Etablissement des gens de Brethil

Sur la rive ouest de Pélagir est installé un campemnt important bien organisé où on rencontre nombres de chevaliers qui aide à la construction de navires et autres petits boulots de Pélagir.

C'est le peuple de Brethil, une fois encore en exil.
On ne voit pas de chefs, parfois des hommes plus respectés que les autres.

Les abords de la fôret sont couverts de tentes et des feux.
De nombreuses familles sont installés là pour nombre mois à priori.

Un jour, ils éliraient vraiment résidence.

/HRP Post pour signalé le rassemblement de Brethil et qui permet aux chevaliers futuers et aux trois chevaliers actuels que poster ici HRP/

Le Dringalph était descendu du port d'Osgiliath pour s'arreter quelque temps à Pélagir où un conseil devait avoir lieu.

L'équipage composait par divers gens deDOl Amroth, de L'Anfalas et de quelques forestiers de Brethil.Avec eux revenait les cinq chevaliers de Brethil.
Ils se nommérent ainsi :Ajax, bon pour le cri de guerre, Diomede dompteur de chevaux, Ajax, a la main lourde, Thonin, l’ingénieux, Nestor le vieux, Ordile, le beau, et Sen, le fourbe.

Ils étaient ce qu'il restait des derniers chevaliers de Brethil et la maison de Morwen devrait former de nouveaux soldats.

Aprés que le navire fut amarré, nombreux descendirent et se dirigérent vers la foret où un campement plus ou moins temporaire avait été installé.


Rentrant dans une maison, nombreux furent les chevaliers de Dol Amroth qui avaient fui le nouveau Prince qui se vinrent tenir conseil.

Le sujet du jour fut longuement et largement examiné sous de nombreux plans et seul Thonin l'ingénieux et intelligent chevalier savait vraiment que faire.

Il en avait déjà parler avec Gebir sur le fait d'un assaut contre la cité serait térrible et qu'une bataille en rasa campagne serait pire.

Bientôt, tous furent d'accord sur le fait qu'ils ne pourraient pas reprendre la cité sans se défaire du félon.

La chance qu'avait le groupe était d'avoir parmi eux nombreux chevaliers connaissant parfaitement la cité sous tous ses angles dont un qui connaissait excatement les vaisseaux stationnés dans le port et ceux qui était dangereux.


Aprés des heures de délibération, il fut décider que certains, principalement des chevaliers du cygne repartiraient et tenteraient de rallier de nouveaux membres alors que d'autres dont Sen le fourbe et malin personnage iraient à la recherche d'informations capitales et même s'ils en avaient l'occasion de sabordage et de sabotage.

Il fut convenu également qu'on devrait sortir de la prison plusieurs chefs de Dol Amroth dont la plupart étaient des seigneurs influentsd dont le sénéchal en second.

Le plus gros probléme fut le sénat.Comment feraient ils en fin de compte si le sénat était avec le nouveau prince?

Un homme aux allures sauvages s'approchaient du camp où s'était rassemblés les gens de Brethil. Il portait une armure sale, cabossée qui avait sans aucun doute essuyé de nombreux combats sans que son propriétaire ne la répare. Sa monture, un destrier à la robe brune, présentait les même traits de caractère : la boue la souillait à de nombreux endroits, et ses sabots trainaient par terre tandis qu'une fumée blanche s'élevait de ses naseaux chaque fois qu'elle expirait bruyamment. Alors que le mysterieux chevalier s'arrêtait devant la porte de bois le regard toujours baissé, un soldat entrebailla un des battants et s'avança devant l'homme, immédiatement suivit de deux acolytes arcs à la main. Le premier pointa une lance longue de deux pas vers l'inconnu et lui dit d'une voix sèche :

"Qui êtes-vous? Que voulez-vous?"

Alors seulement le cavalier releva la tête et son visage apparut derrière ses cheuveux hirsutes.


"Je suis le chevalier Yrallyn, ancien seigneur du Val de Ringlos... J'étais parti, et je reviens pour aider."

Les gardes mit en place pour la sécurité avait reçu leur ordre.

Les chevaliers ne pensait pas être attaqu directement par le duc mais nul ne savait quels étaient ses plans.

C'est dons en tout bon forestier qu'il obéit aux directives.
Orwin abaissa sa lance et s'inclina courtoisement devant le seigneur.


Veuillez m'excuser mais vous comprenez surement.
Je vous prie d'accepter le gite et le couvert tant que vous servirez Dol Amroth et non ce duc traitre à son sang.

Vous avez dit ancien seigneur, cela veut il dire que le duc vous a prit votre domaine et vos titres.Si tel est le cas, vous avez de la chance car nombreux sont assassinés ou emprisonnés.


Fermez cette porte et vite, je reviens je le conduis au contremaitre du Dringalph, à Ulfred.

Orwin pressa le pas et arriva à une hutte assez grande où on parlait fort.

Le jeune forestier avait fait tout comme on lui avait apprit, il se devait d'être fier de son peuple.

Ulfred, voici un seigneur de Dol Amroth qui vient nous aider.

Nous aider, et comment comptez vous nous aider, vous croyez que nous préparons un attentat contre le prince.

Orwin ferma la porte sur une assemblée de femmes et d'hommes qui fixait le nouveau venu comme un nain chantant les louanges des étoiles et des arbres.

Le chevalier suivit le forestier à l'interieur de la pièce et ne s'offusqua nullement de l'acceuil peu chaleureux du dénommé Orwin. Il se contenta d'afficher un sourire triste et de répondre :

"Avant tout, laissez-moi me présenter : je suis Yrallyn, ancien seigneur du Val de Ringlos. En effet, le duc félon m'a pris mes terres, mais je ne suis en vie que par chance. En effet, j'étais en déplacement lorsque ces homme sont arrivés pour tout me prendre. Heureusement pour moi, j'ai réussi à leur échapper jusqu'à maintenant en vivant en vagabond dans la nature, tirant ma nourritur de la chasse ou des paysans encore fidèles au prince Berund, bien qu'il soit mort. Cooment est-ce que je compte vous aider? Voyez-vous, j'ai passé plusieurs mois coupé du monde, attrapant quelques informations par ci par là quand je surprenais par hasard des convesations. Dans ces conditions, comment pourrais-je savoir ce que vous plannifiez? Surtout que vous vous gardez bien d'en parler en dehors de ces murs. Alors je vous en prie, n'ayez pas l'indélicatesse de me demander comment je veux vous aider alors que vous savez très bien que je n'ai aucune idée de vos plans."

L'homme se croyait retourné au sénat où il adorait discourir et convaincre. Il commençait à exeller dans cet art, le préférant aux rudes batailles. Yrallyn continua :

"Je vous offre mon aide, n'ayez pas la stupidité de la refuser alors que sachez, me connaissant peut-être, que je vous serai utile. Maintenant, je vous en prie, traitez-moi en amis et confident, et non en ennemi."

Le chevalier, qui s'était avancé au milieu de la pièce durant son monolgue , se retourna vers Orwin te attendit sa réaction.

Ulfred se leva devant cet homme que nul ne connaissait vraiment, un chevalier de Dol Amroth blessé glissa deux mots au marin sur l'origine de cet homme et lui dit qu'il avait été fidéle à berund pendant le jugement du félon avant l'arrivée au pouvoir du fils de Berunda.

Comprenez qu'ils nous soient difficiles de faire confiance en un seigneur de Dol Amroth alors qu'une partie d'entre eux est au service du duc et que une partie s'est attaqué directement à le prince de Brethil.

Vueillez accepter notre hospitalité, nous verrons plus tard pour votre aide.

Yrallyn s'inclina et répondit :

Je ne saurai trop vous remercier. J'ai quitté ma solitude pour restaurer la grandeur du feu sieur Berund, je ferai donc tout mon possible pour vous aider.

Le chavalier salua à nouveau l'assemblée et sortit de la pièce à reculon. Il suivit son guide d'un pas trainant jusqu'au logement qu'on lui avait attribué, et une fois seul se lava et se rasa. Il se vêtit de vêtements neufs qui reposaient sur une chaise finement scultée et finalement posa sur ses épaules un épais manteau. Ainsi paré il ressortit, et après un instant d'hésitation se dirigea vers un groupe d'artisans qui construisait la charpente d'un bâtiment. Yrallyn leur ofrit son aide et passa ainsi le reste de la journée.

Le soir venu, il revint "chez lui" et s'allongea avec délice dans son lit. Le lendemain serait un autre jour où il disctuerait de s'on éventuelle utilité pour aider les gens de Brethil, derniers fidèles du Prince Berund.

Le lendemain, vint plus tôt qu'il ne l'aurai cru car un jeune homme vient le tirer de sa hutte et le conduisit en silence devant une porte.


Dignus est intrare. avait lancé une voix à l'intérieur quand le jouvenceau avait frappé à la porte de sa hutte du conseil.


La porte s'ouvrit devant quelques hommes tous vêtus en habits de voyage.
Ulfred se leva vétu tout de même hormis qu'il avait l'air d'un vieil marin


Seigneur Yrallyn, vous nous avez proposé de nous aider et il semble que ce jour de prouver votre valeur est arrivé.

Le Dringalph part aujourd'hui pour l'Anfalas pour recruter des hommes et pour aider ceux qui sont déjà à l'intérieur de Dol Amroth.

Notre forgeron s'est occupé de votre armure et vous a donné une lance tel qu'on en fait à Dol Amroth.Votre cheval vous attend à l'entrée du camp.
C'est à vous de décider quel chemin vous aller suivre.

D'un côté, il y a le Gondor et la fin de vos problèmes. De l'autre, votre vie d'avant, la vengeance et la fierté d'un ancien seigneur.

Ainsi, vas la vie.


Ulfred le fixait comme tout ceux qui ce trouver dans la pièce.Peu loin, on voyait un grand navire prêt à partir, son premier grand voyage et à ses côtés un autre, un symbole de Dol Amroth le Simol.

Le seigneur déchu regarda les membres de l'assemblée tour à tour, puis dit avec un calme destabilisant :

L'idée de partir en Gondor pour y vivre tranquillement en tenterait plus d'un, moi-même j'y pense et c'est ce que, au fond de moi, je désirerais. La paix. Mais, voyez-vous, cette paix serait gâchée par un sentiment de remord et de lâcheté : je serais parti en abandonnant les fidèles à Berund à une dure tâche. par conséquent, je préfère affronter des dangers à vos côtés pour avoir la conscience tranquille jusqu'à ma mort, même s'il arrivait plus tôt que prévu.

Court silence, puis, sur le ton de la conversation :

Et je vous remercie pour ce que vous avez fait pour moi, je ferai en sorte de vous rednre la pariel d'une manière ou d'une autre. Je suis donc prêt au départ.

Je vous remercie, seigneur car votre connaissance des terres et des gens des environs de Dol Amroth nous permettrons de recruter encore plus de troupes si cela est possible.

La ville de Pelagir nous assure des navires de guerre dans une moindre mesure mais cela ne sera qu'une diversion.

Une diversion qui permettra de tapper fort par derrière là où le félon ne nous attendra pas.


Tous montèrent dans le navire et le campement se faisait étrangement vide.


Le Dringalph partaient en mer droit vers l'Anfalas et les environs protégés par certaines criques.