Une bien étrange bataille

//Silence is back!!! What a good new! Et ta signature et très bien au passage. //

Sombre-chêne, juste avant le contact, jetta un coup d'oeil à Balak. Encore une fois, aucun mot ne sortit de leurs bouches, mais ils se comprirent : ils faudrait que leurs gestes soient entièrement coordonnés pour qu'ils puissent sortir vivant de ce duel. Puis leurs yeux se quittèrent et ils parrèrent la première attaque, et ripostèrent aussitôt. Le combat venait de commencer, et il promettait de durer.

Tandis que le mercénaire et l'ambassadeur feraillaient contre les deux Suderons sans se préoccuper de ce qui se passait autour d'eux, Eleriol, lui les regardait et examinait leurs passes d'armes. Tout du moin au début, car vint un instant où l'elfe capta du coin de l'oeil une agitation anormale. A un endroit, le combat avait gagné un telle intensité que les yeux de l'elfe pouvaient parfois voir une gerbe de sang qui s'élevait a près d'un mètre au-dessus des silhouettes des Haradrims et des Gondoriens, indifférenciables dans le chaos. Eleriol, sans le savoir, assistait à l'entrée en scène de Silence, stratège porté diparu depuis plusieurs mois (aussi bien hrp que rp). Mais même si l'elfe l'avait vu, il n'aurait pas pu comprendre cela, car il n'avait jamais vu, commes bien d'autres ici, le fondateur des Griffes d'Ammoth. Bien qu'intrigué, il reporta son attention sur le duel. Du moins pour l'instant.

Le duel, lui aussi, continuait. Les deux défenseurs de Minas Tirith tournaient, passaient dans le dos de leurs adversaires, feintaient, mas tout cela en vain. Ils profitaient de chaque ouverture que l'un d'eux avait pu ouvrir, mais toujours un cimeterre venait parer leur lame, ces mêmes lames qui, inlassablement, paraient ces mêmes cimeterres. Rien ne laissait voir qu'un duo ne prenait l'avantage.

Le Roy et ses hommes résistaient inlassablement, ne reculant que pour mieux contre-attaquer. Ils s'étaient fait quelque peu discrets mais grâce à leur défense acharnée, l'ennemi n'avançait pas et le front central tenait bon.

Anduril passa à travers la poitrine d'un grand Suderon qui, l'air ahuri, s'étalla en avant dans une gerbe de sang. Le Souverain de Gondor regarda aux alentours mais ne put apercevoir une connaissance, ce qui le chagrina car il espérait le meilleur pour ses allliés. Il ne vit pas la charge de deux Haradrims rendus fou par le fait de tuer le Roi adverse. Remarquant trop tard les faits, Méphisto ne put que contrer le cimeterre du premier et, continuant son mouvement, envoyer balader le second qui esquissa un rictus en se relevant péniblement, une entaille sévère sur le bras.
L'épée qui fut reforgée avait faim, et ses morsures étaient à craindre ..

La lune ne tarderait pas à se montrer, mais les Gondoriens donnaient l'impression d'avoir plutôt bien encaissé le choc. Les hommes du sud peinaient à continuer à cette allure, beaucoup trop des leurs ne tombaient que trop vite ..

hj: Et euh moi j'ai pas de taxi pour me ramener? ='(

dj: Là, à ce moment précis, alors que Van effectuait une rotation de 180 ° avec sa tête, il se rendit compte qu'il était virtuellement mort. Mais virtuellement n'étant pas réel, il fit un grand sourire à l'haradrim devant lui et se retourna. Folie ou désespoir? En tout cas vous n'allez jamais le croire. Au loin tout le monde purent l'apercevoir, il courait sur les hommes. S'appuyant sur les épaules, têtes et autres partie du corps des haradrims en dessous de lui, Van était en train de rejoindre le camps du Gondor en sauttant d'ennemi en ennemi, qui ne se rendait pas bien compte qu'il était sur eux avant qu'il n'en soit parti. Bien sûr des sabres l'atteignirent, la plupart n'entaillant que son armure de cuir mais au final, quand Del sautta au-dessus d'un gondorien il avait les cuisses lacérées et les tibia en piètre état. C'est alors qu'il se rendit compte qu'il était revenu là d'où il était partit, il reconaissait des hommes mais une forme, toute petite ne bondissait plus de-ci de-là. Il se retourna et dans le tumulte des combats aperçus un petit corps transpercé d'un lance dont la poitrine se levait à peine. Grave Erreur des haradrims, il avait mit en colère Del. Il s'élança, puisant dans le peu de réserve qui lui restait, et s'envola pour tuer. Ses dagues ne se plantaient plus, elle pénétrait la chair et en ressortait dans une grande gerbe de sang. Bientôt le hobbit fut là à ses pieds, et en quelques secondes il fut là sur son épaule, la lance qui l'avait poufendu dans sa main. Il avait donc rengainé ses dagues pour la lance haradrims et couru jusqu'à la ligne gondorienne, les haradrims devant lui faisant la découverte macabre de la pointe d'une lance dans leur ventre. Quand il fut enfin de l'autre côté de la ligne de bouclier le troubadour ne s'arrêta pas là. Il courru jusqu'à l'épuisement, ses jambes ensanglantées ne le portant plus qu'à peine, quand il arriva enfin là où des femmes guérissaient les blessés, il avança encore jusqu'à une elfe qui venait de se relever, il planta ses yeux dans les siens et avec un sourire au bord des larmes il annonça:

-Ce petit monsieur aurait besoin d'un bisous magique.

Et oui, même avec un mourrant dans les bras Van trouvait toujours le moyen d'essayer d'être drôle, désespoir ou otpmisme débordant?

hj: Le prochain coup moi j'laisse Morgoth se débrouiller xD quand j'vois comment on m'abandonne...

[Hrp : S'pece de grosbill Silence :P [/HRP]

Eosfel vit le combat et retournement de situation dans les lignes haradrims.
Les chiens qui le suivait semblés abasourdis par cette "nouvelle" , puis il quitta peu à peu le combat des yeux.
Même si il ne connaissait pas l'Elfe , c'était toujours bon d'avoir un ami de vivant.

Et puis , il vit le Roy , son coeur fit un bond , il observa un instant l'Intendant , il semblait en mauvaise posture mais le Roy était plus important aux yeux du Chevalier.

"Aujourd-hui , la Cavalerie va enfin montrer sa force"

Eosfel dégaina sa lame , la cavalerie s'ébranla dans un tonnerre de sabot puis elle se mit en ligne , une ligne avec des pointes éclatantes , une ligne de mort ambulante.

Et elle chargea.
Le bruit était assourdissant , et cette charge destructrice en ligne fit son effet.
Les rangs désorganisés des Haradrims qui tentaient tant bien que mal d'abattre le Roi du Gondor eut peur.
Une peur compréhensible.

L'Impact fut destructeur ... pour les Haradrims.
La ligne des hommes d'Eosfel se fendit en deux au contact du Roy , passant des deux côtés en essayant tant bien que mal d'éviter les gondoriens qui semblaient tout aussi affolés.

La cavalerie s'enfonca d'une dizaine de mètre dans les lignes , formant ainsi un grand espace pour les gondoriens qui se reformèrent aussitôt derrière la charge.

Eosfel cria , un cri de puissance , un cri de joie.

-POUR LE ROY !

Un cri qui fut repris par des dizaines , des centaines , des milliers de gorge.
La ligne de fantassins s'ébranla a l'image de celle de cavalerie.

Le Baron defonça un crâne d'Haradrim qui eut l'audace de lever sa lance , puis il continua jusqu'à ce que son bras lui fasse mal.

"La mort attend tous les enemis du Gondor"

Radamanthe cligna des yeux quand il aperçut au loin l'étrange scène entre le mercenaire Morgoth et l'autre protagoniste qu'il ne pu reconnaître.
Au moins il savait maintenant pourquoi il avait repéré il y a plusieurs instants un tel attroupements de guerriers du sud. Mais il avait du mal à comprendre ce qui arrivait à l'elfe auprès duquel il avait combattu en Harad pour le compte du seigneur Meakil. Il ignorait que le personnage qui avait surgit dans une gerbe de sang était un autre compagnon, qui l'avait abandonné au cours de cette même campagne dans le Sud Désertique.

Détournat la tête de ces étrangetés, il se reporta sur les ennemis qui se dressaient devant lui. Et là encore, il se passait quelque chose qu'il ne pouvait pas expliquer.
L'arrivée soudaine de Silence et de quelques-uns des siens provoqua un changement d'hatitude stupéfiant : Ils paraissaient affolés et certains étaient déchirés entre l'envie d'arrêter la petite troupe qui avait décimé leurs rangs avec une facilité digne d'un quelconque sortilège ancien ou de se battre contre les Gondoriens.
Au milieu de tout cela, quelques rares hommes vêtus de leurs toges bleues tentaient de calmer la situation et braillaient des ordres ou bien des informations qui avaient bien du mal à se faire entendre.

Radamanthe profita de la situation et leva le bras en même temps qu'il ordonna aux quelques chevaliers qui se trouvaient tout près de lui de charger envers les fantassins ennemis qui se trouvaient devant eux.
Ces derniers réagirent maladroitement et leur visage marqué par l'incompréhension goûta à la poussière des Champs du Pellennor.
L'Intendant vit le chealiers Eosfel rejoindre le Roy Méphisto, qui avatar suprême du gondor, motivait par sa seule présence.
La bataille prenait un tour définitif, encore que ce n'était plus le plus important...

Milindë se sentit mal un court instant… elle senti un grand vide en elle… Comme le vide qu’une personne laisse après être mort… mais ce vide était plus qu’un vide, c’était un gouffre… Elle s’assit sur le sol parmi les blessés… et ressentie le vide grandir en elle, c’était à présent un gouffre, c’était le vide… le néant, rien de plus rien de moins… Elle comprit alors… Elle pensa à Mithrandir… et là elle ressentie un mal plus grand encore… Son futur époux, celui avec qui elle avait vécu tant de bonheur, un bonheur qu’elle avait rarement connu dans sa longue vie, venait de mourir… Elle put percevoir la brume autour de lui mais pas le voir distinctement… Elle ressentie la douleur de la chute de son époux et s’effondra sur le sol… Elle pleurait, pleurait comme jamais auparavant déversant toutes les larmes de son corps… Son amour, tout mortel qu’il était, était mort, c’était prévisible, mais elle pensait au moins qu’ils auraient eut le temps, le temps de se marier de fonder une famille avant que la mort ne le prenne…Mais non, le destin avait frappé sa destinée et encore une fois elle allait se retrouver seule… Elle releva la tête regardant les étoiles au dessus d’elle dans le ciel… et là elle sentie un autre vide… Lui aussi allait grandissant… Hobasian bien qu’elle l’ai soigné de son mieux venait de mourir, de ses blessures…Elle était seule à présent… ou du moins elle se sentait seule… elle devint lasse, très lasse et laissa la vie quitter son corps, préférant ne pas rester en Terre du Milieu seule, sans ceux qu’elle considéra comme sa nouvelle famille…Elle arrêta donc de pleurer et s’allongea sur le sol… C’est ainsi que Milindë mourut… Et l’histoire raconta longtemps après qu’à l’ endroit où s’entendait son corps des fleurs fleurirent et grandirent, dernière trace de son existence sur la Terre….

Son corps resta étendu là, parmi les blessés et certains crurent qu’elle dormait, harassée par le travail, car ses traits ne reflétaient aucune tristesse, mais une sérénité. Calme et paisible elle reposait… et on eut dit qu’une princesse Elfique s’était endormie aux portes du Gondor…Symbole de leur alliance… Sur les remparts des Gondoriens avaient vue sa détresse et l’avaient vu se calmer et s’allonger sur le sol… Beaucoup se demandèrent ce qu’elle faisait là à dormir sur la route… Les brancardiers qui transportaient les blessés s’arrêtèrent à sa vue et deux d’entre eux, se dirigèrent vers elle, ils essayèrent de la réveiller mais virent qu’elle venait de mourir… Ils la reconnurent comme la femme du Mage de Minas Tirith et son corps fut remonté dans la Cité… Surement fut-il amené au Palais, ou dans l’une des salles de Rath Dinen en attendant le retour de Mithrandir… Mais lui non plus ne reviendrait pas… du moins pas comme tous le pensait…

Erwoyn s'occupait des blessés et des mourant depuis plusieurs heures, elle ne cessait de passer d'un homme à un autre, soignant ceux qu'elle pouvait, priant pour les autres.

Elle croisait les autres guérisseurs ainsi que Milindë, qui eux aussi oubliaient leur épuisement pour sauver ceux qui souffraient. A un moment elle vu Mïlindë à genoux par terre, cela la surpris mais la jeune femme étant elle-même épuisée, elle ne fit pas plus attention, elle continua sa tache. Puis elle vit le regard de plusieurs personnes dans une direction et se relevant elle vit la femme du Mage allongée sur le sol...

Abandonnant le blessé dont elle s'occuppait, elle courut vers Milindë et s'arrêta net quand elle fut arrivée à ses cotés... La femme avait le visage couvert de larmes, mais elle semblait dormir, appaisée... Sentant son coeur se serrer Erwoyn s'agenouilla à coté de Milindë et lui prit sa main... Elle était encore tiède mais la jeune femme ne sentit plus la vie parcourir le sang de la femme...

* Que c'est-il passé ? *

D'autres guérisseurs arrivèrent à ses cotés et constatèrent le décès si soudain de Milindë... Erwoyn sentit les larmes couler sur son visage... La tristesse de la mort de Milindë la prennait totalement au dépourvu...

Voyant son chagrin des guérisseurs appelèrent des brancardiers qui prirent le frèle corps et le ramenèrent à la Cité. Erwoyn suivi le corps de Milindë, refusant de la laisser seule...

Aussi longtemps qu'il s'en souvienne, Balak a toujours vécu dans le sang. Son existence n'a jamais été dirigée par autre sentiments qu'haine et violence. L'instant rend puissant , mais nécessite l'abandon total de ses émotions. Le combat durait, les colosses ne tombaient pas. Le mercenaire et son nouveau compagnon faisaient leur possible, mais le mur de lames leur empêchaient toutes actions décisives. Plus le temps passait, plus Balak peinait à retenir le sentiment de haine et de frustration qui l'habitait. Il le savait : si il cédait à ses vices, il pouvait devenir plus fort, mais beaucoup moins contrôlable.

Je ne...redeviendrais pas...comme avant...

Dès que les armes s'entrecroisaient, il avait une vision de son passé furieux, où il ne vivaient que pour le plaisir de détruire. Il revoyait les abominations dont il avait été l'auteur, les cadavres derrière sa route, les corps de femmes et d'enfants massacrés par les ombres. Et plus il se souvenait, plus il doutait. Sur les Ombres. Sur Khalid. Sur lui-même.

Tant de morts...juste pour...des livres ? Je... je n'y crois pas! M'a-t-il dupé ? Comment en être sûr ?

Sa haine était un monstre furieux, et l'Instant était sa cage. mais les barreaux commençaient à se tordre, la bête mugissait et les gonds faiblissaient. Le doute était comme une rouille virulente qui affaiblissait la volonté d'acier du guerrier.

Heureusement, le regard profond de l'elfe était un abime salvateur, lui permettant de calmer ses pulsions pour un bref laps de temps. Mais si ses portes intérieur cédaient, même Balak ne pourrait prédire ce dont il serait lui-même capable.

Morgoth était plus qu'inconscient, son épée était elle si mauvaise, n'avait il vraiment aucun contrôle sur elle?

Morgoth était dnas l'agonie de l'ésprit, il connaissait déjà cela, mais là une autre chose vains le dérangé, un ombre...non plutôt une lumière qui s'étaigna...Mithrandir n'était plus.

Alors Morgoth dans se demi-mort pleura, il pleura des larmes de cristal, qui qu'en elles tombaient au sol le purifiait.

Le mage était l'un des ses amis les plus cher, et surtout l'un des seul, mais il l'avait sauvé de l'abîme de l'âme deux fois... Morgoth se sentait alors redevable...et il n'eu jamais l'occasion de lui sauver la vie, il ne le pourrait jamais.
Mais se qu'il pourrait, c'est peut être demander grâce aux Valar...et faire que son âme reste en Aman!

Il prierai pour lui, d'ailleur dans se déséspoir total et absolu qui le pris, il pria déjà, même dans son état il pria, il pria assez fort pour que l'ombre qu'il émanai disparue remplacé par une lueur...un éspoir de bonté...peut être accordé par cette force de volonté de suaver l'âme d'un être cher...

Qui sait? Même Morgoth ne le su pas...Car de tout cela il ne s'en remettrait peut être jamais comme une deuxieme mort de cette âme déjà déchiré par le temps, la douleur et le mal.

Une fois encore, le fer rencontra le fer dans un tintement lugubre. Tandis que le combat faisait rage, Sombre-chêne voyait que son compagnon était soummis à un cruel dilemme, sans en comprendre vraiement la nature. L'elfe aurait aimé aider le mercénaire mais n'avait aucune idée de la manière d'y parvenir. Il se contentait d'observer de temps à autre Balak et tentait de le comprendre, mais en vain.

Le mercénaire semblait comme lutter contre la colère, comme s'il essayait de se contrôler.

Sombre-chêne malgré tous ces efforts, n'arrivait pas à comprendre. Il repporta son attention sur le duel, toujours indécis. L'elfe relança le combat avec une nouvelle ardeur, accléra ses gestes, exploita toutes les ouvertures, si infimes soient-elles, mais toujours en vain. Il fallait créer une ouvertur assez grande pour que soit l'elfe, soit le mercenaire puisse prendre le dessus du combat. Mais comment? Sombre-chêne ne vit qu'une solution.

L'ambassadeur expira longuement, puis mis en oeuvre son plan. Prenant appui sur un corps inerte il se lança vers le géant qui était en face de lui. Celui-ci sourit, quelque peu surpris de cet élan, certes héroïque, mais stupide de l'elfe et évita l'attaque sans peine. Il profita du désiquilibre de son adversaire pour le balayer de son pied droit avant de planter son cimeterre dans l'épaule déjà blessée de Sombre-chêne avant de passer son autre lame sous la cotte de maille de mithril et d'enfoncer sa lame dans le ventre de l'ambassadeur qui, inconscient, ne put ressentir la douleur.

Balak possédait à présent de moins d'une seconde avant que l'attention du Suderon ne se repporte à lui et qu'il ne bloque la ligne qui faisait de lui un homme mort.

Après le bref combat contre le Haradrim, Aërinhion et Laurelin rejoignirent leur étrange compagnon, toujours paré de son parfait accoutrement d' homme du sud.

- Il serait souhaitable que les informations que possède cet espion valent réellement leur absence momentanée du combat, pensa Laurelin, le Caporal reste introuvable et la recherche de l' intendant nous coute beaucoup de temps.

Laurelin tout en suivant l' elfe et l' homme mysterieux continuait sa reflexion ...

- Esperons que l' intendant de cette cité trouve le temps d' interroger l' espion, la soudaineté de cet attaque Haradrim est tout de même surprenante.
Est-ce une initiative qu' il leur est propre ou bien y a t-il quelqu' un d' autre pour tirer les ficelles ?
Véritable tentative de prise du Gondor ?

- Cela semble peu probable, continuait de penser Laurelin, Les forces engagées, aussi puissantes soit-elles ne semble pas veritablement suffisante pour renverser la cité blanche et l' ennemi le sait. Alors pourquoi ce déploiement de force ?
Simple évaluation de la réelle puissance de la cité, avant une prochaine attaque de plus grande ampleur ?

Les spéculations de l' elfe furent interrompue par le son de trompettes qui résonnaient une nouvelle fois. Mais la mélopée en était fort sinistre.
Laurelin regarda Aërinhion d' un air interrogateur.

- Ce sont les trompettes du glas, précisa l' elfe, elles annonçent qu' une personnalité de haute importance de la cité vient de tomber. Je ne sais pour qui elles sonnent mais mon coeur sent à present qu' une grande affliction vient de s' abattre sur les habitants de la cité.

- Les grandes batailles apportent leur lots de hauts faits et de gloire mon ami, répondit Laurelin, mais la mort et la désolation ne manquent jamais d' y prendre leur dû.
Et il soupira ...

Aërinhion s' impatientait, personne ne semblait savoir où se trouvait l' intendant.

Forlong et ses compagnons avaient entendus des rumeurs d'un groupe d'haradrims s'approchant des frontieres du Gondor, mais n'y pretaient grande attention. Le Harad a toujours ete dangereux, mais depuis que Meakil a regagne le trone, ce danger semblait avoir disparu.
Ils avaient passes la nuit dans la foret, apes une journee de gallop.
Ils repartirent a l'aube, et continuerent a parcourir les plaines du Gondor.
La journee etait nuageuse, l'air lourd.

L'apres midi se finissait deja lorsque les voyageurs virent devant eux la Tour Blanche d'Ecthelion. Une chose attira directement le regard de Forlong; de la fumee remontait des plaines du Pelennor.
Il accelera son cheval, inquiet.
Bientot, il pouvait deja apercevoir les etendards du Gondor et du Harad.
La Banniere du Roi Elessar se trouvait sur les avant lignes, Forlong y vit le Roi Mephisto entoure par les gardes de la citadelle.
***
Forlong et ses amis s'approcherent du Roi, sans lever l'etendard de Dol Amroth, et vetus de capes cachant leurs armures.
Forlong s'approcha du Roi et dit:
-Mon Roy, je vois que nous arrivons au bon moment! Dol Amroth est a vos cotes!
Il se tourna vers deux des chevaliers qui l'accompagnaient:
-Ramenez le Seigneur felon a Minas Tirith!
***
Il sortit Lunerill du fourreau, et dit a Gebir d'etendre la banniere de Dol Amroth. Son cheval emit un henissemment nerveux.

Dol Amroth etait la, aux Champs de Pelennor, pret a combattre pour le Roi du Gondor, comme il y a trois cents ans, au meme endroit, sous les ordres du legendaire Prince Imrahil.
Le Prince Berund fut attache a sa selle, son gantelet en fer tenait son epee.
Le Prince Berund allait charger sur les ennemis du Gondor pour la derniere fois.
***
Forlong leva son epee et cria:
-BERUUUND!!!! DOL AMROTH! CHAARGEZ CHEVALIERS!!! LE JOUR REVIENDRA, MORT OU GLOIRE!!!!

Les chevaliers de Brethil et de Dol Amroth chargerent, les sabots de leurs chevaux emettaient un bruit ressemblant au tonnerre.
***
Soudain, le vent chassa les nuages, et mit l'etendard de Dol Amroth en mouvement.
Le soleil apparut au dessus de leurs tetes, reflechissant sur l'acier.
***
Un groupe d'haradrims ravageait encore les soldats du Gondor.
Les chevaliers de Dol Amroth chargerent sur eux; a leur tete, le Prince Berund, ses armes brillant au soleil, il ressemblait a un noble Seigneur elfique du Premier Age.
***
Les chevaliers heurterent les rangs du Harad.
Les ennemis, aveugles par les armes et armures, perdaient tout courage.

//Je dis que j'ai un cor mais si ça pose un problème à quelqu'un envoyez moi un mp//
Gauvin arriva en même temps que Forlong chez lr Roy, il s'avença vers celui-ci il descendat de son cheval et posa un genoux à terre. Quand Forlong dit que Dol Amordth était au coté du gondor Gauvin se releva de tout son long. Se long cheveux blond lui arrivaient jusqu'au coup et même plus loin.

Il remonta ensuite sur son cheval et puis attendit l'annonce de l'attaque. Il ne fut pas déçu. Forlong cria et Gauvin sonna dans le cor. Les chevaliers étalonèrent leurs chevaux. Gauvin toujours à coté de Forlong étalonna le sien. Ils arrivèrent près des Haradrimes, Gauvin déguena son épée et frappa un haradrime à la tête. Celle-ci vola. Les haradrimes fuyaient

Gauvin étalonna encore une fois son cheval pour allez plus vite et rattraper encore plus d'Haradrimes.

Eosfel entendit un bruit de galop derrière lui.
Il pivota en faisant en sorte d'avoir un cavalier devant lui pour le proteger.
Des hommes en armure éclatante avec l'étendard du cygne...le cygne...le cygne...Mais bien sùr ! C'était Dol Amorth.
Les fier et arrogants chevalier de Dol Amorth.

Eosfel cracha par terre et repris les rènes , il rengaina sa lame et pris son cor , la note retentit une nouvell fois , mélodieuse , claire et puissante.

-CHEVALIERS ! MONTRONS A CES VOLLAILES CE QUE VALLENT LES VRAIS CHEVALIER DU GONDOR !

-POUR LE ROI ! POUR LE GONDOR ! Cria le porte étendard des Montagnes Blanches à côté d'Eosfel.

Une clameur entoushiaste rentendit dès lors dans les rangs des Cavaliers de Minas Thirit , qui s'enfonçait toujours dans les rangs haradrims.

Cette double charge était imparable pour les pauvres fantassins. Mais tellement jouissive pour les puissants chevaliers.

Gebir se rapellerait de ce jour toute sa vie.Ils chargaient à dix sept chevaliers.

Les capes avaient été écartés.Les insignes et les amoiriers brillaient au soleil.
Gebir leva l'étendat de Dol Amroth qui était sur sa lance.

Il la leva plusieurs fois sous la clameur des fantassins du Gondor.Ils avaient appris à reconnaitre ce signe de combat et de victoire.Jamais Dol Amorth n'avait reculer devant ses ennemis.

Les chevaliers de Brethil combattait sans réverse ne s'arretant que tout trancher la gorge d'ennemis et rattraper leur prince qui se dressait fiérement.

Gebir s'était élancer en avant seul avec toute la fureur qu'il avait dans son coeur.
Combattre était devenu une habitude mais Gebir regrettait de combattre le coeur endolori.
Il avait laissé son bouclier et préférait avancer la lance qui ralliait les soldats et aglarest qui trancher les tetes et les mains.

Il semblait intouchable du haut de son fier destrier.


Le prince avançait entouré par sa garde d'honneur.
Le combat tournait à leur avantage et vu l'état de nombreux fantassins la bataille avait été dure.

Un éclat argenté à l'horizon, sur le fond duciel bleu garnit de nuages blancs que le vent de la mer portait vers le nord, attira le regard le regard de l'Intendant.
Alors les provinces du sud n'apportaient pas seulement des nuages. Il reconnut la bannière du Prince Berund, et peut-être aurait-il pu reconnaître l'un ou l'autre de ces fiers chevaliers à l'armure étincelante qui s'avançaient, toutes lances dehors, comme portés par un vent de tempête.

"Alors Dol Amroth est tout de même venue", dit-il tout haut, sans pourtant s'adresser à quelqu'un en particulier.
Le Prince en personne était-là, mais ce n'était que la terrible preuve qu'il était bien mort. Mais même partit par delà la grande mer il donnerait toujours le courage àson ultime escorte de se battre pour l'Arbre D'Isildur tout en protégeant sa dépouille simultanément.
Alors c'était le moment où il fallait en profiter. Il eut un petit sourire mauvais en voyant le Chevalier eosfel entraîner les cavaliers pour cette charge finale.

L'Intendant leva alors haut sa hache dont l'éclat se réfléta dans la lumière du soleil.

"Fantassins ! En avant, poussez ces félons sous les sabots et les lances de la fureur du Gondor !"

Et le mouvement qui s'en suivit ôta toute chance aux Haradrims. Ils se retrouvaient devant un mur de boucliers et de lances sans aucune faille, qui les obligeait à faire demi-tour pour se dégager du côté des cavaliers, là où il y avait des trous.
Le problème étant alors que les trous étaient surtout causé par les-dits cavaliers.

"Archers, contournez-les pour couper toute retraite. abattez-les fuyards comme des lapins !"

C'était là le tout dernier acte de cet affrontement.

Gebir repoussa nombreux ennemis et entendit le bruit de la charge de Gondor.
Tout les hommes de Gondor avait chargé laissant là les souffrants.Une simple baniére et quelques chevalieres fiers avait entrainé une charge inespéré.
Gebir frappait dans le dos que lui offraient les ennemis.

Berund fonçai bientôt hors de la bataille suivi de ses deux gardes.Ils firent demi tour et replongérent dans la masse prit entre le fer et le bouclier, le marteau et l'enclume entre la pioche et la pierre, entre l'honneur et le devoir.

Le chevalier solitaire regardai soudain vers Minas Tirith.Une lumiére vive s'éleva du haut de la cité dans un petit côté que celui ci n'avait jamais été de ce côté mais il savait quel était ce lieu.

De Rath Dinen, il entendit une clameur vive déchirante et si belle.La vie quittait un être incomparable.Un aigle prit son envol et fila vers l'ouest par les montagnes Blanches.Il reconnu ce bel aigl qui avait amené un jour un message de l'ami de Forlong qui l'avait un jour invité chez lui.

Le grand mage Mithrandir venait de mourir et avec lui mourrait un savoir sans équivalent.
Nul ne pouvait ignorer ce personne pas vraiment être humain.

Gebir replonga son regard dans la bataille.La bataille allait se finir.De tout coté les chevaliers bloquaient les haradhrims.

Il fonça chargeant dans les rangs suivis de certains chevaliers qui se ralliaient à la baniére du cygne.


Mort ou gloire.
Il repensait à cette phrase devenu magique et qui lui redonnait courage.Le prince l'avait connu cette gloire dans la mort.

Tout pouvait finir pour Gebir.Il n'avait plus de but fixe.Seulement se venger.

Hasharin avait chevauché au côtés de Forlong, ils arriverent au champs de batailles. Ils s'approchait du Roy du Gondor et partirent a l'asault, Hasharin avait sortit son arc, il etait le seul de la compagnie a avoir le droit de l'utiliser car il n'etait pas un noble chevalier de Dol Amroth mais un sombre assassin Haradrims. Hasharin joignit son cri de rage a celui des chevaliers et engegerent le combat.
- POUR LE GONDOR ET POUR LA CITE DU CIGNE. HONNEUR A NOTRE PRINCE!!!!!!![/b]Cria Hasharin.

Juste avant de percutez les lignes il lui vint une pensée stupide mais vrai, * un des mes ancestres est mort ici en attaquant le Gondor, aujourd(hui je vais surement mourrir ici en sauvant le gondor...* MAis sa pensée fut arrété avant de toucher les lignes enemies il avait 3 HAradrims avec son arc, et avait degainné son katana dans une main et la lance dans une autre. Sa lance vola en direction d'un porte banniere et vint se planter, le pauvre homme mourut et la banniere sombra dans le chaos ed la bataille. A ce moment une vive lumiere blanche en provenance attira l'attention de l'assassin, c'etait Mithrandir qui venait de mourrir. *c'etait un grand homme* Il se mit encore plus en colere, et fracassait ses enemies. Umbre avait arreté un trait qui aurait probablement tué l'assassin. Hasharin sauta de cheval, celui-ci s'eloigna du champ de bataille, Hasharin coupa un bras, enfonca son sabre dans un guerrier entouré de lourd vetement du desert sans aucune armure. l'enjeu de la bataille etait simple, Son honneur ou sa mort glorieuse. Hasharin cria:
[b]-HONNEUR ET GLOIRE.
et fonca de plus belles dans la mélée.

Une charge magnifique du Gondor et de Dol Amroth.
Cote a cote, les cavaliers de l'Arbre Blanc et ceux du Cygne Blanc ravageaient les ennemis par dizaines.
Les Haradrims n'avaient pas encore entierement abandonne le combat, cependant ils n'etaient pas suffisamment organises pour creer une formation capable de resister a la charge.

Quelques fleches aleatoires volerent a cote de la tete de Forlong, cependant aucune ne le toucha.
Cote a cote avec Gebir et Gauvin, le Seigneur de Dol Amroth ravageait ses ennemis; Lunerill brillait d'une flamme bleue, coupant chair et acier.

Un groupe d'haradrims etait encore assemble autour de leur banniere, le Serpent Rouge sur un fond noir.
Forlong tourna son etalon dans cette direction, ses compagnons le suivirent.

Il se trouvait plus qu'a quelques metres, il leva son epee...

Soudain, une douleur soudaine sur la cote gauche, une des haradrims le frappa avec une pique.

Malgre la douleur, Forlong continua sa charge, trois ennemis perirent sous les coups de son epee, deux autres sous les sabots de son cheval.

L'ennemi tenant la banniere etait le seul haradrim a cheval dans les alentours.
En voyant le Seigneur de Dol Amroth blesse et sans armure, il charga sur lui.

Les deux cavaliers se rencontrerent, l'acier frappa l'acier.
L'etalon du Rohan de Forlong attaqua le cheval haradrim, plus petit.

Ceci empecha l'haradrim de frapper avec son sabre, et permit a Forlong de lui enfoncer Lunerill dans la poitrine.
Cependant, l'adversaire n'abandonna pas. Il frappa sur le torse du Seigneur avec son cimetiere, en coupant la chemise et la peau.

Forlong atrappa l'etendard ennemi en main, puis sombra dans l'inconscience, miraculeusement sans tomber de son cheval.

Radamanthe l'Intendant avait presque rattaché sa hache à sa ceinture tant ses ennemis étaient en déroute, apeurés, désordonnés et marqué par l'incompréhension de quelque chose que, lui-même, il devait l'avouer n'arrivait pas à saisir.

Et donc, alors qu'il se contentait, dressé sur les étriers de son étalon, de regarder le déroulement de la bataille, tenant sa hache très négligeamment alors que des Haradrims en déroute étaient distants d'à peine quelques mètres, il ne jugea pas sa conduite particulièrement dangereuse pour lui.
Or soudain, une lame le frappa de plein fouet alors qu'il ne s'attendait à rien de ce genre. Il vida ses étriers et s'écrasa dans la poussière, une fois encore.

Péniblement, il se releva avant que son adversaire opportun n'eût le temps de lui porter un nouveau coup. Il l'identifia rapidemment comme étant ce grand homme qui avait réussi à se traîner jusque là et à le prendre en traître, alors qu'il ne lui restait qu'un bras valide et qu'il boitait tout en crachant du sang.
Radamanthe sourit, malgré ses blessures. L'autre allait payer. Il n'était pas très charitable de s'attaquer à un des dirigeants de l'armée ennemie quand on est en déroute...

En quelques passes, l'affaire était réglée, Radmanthe ayant pu profiter habillement des désavantages de son ennemi, en bougeant constamment, non sans avoir tout de même reçu un mauvais coup à sa jambe, mal protégée.

"Tu es mort l'ami..."

Une tête roula sur le sol.

[Je vous invite à faire vos derniers faits d'armes, on clotûre demain.]

La faille est béante. Tu es finis.

La double-lame fendit l'air en quelques fractions de secondes, et percuta de plein fouet le colosse. Toute la rage difficilement contenue par le mercenaire sembla se libérer pour ce coup seul, et en cet instant, l'aura émanant du guerrier noir avait radicalement changée. Une gigantesque puissance, mais une impression écoeurante se dégageait de lui. Le coup trancha net le titan, et son buste fut séparé de ses jambes. L'incompréhension se lisait sur le visage sans vie du Suderon, et son camarade connu rapidement le même sort, ne pouvant résister aux assauts furieux de l'humain.
Une fois le combat terminé, le mercenaire se calma. Profitant d'un bref temps de répit, Balak se précipita sur le corps inanimé de l'elfe.

Toi! Tu es trop fort pour y passer!

Il prit l'ambassadeur sur son dos, avant de regarder une dernière fois derrière lui. Le Plus fort de ces haradrims ne serait pas sa proie, aujourd'hui. C'est ainsi que Balak et Sombre-Chêne quittèrent le champs de Bataille.