Une bien étrange bataille

Morgoth remarqua alors deux elfes combattre, il cracha au sol (sur un cadavre ennemi ^^) et jura contre eux assez fort pour qu'ils l'entendent n'étant pas loins, l'elfe noir rangea sa deuxieme lame et reprit Chrystamas à deux main, il regardait comment se déroulait la bataille, et le mauvais présentiment grandissait en lui...
Morgoth se demandait bien pourquoi mais il sentait la présence de numénoréens noir dans la bataille et cela le frustrait....

Eosfel fit descendre les chevaliers de leurs montures harassées par la fatigue.

Les cavaliers se degourdirent les jambes , affutant leurs armes certains même se posaient à même le sol.

Lui le Chevalier retira son plastron , il n'y aura plus de charges pour l'instant , les montures étaient trop fatiguées et par bonheur Eosfel n'avait plus revu les Griffes d'Amroth.
Le Baron marcha vers là droite où sois-disant un homme commandait.
Un commandant ? Non il n'y avait rien de tel , seulement un soldat en armure , un caporal en voyant ses symboles.

Le Chevalier rit sous cape , un commandant caporal des gardes c'était risible , la victoire était maintenant bien loin.

-Salutation , Eosfel Harkonnen je dirige les cavaliers du flanc Ouest.

Il fit un bref salut guerrier et ne se baissa même pas comme la coutume l'exigeait.

-Il parait que vous me donnez des ordres ?

Radamanthe aligna quelques passes d'armes avec un soldat du Harad qui avait bien du mal à l'atteindre avec sa courte épée recourbée, dominé par la hauteur de la silhouette de l'Intendant monté sur son cheval, surplonbant la première ligne de fantassins.
Au bout de quelques échanges timides, il trouva l'ouverture et, profitant d'un mouvement trop large de son opposant direct, lui abattit sa lourde hache sur la tête.
Avant que quiconque d'autres ne puisse prendre sa place, il fit faire quelques pas en arrière à sa monture, poussant quelques cris d'encouragement.

Ainsi rétiré dans les troisièmes rangs, il jeta à nouveau un regard circulaire sur tout ce qu'il pouvait voir sur le champ de bataille.
il jugea que le moment était venu de relâcher la pression sur les guerriers du sud. De leur laisser une occasion de réagir, de les inciter à l'utiliser, mais tout en sachant qu'il était prêt de l'autre côté. Il estimait que c'était préférable à voir cela arriver maintenant que se faire prendre par surprise à un moment où il ne s'y attendait pas.
Ainsi il fit quelques signes au hérauts et lieutenants.

"Sonnez la retraite des chevaliers, envoyez une nouvelle salve !"

Ainsi ceux qui harcelaient les flancs se replièrent pour rester à portée, profitant d'un moment de répit, pour eux aussi.
Une volée de flèches dans la masse de réserve ennemie en fit tomber plus d'un.

Et l'Intendant avait vu juste.

A peine la situation se décoinça t-elle que quelques ordres retentirent dans cette langue que peu comprenaient.
Aussitôt, les rangs s'écartèrent pour laisser passer de grands hommes portant des foulards et écharpes rouges et noirs, et qui maniaient deux lourds cimeterres. Ils se battaient avec rage et ouvraient les rangs en causant des pertes sévères.
Etrangement, les hommes en bleu tentaient de suivre leur sillage, sans pour autant combattre.

Radamanthe faillit renvoyer les cavaliers, mais il se ravisa et décida d'attendre un peu. Il comptait quelque peu sur des exploits individuels pour éradiquer ces étranges combattants.

Ils partaient tous. Tous se rangeaient convenablement, derrière une ligne de bouclier faussement protectrice.

Comme on leur a appris dans leur pitoyable écoles militaires...

Le mercenaire pesta contre tous ces simagrés et pitreries guerières. Il vit Millindë, Hobasian, ainsi que plusieurs autres elfes les entourant, se débattre tant que possible pour conserver ce mur inutile.

Ahuris...qu'y a-t-il de plus magnifique qu'une vraie mêlée ? tous ces corps violents, se percutant avec toutes la haine dont l'homme est capable? Tenir une ligne...cloportres couards...

Mais malgré ses protestations, l'hallali phénoménale dont rêvait Balak n'était pas encore arrivée. Pour l'heure, ce n'était qu'une bataille de position. Les armées gagnaient ou cédaient du terrain à leur adversaire. Contraint de suivre le mouvement général pour ne pas se faire débordé, il se replia derrière les lignes gondoriennes.

je dois rejoindre les membres de la guilde. Ils foutent un sacré boxon avec leur magie ! autant se joindre à eux pour marquer les esprtis de chiens du sud !

Et alors qu'il s'aprêtait à rejoindre ses compagnons, il s'arrêta brusquement.

Plus rien d'autre n'avait d'importance. Ni les fureurs des combats, ni le bruit assoudissant des bouclier ou les râles des soldats vaincus. Balak se sentit seul. Seul devant cette puissance gigantesque, cette pression phénoménale qui émanait de la troupe.

Il se remmémora les paroles de Silka Sorge, son mentor :

"Tu as acquis un niveau suffisant pour évaluer grossièrement la force de celui qui se tiens en face de toi. mais prends garde, si tu es mal préparé est que l'adversaire est fort, tu te sentiras..."

Ecrasé !

Et à cet instant précis, il y eut quelqu'un ou quelque chose, qui fit trembler Balak le sombre, mercenaire sanguinaire et maître des "Ombres Du Destin".

-Merde ! Tempesta le soldat , qu'est-ce que c'était que ça ?
Des géants ? Des troll ?
Non , ça n'avait pas l'air Humain...autant que l'on puisse considèrer un troll comme humain.

Eosfel rejoigna vite son régiment , l'écume aux lèvres il balbutia quelques paroles au porte-etendard qui semblait térrifié au vue de ces combattants d'outre-tombe.
Il se mit en selle , grimaçant cela faisait si longtemps qu'ils chevauchaient et son bras lui faisait un mal de chien.

Néanmoins la fureur et la peur se melangeait dans le baron , il était anxieu mais il voulait en découdre avec ses curieux adversaire.

C'est ainsi que pour la première fois de sa vie , Eosfel Harkonnen attendit patiement un ordre.

Sombre-chêne, profitant d'une ouverture dans la gardes de son adversaire, l'agrandit d'un revers d'une des ses dagues et plongea dans l'ouverture pour tuer le haradrim qui succomba sur le coup. Au même instant, l'intensité du combat diminua. L'elfe profita de ce répit pour remettre ses deux lames dans leur fourreaux et rejoignit les positions serrées des soldats du Gondor. Une poignée de secondes plus tard, des hommes plus grand que la plupart de leur congénères sortirent des rangs et levèrent au-dessus de leur têtes leurs lourds cimeterres en criant à la mort de leurs adversaires. Puis ils avancèrent, semant sur leurs passage mort et douleur. Les hommes du Gondor rajustèrent leurs prises sur leurs armes, prêts à recevoir la charge.

Quelques instants avant que les géants n'entrent en contact avec les défenseurs, Sombre-chêne sortit des rangs en daigainant Gelmirnoth et se plaça devant l'un des assaillants. L'elfe leva sa lame en quinte pour parer l'attaque de son adversaire. Les deux cimeterres frappèrent la lame de l'ambassadeur avec tellement de force que celui-ci fut obligé de se dérober pour que sa tête quitte la trajectoire meurtière des épées.

Ailleurs, la charge avait été arrêtée tant bien que mal et les féroces guerriers ne pouvaient plus compter que sur leur habilité.

Le Haradrim en face de Sombre-chêne le regarda avec haine et laissa échapper un rire sans joie à peine audible. Puis il attaqua à nouveau, cette fois en croisant ses lames. L'elfedévia les épées vers le sol et riposta au visage, et s'il ne put faire le moidre mal à guerrier, le foulard vermeille s'était libéré et laissait voir un visage constellé de cicatrices. Le Haradrim, prenant consciance de l'habilité de son adversaire, se remit en garde plus prudemment. Les duellistes se tournèrent autour quelques instants, puis ce fut l'elfe qui prit l'initiative. Il tendit son bars vers les jambes du géant et au dernier moment, remonta sa lame vers sa cage thoracique. Une longue estafilade rouge apparut.

S'ensuivit un long échange de passes d'armes ou personne ne réussit à prendre l'avantage. Mais le guerrier réussit néanmoins à prendre l'avantage et envoya un direct dans le visage de Sombre-chêne. La coquille de l'épée toucha violemment la front de l'elfe qui tomba sur le dos. Il resta par terre un moment, et alors que son adversaire s'apprcochait pour l'achever, sortit d'un mouvement fluide ses dagues. Le Haradrim, étonné, tenta désespérément d'éviter le premier coup droit de l'ambassadeur. Il y parvint de justesse, mais ne vit pas la secondes attaque arriver et poussa un cri de colère lorsqu'il contempla sa main gauche qui gisait par terre.

Rageant, il se lança de toute ses force sur ce pitoyable elfe qui venait de l'humilier. L'interressé évita la charge sans difficulté et profita de l'avantage que lui offrait ses armes doubles. Le géant se défendit, parant attaque sur attaque, mais était dominé. Sa lame bloqua une dague et alors qu'il se remettait en garde, prêt à parer le coup de l'autre, la première continua son chemin jusqu'à la poitrine.

Le géant mourrut ainsi, comme il l'avait sans doute espérer: dans la bataille.

Morgoth aperçu allors les semi-trolls de l'extreme harad, les même que ceux de Khand!!
L'elfe noir eut un sourire, fit un acoup de voix faisant une onde de choc sonore qqui gena encore une fois les personnes autours de lui, puis il chargea un groupe de semi-troll en hurlant :
-CHRYYYYYYSTAMAAAAAAAAAAAAAS

L'elfe noir térrassa deux semi-troll mais eux ripostèrent et malgré l'armure d'argent véritable de dédain il fut projeté dans les gondoriens...

Hum, les grands gars restent des humains, pas de semis-trolls.
Rada'

Laurelin avait utilisé le Quenya pour appeler l' elfe qui fit volte face instantanément, il le pris par le bras et ils reculèrent de quelques pas. Ce n' était pas le moment de se perdre en formule de politesse et l' elfe eut juste le temps d' inviter Laurelin à rester à ses côtés.
La ligne de bouclier qui se trouvait devant eux ne résisterait plus longtemps. La défense acharnée des mercenaires suffisait tout juste à contenir le nombre.
Soudain, deux d' entre eux tombèrent sous les coups de cimeterre des assaillants.
Les deux elfes accoururent pour colmater la brèche mais c' était trop tard,
.Sous le nombre, La ligne fut déséquilibrée et la brêche se transforma en trou béant ou s' engouffrèrent un grand nombre d' opposants.
Laurelin failli être pris de court mais sa vivacité lui permis d ' évité de justesse une lame courbe qui failli le décapiter. Il répliqua en tranchant d' un coup net le bras qui la maniait.
Se retournant, il aperçut l' elfe en mauvaise posture au prise avec deux adversaires. Il tenta de lui venir en aide mais sa course fut freinée par l' arrivée de deux nouveaux ennemis.
Laurelin fit tournoyer Estelië et frappa l' un deux en pleine poitrine puis retira son épée promptement pour parer l' attaque du second. Il fut tout de même déstabilisé par la puissance du coup et en reculant, son pied heurta un cadavre qui gisaient là. Il chancela et tomba en arrière sur le sol. Son agresseur leva alors son épée pour lui assener le coup fatal mais une fleche décochée de nulle part siffla avant de se figer dans son oeil droit. Il lacha son arme en hurlant et s' enfui en titubant.
- Le destin est avec moi, pensa Laurelin.
Il se releva et fini par arriver près de l' elfe qui s' était défait d' un de ses ennemis mais déjà trois autres approchaient ...
Laurelin et son nouveau compagnon combattirent sans relâche et vinrent à bout d' un nombre incalculable d' assaillant.
A leurs cotés, les mercenaires, bien qu' ayant subit de grosses pertes parvenaient à tenir leur position et à contenir l' avancée des haradrims.
Mais alors que l' espoir semblait revenir, l' elfe cria en pointant son index vers l' avant. Tous regardèrent dans la direction indiquée et la stupeur figea les regards.
De nouveaux ennemis s' invitaient à la fête. Des géants sans aucun doute, colosses redoutables et cruels et ils étaient en nombre
Le combat risque de vite devenir inégal, cria Laurelin, nous ne sommes plus assez nombreux ici pour venir à bout de ces mastodontes !!

Sobre-chêne recula pour faire face à un autre Hommes du sud. Alors que ce dernier achevait avec rage un Gondoriens dont l'armure fut fracassée par un des gigantesques cimeterres. Alors qu'il relevait ses deux armes pour frapper un autre adversaire, deux dagues vinrent arrêter ses lames. Il regarda stupéfait l'elfe qui venait de l'empêcher de tuer et para de justesse le coup peu puissant mais précis de son adversaire.

L'elfe relança son attaque, opposant sa vitesse à la force brute du géant. Quelques échanges furent éxécutés, puis les deux lames du Haradrim fendirent l'air de bas en haut et frent déviées par celles de Sombre-chêne qui tourna sur lui même en avançant. Son mouvement fut accompagné d'une attaque au bras dans lequel s'ouvrit une profonde plaie. Le mastodonte, fulminant, projeta le cimetterre qu'il tenait dans sa main gauche contre la taille exposée de l'elfe qui vacilla sous la puissance du coup, même sous ses protections de mithril. Le géant profita de son avantage fit décrire à son autre arme un large arc de cercle qui avait comme fin le cou nu de l'ambassadeur. Celui-ci tenta désespérément de placer ses deux dagues pour éviter le coup, mais la protection était bien mince. Au dernier moment, Sombre-chêne se baissa et plongea sous les épées de son adversaire, ses dagues devant lui. Ces denières déchirèrent la peau bronzée du Suderon au niveau de l'abdomen.



Au même moment, de l'autre côté de la bataille, trois lames s'entrechoquaient. Eleriol riposta mais un des cimeterres du géant para la lame courbe quelques centimètres à côté de son visage. Cela faisait déjà plusiurs minutes que les épées se croisaient, puis se quittaient pour se retouver un instant plus tard. Personne ne semblait prendre l'avantage pour l'instant. Mais un coup plus puissant que les autres obligea l'elfe à reculer et il dut rompre à nouveau lorsqu'une attaque identique s'abattit sur sa lame. L'immense Haradrim était entré dans une rage meurtrière que rien ne semblait pouvoir arrêter. Eleriol parait attaque sur attasue sans jamais avoir l'occasion de riposter, et son bras commençait à faiblir. Le Suderon s'arrêta un moment pour contempler son adversaire qui tremblait presque, puis releva ses épée et assena le coup de grâce. Eleriol, heureusement pour lui, en reculant glissa sur la terre imbibé de sang et évita ainsi les lames. Mais celles-ci n'allaient pas tarder à frapper à nouveau. L'elfe prit appui sur un cadavre et d'un mouvement ample de la jambe tenta de balayer son adversaire qui ne tomba pas mais perdit son équilibre. Eleriol profita de cet avantage et d'un coup de taille trancha la jambe droite du géant qui s'effondra. Il n'avait pas touché le sol que la lame courbe de l'elfe s'enfonça dans sa gorge.

l'ancien ranger recula et se plaça derrière la ligne défensive et, tout en reprnant son souffle, traversa le champ de bataille.

Morgoth se releva encore sonner au moment ou l'un des géant aller le frappé, l'épée de celui ci alla tout droit dans le plastron de l'elfe, mais s'ébrécha contre l'armure.
Morgoth vis son épée a quelques centimetres de ses doigts qu'ils tenda un peu et roula sur le coté au moment d'une deuxieme frappe adverse, il reprit l'épée fit un bond de coter le permettant de se relever et de frapper son adversaire au torse le tranchant litteralement en deux.
L'elfe noir regarda son épée presque avec inquiétude, mais se repris avec un sourire presque mordbide.
Il tenta une refrappe mais le lourdeau d'aprés ésquiva celle ci...chance ou téchnique? Morgoth s'en fichait bien il reffrapa cette foi ci en arc de cercle horizontal et ne toucha pas que le géant...malheureusement un allié se trouvait là et l'elfe tomba... Morgoth le regarda un instant et s'en voulus sur le moment, il n'aimait pas les elfes, mais de la à les tués...
Cette déconcentration fut assez longue pour qu'un haradrim metent un coup de masse dans l'arrière de la tête presque sur la nuque non protégée, et assoma l'elfe noir quelque seconde.

L'elfe reprit conscience les Haradrims ne se souciait plus de lui, il en était entouré, mais voyait la ligne Gondorienne a quelques metres, comme quoi personne ne prennait le dessus, il se relevaavec un acoup et trancha un bras haradrim en même temps d'un coup d'épée, il sortit sa deuxieme et abbatit 3 autres haradrims, il recula vers la position allié le plus possible, les haradrims eux ne pouvaient combattre lui et les autres, se qui destabilisé le morceau de ligne ou il était, et réussi à regagner le Gondor. Son crâne lui faisait douleur, et le tournis le pris un peu.
Il chercha Milindë qui pourrait peut être le soigner un peu, il n'avait plus de rancune contre elle aprés tout elle n'y était pour rien dans son histoire et c'était la femme de son ami...

Qui était cet homme en noir, brandissant une étrange arme à deux épées ? Qui était ce guerrier, courbant l'échine et tremblant comme un lâche ?
Ces questions ne durèrent pas dans l'esprit du colosse Haradrim. Encore l'un de ces foutus couards, ces tas d'os et de fer plus fragile qu'une brindille. Aucun intérêt.
le mastodonte s'avança donc vers lui, sans se méfier outre mesure, brandissant sa terrible lame incurvée. Le temps fut comme suspendu. Il eut le temps d'apercevoir un éclat argenté, mais trop tard pour réagir efficacement. Sa main démesurée tomba au sol.
D'abord interloqué, puis fou de rage, l'homme géant frappa avec toute la haine dont il était capable cet étrange adversaire. mais lorsque son coup fut évité, il vit le regard du mercenaire. la bête de guerre plongea alors dans un abîme sans fin, vide, froid et sombre. il se sentit vidé de ses émotions, de ses sentiments primaires. Il n'avait pourtant fait que croiser les yeux de balak alors qu'il était plongé dans l'"Instant". La Double-lame pénétra violemment ses chairs, et le titan s'écroula lentement, mort.

Qui que tu sois...Quel que soit ta force

Balak se tourna vers les envahisseurs :

VIENS M'AFFRONTER, POURRITURE!

[ouah, ca tape vite… Je pensais pas que ce serait si rapide…. J’ai eut de la lecture…]

La formation de la flotte tenait bon…

Eaque entendait les ordres, tout en soutenant son camarade au premier rang. Le Capitaine donné ordre sur ordre pour que le régiment garde une allure…. Mais avec le bruit environnant, il devait le répéter quatre ou cinq fois…

La flotte était sur le flanc gauche… Une dizaine de compagnie entraîné à combattre sur mer… L’ennemi était déstabilisé… Il s’attendait à se battre contre des simples soldats du Gondor, et il avait une des plus vielle institution de la cité Blanche…

Eaque obéit à l’ordre de son supérieur :

« Pivot droit, quatre pas, 26. »

Pour l’infanterie, cela ne voulait rien dire, pour la flotte, la traduction était claire :

Le Pivot droit, un des soldats du mur, se devait de reculer de trois pas. Tous les soldats sur la ligne comptaient jusqu'à 26, et le 26eme ne bougeait pas, ce qui incurvait le mur sur le coté droit…

C’est ce qui se passa…

Eaque, qui était a coté du pivot, entendit celui situé a droite du pivot dire « 1 ». Le suivant dit « 2 », et ainsi de suite remontant vers le centre…

La deuxième manœuvre fut le fait d’encercler les ennemi, pris au piège contre le pivot, en faisant un marteau et une enclume…

Puis le mur de bouclier se brisa…


Les soldats se battaient dans tous les sens…

Il se protégea de son bouclier. Un coup rebondit dessus. Un de ses ami tua sous ses yeux un homme du Sud. Il en fut horrifier. Il n’avait jamais vu la mort. Il regarda de plus près, et vit que l’ennemi n’était que blessé. Son pouls redeviens normale. On ne mourrait pas au combats. Un mouvement de foule se fit. Eaque fut projeté contre un haradrim. Celui-ci trébuchas. Eaque se releva… Il chercha son épée. Elle n’était pas à porté de sa main. Il regarda autour de lui. Elle brillait dans le corps de l’haradrim. Il était mort de la main de Eaque…

Eaque avait tué un homme. C’était impossible. Et celui-ci ne se relèverai pas. Non. Tout devenait flou autour de lui. Le bruit du combat avait disparu. Il n’entait plus les cris.

Seul dans ses yeux revenait ce rêve qu’il faisait depuis deux semaine. Il dénommerait cela plus un cauchemar qu’autre chose. C’était une sorte de bataille, mais tout était flou. Il voyait des lèvres bouger, il voyait des épées, mais pas de bruit de combats. Ca se terminé toujours par la mort de ce guerrier qui se battait seul avec sa hache, qui paraissait si noble. Mais il ne pouvait voir le visage de cet homme.

Puis il revit devant lui, une épée venir vers lui. Il allait lui aussi mourir.

Non. Il ne pouvait partir comme cela.

Une épée se mit entre lui et le fer haradrim.

Son capitaine venait de le sauver. Il frappa l’étranger à la tête.

Puis il se retourna vers son sbire et cria sur Eaque. Mais lui n’entendait rien. Il revoyait le geste de son capitaine.

Et soudain, une lame traversa l’homme. Un capitaine destiné a de grande chose mourut en sauvant la vie d’un simple soldats qui se refusait à tuer un adversaire. Les dernières paroles de cet homme furent

« Va en enfer Eaque. Si tu veux pas te battre, part »

Une arme lui traversa le bras. Les marins se déplaçaient pour essayer de protéger le corps de leur capitaine et Eaque tomba au milieu d’eux.

Il était inconscient.

Radamanthe, un peu à l'écart fixait les combats avec un oeil critique, essayant de repérer les endroits où les nouveaux arrivants faisaient du dégat.
Il réfléchit un moment, faissant négligeamment passer sa hache d'une main à l'autre. Il se demandait s'il fallait faire intervenir les chevaliers à nouveaux maintenant. Cela pourrait le désavantager en cas de nouvelle surprise, mais il fallait se décider vite.
Il s'apprêta à lever le bras pour donner un ordre...

Mais ne le fit pas. Un bruit sourd détourna son attention. Les soldats de Gondor juste devant lui venaient de se faire écarter du chemin à coup de lourde épée bâtarde. Devant lui se tenait maintenant un des massifs haradrims aux doubles épées.
L'autre le fixa des ses yeux sombres, qui avaient l'air fort sinistre sur son visage couvert de peintures tribales.
Il n'attendit ni une ni deux et fondit sur l'ancien bourreau, qui parra comme il le pouvait.
Il ne pu riposter, et lors de là deuxième passe, bien qu'il ne fû pas blessé, il tomba de son cheval.

La scène lui rappelait quelque chose. Ce jour-là, le Sultan de Harad lui avait offert un combat loyal. Aujourd'hui ce n'était pas pareil. son dos le faisait souffrir... L'autre approchait.
Brusquement, il envoya valser sa hache dans le genoux de son ennemi. Ce dernier s'écroula au sol, Radamanthe, l'acheva au poignard.
Le combat contre Florandor avait été trop terrible pour en refai une image.

Qui était cet homme qui les provoquait ? Deux guerriers ensembles fondirent sur Balak, brandissant ainsi un total de quatres lames...Un peu d'aide peut-être ?

Des simples soldats se pressaient maintenant vers Milindë, voulant absolument la mettre hors combat. Il ne semblaient pas se soucier des dommages qu'ils pouvaient prendre. Elle serait bientôt débordée.

Soudain, un des hommes en bleu brandit haut un bbâton en poitant comme sil avait repéré quelque chose.
Ausitôt, tous ses semblables partirent en avant, et enflammèrent leurs armes, sortant également des petites fioles explosives.
La parralèle avec Balthazar était-il fait ?

Aussitôt, les simples haradrims agirent comme si c'était un signal. Ils foncèrent en avant, tailladant dans tous les sens avec leurs épées, insssouciants de ce qu'il pouvait leur arriver.

Morgoth avait réussi à reprendre ses ésprits, mais jne trouvait nullement Milindë. Au moment ou les haradrims lancèrent une clameur et chargèrent n'importe comment, il sentit le fameux malaise s'i,ntensifié, ce fut l'une des rare fois ou il eu vraiment peur...
Non....cette peur....il devait l'abbendonée, c'est elle qui faisait venir "LUI"...ne pas avoir peur...ne pas avoir peur...

-NE PAS FAIBLIR DEVANT L'ENNEMIIIIIII!!!!!

Morgoth vis son épée presque s'enflammée de sang, et il chargea alors les haradrims de ses deux épées, ils en fit tomber un grand nombre, et lui n'eu pratiquement rien, comme si ceux là ne lui voulait pas la mort.
Le pressentiment s'intensifia presque assez pour faire fléchir la volonté de l'elfe noir qui continuait à faire tomber les Haradrims dans sa rage absolue et terrible, mais quand il se rendit compte qu'il était entouré par les ennemis, sa volonté chuta d'un coup, comme un marteau sur la tête d'un clou, enfoncant se petit clou dans la masse de bois ou il devait rsté presque jusqu'à corrosion...
Morgoth se sentait petit face à temps de monde autours de lui qui semblait à peine se soucié de lui...
Les yeux grand ouvert il vit l'homme en bleu... un mage il en était sur! il se prépara mentalement à résisté, sa volonté était assez puissante pour cela...Il ne se soucierait plus des autres...

Le Roy s'était fait discret lors de la charge des hommes du sud mais non sans prouver une nouvelle fois ses capacités martiales; il combattait aux côtés de ses chevaliers sur le front central, constituant un noyau solide où les soldats en détresse pourraient se rallier.

Un. Deux. Trois coups. L'homme, les boyaux à l'air jeta un regard perplexe au Roi de Gondor avant de goûter à l'herbe des Champs du Pelennor. Le suivant ne vécu quer quelques secondes de plus que son compère, avant que lui-même ne s'écroule et alimente le sol de son sang. Anduril brillait de milles éclats, et peu d'ennemis n'osaient se porter en duel contre son porteur, prennant sans doute conscience que c'était voué à l'échec, à la mort. Son regard pétillait alors que le soleil descendait dans le ciel, au loin.
Les mourrants, et il y en avait un nombre conséquent, ne verraient sans doute pas le lendemlain matin. En attendant, aucune de deux armée ne parvenait à réellement prendre l'avantage, les corps tombant comme des feuilles un soir d'automne, les uns sur les autres.. Le Pelennor était rouge de sang..

Eux...ce ne sont...non,ils ne sont pas la source...mais ça risque de devenir difficile.

Quatre lames. Deux esquives. Une parade, douloureuse, mais sans réelles conséquences. la dernière parvint à trancher la chair. une traînée rouge humidifia la tunique de Balak. Sans sa cotte de maille, il était bien plus exposé aux coups ennemis. Se replacer. Abolir le doute. frapper avec précision. La première lame fut paré, mais d'un long mouvement rotatif, Balak se servit de la force du coup de son ennemi pour la reconvertir à son avantage. mais le second guerrier parvint à bloquer la deuxième épée.

Dangereux...bonne synchronisation...Utiliser la deuxième forme ?

Pour la première fois depuis le début du combat, Balak hésita. Si il se servait de la forme aboutie de l'Instant, il ne pourrait plus s'en servir contre une menace plus importante. Et cette menace était réelle, il en était certain. D'un autre côté, sans lui, il n'était pas sûr de vaincre.

Se replier...seul, je suis trop faible.

D'un appui violent sur le pied, le mercenaire bondit en arrière, et fit quelques pas rapides afin de se placer près d'un guerrier de talent. C'était le soldat elfe qu'il avait cotoyé au début de la bataille.

Petit...je vais avoir besoin d'un coup de main...

La ligne de bouclier avait quasiment cédée et les haradrims s'engouffraient sans problème dans les 2emes lignes d'infanterie du gondor.

Pendant ce temps , les deux elfes combattaient vaillamment et Aërinhion fût entaillé au niveau de la hanche . Les deux elfes se sentant submergés decidèrent de se mettre dos à dos et de balayer le plus possible d'ennemi en reculant petit à petit .
Aërinhion fut surpris par la combativité de l'elfe , il se disait :
"pour un noble , il combat comme si il avait participé a maintes batailles"

Soudain , un bruit assourdissant jaillit au coeur de la bataille , le sol se mit à trembler , les haradrims semblaient eux aussi ne plus penser à la bataille ...

Sombre-chêne avait à nouveau rengainé ses dagues et sortit sa longue épée du fourreau. Gelimrnoth brillait du sang qui avait quitté peu de temps avant la chair des Hommes du Sud. Le sang perlait le long de la lame et les gouttes s'écraisaient sur le sol, ajout infime sur toute la quantité qui s'était déjà déversée sur l'herbe retournée. Parfois un mauvaise appui faisait glisser l'elfe qui se relevait tant bien que mal.

Tout à coup, sans que l'ambassadeur s'y attende, une lame glissa entre le protège-bras et la cotte en mithril et entailla l'épaule d'un bon centimètre. Sombre-chêne serra les dents sous la douleur heureusement supportable et se retourna pour attaquer son adversaire qui para sans mal et d'un coup de pied fit basculer l'elfe qui tomba par terre, son épée trop loin pour être rattrapée. Le Haradrim leva son arme et s'apprêta à tuer le blessé, mais une lame dépassant de son abdomen l'en empêcha. Il s'écroula et laissa voir Eleriol, sa lame courbe à la main.

Sombre-chêne sourit et prit la main que lui proposait son parrain et saisit son épée. Ils se regardèrent quelques instants, sans parler, puis se mirent dos à dos et continuèrent le combat ensemble, l'un parant, l'autre profitant de l'ouvertur pour tuer. Ils formaient un duo meurtrier et silencieux. Puis, tout à coup, les armes des Haradrims s'enflamèrent. Les deux elfes s'arrêtèrent, stupéfaits, et lorsque les envahisseurs relancèrent une charge, leurs cimeterres tournoyant au-dessus de leur tête dans une danse frénétique de lumière, ils se mirent face à eux et attendirent. Le choc arriva et le feu fit son oeuvre. Des étincelles jaillissaient lorsque les lames s'entrechoquaient. malgré sa violence, le spectacle devait être magnifique. Se mêlant aux cris, des explosions retentirent, exterminant, tous les hommes sans distinction.

Le paroxisme de la bataille était sans doute atteint.

La bataille battait son plein et Milindë ne bvoyait plus qu'une mer d'ennemi qu'elle devait contenir de son mieux... mais elle serait débordé tôt ou tard... Elle chercha du regard Balak, Hobasian Erwoyn et Morgoth, elle les vit tous, tous sauf un... Où était donc passé Hobasian ? Cette minute d'innatention lui vallu d'être jetée au sol par un des geants, elle se releva d'un bond et enflamma la chaire de son ennemi, le feu vivace réduit celui-ci en un tas de cendres qui fut dispersé par les mouvements de la bataille... Elle vit les ennemis enflammer leurs armes et tenir des fioles en mains, elle les regarda alors étrangement un air semi-étonné sur le visage, et les fioles des ennemis les plus proches eclatèrent deversant sur eux les flammes que Balathazar avait utilisé... Ainsi le piège de l'ennemi se retournait contre lui-même... De nombreux Haradrims se tordèrent en tout sens dévoré par leurs propres flammes... Milindë vit alors que jamais elle ne pourrait contenir seule ses ennemis et qu'elle était dans une situationnde plus en plus critique... Quelques Gondoriens l'atteignirent pour l'aider à lutter...

"Merci de votre aide, reculons pour être plus proche du mur de bouclier..."

Mais là alors qu'ils reculaient l'un des Gondoriens lui dit...

"Vous êtes une Elfe, vous avez certainement des aptitudes au soin... laissez donc votre épée, il y a de graves blessés en arrière que personne n'a le temps de soigner... Votre magie est fort utile, mais elle peut l'être ici et sauver la vie de ce qui peuvent l'être..."

Milindë acquiesca et ils retournèrent en arrière... au passage elle héla ses amis leur demandant de se rapprocher du mur de bouclier...Elle repassa derrière et elle fut menée aux blessés... Là en un coup d'oeil elle repéra le père de Mithrandir, dans un état grave mais pouvant encore être sauvé...Elle sortit de l'une des poches qui pendaient à ses vetements devenu lambeaux des plantes medicinales.. Elle forca Hobasian a les avaler et commença a réciter des mots en Sindarin et en Quenya... Priant Varda de l'épargner... Lorsqu'elle vit qu'Hobasian qui a première vue semblait avoir été percé de part en part n'était en vérité que percé d'un côté, elle fut soulagée car au vue de la marre de sang elle avait craint pire... Elle appliqua donc tout son savoir à le mettre hors de danger, provisoirement du moins et partie s'afferrer à d'autres...

Le Chevalier fulmina.
Il avait perdu la trace de l'Intendant et pire encore celle de son Roy , c'était catastrophique de rester là a regarder les êtres chers à ses yeux se faire démonter par des monstres assoifés de sang.
Sans plus attendre il fit dégaina son épée et se tourna vers ses cavaliers.

-Restez là en reserve , faites bien attention a mon signal et surtout , surtout suivez l'étendard du roi et MON étendard...

Il fit un clin d'oeil au soldat qui tenait le drapeau , puis il chargea dans la foule , seul comme a son habitude.
L'impact fut plus violent qu'il l'avait prédit , son cheval faillit se casser deux pattes.
Eosfel fit face a un géant , le guerrier avait l'air plus humain vu de si prés , mais il faisait pourtant la taille du grand chevalier hissé sur son cheval.
L'haradrim ne mit pas longtemps à choisir sa cible , il chargea et le sang gicla...

Son cheval , la tête en moins tomba , faisant chuter aussi son cavalier qui pourtant tenta de se redresser mais le poid de son défunt destrier s'abatit sur les jambes d'Eosfel.

Ainsi il était à sa merci , l'homme se voyait déja mort. Un javelot fondit dans l'air et s'écrasa contre l'épaule du grand guerrier qui levait son cimetière déléctant la mort d'une proie prise au piège.
Un javelot ? C'était un cavalier , l'homme n'écoutant que son courage avait chargé à la suite de son capitaine...étrange comportement , néanmoins il lui avait sauvé la vie.
Eosfel tenta en comprimant ses poumons et en se tortillant comme un ver , de s'extraire de son piège animal , et de temps en temps il jetait un coup d'oeil au combat de son sauveur...qui hélas avait finit dans une marre de sang , non sans blesser gravement son agresseur.

Le Chevalier aprés deux minutes d'efforts sortit ses jambes ankylosées , impossible de se relever maintenant , alors il fit le mort , scrutant de temps à autre les combats gondoriens tout en se massant ses cuisses meurtris.

Le combat semblait bien mal parti...

L'Intendant se releva péniblement, l'armure couverte de la poussière du sol et du sang des morts. Il regarda autour de lui, les soldats avaient refermé la brèche et tenaient bon.
Mais il était seul, au milieu de la mêlée, à pied, sa monture s'étant enfuie au loin, étant peut-être même morte actuellement. Il ne pouvait se faire voir ni entendre, et pourtant il avait grand besoin de donner quelques ordres vu la tournure des choses.

Soudain, un visage familier apparut devant lui. Amos de Godillon, une balafre ornant à présent sa joue, tenait dans sa main un cheval frais et libre.
L'Intendant balbutia quelques mots de remerciement, s'efforçant de recracher le sang qui avait envahis sa bouche après être tombé lourdement sur le sol.
Il leva alors le bras, comme pour donner un ordre...

..et rien ne l'interrompit.

"Cavaliers, charge !"

Une volée de flèches les précédèrent, et les cavaliers chargèrent.


Balak était toujours prit à partit, on était sans nouvelles du groupe mêné par le chevalier Eosfel la tête brûlée et la magicienne quittait à présent le combat...

Mais voilà Morgoth à force de s'avancer commençait à être pris dans la masse de guerriers, coupé de toute aide, et les hommes en bleu se mirent à viser Van Estecar de façon à ce que leurs projectiles explosent diectement.

Soudain, l'un d'eux cria :

- Là !!