc éliminer l'autre Uruk en priorité,déjà le Nain tâtait sa dague dans le fourreau camouflé sous son plastron.
Deux secondes plus tard il dégaina et pris par surprise l'Uruk sain ne put réagir et eut le coeur transpercé par le dague du Nain.
N'en restait maintenant plus qu'un mais qui avait pu prendre un fléau de sa main valide et qui se battait très bien à une main.Et comment voulez-vous vous défendre avec une dague face à un fléau??
Il lui fallait récupérer son marteau qui était à terre trois mètres sur le côté,mais jamais il n'arrievrait à le récupérer sans baisser sa garde...
La situation semblait désespérée quand il entendit un cri derrière lui:

-Derïn, technique 43 B!!!
-*Technique 43 B??*

Le Nain s'accroupit rapidement et l'Uruk paru déconcerté par ce geste et croyant à un geste de soumission il rit aux éclats.
Mais dans son orgueil il ne vit pas Thrór qui courait en sa direction,prit appui sur le dos de Derïn et fit un bond phénoménal.On pu voir le visage de l'Orque passer de la joie au désespoir dans une moue de dégoût pas très belle à voir.
Au sommet de son saut,Thrór abbatit sa hache sur le crâne de l'Uruk...

Derïn se releva,récupéra son marteau et s'approcha de Thrór:

-Merci p'tit frère!!
-Tu te souvenais de la technique 43 B?
-Non mais une flèche à accroché ma barbe et m'a planté au sol donc...

Suite à cette note d'humour ils retournèrent tout deux au combat avec plus d'ardeur que jamais après l'arrivée de nouveaux renforts!

//J'ai encore ce foutu bug bordel de m****//

Au fur et à mesure que le combat durait, Alet se fatiguait.
Bien qu'il ai reçu une bonne préparation et que le sang qui coulait dans ses veines s'était depuis bien des générations habitué au combat, il se fatiguait.
Etonnament, il acquiérait peu à peu une technique plus fine, les Uruk n'étaient pas très originaux et leurs techniques se ressemblaient toutes. Alet parvenait maintenant à vaincre plus d'ennemis qu'auparavant. Il avait même, à son grand honneur, sauvé un autre elfe en mauvaise posture.
Malheureusement, plus il combattait et terrassait d'ennemis, plus la fatigue l'envaissait. A tel point qu'à un moment, il ne put éviter le coup d'épée de l'uruk qui se dressait devant lui. La blessure était profonde et si il ne parvenait pas à trouver quelqu'un pour le soigner, il n'y survivrait pas.
Il recula peu à peu, laissant l'Uruk à un autre soldat, était-ce un homme, un elfe ou un nain? Il ne le savait pas, sa vue se brouillait. Il ne put balbutié qu'à une autre forme qu'il avait besoin d'aide.
il se sentit soulevé et tout devint sombre. Il n'entendit plus avant de sombrer qu'un "je t'emmène auprès d'Ambremage."

Pendant le long moment qui précédait la bataille, Hataldir s'était fait discret, il n'avait parler a personne si ce n'est Eroald. Il avait imaginer beaucoup de choses sur la bataille qui approchait, et ça allait de mal en pis, c'était sa première bataille, il était fière de combattre pour une bonne cause, défendre les siens, et savoir qu'il allait combattre avec des personnes comme Sombre-Chêne et Eroald, le rendait plus confiant, depuis un moment, il sentait le moral remonter chez tous les peuples présent, ce qui était un gros avantage...

...a l'heure du départ, Hataldir se fis tout aussi discret, il regarda autour de lui, tous ces visages, dont beaucoups ne reviendront pas, des jeunes et moins jeunes, des hommes, des Nains et des elfes réunis pour la même cause, il était monter sur son cheval, il se sentait bien avec lui, il n'avait pas encore trouver de nom pour celui-ci, il n'avait encore aucune idée de comment il allait le nommé...

...ça faisait des heures et des heures qu'ils marchaient, il se demanda comment autants d'uruks pouvait ne pas être vu de là ou ils étaient, tout a coups, il vit le devant de l'armée s'arrêter, des murmurent commencèrent a envahir les rangs, et soudain, une marrée noir surgit devant lui, des milliers d'ennemis, étaient rassemblés là, devant lui, son coeur commença a battre la chamade, était-ce de la joie ou de la peur?? un peut des 2 sûrement...

...Hataldir ferma les yeux, fit le vide avant le grand moment, et quand il les rouvris, toute la colonne de cavalerie chargea, il failli même être un peut en retard, mais il se réveilla et chargea lui aussi, il sortis l'épée prêter de son fourreau, et planta, pour la première fois, sa lame dans le corps d'un ennemi, il retira son épée et recommença plusieurs fois, en essayant tant bien que mal d'éviter ceux qui lui était portés, un coup donné ici et là, Hataldir attrapait le coup de main et il aimait ça...

//HRP: je sait que c'est un peut tardif , mais je n'ai pas pu etre present avant, desolé , mais mtn je suis là!!!! c'est pas bien ca? //

//C'est super, mais avec des points et des majuscules ça serait encore mieu //

Horgeon était à bout de souffle, ce style de combat était un peu dûr à endurer. D'un rapide geste de la main, le nain attacha sa hache à sa cape, et retourna son bouclier qui était accrocher à son dos par une lanière de cuire. À croire qu'il c'était longtemp pratiquer pour ça, mais les nains sont impassiant et il préférait se pratiquer pour ne pas le regretter au momment venu. Un sourrir apparut sur le visage d'Eam, son père prennait tellement de précotions innutiles pour un nain, Mais ça lui permettait d'être un des plus redoutable guerrier sur les montagne. Un coup sur sa masse réveilla le jeune nain qui poussa un cri d'éffroie. Son père fit tomber le monstre qui avais osé attaquer un nain dans la lune (non mais ça se fait pas!) d'un coup de bouclier et le finit d'un coup d'hache. Puis jeta un regard espiègle à son fils toujours surpris par l'attaque soudaine.

-Trop de précotions inutiles? Commence par prendre les tiennes et on en reparlera.
-M-mais comment as...?

Horgeon le tappa amicalement le dos de son fils ébahie. Il haissait quand son père jouait au supérieur et ne le lâcherait pas d'une semelle après la bataille. Le général avait rapidement enlevé cet incident de sa memoire pour mieu se concentré. Il trancha la gorge d'une huruk avant de le faire basculer d'un violent coup de bouclier. Le général put voir ses dents volés en eclats dans la bouche du monstre avant de s'éparpiller dans les airs. D'un sourrir sadique, Horgeon le finit avec grâce, ce qui était assez étrange pour un nain. Ce qui était plus surprenant c'était la bouiili qui restait du visage de l'huruk. Horgeon surprit une intincelle de peur dans les yeux de l'autre monstre devant lui. Il ne put empêcher sentir de la fièreté devant cette marque de crainte. Un sentiment de puissance l'enivra ce qui ne rendait pas plus facile la tache des monstres. Eam regardait le général de loin... Il soupira lentement. *Il prend la grosse tête*. Le jeune nain se retourna sur lui même et sauta sur les étriers d'un cavaliers. Celui-ci l'aida à monter en voyant que l'autre personne sur son cheval était amicale. Il dit au nain de s'accrocher et son destrier se retourna. Un peu désiquilibrer le nain accrocha sa masse sur le visage de quelque chose. Il fit la moue en pensant qu'il s'agissait peut-être d'un des sien ou d'un gondorien. Heureusement , l,être avec le visage applatie s'agissait d'un de ces monstres noirs.

Un homme combattait parmis les elfes, cet homme était Eroald. Après avoir posé la question à Sombre-Chêne et vu qu'il ne répondait pas, il s'excusa et resta à ses coté jusqu'a maintenant. Il était en troisième rang mais avait beaucoup à faire. Il combattait comme il pouvait... Il avait deux épées car il en avait ramassés à terre et ca luipermettait de couvrir son manque d'expérience. Sombre-chene était à coté de lui et combattait aussi avec fougue.

[Excusez-moi pour la longueur, pas facile à une main Je me permet de jouer un peu s-c, si ca vous dérange, j'éditerais...]

Le roi Firion tenta de rassembler une nouvelle fois ses cavaliers pour charger les ennemis. Quelques centaines de Rohirrims rassemblés, ils chargèrent sous les ordres de leur roi. La charge eut un meilleur impact que prévu, les uruks que la charge croisait furent tués et les ennemis reculèrent. Alors de nombreux cavaliers s'ajoutèrent à la charge mais les ennemis s'arrêtèrent soudain et avancèrent pour contrer la charge. La charge fut bloquée et s'en fut terminée pour elle. La masse des ennemis était si importante qu'il était difficile de tenir une charge pour les faire reculer. Firion fut secoué.

*Il faut arrêter le combat, en continuant ainsi nous allons perdre. Il va falloir jouer tactique. Il nous faudrait plus de soldats même deux cents suffiraient mais où les trouver ? Nous n'avons plus le temps de demander des renforts ailleurs et puis ce ne sont pas les elfes ou les nains qui nous en donneraient vu qu'ils sont tous là. Minas Tirith nous a suffisamment aidés. Mais oui ! Il faut demander l'aide du Gouffre de Helm ainsi que des gardes d'Edoras. De toutes façon même si nous perdions se ne seraient pas eux qui pourraient sauver Edoras. Je vais y aller moi même, avec mes gardes royaux.*

Firion prévint de ses plans Elerion qui transmit les ordres aux autres gardes. Le roi chercha des yeux Eoseld et le vit plus loin en train de se battre, toujours avec Theneor. Il les avertit à leur tour. Ils acquiécèrent. Tandis que le roi partait avec Elerion et ses six gardes royaux encore vivants, Eoseld et Theneor faisaient le tour des cavaliers du Rohan pour leur signaler le plan. Ils prévinrent aussi le capitaine Elfe Sombre-chêne, le général nain Horgeon Gemvior et aussi le mage Tanarith dont ils auront besoin. Firion était donc partit à Edoras chercher ses gardes, puis au Gouffre de Helm pour ramener son seigneur ainsi que ses gardes. Ils devaient au moins être trois cents.

Cela faisait des heures et des heures que la bataille faisait rage. et il était toujours vivant.

Il continuait de frapper, il planta son épée dans le coup d'un ennemis, la retira et frappa un autre ennemis, mais au moment ou il allait la retirer, le monstre retint sa lame. Celle-ci coincée, a sa gauche un autre uruk fonçait dans sa direction, lance tendue ver lui, l'épée toujours coincée, il ne savait plus quoi faire, tout ce temps a combattre lui avait vidé presque l'entièreté de son énergie, il n'avait pas encore l'endurance et l'expérience des autres combattants, il essaya de toute ses forces de retirée la lame, et avec un dernier espoir, il frappa l'ennemi d'un coup de pieds d'une telle force, qu'il ne se cru jamais capable de donné, la lame s'extirpa du corps inerte de l'ennemi, se retourna pour faire face a son assaillant mais, il fut trop tard, il n'était plus qu'a un mètre de lui... Il ferma les yeux, attendis que la lance le transperce de bout en bout. il entendit un bruit de métal tranché avec une force extraordinaire, mais aucune douleur ne l'envahi, il ouvrit les yeux et vis son asseyent a terre avec une hache planté dans le crâne, il regarda autour de lui, il vis un nain le fixant... Hataldir était stupéfait, qui était il? il l'avait vu aux côtés de sombre-chêne et autres général...

Un homme du Rohan ayant sans doute perdu son cheval et aidé par un elfe apportèrent le corps inerte d'Alet auprès d'Ambremage.
Ce fut l'homme qui prit la parole.
"Il est tombé, il a reçut une méchante blessure au coté droit. Faites ce que vous pouvez, j'imagine que vous êtes déjà débordé. "

Orandar se battait contre ce même Uruk depuis que les renforts étaient arrivés.

*Coriace cette bête!*

Il donnait de forts coups à la verticale avec des feintes, il essayaient par tous les moyens de le battre, mais son enemi était trop fort.

Le Uruk décida d'en finir et donna un fort coup, tous les muscles de la créature partageait ce coup. Orandar vit la lame arriver au ralenti, puis ferma les yeux.

Le coup était donné.

Il sentit aucune douleur au début.

Puis il grimaça.

Il se releva avec peine et trancha la tête de celui-ci, tellement rapide que Le Uruk ne l'avait pas vu arriver.

Le jeune chevalier cracha dessus le corps inerte du Uruk.

"Enfin!!!"

Il se tourna vers ses côtes.

*Ahh! Maintenant, ou ce trouve Ambremage...*

Le sang coulait à flot.

Il repèra le mage et se dirigea vers lui.

"Je ne sais guère si je survivrai, mais j'aimerais que vous soignerai cette blessure à ma côte. Je ne peux pas vraiment me battre avec ça..."

Hataldir se ravisa, une haine l'avait envahi, une haine contre ces satané Uruks. Imaginer qu'il aurait pu mourir il y a tout juste quelques secondes, avait réveillé quelque chose en lui. il serra l'épée dans sa main, trotina; puis, a la vue d'un uruk, accéléra la cadence.

Arriver derrière la bêbête, il assena un violent coup a la nuque, extirpa son épée, assomma avec le manche de l'épée un uruk qui était non loin de lui, tranchant la gorge en passant. il se retourna, et se fut a son tour de se faire frapper a la tête, tomba a la renverse, n'ayant pas le temps de reprendre ses esprits, l'uruk lui donna un coup de pieds sur le poignet pour lui faire lâcher sa lame, ce qu'il fut , le monstre rama ça une grosse hache qui etais a terre, la souleva et frappa. Hataldir roula sur lui-même, la hache se planta dans le sol, il profita pour lui donner un coup de pieds dans le genould, ce qui eu pour effet de l'agenouiller, attrapa un morceau de bois brisé, lui planta dans le coude qui soutenait toujour la hache, un cri horrible sortant du casque qui cachait casi la totalité du visage du monstre, un cri de rage, et non de doulheur.

Hataldir ne savait plus quoi faire, il avait pu, par chance, éviter 2 fois l'assaut de l'ennemi, celui-ci se relevant avec fougue se dirigeant ver lui avec sa propre épée. Il tatona le sol dans l'espoir d'y trouver une arme, son regard étant rester sur le monstre, et le sang lui gachait la vue de son oeuil droit, enfin, il attrapa quelque chose de lourd et dur, le lança et atteri en plein milieu du visage, la ou était le seul moyen de respirer du casque, le monstre tomba au sol. Hataldir en profita une nouvelle fois, repris l'épée des mains de l'ennemis, et lui planta dans l'estomac, de part en part.