Devant le Mal en personne.....pourtant un ami à sauver...

Eaque regarda.

Il ne supportait plus cette caverne, grotte, antre. Il voulait rentrer chez lui. Le froid lui frappé aussi bien le corps que l'esprit.

Voila pourquoi il avait fui. Il avait dut tuer des créatures du mal, aider à la mort d'humain, avait craint de plus voir son frère.

Et quand il avait réussit à passer outre le cercle de c'est créatures fantomatique, et qu'il avait vu la sortit, il avait pris les jambes a son coup. Pourquoi? Pour sauver sa vie, fuir la réalité. Essayer de se réveiller de ce rêves..

Il se rendait compte que c'était pas bien. Mais c'était pardonnable, il était scribe, et avait plus de chose que n'importe quel scribe. Tout comme Frodon avait vu plus de chose qu'aucun hobbit.

Et en soit Frodon, le grand héros n'avait pas hésiter à tenter de se débarrasser de l'anneau en le donnant a Argorn, Gandalf et Galadrielle.

Lui, Eaque, n'avait en soit fait qu'un replis stratégique... Voila comment il présenterai l'affaire.

Et son frère le soutiendrait.

Le cœur du scribe se raffermit. Il aurait les honneurs du au héros, et sa fuite sera raconté comme une grande stratégie menant les peuples libre vers la victoire. Il brandirait la bannière des hommes sur tout les front: Est, Ouest, Nord, Sud. Il serai nommé haut Roy d'Arda, et devant sa puissance, les Valar se plieraient.

Pour cela, il lui suffisait de prendre l'épée qu'il avait à sa ceinture, et de tuer le mage...

Il fit un pas...

Un deuxième.

Il passa à travers les ombres...

Il reçu un coup sur la nuque, tomba par terre et vomi...

Son frère était à ses cotés

« Qu’est-ce que tu fou ? »

Son esprit lui sembla vide... Ou était-il? Il avait l'impression de sortir d'un rêve. Il se souvenait avoir eut peur, et s'être enfui, mais de son retour dans la grotte... Rien...

Quelqu'un avait pris possession de son esprit...

Il eut très froid. Il eut peut. Non pas des ombres, il avait compris qu'il ne risquait rien... Mais il avait peur de l'inconnu. De ce qui pouvait arriver après ces araignées, ces chauves et ces ombres...

Amouth se nourrissait de la terreur d'un partie du groupe. Il y en avait un qui l'effrayait, ce mage qui était en train de lui faire perdre le Nord, le feu de son manteau d'ombre devenait presque incontrôlable... Il murmura une impréciation en noir parlé. le manteau sembla arrêter de bruler, le feu restait éclatant, mais il semblait ne pouvoir avancer plus haut...

Tu vois, humain, Ils s'enfuient tes courageux alliés... N'entends tu pas le vent qui tourne... Ne crains tu toujours pas MA puissance, Mage!Cesse ton chant de femmes en couches et bats-toi comme ce que tu es Valarihim...
Il cracha un glaire immonde,noir et purulent, il semblait s'en échapper des misasmes de corps en putréfaction. Amouth qui reprenait peu à peu le contrôle de lui-même pouvait presque entendre les renforts s'engouffrer en désorde dans la tour au-dessus d'eux, à la recherche du combat...
Lâche... Sage serait plus exact, Mortel! Il n'y a pas que les anneaux qui appelent leurs servants...
Cette fois on entendait distinctement un bruit de course dans les galeries. Amouth sentit l'attention du mage se détourne run peu, il parvint à circoncir les chants dans un coin de son esprit. Le passé serait à regretter plus tard.
Shite!!!!!!!!!! (Meurt en parlé de l'Est)
Amouth sembla disparaitre, il reparut le visage plaqué contre celui de Mithrandir... Son haleine empestait la mort...
Et maintenant qui va te sauver?

Amouth étrait pitoyable... tant de mérpis et de haine, c'était risible...

"Pourquoi s'enerver alors que le vent tourne comme vous le dites en votre faveur ? Peut-être parce que vous ne croyez pas vos dires ? Quand au chant d'on tu parle ce n'est guère un chant de femme en couche mais un chant de célébratuion à la lumière, à la plus belle chose qui soit... Varda... Tu ne devrais pas mépriser la Musique car si certains n'avaient pas chanté rien n'aurait existé ici, pas même toi..."

Je regardais le glaire immonde qui gisait au sol...

"Tu n'es que purulence sur patte... Ne sait-tu que parler et cracher ? Rien d'etonnant, tu n'a jamais été rien d'autre qu'une immonde bouche aux mots empoisonnés... Mais ton art étrange de la réthorique ne sert à rien contre moi... Je ne suis qu'un Mage qui semble mortel... Mais toi ? Qu'es-tu ? Une ruine, les vestiges d'un esprit maintenant décharné, incapable de reprendre consistance... Ne parle pas d'anneaux Amouth, leur ère est révolu, comme celle de ton mâitre, mais contemple ma main et vois cet anneau de feu... ne te rappele-t-il rien ? Narya peut-être ? Le pouvoir de Narya a disparu, mais cet anneau n'est qu'une réplique bien que je dois avoué que longtemps il m'a servi..."

Puis mon intention futr détournée et je vit devant moi de très près, trop près pour ne pas se sentir envahir par une forte envie de vomir la face d'Amouth

"Et maintenant qui va te sauver ?"
"Moi !"

Entendit-il et il n'eut pas le temps de se retourner avant de sentir une froide lame elfique se planter entre ses deux omoplates accompagnés de paroles en Valarin que prononça Milindë. Ces paroles eurent pour effet de rendre la blessure plus grave et d'intensifier la douleur... Les mots eux-même blessèrent Amouth...

"Ne sous-estime pas la force des femmes... Tu détiens un pouvoir illigitime... ta Sombre magie est impuissante face à celle des Elfes car tu as apprit auprès d'un corrompus et ces enseignements le sont aussi, ce qui les altère... Tu devrais craindre les Elfes et ne pas te laisser manipuler ainsi, voila que l'arroseur est arrosé... recule infâme immondice, chien de ce que fut Sauron, craint la lumière de Milindë Nóruitoniel ! Daro dûgh, nai i haru daga în !"

C'est là que Milindë revela pleinement sa nature, une femme Elfe aux terrifiant pouvoirs que les mortels auraient put qualifier de sorcière Elfe terrifiante... Amouth reculait, il avait perdu de sa superbe et les personnes qui avaient eu purent perdirent ce sentiment. Milindë eleva de nouveaux sa dague et celle-ci flamboya d'un foudroyant éclat alors qu'elle l'abaissait poignradant Amouth au niveau de son avant bras car par réflexe il l'avait vivement placé devant son visage...

"Avec moi, détruisons cette chose car elle ne mérite aucun nom ! Alira, Meneldir, Balak, Radmanthe et SILINDË même ! Car il est temps de se relever du mal, un jour nouveau viendra !"

//Sinon je conseillerais à Amouth de nouveaux bonbons elfiques pour l'haleine, parce que là il a la même haleine que celle de ma prof d'histoire...//

"Ainsi tu te prénommes Ammouth ? je n'en savais rien. Moi, tu connais déjà mon nom, pourriture, pour avoir tenté de me ronger l'âme. mais aujourd'hui, les vers infâmes des ténèbres ont cessé de leur festin. Je suis un jeune fils de la lumière, j'ai renoncé au mal qui depuis toujours m'animait. Ma colère est grande mais légitime, je ne suis plus guidée par la haine, mais par ce que je crois être juste. En ce jour bénis, jour de ta fin, je me libère de votre emprise immonde. Puisses-tu trouver dans la mort l'absolution de tes péchês."

Balak avait parlé d'une voix claire et grave, puissante, et son regard était illuminé de sentiments nouveaux.

"Ce n'est pas parcque je tiens ma force d'un noir héritage, que j'en userais nécessairement pour faire le mal. C'est ce qu'Ils m'ont appris à l'instant. Telle sera ma doctrine pour le reste de mon existence."

Les lames de mithril semblèrent un instant, inexplicablement, plus blanche, plus éclatante qu'à l'ordinaire.
Balak se mis en position. Il ne sentait pas plus fort, mais libéré d'un fardeau monstrueux qu'il avait jusqu'à maintenant ignoré. Une sensation de grande légèreté l'envahissait, et d'étranges symboles apparaissaient devant ses yeux, mais lui seul en était conscient. C'était en général des données chiffrées, ou des mots dans une langue étrange qu'il ne connaissait pas. Mais le plus étrange était qu'il comprenait ces choses : elles lui disaient comment agir, que faire dans chaque situations possibles, et pouvaient prévoir des actoins simples des adversaires environnants sur une poignée de secondes. Les données sur Ammouth était pour la plupart brouillées cependant, les actions d'un tel être n'étant guère prévisible par raison humaine. Mais cela n'affectait aucunement le mercenaire. Ce dernier regarda une dernière fois ces compagnons, avant de lancer l'assaut. Avec un large sourire, il leur dit :

La seule chose que je vais retenir de mon ancienne vie, est une citation de Croc-Noir, soit-il mille fois maudit. Sa phrase n'était pourtant pas dépourvue de sens. Elle disait :
"celui qui aujourd'hui combat à mes côtés, celui-là deviendra mon frère d'arme pour l'éternité."

Puis il recentra son regard vers Ammouth, et chargea le fléau d'Arda.

.

Les illusions restaient toujours là. Ou pas.
Certains les voyaient, pour d'autres elles avaient disparu, abandonner les soldats qu'elles enserraient auparavant. Mais dans quel état. Ceux qui avaient vaincu l'imagination dAmouth voyaient certains de leur compagnon sur le sol, en train de se convulser en gesticulant et en taillant le vide. Ils avaient les yeux révulsés et criaient des choses sans queue ni tête, avant de mourrir de blessures imaginaires dont les conséquences étaient bien réelles.
Et c'était un spectacle particulièrement horrible de les voir ainsi pris au piège dans leur propre tête, tellement proches mais de l'autre côté du gouffre insondable de leur esprit qui les privait de toute possibilité d'aide, car ils n'entendaient rien et leur vision était déformée, et s'ils ne s'en rendaient pas compte eux-même, ils étaient perdus.

Car Amouth, même frappé par la fureur de l'elfe, n'avait pas lâché son emprise sur ceux qu'il soumettait à sa volonté. Seule l'aura de peur qu'il s'employait de dégager par de sombres artifices s'était envolée, laissant place à seules la fragilité et la laideur de cet être maléfique.

Il poussa un cri de rage pour s'être fait fait battre ainsi. La douleur il la connaissait. Il savait des sombres abominations pour la refouler mais il savaut qu'il s'afflaibissait lui aussi de cette manière. Ses sombres tromperies l'épuisaient. C'est aec orgueil qu'il cria :

"Mais ce jour n'est pas arrivé... Il n'arrivera pas tant que je serai vivant, que j'aurai des alliés et des serviteurs sur qui compter. Venez, si vous êtes si sûrs de vous. Vous mourrez tous !"

Et il tenait dans sa main un sabre entièrement noir, qui devait être pourvu de quelque maléfice.
Alors se mit en garde et attendit, avec un sourire démesuré.

Balak fut le premier a le charger. Amouth ne bougea pas. Il ne voulait pas s'engager alors qu'il savait que les autres combattants rejoindraient le mercenaire.

Il se tint immobile, la garde haute et alors que Balak n'était plus qu'à quelques pas, son sabre s'enflamma d'un feu sombre alors qu'il murmurait des paroles malsaines.
Le choc allait être terrible et c'était au mercenaire d'ouvrir le bal, aux autres de suivre la danse.

Gebir résistait au mal qui l'enserrai de tout côté.
Dans sa tête, il revoyait des images terribles du passé et du futur.

Sur la cité du cygne, un étendard flottait sur le haut promontoire, sur le pic du palais. Un étendard malsain, noir, l'étendard d'Umbar.

Sur le sol gisaient des centaines de soldats aux armures argentés et les étendards avaient été lacérés avec une violence terrible.
Sur la plus haute marche du palais, huit chevaliers étaient tombés percés de nombreux traits et d'entailles.
Huit chevaliers, tous vêtus de vert hormis un seul dont l'armure avait enduite du sang rouge de l'ennemi.Dans sa main droite une épée nu et dans l'autre un haut étendart de la cité.
Il était tombé lui aussi le dernier défenseur.Il avait failli.

Comment est ce possible?
Dans la baie, les navires coulaient dans les flots ou étaient broyés sur les rochers.Ainsi avaient fini le Simol et le Dringalph.

Puis une grande lumière, de l'ouest approchait une flotte terrible et au nord, on pouvait entendre les cors du Rohan et les clameurs de Gondor.
Les terres du milieu n'avaient pas failli.
L'armée du Arnor venait de pénétrer dans la rade et un chevalier à l'armure de cuir dont lépée dans le dos brillait avec grand éclat.

**********

Gebir rouvrit les yeux et regarda les guerriers de roche.

Il s'approcha de l'un deux et passa sa main à travers, un sentiment glacial l'envahit mais peu à peu celui ci s'évanouit en même temps que disparaissaient à ses yeux les guerriers.

Amouth se défendait en veines paroles et Gebir attendit jusqu'à ce que Amouth désigna les renforts qui arrivaient par le tunnel.

Il comprit que tout ce qu'il pouvait faire c'est les retenir alors que les autres s'occupaient de la chose.

Nous allons les retenir mais dépêchez vous car nous ne pourrons les retenir longtemps.Ils sont si nombreux.

C'est ainsi qu'il s'enfonça dans le tunnel, l'épée en main.Il était suivi par ses deux amis chevaliers et par deux ou trois autres âmes courageuses.


Soudain,des bruits de pas. Des murmures.

Gebir se plaça dans une anfractuosité et attendit.

Soudain, Gurthascar fendit l'air et des cris retendirent.
Des cris de peur.
Un combat de plus commençait.

//Ma Doue ! Le retard que j'ai ! Bon je ferais comme je peux//

**Sauve le vite....il ne tiendra plus longtemps....je suis seul pour le faire tenir, l'épée n'est plus là! Tu l'aime....prouve le!! prouve lui!!!!**

Le corps eu un spasme et de la lumière sortit de sa bouche et ses yeux, celle ci prit la forme de Silindë quelques seconde tendant un bras vers Alira....puis disparue....le halo lumineux etait trés faible...

Elle n'attendit pas plus longtemps pour se précipiter vers lui sans pour autant savoir quoi faire. Ignorant les combats autour d'eux elle posa une main sur son front et l'autre sur son coeur en fermant les yeux, murmurant son nom.

-Silindë, je vous en prie tenez bon. Silindë...

Ce silence lui brisa le coeur sans vraiment savoir pourquoi. Il s'était à peine vue, la première fois qu'ils s'étaient rencontré c'était en plein combat, il lui avait alors donné ce surnom...Morgomiel...

Les larmes commencèrent à couler sur son visage.

-Silindë...

Peu après il était venu la voir pour lui parler mais à ce moment là ils étaient rappelés tous les deux...

L'elfe noire laissa tomber sa tête sur le torse de son homologue masculin, enfouissant son visage dans la paume de ses mains.

-Je vous en supplie...

D'autres combats puis, les Maisons de Guérisons, elle ne savait pas ce qu'il s'était passé, mais elle s'était enfuie...
Et maintenant elle pleurait contre lui, désespérée, alors qu'il était aux portes de la mort.

-Ne me laisse pas là, ne meurs pas, pas maintenant...

Ses yeux de nuit se relevèrent pour caresser son visage du regard, et de la main. Restait-il encore un espoir ? Elle avait complètement oublié le reste. Amouth, Mithrandir, Balak, Milindë et les autres ; un torent de larmes continuait de dévaler son visage, ses forces s'épuisaient en même temps que celles de Silindë. Elle ne s'était jamais sentie si épuisée et dans un dernier élan elle posa ses lèvres sur les siennes avant de retomber évanouie sur son torse...

//Vive le mélodramatique//

A peine quelques seconde se passèrent, l'on put entendre comme un chant, une grande chorale majéstueuse, lointaine mais majestueuse...
Mithrandir savait se que cela était...
Amouth aussi malheureusement pour lui.
Le halo de lumière revint et leva Silindê et Alira en l'air, elle retomba, mais Silindë la rattrapa dans ses bras...puis revint au sol.
Il approcha son visage du sien e murmurant des mots en Quenya, et posa ses levres contre les siennes.
Il laissa un petit halo blanc sur ces dernières, et la posa au sol délicatement.
A se moment Balak chargeait, ses lames en l'air!!
Silindë ouvrit alors les yeux, laissant apparaitre un eclat de lumière, puis l'on put voir que ses yeux n'était plus de néant, ni de ténèbre, mais bel et bien réel...Silindë avait les yeux émeraude!
Son teint était devenu celui de n'importe quel elfe, mais il gardait ses cicatrices, le sang qui coulait des blessures, n'était plus noir, mais écarlate.

-La corruption ne m'atteint plus, Bouche de Sauron!!!!!

Sa voix était pleine d'éspoir et les maléfice de Amouth disparurent d'un seul coup quand il parla, sa voix était celle d'un seigneur sur de lui, grave et teinté de lumière pour les coeurs!

-Tu a assez fait de mal comme sa petite créature...la dernière fois tu m'avait pris par surprise, mais cette fois je ne suis plus l'elfe affaiblit que tu a connu il y a des siecles!!! Tu n'est pas puissant, tu n'est qu'une loque!!! Tu voulait faire revenir Le Noir Ennemi, mais en vain, je luttais, Elwë luttait...Nous luttions tous!! N'a tu jamais remarqué que le bien a toujours vaincu! Comme dans les légendes et les contes pour enfant.
Tu ne peut plus nous vaincre!!!!!!!!!!!!

En disant cela il regarda Alira, qui avait réouvert les yeux au sol.
Puis il tourna sa tête vers Amouth et pris Chrystamas au sol, l'épée rougeoya alors d'un rouge écarlate aveuglant pour certain...et l'on avait l'impression que du sang fesait des flux et des reflux, venant de l'interieur et retournant à l'interieur sur toute l'épée.
L'armure que portait Silindë redevint argenté et plus noire, il reprit son heaume au sol qui devint lui aussi argenté.

- Maintenant tu va mourir!!!!

Est bien si tel est notre ultime combat, nous aurons l'honneur d'avoir combattues ennemis innombrables dans des tunnels que peu d'humains oseraient foulés.
Nous sommes des combattants et pas des héros, c'est notre ultime effort pour qu'ils réussissent.


Gebir avait déjà tué son ennemi une demi douzaine se précipitèrent vers lui avec de grandes lances.

Gebir feinta les deux premiers et les dépassa avec une vitesse époustouflante aprés les avoir écorché.

Gurthascar fendit l'air sans réagir aux hampes coupés.
Sa rage et son besoin de sang était sans précédent.

Les ennemis qui affluaient par le corridor emprunté par le groupe d'Alira étaient des orcs, qui n'avaient pas été invités par Amouth mais que la disparition du Seingeur des Ténèbres avait fait accourir. Ils semblaient être plus sensibles à cela que les hommes du Sud.
Fort heureusement, ils étaient en groupes disparates et les entrées étaient assez étroites, mais lorsqu'ils se seraient tous rattrappés les uns les autre ils formeraient une force particulièrement conséquente.

Surgit alors un groupes de créatures particulièrement bien bâties, car il restait des uruks noirs dans les Terres désolées de Mordor. Ils chargèrent avec leurs larges épées et l'un d'eux fonça prestement sur Gebir, se souciant peu de sa santé. Il le renversa et se tenait à présent à cheval sur le chevalier, une expression haineuse sur le visage et sa main sur le manche de son épée. Du sang coulait... Mais le sang de qui ?
Erco Skaline,lui, faisait face à trois adversèrent en même. Il avait raison, ils allaient être dépassé par le poids du nombre. Non, ils étaient dépassés par le poids du nombre. Ils étaient perdus.


Soudain des cris derrière eux. Il restait encore des soldats de Gondor, menés par un homme dont l'habit déchiré laisse apercevoir l'éclat d'une cotte du métal que sa hache. On voyait encore les marques de la lutte mentale sur le visage de Radamanthe. Il n'aimait pas ce que les hommes appellent communément la magie. Cela le dépassait. Alors sa place était parmis les hommes de Gondor, son rôle était de les relever, et il en avait rameuté un bon nombre. Il laisserait l'afrontement contre amouth aux mystiques et aux combattants d'exceptions. Lui combattraient les orcs.





Amouth ne s'attendait pas à voir Silndë se relever. Son attention fut détournée et il recula. Mais il n'avait pas perdu ses réflexes et savait que Balak était en train de le charger. D'un geste de la main, un souffle de vent sombre se leva et balaya tout ses opposants.
Et lui aussi, ou presque. Il chancela sous la force de son propre sort, du maléfice qui lui permit de repousser ses adversaires une nouvelle fois.

Amouth n'avait encore été blessé physiquement qu'une seule fois. Il chancelait, c'était le moment que cela change.

[Ceci car il me semble que Balak, interne, ne sait pas poster la semaine. Dans le cas contraire, on peut imaginer que son élan l'ait aidé à résister au maléfice et qu'il puisse attaquer. Faut tout de même bien voir ce qu'il vaut au corps-à-corps notre ennemi, hé !]

Les défenseurs redoublaient de hargne envers les assaillants, mais Amouth, lui tenait bon, acculé qu'il était mais il parvenait à nous repousser encore et toujours...Mais s'en était trop, trop longtemps il avait existé, il fallait en finir, aussi nous continuions à avancer sur lui et inlassablement il nous repoussait...

Mais il s'affaiblissait, tandis que chaque fois qu'il nous repoussait notre rage gagnait en vigueur, chaque attaque portée était plus vive et il avait de plus en plus de difficulté à les parer...
Qui plus est à force de lutter et de s'épuiser, les chants en elfique s'intensifiaient dans son crâne et ses blessures suintaient de son horrible sang noirâtre...

Milindë se battait avec fougue, jamais je ne l'avait vu se battre ainsi, elle avait laissé la grace elfique au combat pour laisser la rage elfique se montrer... Et c'était terrifiant... Elle attaquait, reculait, attaquait inlassablement avec rapidité et vigueur. Parant puis ripostant il lui arrivait d'être très près de la Bouche de Sauron, mais il la repoussait. Alors elle eut une idée... Elle attaqua encore et encore et encore et enfin quand elle apreçu une brèche dans la défense de l'ennemi elle s'y glissa. Elle enfonça son épée dans la jambe déjà affectée par les précédentes flammes et versa dessus un liquide contenue dans une fiole qu'elle avait sortie en quelques secondes... C'était un echantillon du plus fort hydromel d'Elessarion. Elle recula vivement alors qu'Amouth ripostait fou de rage... L'alcool eut l'effet escompté, il piqua vivement et comme si cela ne suffisait pas, Milindë alluma d'un regard haineux l'alcool qui flamba aussitôt...

Une odeur de cadavre brulé s'eleva alors tandis que la jambe d'amouth flambait du même feu blanc dont la puissance déjà considérable fut renforcée par le liquide brulant...

"Meurt ! Il est temps pour toi de débarasser les lieux ! Meurt, je te l'ordonne..."

La voie de Milindë était aussi forte et profonde que l'echo du tonnerre dans les montagnes et son épée étincelait d'un éclat nouveau. Et comme pour répondre à sa voie on entendit au loin le grondement sourd de l'orage. Et durant ce temps le chant avait de nouveaux ressurgi dans l'esprit d'Amouth, mais plus fort, aucun humain n'aurait pu supporter une pareille force de son sans s'écrouler les oreilles en sang... Et les visions revinrent, il se voyait seul dans la blanche lumière comme dans le vide, et face à lui s'elevait une mur de flammes blanchâtres. Celles-ci se rapprochaient ineluctablement et il ne pouvait fuir.

Silindë n'avait eu qu'a lever la main et le souffle n'avait sur lui que l'effet de le faire reculer.
Il regarda Amouth à genoux se relever, et lui dit :
-Tu cherche encore à résister...
"Pauvre petit moucherons, pourquoi est tu grognons, dans TA toile emprisonné bientôt tu sera.......Tuer!!!"

Morgoth avait singler cette chansonnette avec une voix étranglé et un sourire Mésquin sur le visage.
Mithrandir put entendre dans sa tête :

**J'avait entendu cette chanson d'une créature hideuse appelé communément Gollum il y a fort longtemps!! Je viens de m'en souvenir...**

Mithrandir avait aussi entendu énormement de choses en même temps, comme si des souvenir du passé de Silindë avaient afflué d'un seul coup en même temps que les mots.
Mais il se reprit.

Je riens intérieurement aux paroles de Silindë et me tournais vers lui lui adressant un sourire...

"Amouth, vous ne pourrez pas lutter contre nous tous... La puissance de Silindë et celle de Milindë sont considérable et je m'ajoute à eux... Aussi il vous sera difficile de resister, vous avez encore l'occasion de sauver votre honneur en nous livrant des renseignements et dans ce cas puisse les Valar être cléments..."

Mais Amouth ne semblait pas enclin a coopérer...

//Désolé pour ce post cours, mais je viens de voir qu'il y avait eu une réponse et encore une fois j'ai pas eu le mail m'en avertissant... Qui plus est, j'ai un contrôle de 4 heures demain...
Mith' en coup de vent//

-Comptez moi parmi vous, je ne laisserais pas ce chien vivre plus longtemps...

Alira s'était relevée, dagues en mains et le souffle court. Une aura noire et froide l'entourait, laissant la puissance de son peuple l'envahir, elle n'était peut-être pas de la plus haute naissance mais elle ne reniait pas sa race pour autant. Son regard de nuit fixé sur Amouth, elle avançait vers lui avec la démarche assurée et le caractère d'un fauve blessé...

//court je sais mais je voulais juste me réveiller//

Balak maudit mille fois la sorcellerie. Non pas que l'attaque fut douloureuse, mais terriblement humiliante. Fort d'un nouveau pouvoir, il se sentait invinviclbe, inébranlable. Mais d'un revers de main, Ammouth lui avait balayé tous ses espoirs. Désormais il en était certain : il ne pourrait jamais vaincre ce titan de l'ombre seul. Avoir pensé, ne serait-ce qu'un instant, parvenir à le vaincre sans l'aide de ses amis était l'une des actions les plus prétentieuse et stupides qu'il ait jamais commise. Suite au pouvoir du vent sombre lancé par son adversaire, le mercenaire avait une ou deux côtes cassées, mais aucune blessure plus handicapante. La douleur s'échappait de son corps comme l'eau s'enfuyait en vapeur d'un lac par une chaude nuit d'été.

Pied gauche en arrière.

Balak se sentit comme un aveugle voyant à nouveau le jour, comme un nouveau né sorti du ventre de sa mère, impatient de découvrir ce nouveau monde. Ses années au service des Ombres furent le bandeau qui cacha à ses yeux la splendide lumière de la pureté. Si ce bandeau s'était dessérer à son arrivée à Minas Tirith, c'est aujourd'hui, dans cette caverne, devant l'un des êtres les plus puissant du monde, qu'il était tombé, et que Balak apercevait enfin son destin. Il devait arracher tous les bandeaux qui obscurcissait le jugement des hommes. Et si ces derniers refusaient, si il ne voulaient pas être sauvés et que le bandeau est une partie d'eux-même, c'est leur tête que Balak prendra.

Pied droit incliné vers l'avant.

Déjà les enfants du Gondor faisait tout leur possible pour mettre à bas le Seigneur Noir, et chacun se battait avec la rage d'une Ombre du Destin. Se rendant compte de ce qu'il avait osé pensé, Balak se maudit et maudit ses souvenirs une bonne dizaine de fois. Mais devant tant d'acharnement, il n'avait aucun autre sujet de comparaison. Mais le Sombre ne se laisserait pas vaincre ainsi. Quelques entailles, de petites flammèches, rien de cela n'arrêtera le général des Ombres. Pourtant il fallait se hâter, son armée convergeait déjà vers lui. Le combat allait être long, mais paradoxalement, ne devait pas durer.

La lame haute et prête à trancher.

Il était prêt, tant mentalement que physiquement. Il le sentait, Chaque fibre de son corps réclamait ce combat. Un très léger tremblement d'excitation envahit tout son corps, et un frisson de plaisir le parcouru. Pourtant, le mercenaire fit une moue désapprobatrice, rejetant ce sentimment. Il n'était plus ce mercenaire qui ne trouvait son bonheur que dans le sang. Il avait vu la vérité, et devait la montrer aux autres. Il devait s'abandonner, abandonner ses joies et ses peines, pour se consacrer entièrement à ses semblables. Les joies malsaines de la perspective guerrière ne devait plus l'envahir, il s'en fit le serment. Il comprenait enfin sa place, il était un jouet du Destin.

Je me concentre...

Il se visualisa un jardin d'enfant, avec deux petites filles, l'une en noire et l'autre en blanc. Il s'imagina la petite fille en noir torturer une petite poupée à son effigie. Il la vit lui arracher la paille rouge qui lui servait de coeur et la broyer entre ses doigts. Voyant sa, la petite fille blanche tenta de lui arracher la figurine des mains. Chacune tira de son côté , jusqu'à ce que, poussant un grand cri, la gamine en blanc pris l'avantage, garda la poupée près de lui, et lui confectionna un nouveau petit coeur.
Voila quelle fut sa vie. Il la résuma avec deux gamines et une poupée. Il se trouva soudainement pitoyable au possible.

Et j'attaque!

Et comme un cheval lancé au galop, sans émettre le moindre son, sans cri ni simagrés guerriers, Balak chargea la Bête. Son esprit était en phase avec son corps, à tel point que le corps prenait la vitesse de l'esprit et l'esprit avait la force du corps. Il n'y avait plus de dualité, et le mercenaire se sentit...entier. Faisant parti d'un tout, un grand uniquat interieur. C'était ça. Voila comment il baptiserait désormais le déchirement du voile...

...L'Uniquat...

Arrivé enfin devant l'être, au côté de Milindë, Balak commença alors la valse des épées.

Bien sûr Amouth n'était pas enclin à coopérer. Pourtant il savait que ses chances diminuaient. Il était seul, acculé, coupé de ses serviteurs.
Ses meilleurs élléments, retrouvés de par delà les siècles, il avait fait l'erreur de les envoyer au loin, alors que les Griffes doivent être au prolongement de la main. De sa main.

Mais les chiens affamés, qui n'ont plus rien à perdre, sont les plus enragés.
Il s'attendait à l'attaque du mercenaire, et il la redoutait car il avait au plus profond de lui, et il savait que c'était un combattant des plus terribles.
Amouth avait reçu son enseignement de l'esprit de Sauron en personne, et il avait appris à abattre les barrières physqiques. Même si ces siècles d'exil avaient été éprouvants, il restait sans doute un adversaire formidable.


Et de tous ceux qui avaient vu charger Balak, il leur semblait que ce qu'ils voyaient était inimagineable. Car certes, le mercenaire chargeait avec une détermination sourde et une vitesse incroyable, mais le plus surprenant fut Amouth.
Ce coup formidable, d'une rapidité hors du commun et d'une force encore plus terrible, ce coup inhumain, il le para.

Et encore une fois, puis une autre. Mais au quatrième coup, la terrible créature perdit l'équilibre et du faire quelques pas en arrière. Il tomba un genoux au sol.

"Tu es fort... Mais pas assez", siffla t-il.

Mais il ne se releva pas, il resta à moitié accroupi, son épée noie en main, un sourire mauvais sur le visage mais le souffle court.

Un piège ?

Milindë restait concentrée, Amouth était essouflé mais assez rusé pour tous les duper... Elle fit naître dans son esprit des barrières mentales pour empecher l'influence d'Amouth de trop s'étendre.... Elle s'attendait à le voir subitement disparaître pour réaparaitre derrière en traître, mais elle étaiot prête et Mithrandir non loin veillait aussi, prêt à s'interposé à n'importe quelle moment usant de toute sa force de volonté et des capcités que son épée lui conférait...

//Post cours, désolé je dois y aller//

Le couloir n'en finissait plus de vomir une mulltitude d'orcs furieux. Depuis le début du combat, Konrad se trouvait près des deux frères, cherchant la complicité de ses seuls amis en ces heures sombres, tout en essayant de protéger tan bien que mal le scribe, qui n'avait pas beaucoup de moyen de défense.

Au fil du combat, l'épuisement devenait de plus en plus dur a contenir. Konrad tuait un orc, deux autres le remplacaient. Son bras se faisait lourd. Les multiples petites blessures sur tout le haut du corps le faisaient souffrir, et son bouclier ne pourrait plus longtemps tenir le choc de l'Ennemi.
Cependant, il fallait tenir...Protéger ceux qui devait l'être et gagner du temps pour ceux qui déterminerait l'issue de la bataille...

Le groupe des défenseurs s'amenuisait petit à petit, mais l'espoir subsistait...

Silindë n'avait toujours pas fait de geste, son épée, il la remis dans dans son fourreau, mais une brume rougeâtre rèstait autours de sa main droite.
Il s'approcha calmement du geolier, puis dit :

-Pourquoi tendre un piège? "Faible"!! Tu ne peut plus rien contre nous!!

Silindë s'approcha de plus en plus, et de plus en plus Amouth sentit quelque chose pénétré dans son ésprit, comme un dague qu'on enfoncerai au fur et à mesure dans le ventre, comme un poison allant lentement vers coeur...mais surement!!!

**Tu n'a plus rien à faire ici Bouche de Sauron, fuis ou nous te tuerons!!!**

Silindë la paume de la main vers le plafond, l'index et la majeur tendus et écartés, une petite sphère de brume rouge entre les doigts, n'était plus qu'à quelques pas de Amouth!

Le mercenaire tuait les ennemis des peuples libre rapidement. Eaque n'aimait pas retirer la vie aux hommes, mais les orcs, il ne faisait pas de concession.

Les deux avançaient cote à cote. Les lames Ourim et Tourim prenaient leur tribu de sang parmi l'ennemi.

Eaque baissa la tête, esquivant un coup que Eaquem arrêta de sa dague. Eaque trancha la jugulaire du serviteur du mal, puis utilisa l'épée, ou plutôt le bout de fer de l'orc pour transpercer celui qui était derrière.

Ils n'étaient pas des chevaliers, et leur agilité les avantageait dans ce combat...

Une sorte de furie guerrière c'était déclencher depuis qu'Eaque avait compris qu'un être tentait de s'emparer de lui, et que cet être voulait lui faire tuer ses amis.

Il occupait donc son esprit, pour que celui-ci ne faiblisse plus...

[Lorsque celui qui a posté en dernier n'intervient pas clairement contre Amouth (par exemple ici, rien n'empêche d'attaquer en même temps que Morgoth) n'hésitez-pas à poster et à ne pas attendre ma réponse.]

Il l'avait sous-estimé, pour sûr. Lorsqu'il l'avait eu, cela avait été par surprise et par la trahison de son ancien mentor. Enfin, trahison, c'était là un bien grand mot. L'histoire de Silence et des Griffes d'Ammoth n'était pas aussi simple que ça. Le destin avait même voulu qu'ils soient séparés l'un de l'autre par leur appellation même...

Mais la douleur, il la laissa venir. Il ne pouvait se permettre de gaspiller ses forces à combattre l'Esprit. Car il ne pouvait espérer survivre sans un miracle, et dans ce cas il n'auait plus besoin de se soucier de Silindë. Dans l'autres cas... Il préféra chasser ces pensées.

Il ne le laisserait pas approcher !
Il se leva, grand et tébébreux et brandit son sabre, qui était d'un noir sombre et maléfique.
Alors, le saisissant à deux mains, il chargea vers Balak, Milindë, Mithrandir et les autres. Il ne se souciait plus de se faire encercler...

S'il devait les vaincre, cela serait de la manière la plus dure !